Le désir profond qui nous déchire ( Élèves de FORKS)

Je sentais encore l'odeur alléchante des précédents occupants de la pièces. Le cours venait tout juste de se terminer, et la rotation des classes s'effectuaient. Je n'attendais mes prochains élèves que dans une dizaine de minutes, la première sonnerie n'ayant pas encore sonné. J'en profitai donc pour installer ma classe confortablement, afin de rendre le cours le plus spectaculaire possible.

Je disposai les chaises en cercles parfait, n'ayant aucune difficulté à les transporter. Heureusement, j'avais pris soin de tirer les volets et les rideaux de la porte, afin que les élèves ne puissent pas voir ce que je préparais. Et encore bien moins la façon un peu saugrenu que j'avais prise pour redisposer la classe. Il faut dire que voir un homme porter à bout de bras chaises et bureaus à une vitesse incroyable n'était pas pour m'aider à garder mon personnage d'humains.

Enfin, la classe fut comme je le voulais. Encore une fois, mon interprétation devrait être sans faille. J'aimais voir les frissons de peurs sur les bras de mes élèves , et entendre parler en mal du Professeur Richardson. Il faut dire que je prenais un malai plaisir à traumatiser petit et grand, avec des théorie qui frôlait l'indécence et la tyranie.

Sur le grand tableau noir, J'inscrivai une phrase sur le tableau noir. Mon écriture était fine et régulière.

Le courage est presque une contradiction dans les termes. Il signifie un puissant désir de vivre prenant la forme d'un empressement à mourir.

Puis, je souris à l'idée du cours qui allait s'amorcer. Déjà, j'attendais les placotage insignifiants des corridors et les pas s'avançant vers la porte. Le spectacle allait commencer. Je filai à mon bureau, où j'entrepris de créer une ambiance idéal pour ce cours spécial. Un son d'harmonica innonda le local.

[Ouvert à tous les élèves, bienvenue à tout le monde!]

La sonnerie sonna. Je me trouvai dans les bras de mon mari à l'entrée du lycée, contre la Jeep d'Emmett. Il me souriai parfois, lorsqu'il n'était pas trop occupé à m'embrasser. Dès l'hors qu'il me lachait je rigolait en voyant la minde déconfite de ces pauvres filles, qiu aurait vendu corps et âmes pour être à l'endroit ou je me trouvai en ce moment. Dans les bras d'un séduisant jeune homme. Pleine de ressource et doté d'une tendresse inimaginable pour son gabarit.

-Il va faloir y allez Emmett..Le professeur Richardsson doit nous attendre.

Un sourire aux lèvre, je l'embrassai une dernière fois, lui me serrant part la taille. Nous avançions que le couple modèle du lycée de Forks, "la belle et la brute " aurait penser les humains qui nous regardez non sans discrétion. Mais je m'en fichais royalement, j'étais bien trop heureuse aujourd'hui. Edward avait accepté de m'accompagner devant l'autel, au maraige d'Emmett et moi. Et je n'avais qu'une seule envie c'était d'être demain en fin d'après-midi pour allez essayer ma robe en compagnnie d'Alice et d'Esmée.

Nous parcourûmes le vaste couloir du lycée avant d'arrivée à une porte, de couleur jaune canari ou il y avait l'écritau " Professeur Richardsson" . Je sourit. Peut être le seul court que j'aimer réellement. Peut être en partie parce que le professeur en question était un vampire et, qu'il n'était pas la peine de lui expliquer nos absences répéter lorsqu'il faisait "beau" dehors puisque lui aussi avait le même problème. Nous entrions, suivit de Jazz et d'Alice, tous les deux étaient merveilleux, mains dans la mains, à se lancé des petits regard plein de tendresse. Je regardai Emmett s'installer près de moi, il fronçait les sourcils puis se mit à ricaner. Je levai un sourcil regardant à mon tour le tabeau " Le courage est presque une contradiction dans les termes. Il signifie un puissant désir de vivre prenant la forme d'un empressement à mourir."

-Intéressant dîtes moi professeur...

Invité

Je me levais au milieu d'arbres et feuilles. Il était temps que j'aille trouver une maison ! Mais pour l'heure je devais me rendre à Forks pour y suivre mon premier cours! J'étais à la fois excitée et terrifiée ! Sans perdre une seconde, je m'habillais rapidement. Je n'avais pas envie de traverser la foret et je n'avais pas beaucoup utilisé mon don depuis que j'étais arrivée. Prenant l'apparence d'une femme qui venait de sortir d'une voiture neuve, je forçais la serrure d'un coup de poing et d'une main experte trafiquais les fils pour faire démarrer la voiture. Lente, beaucoup trop lente.

Lorsque j'arrivais devant les portes du petit bâtiment il m'apparut que j'étais seule. J'allais donc me présenter à l'accueil, mon emploi du temps dans les mains, je cherchais le bâtiment menant à mon premier cours: La Philosophie. Je n'avais aucune idée de ce que cela pouvait être. La femme à l'entrée m'avait dit que le cours était assuré par un nouveau professeur qui était arrivé en ville il n'y a pas longtemps. Enfin quelqu'un qui était nouveau comme moi...

Mes pas ne résonnaient pas dans le couloir ce qui faisait un effet peu naturel lorsque je marchais. Je tentais de m'appliquer pour donner un peu plus de poids à mon corps pour faire retentir un petit bruit de pas feutrés dans le couloir. C'était déjà mieux. Mon emploi du temps à la main, je m'arrêtais devant une porte close. Le numéro correspondait à mon emploi du temps. N'ayant même pas eu besoin de tendre l'oreille, j'entendis un son d'harmonica dans le couloir. Lorsque soudain la porte s'ouvrit...

La première arrivante était la somptueuse Rosalie Hale. De toute ma longue et éternelle vie, je n'avais jamais vu pareil beauté. Une vampire, comme moi, appartenant à la seule famille immortel au courant de ma condition particulière. Lorsqu'il était arrivé dans cette ville, j'avais averti la famille Cullen de ma vrai condition, et elle était l'une des seules personne dans cette ville à connaître ma vrai apparence.

En contre-partie, je prenais un malin plaisir à glisser quelques allusion à notre curieuse condition dans mes cours de philosophie. Pour elle, mais aussi pour sa nombreuse famille. Parfois, je sentais dans mes cours la présence de d'autre vampires, à croire que la ville agissait sur eux comme un aimant. Et dire que j'étais un des premiers arrivant dans cette grandes villes, ma capacité à changer mon physique m'aidant à vieillir à un rythme normalement humain.

La phrase que j'avais écrite au tableau semblait suscité les intérêts de la blonde jeune fille. J'espèrais sucité les débats et la rebellion de mes élèves par ce cours saugrenu.

La classe allait commencer à ce remplir bientôt. Alors que la jeune fille s'apprêtait à me poser des question, je la coupa net.

- PLus tard les questions. De plus, je suis Toujours interressant. Et maintenant assoyez-vous.

Je devais concerver ma couverture. Alors que les Cullen savaient que le méchant Richardson n'était qu'un rôle que je m'étais attribué, la plupart de mes élèves me prenait pour un tyran. Et ça me plaisait bien. Alors aussi bien le jouer jusqu'au bout.

J'ouvris la porte, pour laisser entrer une des élèves de ma classes. Enfin, je le suposais, puisqu'elle restait planter la sans bouger. Une nouvelle à traumatiser, le monde était trop bien fait!

- Ne restez pas planter là, bougez-vous un peu, vous bloquezle chemin.

Je saisit son horaire, et je lu le nom inscrit en haut de la feuille. Mérédith. Je la regardai de haut, puis, d'un ton que je voulais sec et autoritaire, je lui dis:

- Bon, une nouvelle à ce que je vois. Encore une. Alors, allez vous assoir et arrêtez de me regarder comme ça. Il y a justement une place à côté de Madame Hale.

Invité

La torture reprenais inlassablement, jour après jour. Il y avait a peine quelques semaine que j’étais arrivée à Forks, et pourtant, je reprenais déjà le lycée. Je me serais volontiers passer de tout cela, mais je savais par dessus tout que mes parents auraient aimer me voir finir mes études. Ma mère m’avait sans cesse répété que le savoir était une chose importante. Et naturellement, comme bon nombre de mère, elle voulait que je fasse de grandes études, que je finisse avocate ou chirurgienne. Bien sûr, enfant bien élevée, j’avais toujours suivit la voie que mes parents m’avaient tracées, sans vraiment me soucier de ce que moi je voulais. Aujourd’hui j’en avait un peu marre des cours… Mais surtout de tous ces hypocrites, qui n’avaient de cesse de lâcher des insanités derrière votre dos. Mais ce jour était bien différent des autres… C’était en fait, mon premier jour au lycée de Forks. Je n’avait pas encore mis les pieds au alentour de celui-ci que je pouvais déjà sentir les regards interrogateurs qu’on posait sur moi.

Rabaissant ma capuche sur mes cheveux blonds, laissant à peine percevoir mes yeux acier, je traversais le parking, mon sac de cours négligemment posé sur mon épaule. J’étais allé chercher mon horaire un peu plutôt le matin. Celui-ci m’indiquait que « philosophie » serait mon premier cours, avec un certains monsieur Richardson. Avec un nom pareil, je ne m’étonnais guère de la matière qu’il enseignait. Ce devait très certainement être quelqu’un doté d’un esprit vif et loufoque. Quelqu’un d’endormant. J’avais toujours eu horreur de la philo, voyant cela comme quelque chose de peu divertissant.
Il ne me fallu pas plus de deux minutes pour trouver le bâtiment où se déroulerais le cours. A vrai dire personne ne pourrais louper les énormes lettres blanches, peintes sur la façade des différents endroits.

La sonnerie émit un son strident, indiquant clairement, pour qui avait le moindre neurone, qu’il était l’heure de se diriger vers les salles de cours. D’un pas quelques peu réticent, je parcouru le couloir, cherchant du regard ma salle de classe, totalement insensible aux regards qu’on posait sur moi. J’entrais suite à une petite blonde qui semblait, elle aussi, nouvelle. Un vague regard vers le professeur m’apprit que nous n’allions certainement pas rire tous les jours… Bien que rire soit, à présent, totalement exclus de mon comportement. Mon regard d’acier se posa ensuite sur une jolie blonde. Je l’avais aperçu un peu plutôt, dans les bras de son petit ami, un grand type brun, battit comme un rugbyman. Il se dégageait d’elle une telle aura de beauté, que même Angelina Jolie en aurait pâlit.

Sans plus d’attention, j’allais m’asseoir un peu à l’écart de tous ce petit monde.

Encore un cours! Et un! C'était presque marant en fait! Je m'étais fait virée du cours de Maths parce que je bougeais un peu trop au goût du professeur, c'était idiot, mais vrai! C'était pas de ma faute si je ressemblais à une gamine hyperactive qui aurait avalé des tonnes de chocolat! Je n'avais jamais été très tranquille, et maintenant que j'étais une "sangsue" c'était pire que pire! Je plaignais les gens autours de moi! C'est à ce demander comme Liam faisait pour endurer ma compagnie! Aujourd'hui c'était pire que pire, normal, c'était un lendemain de chasse. Je suis beaucoup plus sage lorsque je suis en manque de sang, mais plus dangereuse aussi....preuve qu'on ne peux pas tout avoir dans la vie!

C'est donc en sautillant que je me rendis au cours de Philosophie. J'attirais les regards sur moi comme un bête de foire. Bon j'avoue que si j'étais à leur place, moi aussi je me regarderai bizarrement. Je devais avoir l'air d'un feufolet. Mes mèches flamboyante cachant mon regard dorée, mes vêtements aux couleurs voyantes...bref, je passais pas innaperçu. J'entrai finalement dans le cours, trottinant toujours. J'essayai de reprendre un rythme de marche normal lorsque je passai le seuil, sans résultat apparant, je réussis seulement à perdre l'équilibre, mais je me repris en vitesse. Offrant au sourire charmant à mon enseignant.

" Bonjour monsieur Richardson!!" Le saluais-je avec entrain avant de regagner ma place.