Quand Esmée n'est pas là, ses garnements se délurent...( Alice et Jasper en prio + Rosa si elle veut )

[ C'est court DSL, mais c'est fait, enfin Very Happy

]

Esmée et Carliste s'étaient octroyés un week end entre amoureux, laissant la villa à la merci de leurs enfants. Ce jour là, Edward devait être allé rejoindre Bella, et Rosalie s'était absentée, si bien qu'Emmett s'ennuyait ferme...
Planté devant la chaîne hifi de sa chambre, qui diffusait quelques morceaux de divers groupes de rock, il se demandait ce qu'il pourrait bien faire pour s'occuper, lorsqu'il avait eu une idée...Brillante !
Quittant la pièce qu'il occupait précedemment, il s'était dirigé vers la cuisine, où il avait récupéré quelque chose, qu'il avait soigneusement dissimulé sous son épais pull blanc.

Puis, après s'être assuré qu'Alice n'était pas occupée avec Jasper, il était allé frapper à la porte de sa chambre avant de la questionner, malicieux :

- Je peux entrer ?

A peine avait-il eu une réponse positive qu'il s'invitait, un immense sourire aux lèvres, affichant un air qui ne présageait rien de bon pour sa malheureuse soeurette...
Et en effet, quelques secondes plus tard, il s'était rué dans sa direction, avant de lui vider sur la tête l'équivalent de deux paquets de farine, que leur mère d'adoption gardait en réserve au cas ou des humains viennent leur rendre visite.

- Surpriseeeeee !

Eclatant d'un rire tonitruant en la voyant ainsi " décorée ", le gros nounours, visiblement ravi de son coup, s'était mit à courir à la recherche de nouvelles munitions, n'ignorant pas que la pétillante Alice allait vouloir lui faire payer cet affront.

Dans le couloir, il avait croisé Jasper, qui n'allait pas tarder à découvrir l'état dans lequel il avait mit sa femme, et qui se joindrait sûrement à eux pour batailler...

Hin le bonheur!! Les "parents" avaient décidés de passer le week-end en amoureux on étaient tranquilles TOUUTT le week-end!! C'est pas super méga extra génial ça? Ben si!! Dès qu'ils étaient partis pourtant pas de boom, pas de bêtises on s'étaient tous séparés. Edward était parti voir Bella aujourd'hui, (il ne s'en passait plus, je savais bien où il passait ses nuits moi), et Rosalie avait subitement disparue je ne sais faire quoi je ne sais trop où. Non je ne l'avais pas vue, parceque je ne la surveillais pas elle était libre de ses mouvements.

Bref, pour le moment j'étais seule dans ma chambre et je m'étais défoulée, mettant la chaine Hi-Fii a fond maintenant que je pouvais le faire, et dansant, encore et encore et encore pendant au moins deux heures d'affilées sans m'arrêter un seul instant. Puis finalement le souffle un peu haletant je m'étais laissée tomber sur mon lit, regardant le plafond, pensant a tout et surtout à Jasper. Je devais bien l'avouer mon mari occupait beaucoup mon esprit.

Soudain on frappa et Emmett passa la tête dans l'entrebaillement. - Je peux entrer ? J'hochai positivement la tête me redressant sur mon lit mais sans être vraiment présente. Je pensais encore à mon homme, à notre dernière nuit tous les deux, à sa deuxième demande en mariage, à ses bras autour de ma taille, à ses baisers sur mon corps, à...Ok ok Alice on se repre...- Surpriseeeeee !

-Atchoum!!éternuais-je surprise en respirant quelque chose de peu familier.

J'étais...j'étais toute blanche. Couverte de... farine.

-EMMETT MACCARTY CULLEN T'ES UN VAMPIRE MORT!!! hurlais-je de toute la force de ma voix cristalline qui monta dans les aigus devenant menaçante.

Je courrus derrière mon imbécile de frère croisant au passage mon mari mais j'étais tellement en colère que... Hop je glissai sur la rembarde de l'escalier doublant mon frère et courrut a la cuisine ou j'attrapai trois boites d'oeuf. Rattrapant mon frère qui courrait dans le salon je lui balancais les oeuf. Dommage pour lui je visais très bien, y avais qu'a me voir au Base Ball.

-T'en sortira pas vivant mon cher!!

Ma voix avait pris des intonations meurtrières mais met yeux pétillaient. J'adorais nos jeux Sisters/Brothers!!

La maison nous appartenait, Carlisle et Esmé avait décidé de partir en amoureux pour se « retrouver ». Le couple faisait assez souvent ça et ils partaient en courant assez loin pour un week end ou un peu plus. Cela voulait dire que nous pouvions faire ce que nous voulions. Pourtant après leur départ, rien de spécial c’était passé ! Edward s’était enfui comme à son habitude pour rejoindre son humaine, celle qui avait une odeur exquise, Bella. Rosalie aussi avait disparu, peut être la chasse peut être le shopping qui sait. Ma belle Alice c’était dirigé vers notre chambre et moi je m’étais éclipsé pour aller chasser, depuis que cette humaine avait visité la maison, son odeur était partout et il était difficile pour moi de résister à l’idée de la traquer. Je faisais donc en sorte de chasser le plus possible.

Ma chasse avait été bonne même si rien ne m’avait vraiment plus. C’était comme se restreindre à une bien maigre pitance après avoir mangé aux plus belles tables… Le sang animal n’était pas spécialement bon mais je devrais me forcer pour l’éternité. En plus je n’avais trouvé que des biches, elles n’avaient strictement aucun gout. Ensuite j’avais marché longtemps dans la forêt ramassant de ci de là des fleurs pour ma belle, bien sûr cela faisait un peu ridicule mais j’adorai faire ça. Au bout d’environ deux heures je repris le chemin de la maison, mon petit bouquet à la main. Je rentrai en silence et de mon pas félin je me dirigeai vers l’étage. Soudain des cris retentirent et je me mis en alerte. Je vis mon nounours de frère cavalait comme un lapin, un immense sourire aux lèvres. J’haussai un sourcil mais quand je vis Alice sortir de notre chambre, blanche de la tête au pied. J’ouvris légèrement la bouche, et posai le bouquet sur une table. Je devais venger ma femme ! Immédiatement, je me laissai glisser sur la rambarde de l’escalier à la suite de ma femme et courut dans la cuisine, j’attrapai au passage un sachet de sucre.

Je me mettais en retrait, laissant ma femme attaquait puis bondissant comme un félin, je lui explosais le sachet de sucre sur la tête, les grains blanc lui collant à la peau à cause des œufs. Fier de notre coups, Alice et moi nous regardâmes alors que je me rapprochai doucement d’elle et lui déposai un léger baiser sur les lèvres, l’attrapant par la taille. Un fin sourire aux lèvres je déclarai

« Tu ne peux pas gagner contre nous Emmett… Ce n’est même pas la peine d’essayer… »

Alice : EMMETT MC.CARTY CULLEN T'ES UN VAMPIRE MORT !!!

Lorsque sa soeur l'avait rattrapé, Emmett n'avait pas encore eu le temps de se réapprovisionner, si bien qu'il n'avait rien pu faire contre sa revanche, sinon éviter quelques oeufs.
Couvert d'une matière gluante assez répugnante, le vampire n'avait pourtant pas cessé de rire, tant il aimait s'amuser avec les siens.

Alice : T'en sortira pas vivant mon cher !!

- Ah oui ?! Tu vas voir !

Toutefois, avant qu'il n'ait eu le temps de dire quoi que ce soit d'autre, Jasper avait vidé sur lui un paquet de sucre, avant d'étreindre sa femme, et d'annonçer :

Jasper : Tu ne peux pas gagner contre nous Emmett… Ce n’est même pas la peine d’essayer…

Affichant une moue faussement indignée, le gros nounours s'était exclamé :

- Hey ! Deux contre un, c'est de la triche !

Son frère était trop propre à son goût, c'est pourquoi Emmett s'était rué jusqu'au frigo familial, duquel il avait retiré deux tubes de sauces, Mayo et Ketchup, avant de revenir vers lui, et de l'en tartiner copieusement. De l'art, assurèment !

- Tu sais Jasper, je crois bien que je te préfère comme ça !

Bon, il avait eu l'avantage de la surprise pour cette fois, mais il n'ignorait pas que le mari de sa soeur était plus rapide que lui, c'est pourquoi il s'était remit à courir, non sans avoir vidé au préalable quelques tubes de la peinture, dont Esmée se servait pour faire des portraits, dans les cheveux du petit lutin de la famille...

Si le couple lui tombait dessus, il allait passer un sale quart d'heure, c'est pourquoi il n'avait pas perdu son temps...

Ah j'étais très satisfaite de moi là alors que les yeux dégoulinaient sur mon frère. Arrk c'était baveux beurk beurk beurk. - Ah oui ?! Tu vas voir ! Mon splendide sourire s'élargit lorsqu'un sac de sucre en plus sur la figure. Hum ça collait bien c'était pas mal ça.

-Voir quoi mon nounours adoré? fis-je avec un élan d'insolence amusé.

Mon mari revint vers moi et enlaça ma taille. Tournant la tête je l'embrassait tendrement. Hum j'adorais sentir ses lèvres contre les miennes c'était un réel plaisir. Notre regard vira vers Emmett qui venait de raler parceque ma moitié me soutenait. « Tu ne peux pas gagner contre nous Emmett… Ce n’est même pas la peine d’essayer… » repliqua mon mari. J'eu un petit rire musical. Soudain quelque chose dégoulina sur mon amour et je m'écartai ne pouvant m'empêcher de rire un peu. Ketchup Mayo ben voyons et pourquoi pas du chocolat fondu tant qu'on y était? Tient super idée ça le chocolat fondu!! Non ça mettrait trop de temps. Soudain quelque chose de liquide me coula a mon tour dans mes beaux cheveux. De la peinture. Je hurla ma colère et me rua dans la cuisine. Ok là il avait gagné la guerre était déclarée. A la vitesse de l'éclair le chocolat fut brisée et fondu alors que je mélangeais du beure tout aussi fondu, quatre oeufs, du sucre tout pour faire un gateau au chocolat, mais celui là je le ferais pas cuire. J'y ajoutais alors de la moutarde, de la soupe déja prête et des beterraves puis courrut derrière mon frère avec ma mixture prête. Le tout ne m'avait pas pris plus d'une minutes trente.

Le truc qu'Emmett avait oublié c'est, d'un que je voyais où il voulait aller, deux, je courrais plus vite lorsque j'étais folle de rage. Et le coup dela peinture ne m'avait pas fait bien rire. Je le rattrapais en trouvant un raccourcis et lui vidait l'espèce de soupe dégueu sur la tête alors que ma moitié, toujours à mes cotés, retenait son frère dans une grosse étreinte.

-Elle est bonne la mixture du petit lutin? demandais-je.

Mes yeux flamboyaient, et d'amusement et de colère. Nah mais dit il allait souffrir le nounours!! Il ne faut JAMAIS énerver un lutin si vous ne voulez pas qu'il se rebelle.

Alors que ma main était toujours posée sur la taille de ma belle, je n’eus même pas le temps de bouger qu’Emmett s’était jeté sur le frigo s’emparant de sauce Ketchup et Mayonnaise et me visant, il appuya sur les bouteilles et deux jets, un rouge et un blanc fusèrent dans ma direction. Je n’eus que le temps d’écarter Alice me prenant les deux attaques sur ma belle chemise blanche qui était toute propre… Si la scène avait été tourné au ralenti on aurait pu se croire dans un film, l’amoureux souvent sa belle du feu ennemi ! Immédiatement, Emmett s’enfuit non sans avoir porté un ultime coup, renversant des pots de peinture sur la tête hérissé de mon lutin d’amour.

Je vis rouge. Enfin façon de parler, la situation était vraiment hilarante et je ne pouvais empêcher un sourire de déformer mes lèvres parfaite. Pour une fois que je ne pensais à rien sauf à m’amuser. D’un regard complice avec Alice, nous avions mis notre plan à exécution. Je la laissai partir vers la cuisine tandis que je prenais en chasse Emmett qui était partit se cacher dans la maison. Je fis exprès de mettre un peu de temps bien qu’il était vraiment facile à trouver. Déjà tous mes sens l’avaient repéré et je sentais l’euphorie qui se dégageait de lui. Lorsqu’il je l’avais trouvé, je m’étais approché de lui, en position d’attaque un sourire sur mes lèvres…

« Viens voir ici nounours ! »

Je bondis à une vitesse folle et l’attrapant entre mes bras musclé, je le serrais, le ceinturant pour le maintenir en place. Il était légèrement plus fort que moi mais je restai quand même bien accroché, ma belle arriva enfin. Elle lui déversa toute une casserole d’une espèce de mixture, dont je ne préférais même pas connaître la consistance, sur la tête. Je fis un immense sourire avant de le lâcher, d’attraper la main d’Alice et de jeter un dernier commentaire, reprenant avec humour et ironie la remarque qu’il m’avait lancé tout à l’heure

« Tu sais Emmett, je crois que je te préfère comme ça. »

Puis nous partîmes à toutes vitesses sortant de la maison et croisant Rosalie au passage. Nous ne lui adressâmes pas la parole, car quand elle découvrirait ce que nous avions fait de son mari, sa colère serait phénoménale ! Je chuchotai à l’oreille de ma belle alors que nos pas nous menaient vers un endroit que nous connaissions bien

« On ferrait bien d’accélérer le pas, Rosalie ne vas pas être contente qu’on ait salit son mari… »

Emmett riait toujours lorsque Jasper l'avait prit en chasse. Il n'ignorait pas qu'il allait passer un sale quart d'heure, mais il s'en moquait : Après tout, peu importait d'être recouvert de nourriture quand on s'amusait autant ! Voir son frère de bonne humeur le ravissait, si bien qu'il n'avait pas usé de toute sa forçe pour se dégager lorsqu'il l'avait ceinturé...
Oh bien sûr, il s'était débattu, à plus forte raison quand il avait vu Alice s'approcher de lui avec une casserole dans les mains et un sourire machiavélique affiché sur le visage, mais il avait fini par se résigner...

Une mixture dégoutante avait été déversée sur lui par le lutin, qui avait prit la fuite après que son mari lui ait retourné la réplique qu'il avait inventée plus tôt. Hors de question qu'ils s'échappent !!
Essuyant son visage avec l'une des manches de son pull plus vraiment blanc, le nounours s'était mit en chasse, déterminé à se venger.
Il ne s'était même pas arrêté en aperçevant Rosalie, et il avait profité du fait que les amants terribles n'aillent pas très vite pour attraper Alice, qu'il avait perchée sur l'une de ses épaules comme un sac, avant de regagner la maison à vitesse grand V, conscient que Jasper s'était déjà lançé à sa poursuite.

Une fois arrivé dans la cuisine, il s'était barricadé, comptant sur le secours de sa moitié pour retenir Jasper. Puis, vif, il avait attrapé plusieurs récipients, contenant respectivement de la mélasse, du miel, du sirop d'érable, de la confiture et du beurre de cacahuète, qu'il avait déversé en hâte dans une immense casserole, dans laquelle il avait ajouté une purée à base de harengs de sa conception, avant de remuer le tout, ne tenant compte ni des cris, ni des coups d'Alice, qu'il tenait la tête en bas dans son dos.
Une fois SA bouillie terminée, il avait affiché un sourire absolument sadique, avant d'en verser la moitié sur sa malheureuse soeur.

Par la suite, il avait ouvert la porte de la pièce, derrière laquelle se trouvait Jasper ( qui avait visiblement été retenu par Rosalie ), et PLAF !
Une fois les deux amants ainsi arrosés de sa création hautement collante, Emmett s'était saisit de deux oreillers, qu'il avait perçés au dessus de leurs têtes...Un véritable carnage !!
Les plumes d'oie étaient retenues par la mixture, et faisaient ressembler Alice et son époux à des poulets transgéniques...
N'en pouvant plus de rire, le garnement n'avait même pas essayé d'empêcher l'un d'eux de le plaquer au sol...

Mais que ce passe t-il ci ?

Nous étions un après-midi, et en bonne H A L E, j'ais décider de partir faire les boutiques, Emmett n'vais pas voulu venir avec moi, car sois disant il avait ses devoirs pour le lendemain matin. 'vais donc roupéter quelques instant qvant, finalement de l'embrasser et de me vêtir comme une déesse et de partir à l'assault des centaines de magasins de PORT ANGELES. Je passa l'après-midi à divaguer deci delà, le sourire aux lèvres à esseyer divers vêtement, sous vêtement. Par chance je trouva mon bonheur et décida de continuer dans ma quête.. LA je trouva LA robe la plus splendide qui sois..des bottes en ersnis noir, comme j'en rêver depuis plusieurs jours, un sac Guess de la nouvelle collection..Au total ? 1000 euros, si ce n'était pas plus.. Satisfaite par mes achats, et trouvant que j'vaais sufisament fais flamber la carte Gold de la famille. Je décida qu'il étaitt tant de rentrer. Aussi, e tenta d'appeler mon mari, pour lui signalez que rentrer enfin. Je composa le numéro de téléphone d'Emmett et tais l'oreille en espérant qu'il décroche. Hélas, il avait mieux à faire de répondre à sa petite femme.

C'est ainsi que je rentrer chez nous, garant ma BMW rouge devant la maison. Sortant de la voiture , tenant mes paquets d'une main, e poussa la protière et ferma à clef, puis me dirifgea vers se qui était ma maison.
C'est là que...poussant la porte, je me figea consterner. Emmett courant après Alice dans toute la maison, cele-ci couverte de..d'un espèce de mélange "oeuf, farine", Jasper courant après Emmett. Ha c'était donc sa..voilà pourquoi EMMETT n'était pas venue avec moi... Un peut furieuse, je me raidit, laissant échaper un :

EMMETT CULLEN !

Il allez devoir se faire pardonnez...sa j'en était sûre et cetaine.. Regardant mon frère et "ma (belle) soeur" je ne put m'empêcher de leur demander :

-Mais vous avez quel âge ?

Après que ma délicieuse purée est été déversée sur mon cher frérot, Jasper l'avait laché pour prendre ma main et après avoir renvoyé la réplique a Emmett il m'avait entrainé. Nous passâmes devant Rosalie et nous accelerâmes. Je savais que ma soeur serait folle de rage en voyant sa moitié dans l'état auquel on l'avais mis. C'est alors que je sentis qu'on me soulevait comme une plume et qu'on me balançait sur une épaule.

-EMMETT LACHE MOI!!! hurlais-je.

Mais mon grizzli de frère continua de courir vers la maison, Jasper sur ses talons. Je tendais la main vers ma moitié et la sienne effleura ma paume pour la lacher aussitôt. Emmett repassant devant sa femme claqua la porte de la cuisine et la barricada moi toujours sur son épaule. Je me debattais de toute mes forces de vampires, battant des pieds donnant des coups de poings, nada, queudal. Il prépara une mixture ue je reconnu a l'odeur. Paniquée, complètement affolée je me debattis avec encore plus de fougue mais rien n'y fit. Sa mixture prête j'en reçut la moitié et hurlai encore plus fort que la dernière fois, faisant trembler la maison.

-EMMETT T'ES UN VAMPIRE MORT!!!

Ce fut un véritable déchirement. Emmett toujours hilare renversa le reste sur mon amour avant de nous balancer des plumes. Furieuse pour de bon je le plaquai au sol avant de lui de le fixer mes yeux, volcan incadescent vriés dans son regard. J'étais furieuse pour de bon Rosalie n'allait pas aprécier tant pis. Je décrouvris mes crocs.

-Crois moi ça ce n'était rien comparé a ce que Esmé va nous faire toi en priorité lorsqu'elle verra la maison comme ça!!

Mon sourire était mauvais, j'étais coiffée de plume et d'un liquide visqueux, de peinture et de farine, et j'étais folle de rage. Ça c'était pas un jeu pour moi c'était une mission suicidaire.

-Jasper mon amour? appelais-je.

Nous n'avions pas du tout mais alors pas du tout fait attention à Rosalie qui avait l'air furieuse. Moins que moi.

HJ:Bon pas terrible mais je sais pas quoi mettre xD Quoi ta belle soeur? Méchante!!

Alice et moi courions comme des gamins, nos rires retentissaient dans la foret. Soudain je sentis ma moitié m’être arraché. Le temps que je me retourne, Emmett l’avait embarqué sur son épaule comme si elle avait été un vulgaire sac, c’était une insulte à sa beauté de la porter comme ça, elle méritait d’être transporté comme une princesse pas comme n’importe quoi. Mes pieds dérapant sur le sol, je fis demi tour et fonça droit sur Emmett. J’étais plus rapide que lui, j’allai attraper ma douce, mes doigts effleurant sa main tendu quand Emmett accéléra, Rosalie cria. J’arrivai en trombe dans la maison, Emmett s’était barricadé dans la maison et Rosalie me bouchait le passage. Elle semblait en colère et me jetait un regard de reproche

Soudain le cri de ma femme retentit dans la maison, tandis qu’une affreuse odeur s’élevait dans les airs, insupportable pour mon nez de vampire. Ni une, ni deux je fonçai droit sur la porte, ne prenant même pas la peine de l’ouvrir, la défonçant et explosant tout ce qu’Emmett avait mis contre pour la bloquer. Dans l’euphorie passagère, je me reçu une étrange mixture, c’était de la que venait l’odeur. Puis, un oreiller m’explosa sur le visage et les plumes volèrent et se collèrent à moi mais aussi à ma femme. Nous ne ressemblions plus à rien.

Alice bondit et plaqua Emmett au sol puis m’appela. Je m’approchai, ayant récupérer la casserole dont il s’était servi pour nous attaquer. Je m’accroupissais et commençait à le tartiner avec ce que je récupérer

« Voila, il y en a pour tout le monde… »

Puis je jetai un regard à Rosalie, elle était toute belle et son homme tout sale et tout collant. Pour me venger j’eus une idée diabolique, un sourire tordis mes lèvres alors que je faisais se relever Alice, la serrant doucement contre moi, après tout nous étions collant tous les deux, nous prendrions une douche plus tard… Ma voix, mystérieuse résonna dans la pièce…

« Oh regarde Emmett, ta femme est rentré, n’aurais tu pas l’envie d’aller… l’embrasser !? »

Mes yeux d’or se fixèrent sur mon frère alors que je déclenchai mon pouvoir pour accroitre le désir d’Emmett pour Rosalie, ce dernier ne pouvait résister, il fallait absolument qu’il l’embrasse, malgré qu’il soit tout dégoutant ! Oui, en gros je le jeter dans la gueule du loup... Ou plutot entre les crocs de la vampiresse.

Lorsqu'Alice lui avait sauté dessus, Emmett avait tout d'abord continué de rire de bon coeur, avant de s'arrêter, ne sachant pas très bien si sa soeur était encore dans le jeu ou non...
Ses yeux lançaient des éclairs, et elle semblait véritablement furieuse cette fois...Pire, elle montrait les dents...
Le gros nounours avait un mal fou à se retenir de rire en la voyant recouverte de plumes et d'un mélange gluant, malgré son questionnement intérieur. Peu désireux de se faire arracher les yeux, il avait laissé tomber ses mains au dessus de sa tête, même si cette position de vulnérabilité ne lui plaisait guère.

Alice : Crois moi, ça ce n'était rien comparé à ce que Esmée va nous faire, à toi en priorité, lorsqu'elle verra la maison comme ça !!

Gloups, Esmée...Il est vrai qu'en commençant à provoquer sa soeur, le vampire n'avait pas vraiment mesuré l'ampleur des dégâts qu'ils allaient occasionner dans la villa...
Lorsque Jasper s'était approché avec la casserole dont il s'était préalablement servit pour les décorer, Emmett avait pensé à tenter d'échapper à Alice, mais comme il savait qu'il ne restait pas grand chose dans le récipient, il avait laissé son frère le tartiner sans trop broncher...

Jasper : Voila, il y en a pour tout le monde…

Mais le pire était à venir...
Au début, le buveur de sang n'avait pas comprit pourquoi il avait demandé à sa femme de se retirer de sur lui, mais les paroles et le sourire de Jazz l'avaient très vite éclairé...

Jasper : Oh regarde Emmett, ta femme est rentré, n’aurais tu pas l’envie d’aller… l’embrasser !?

Rosalie...Son ange paraîssait folle de rage, et...Non, il n'allait pas faire ça ?! Lentement, le gros nounours s'était relevé, avec une irrésistible envie de faire un gros câlin à son épouse...
Une part de lui lui hurlait de résister, et de ne pas le faire, mais le pouvoir de son frère était trop puissant pour qu'il y résiste...

- Jazz..

Manque de chance, il ne semblait pas disposé à négocier...
Quelques secondes plus tard, le désir d'Emmett pour sa femme revenait à la normale...Mais il était trop tard...
Sans être le maître de ses agissements, il avait serré la superbe blonde contre lui, tâchant ses vêtements immaculés...
S'éloignant vivement de quelques mètres, le jeune homme avait instinctivement adopté son petit air d'enfant battu, auquel il était extrèmement difficile pour quiconque possèdait un coeur de résister, avant de supplier sa moitié du regard de se montrer clémente...

Invité

" Bonté divine. "

" Bande de petit chenapan, que le coupable se dénonce ou j’en accuse un aux hasards !! "

La journée était passée à une très grande vitesse. Peut-être parce que j’avais passé la journée avec la jeune humaine qui me fascinée tant. J’étais effectivement resté près d’elle, du matin jusqu’à maintenant. Sa compagnie me rendait de bonne humeur, comme quand Jasper exerçait son pouvoir sur moi pour m’apaiser. Son odeur - un parfum exquis en senteurs diverses, me mettait parfois mal à l’aise. J’avais encore un peu de mal à rester près d’elle trop longtemps. Mais les choses s’arranger, je n’étais plus aussi retissant qu’autre fois.

L’après-midi avait passé, et je me devais de la quitter, sans pour autant lui avoir dit que j’irais la contempler lorsqu’elle dormirait profondément cette nuit. Cela faisait déjà pas mal de temps que je passais mes nuits près d’elle, la regardant, assis sur son rocking-chair. M’essayant dans ma Volvo grise, je roulais - un peu trop vite mais peu importe - vers la villa blanche où j’habitais en compagnie de ma famille adoptive. Je savais que mes parents étaient partis, sûrement un voyage en amoureux, comme il en avait l’habitude, mais mes frères et sœurs seraient probablement là. Je garais la voiture près du parking, sans prendre le temps de la mettre dans le garage. Quelque chose m’alarma devant l’entrée. La porte était grande ouverte, et d’ici, je pouvais entendre toute sorte de bruit. Des cris - ceux d’Alice à en juger par la voix aigu, ainsi que des objets qu’on aurait jeté à terre, sans prendre le temps de les ramasser. Je sortis en claquant la portière et avançais plus rapidement qu’il l’aurait fallut. Ce passait-il quelque chose de grave ? Entrant dans la maison, je vis Esmée accompagné de mes 4 frères et sœurs alignaient comme à la guerre. Ils avaient apparemment détruit presque toute la maison. De la nourriture traînait un peu partout. Alice et Jasper étaient recouvert d’une substance gluante avec quelques plumes qui s’étaient collé à eux. Rosalie était moins sale, malgré que ses habiles soient quelques peu engluaient. Et ne parlons pas d’Emmett, dont une sorte de pâte à gâteau marronnasse dégoulinait sur lui.

- Oh mon Dieu… Mais que c’est-il passé ? avais-je marmonnais, plus pour moi même que pour les autres.

Jazz me demanda de me lever. Je savais déja ce qu'il voulait faire. Son idée était merveilleusement...diabolique. J'en riais déja. Lorsque je le rejoignit, mon amour m'enlaça par la taille me serrant tendrement contre lui et je ne me fit pas prier pour entourer sa taille de mes bras. Après tout ça marchait bien collant et collant. Jasper parla alors de sa voix mystérieuse.

Jasper : Oh regarde Emmett, ta femme est rentré, n’aurais tu pas l’envie d’aller… l’embrasser !?

Je ris alors que le grizzli nounours se levait comprenant parfaitement où les penséesde mon mari allaient. Han j'étais même hilare.

Emmett: Jazz..

Mon hilarité redoubla en voyant Emmett serrer sa femme contre lui alors qu'il était franchement dégueulasse pour parler correctement. Je n'en pouvais plus de rire quand soudain je perdit tout.

-Oh non...

Esmé: Bonté divine.

Dans un seul mouvement nous nous retournâmestous au garde a vous devant Esmé, notre mère adoptive qui avait décidée subitement de revenir trois jours plus tôt. Et je n'avais rien vu trop occupée a m'occuper de mon frangin.

Esmé: Bande de petit chenapan, que le coupable se dénonce ou j’en accuse un aux hasards !!

J'évitais de regarder mon nounours de frère avant de lui glisser un bref coup d'oeil. Ma "mère" nous regarda tous les trois. Edward entra a ce moment là et j'entendis aussi ce qu'il dit. Je me décidais alors et avançais.

-C'est moi qui est tout organisé maman je suis désolée...

J'avais pris l'habitude plus que les autre d'appeler Esmé, maman, peut être parceque je n'en avais jamais eu et que je rêvais d'en avoir une? En tout cas si vous trouvez mon geste stupide moi pas. Emmett était connu pour créer les plus belles betises, il prendrait cher alors pour une fois c'est moi qui prendrait.

-Lorsque vous êtes partis nous nous sommes tus séparés chacun de son coté et tout était triste alors j'ai décidé de mettre un peu de gaieté dans la maison et j'ai balancé des oeufs sur Emmett qui m'a renvoyé de la farine et tout s'est enchainé... Mais nous aurions tout arrangé heiin!! me défendis-je quand même un peu.

J'affichai ce petit air penaud de petite fille/lutin, prise en faute. IL faisait craquer tout le monde même si je ne l'avais pas fait epré. J'étais véritablement penaude, la maison était un champ de ruine.

J'étais rester pétrifier devant se spectacle ahurissant. Mon mari couré de partout, Alice était couverte de je ne sais trop quoi. Là, Esmée arriva juste derrière moi et dit :

" Bonté divine. " puis un.. " Bande de petit chenapan, que le coupable se dénonce ou j’en accuse un aux hasards !! "

Je me tournai vers elle et lui montrer mes paquets .

-Ce n'est pas moi, je viens juste d'arrivé... du centre commercial. Lui dis-je avec un sourire navré. En revanche j’avais ma petite idée sur la personne qui en était la cause. Emmett mon cher et tendre, c’était bien son style. Avec son sourire enfantin sur le visage, je comprit immédiatement qu’il en était la cause. Mais, pour moi il était hors de question de le dénoncé, car Esmée aurait bien vite trouver une punition adéquate et qui l‘occuperai pour plusieurs jour, sans doute. Et moi je ne rêver que d’une chose, être bras les bras de mon mari, sentir son peau contre la mienne et son odeur envoûtante. Peut de temps après Edward arriva et lâcha un « mais qu’Est-ce qu’il se passe ici ? ». Je me tourna et lui dit: « Ha ton avie ? » L’air provocatrice. Il ne fallait pas être de la dernière pluie pour comprendre qu’Emmett avait fais des ravages dans la jolie maison…Voyant qu’Esmée était entrain de soupçonnait mon époux, je prit les devant et annonça :

-Emmett chéri ? Peut tu venir avec moi... là haut ? J’ai deux ou trois petite chose à te montrer.. Lui dis-je en un clin d’œil coquin… Il fallait pas être de la tomber de la dernière pluie non plus pour savoir de quoi je voulais parler…En l’occurrence…Faire l’essayage de quelques nouveaux sou vêtement dans mon mari..

Alice quand à elle, elle était entrain de se dénoncer, hors j’étais sûre que c’était Emmett qui était derrière tout cela…Je lui fit un petit sourire de remerciement. Et… prit Emmett par le bras l’emmenant de force avec moi…Et dieu sais comme je pouvais être très persuasive quand je le souhaitais..

Emmett n'avait pas encore subit les foudres de Rosalie, lorsqu'un autre problème avait fait son apparition...

Esmée : Bonté divine !

Esmée ? Impossible, elle ne devait pas rentrer avant au moins deux jours ! Et pourtant, c'était bien elle, et elle semblait furieuse de voir l'état dans lequel se trouvait sa maison...
Lorsqu'elle lui avait fait face, soupçonneuse, n'ignorant pas que c'était lui le plus turbulent de la fratrie, le vampire avait jeté un bref coup d'oeil en direction de ses complices du jour, avant d'entendre la voix autoritaire de sa mère d'adoption s'élever à nouveau :

Esmée : Bande de petit chenapans, que le coupable se dénonce, ou j’en accuse un au hasard !

Ah ça non ! Le gros nounours n'ignorait pas qu'il prendrait gros cette fois-ci, mais il ne pouvait se résoudre à laisser ses frères et soeurs être injustement punis...
Il allait avouer, mais Alice l'avait devançé, tandis que Rosalie s'efforçait de l'entraîner à l'étage pour lui éviter le pire :

Alice : C'est moi qui ai tout organisé maman, je suis désolée...Lorsque vous êtes partis, nous nous sommes tous séparés chacun de notre coté, et tout était triste , alors j'ai décidé de mettre un peu de gaieté dans la maison et j'ai balancé des oeufs sur Emmett qui m'a renvoyé de la farine et tout s'est enchainé... Mais nous aurions tout arrangé heiin !!

Même s'il avait été touché de constater que sa soeur était toujours aussi solidaire, le jeune homme n'avait pu garder le silence plus longtemps. Après s'être lentement dégagé de l'étreinte de sa moitié, lui faisant comprendre d'un regard qu'il se devait de réagir, faisant fortement penser à un petit garçon qui cherche à se faire pardonner, il était venu se plaçer devant le petit lutin, la cachant ainsi à sa mère, avant de prendre la parole avec une voix toute penaude :

- Ca n'est pas vrai Esmée. C'est moi qui ai commençé, et je n'ai pas réfléchis aux conséquences de mes actes...Si quelqu'un doit assumer la responsabilité de cet...incident, c'est moi.

Immobile, il avait attendu que la sentence soit prononçée...

Invité

" Voila qui est mieux… Et plus réaliste. N’est ce pas Alice ? "

" Pour la peine… Edward tu rangera tout ce que tu as fait… Avec l’aide d’Alice, puisqu’elle semble vouloir t’aider. "

" Mais avant tout ça, venez dans mes bras. Vous m’avez manqué mes chéries. "

Esmée : Voila qui est mieux… Et plus réaliste. N’est ce pas Alice ?

Tout de suite ! Bon, d'accord, il était le maître incontesté des bêtises, mais bon, quand même...
Sa mère d'adoption était à présent arrêtée devant lui, secouant lentement la tête de droite à gauche : Malgré le caractère...tragique de la situation ( XD ), la scène était assez comique...Ben oui, imaginez un peu Emmett, doté d'une carrure d'ours, se faisant enguirlander par Esmée, qui mesurait une ou deux têtes de moins !

Esmée : Pour la peine… Emmett, tu rangeras tout ce que tu as fais… Avec l’aide d’Alice, puisqu’elle semble vouloir t’aider.

Ouf, la punition n'était pas si terrible !
Retrouvant son habituelle expression enjouée, le gros nounours avait assisté à la métamorphose du visage de sa mère d'adoption, qui leur avait sourit, avant d'ouvrir les bras, et de leur demander de venir s'y blottir.
Dans cet état ?

Bah, si c'était ce qu'elle voulait !
Bonne patte, comme s'il ne venait pas de se faire disputer pour le carnage qu'il avait occasionné, le gros nounours était allé faire un gros câlin à Esmée...La salissant bien sûr elle aussi au passage...Et ayant un peu de mal à se décoller d'elle à cause de la substance gluante qui le recouvrait toujours...

- Oupss, désolé maman. Je suis un peu...collant...

Il s'était interrompu, avant de se détacher d'elle, et de reprendre, retenant un fou rire :

- Mais je suis content de te revoir !

Invité

" De même. J’aurais cependant préféré te voir plus propre que ça. "

" Bon, sinon qui peut me faire un résumé des événements passé lors de mon absence, mis à part cet incident. "