Pour l'amour d'une femme [PV ALICE]

L'odeur de toute cette belle jeunesse allait me rendre fou. La fluctuation de tous ces élèves, si jeunes et si remplis de vitalité était délectables. Après toute cette histoire, je viendrais bien croquer une ou deux de ces jolies demoiselles. Dans le stationnement, dans l'habitacle d'une voiture, je guettais ma proie. La jeune fille au cheveux long et soyeux allait bientôt pointé le bout de son nez, et ce serait à moi de jouer.

Depuis les années où je surveillais Rosalie, c'était celle là qui me faisait le plus peur, qui mettais en danger mes plans. À chaque fois où j'avais eu une idée en tête, la famille c'était subitement mis sur ces gardes. À force d'enquêter, j'avais fini par découvrir son secret, mais aussi comment le percer.

Sous mes yeux attentifs, je vis soudains la fine silouhette se découper. La démarche dansante et esquisse d'Alice Cullen était inimitable. Après Rose, c'était sans doute la personne que j'aimerais le plus posséder. De plus, le pequenot qui lui servait de mari n'aurais pas sembler si terrible, si ce n'avait été des fines cicatrices qui lui zèbraient le corps. Je trouverais bien un moyen de l'éloigner d'elle.

De ma voiture, je me callai dans mon banc, puis, je laissai mon esprit faire le reste. C'était une des illusions les plus difficiles à maitriser, étant plus spécialiser dans les illusions qui impliquait les personnes que ceux qui était directement projeter dans l'esprit.

Après des années de pratique, sur de très nombreuse victimes, je parvenait maintetenant à la maitriser avec brio. Dans les premiers temps, des migraines attroce me clouait sur place, et rendait tout effort vain. Mes victimes voyait apparaitre dans leur tête de vague image non formé, des flash diformes et incomplet. Ensuite, les images furent plus claires, et plus précises. J'essayais de reproduire ce que j'avais tant de fois écouté Alice décrire. Des flash d'endroit, des gens, des images claires, et des images flou. Des visions. C'est ce que je faisais voir à mes victimes. Au début, ça m'amusait, mais ensuite, ce fut un véritable plaisirde leur faire croire ce que je voulais.

Et enfin, je m'attaquais au gros morceaux de la famille. C'était le moment où jamais.

Et vlan encore une journée de cours, encore toutes ses odeurs de sang dans le nez, encore une journée a voir mon aimé souffrir, a voir les profs raconter des babillages que je connais par coeur, encore une journée a rêver a mon mariage et à ma future lune d emiel avec mes filles Callia & Maybel. Oh non encore une journée loin de ma petite Maybel, ma petite puce, et loin de Callia, mon petit ange sauf si elle, passait au lycée.

Enfin, après avoir passé une robe sur un jean, des bottes et une veste j'étais passé embrasser Maybel qui dormait encore. Lorsque nous avions cours Jazz et Moi dormions dans la grande maison des Cullen. Nous la laisserions à Esmé, elles passeraient une bonne journée ensembles pendant que nous, nous nous ennuirons en cours. Hum la vie est tellement injuste parfois.

Bref, lorsque tout le monde fut près, nous primes la voiture de Rosalie. La BMW rouge pétante que j'aimais tant, même si, de mon avis heiin, les Porshes jaunes étaient beaucoup mieux!! Enfin lorsque nous arrivames, Emmett et Rosa partirent devant comme d'hab alors qu'Edward Jasper et moi étions derrière. Je tenais la main de mon mari et sur ma démarche fluide et dansante flottait un léger et doux sourire. Il y avait une chose que je peinais encore à croire c'est que Jazz et moi étions parents. Et parents de deux véritables anges!!

C'est alors que soudain, tout mon monde coloré s'effondra pour me montrer plusieurs images plus ou moins flous ou nettes me montrant les Denalis et Carmen souffrant milles morts attaqués par des personnes invisibles. La deuxième vision me montra Rosalie en train de se faire tuer si elle venait.

Le souffle coupé je me pliais en deux mes mains tenant mon ventre. Si j'avais été humaine j'aurais pleuré hurlé ma peur ma souffrance mon chagrin, j'avais la poitrine compressée le souffle court j'avais mal.

-Non, non pas ça...

Je savais que nous arriverions trop tard. Je vacillai, Jasper voulu me rattraper je me defis de son étreinte et courut mes cheveux longs volant au vent je courus dans la clairière près du lycée seule mal comme jamais. Les Denalis étaient en train de mourir ou du moins allaient mourir et nous perdrions Rosalie si elel venait. Non non non où était passé mon bonheur que se passait-il? Une onde de calme se fit retentir alors que j'entendais Jasper arriver.

Il fallait que je fus convainquant. Que cette vision soit la plus horrible de toutes, qu'elle en pleure des larmes de sang, et qu'elle en souffre à se plier en deux. À force d'expérience, j'avais maitrisé l'art de la souffrance et du chagrin. Il faut dire que ces humains idiots étaient facile à faire fondre en larme.

Son bonheur presque palpable était à vomir. Cela rendait le jeu que plus amusant encore. Je savais que le contre-coup serait d'autant plus horrible si elle était plus heureuse. La chance semblait me sourire en ce moment.

Sa démarche gambadante était exquise, et je me prenais à imaginer cette démarche , celle qu'elle aurait quand j'en aurais fini avec elle.

Me calant dans le fond de la voiture, concentré sur ce que j'allais faire, j'étais en sécurité. Mon odeur était indétectable maintenant, et la seul chose qui pouvait me détruire en ce moment, c'était Edward. Heureusement, au moment de faire mes illusions, il confondraient surement mon propre esprit avec celui de sa soeur, ce qui, en réalité, se passerait.

Je me sentis m'enfoncer en moi, et jétais maintenant dans mon univers. Plus loin, j'appercevais l'esprit d'Alice, et tel un serpent, je m'y insinuai. Tel un metteur en scène, je pris bien soin de prendre les prise de vue les plus fantastique et les plus réaliste. Je les faisait défilé rapidement, pour ne pas qu'elle saisissent toutes les facette de sa vision, pour qu'elle veuille prendre le temps d'y r.éfléchir.

En premier lieu, je lui fis visualisé la famille Denali, heureuse et charmante, comme je les avait tant de fois vu, en les espionnant. Puis, soudain, alors qu'il ne s'y attendait pas, dans leur maison d'Alaska, deux vampires, assoifé, entrèrent par les vitres, sous le regard appeuré de la famille. 8 autres vampires venait d'arriver en renfort. Le premier s'en prit à une des trois femme, la serrant si fort, tandis qu'un autre lui sautait à la george. Les cris de martyre s'échappait des Denali, tandis qu'il succombait l'un apres l'autre. POur plus de réalisme, je fis aussi mourir quelques vampires, électrifié, et décapité. La dernière a mourir était Camen. Ensuite, mouvement de caméra sur le calendrier. C'était la date même d'aujourd'hui, puis, sur l'heure; dans 1 heure à peine. Pour finir, je fit un zoom sur les visages des attaquants. Reproduisant le visage vampiriser des habitant d'Alaska, Alice les reconnaitrait.

Puis, je mis fin à l'illusion, tandis que je me délectai du spectacle de souffrance du petit lutin. Après quelques secondes qui me parurent des heures, j'enchainai avec une deuxième illusions.

On voyait sa famille et elle, arrivé sur les lieux du massacre, et sauver d'in extremis Carmen d'une mort atroce. À leur 6, ils parvenaient à tuer les vampire nouveaux nés et à sauver la survivante. Alors que cette vision semblait moins pire que les autres, le crient de Rosalie retendit. Le même cris d'horreur que j,avais entendu il y a si longtemps de cela.

Sous le mouvement de tête de la vision d'Alice, il purent voir le corps embrasé de Rosalie, tombé sur le sol. Je fis poussai un cri déchirant à Emmett.

Puis, je mis fin à la vision. Le visage de la voyante était sans prix. Je jubilai.

Une nouvelle journée de cours pour ma bien aimée et moi-même… Encore une journée de torture où des odeurs de sang vinrent chatouiller mes narines me forçant à me museler pour ne pas sauter au cou des personnes me passant à proximité… On pourrait croire que c’était le train train quotidien. C’était sur mais désormais, mes pensées n’était plus seulement dirigé vers ma femme. Non je savais qu’à la maison, ma fille, la petite Maybel m’attendait. Que lorsque je rentrerai, je la retrouverai pour jouer avec elle plutôt que de faire mes devoirs. Mais je savais également que j’avais de grande chance de croiser mon autre fille : Callia. Oui, en quelques jours j’étais devenu « père ». Après 164 ans, j’étais enfin père. Bien sûr je ne pouvais pas le crier sur tous les toits… Je me devais de ressembler en tout point à un petit lycéen ayant 18 ans…

Enfin la fin de la journée était venue. Avec Alice, nous partîmes main dans la main vers le parking. Elle avançant de son pas dansant, moi de mon pas félin tous les regards se tournaient vers nous tellement nous étions particulier et beau. Arrivé sur le parking, quelque chose d’étrange se passa. Ma femme se plia en deux, le souffle coupé par une puissante vision. Je sentis émanait d’elle une grande détresse et une douleur morale affreuse. Mes traits se crispèrent alors que je l’aidais à se redresser tandis qu’elle murmurait des « Non » hystériques. S’arrachant à mon étreinte, elle s’enfuit à toute jambes.

« Alice !! »

Immédiatement je partis à sa suite, suivant son odeur que je connaissais par cœur. Je la retrouvai complètement paniqué dans la clairière non loin de notre lycée. J’envoyai une onde de calme vers elle alors que j’arrivai à grande vitesse. Je lui attrapai la tête avec mes deux mains et plongeai mon regard assombri par la peur dans ses yeux. Je la calmai complètement alors tout en déclarant

« Chut… Calme toi mon amour, je suis là ! Je suis là… »

Je la serrai alors contre moi, caressant ses longs cheveux, attendant avec appréhension qu’elle me raconte ce qu’elle avait vu.

L'onde de calme parvient jusqu'a moi mais ma douleur était si profonde qu'elle ne me calma pas complètement. Jasper arriva en toute vitesse et releva mon visage doucement, plantant son regard asombri par l'inquiétude dans les miens noirs tellement j'avais mal, j'avais peur.

Jasper : Chut… Calme toi mon amour, je suis là ! Je suis là…

Il me serra dans ses bras et je m'accrochai à lui, desespérée, comme on s'accroche a une bouée de sauvetage lorsqu'on sait que l'on va couler à pic.

-Oh Jazz c'était tellement horrible, j'ai cru le vivre tellment tout était net, parfait. Ils...Je...

Je m'embrouillais j'étais si mal. Une nouvelle onde apaisante me calma et je fermai les yeux respirant l'odeur de mon mari. Ça me calma aussi. Lorsque je fus sûre d'être bien calme je me redressai.

-Il faut prévenir Carlisle et vite.

Je me redressai lorsque la main de Jasper emprisonna la mienne me faisant rassoir. Il me regarda profondément et je me souvient que je ne lui avait rien expliqué. Je soupirai et fermai les yeux en tremblant un peu.

-Tout se passe en Alaska chez les Dénalis. Ils sont soudainement attaqués par les habitants vampirisés. Tous sont tués et lorsque nous arrivons seule Carmen est encore vivante. Malheureusement Rose mourra en tuant tous les vampires nouveaux nés...

C'est au fur et à mesure que je dérivais mes visions que tout m'apparrut. J'ouvris de grands yeux avant de me lever.

-Mais qu'elle idiote je fais!!

Je fixai mon mari qui lui ne comprenait pas tout, ni ma soudaine légèreté.

-C'est impossible que j'ai eu cette vision quelqu'un me la forcément crée. Tout d'abord il faut au moins trois jours pour que TOUS les habitants d'Alaska soient vampirisés, OR je l'aurais vu avant, ensuite, il est impossible qu'ils se soient si soudainement décidés d'attaquer les Dénalis comme ça c'est tro soudain trop violent c'est complètement illogique je ne peux pas avoir une vision pareille c'est complètement fou. Je ne suis pas folle heiin?

Après la réponse négative de ma moitié je lui tendit la main pour le relever.

-Quelqu'un essaye de nous avoir mon amour et je VEUX savoir qui c'est!!

Mes yeux flamboyaient, j'étais en colère a présent de m'être fait autant manipuler. Si je retrouve l'abruti qui a fait ça il payera cher!!

J'avais suivis les jeunes tourtereau éprouver aussi vite que mes sens le permettaient, restant a bonne distance, assez pour voir entendre ce qu'il se disait. Si au début j'eu un fou rire en entendant mon plan si bien réussir, j'étouffai un cri de rage en me rendant compte que tout cela allait m'échapper.

Je pensai alors a l'idiotie lantente de la voyante, et de son imagination si nulle qu'elle ne pouvait imaginer une raison a trouver a ces visions. Ca aurait pu se passer il y a trois jours, par un vampire fou qui venait de décider a cette instant seulement ce qu'il comptait faire de ses protégé, ou bien seulement des vampire un peu fou qui voulais se venger des vampires végétariens. Dans sa tete, le scénario tournait en boucle, et les histoires les plus farfelu les unes que les autres venait d'arrivé.

S'arretant de courir, je se remis a penser. Une idée complétement tordu venait de me traverser l'esprit.

Du coup, J'envoyai une auter rafale de vision a ma chérie, et cette fois, ce serait encore plus douloureux. Meme en sachant que c'était faux, elle souffrirait, et c'était bien mon intention.

Une fois encore, plonger dans mon subconscient, je localisai Alice. Puis, les visions s'enchainerent.

En premier, je fis apparaitre la maison des Cullens, splendides et entouré de foret. Elle pu se voir, elle-meme, passant la porte. Sur le parvit, des cendres carboniser, et dans sa face, un groupe de vampire, les yeux bourgeonne, s'adonnant a la décapition de Carlisle, avec une cruauté sans pareil. Encore une fois, les cris de martyre était si puissant qu'il déchirerait n'importe quel tympan.

Puis, la vision s'éteignit, avant de repartir de nouveau.

Emmett était par terre, des cicatrice de dents partout sur la peaux, des trou béant par ou s'échappait la vie. 3 vampires l'entouraient, et d'une force colossale le démembre. Je mettais dans chaque détail ma touche personnelle, pour la rendre encore plus écoeurante que de raison. Les lambeauc de chaires se détachant dans un craquement sinistre, et le bruit des os qui cassent. Elle ne pouvait qu'assister, sans bouger.

J'enchainai les vision ainsi, passant d'un meme coup tout les amis d'Alice. Parmis les visions, je placai la jeune Bella, que j'avais déja appercu. Un vampire d'une corpulence l'attrapait a la sortie de l'école, et l'amenait dans une voiture dans une territoires inconnu. Il l'enchaina dans une grotte, en savourant son odeur.

Puis, le grand finale fut pour le pequenot. La torture qu'il subissait dépassait l'entendement. On lui broillait les os du corps, et on l'obbligeait a tuer des humains. Désespéré, il ne faisait que répété les mots fou, : ALice, pourquoi moi' Alice, pourquoi me laisse tu mourir. Je te déteste. Pourquoi m'avoir condamné a mort, pourquoi me laisse tu mourir ainsi.

Je repassai quelque scene plus d'une fois. Satisfait, je me remis en route, dans le sens contraire. Je courut comme un forcené et j'ateignit le chemin.

Je me rendait maintenant chez ma nouvelle proie. Meme si Alice avait une vision de cela, tout ce que je lui avait montrer lui dirait que c'est faux.

J'attendit que son vampire la dépose, loin, et je pénétrai dans sa chambre. Il ne m,avait pas senti, et elle était maintenant a moi

Chambre de Bella

Je me sentais mieux j'étais folle de rage certes mais au moins je savais que tout était faux et qu'Irina Kate Carmen Eléazar et Tanya allaient bien. J'étais...rassurée. Je commençais à méloigner avec mon cheri lorsque tout me frappa de plein fouet.

En premier la maison des Cullen apparut, splendide et entouré de foret. Je pu se voir, moi-meme, passant la porte. Sur le parvit, des cendres carbonisées, et dans sa face, un groupe de vampire, les yeux bourgeonne, s'adonnant a la décapition de Carlisle, avec une cruauté sans pareil. Encore une fois, les cris de martyre était si puissant qu'il déchirerait n'importe quel tympan.

Puis, la vision s'éteignit, avant de repartir de nouveau.

Emmett était par terre, des cicatrice de dents partout sur la peaux, des trou béant par ou s'échappait la vie. 3 vampires l'entouraient, et d'une force colossale le démembre. Elle était vraiment horrible et ecoeurante. Les lambeaux de chaires se détachant dans un craquement sinistre, et le bruit des os qui cassent. Je ne pouvais qu'assister, sans bouger.

Mes visions s'enchainaient ainsi, passant d'un meme coup tout les amis d'Alice. Parmis les visions, Bella. Un vampire d'une corpulence l'attrapait a la sortie de l'école, et l'amenait dans une voiture dans une territoires inconnu. Il l'enchaina dans une grotte, en savourant son odeur.

Puis, le grand finale fut pour Jasper. La torture qu'il subissait dépassait l'entendement. On lui broillait les os du corps, et on l'obbligeait a tuer des humains. Désespéré, il ne faisait que répété les mots fou, : Alice, pourquoi moi' Alice, pourquoi me laisse tu mourir. Je te déteste. Pourquoi m'avoir condamné a mort, pourquoi me laisse tu mourir ainsi.

-NOOOOOONNNNNN!!!!

Mon cris déchira le ciel alors que je m'effondrai a genoux a terre pliée en deux de douleur, la poitrine compressée, je ne pouvais plus respirer, mes yeux noirs encres equarquillés refletant toute la douleur du monde, j'avais mal si mal.

-Non non non tout mais pas ça, tout mais pas çaa. Je vous en supplie, je vous en supplie je ferais ce que vous voudrais mais pas eux, pas eux je vous en supplie...

Je ne sais pas qui je suppliais, je ne sais pas j'avais mal j'avais peur j'allais tous les perdre par ma faute. Je restais là a genoux pliée en deux par la douleur, me balançant d'avant en arrière et tout cela, ma douleur ma peine n'enlevait rien à ma beauté presque au contraire. Je sentis vaguement l'onde de calme de mon amour mais j'avais trop mal rien ne marchait je ne cessais de repeter les même mots en boucles, tétanisée.

-Non pas eux, je vous en supplie pas eux...

Enfin Alice arrivait à se calmer petit à petit, elle s’agrippait à ma veste comme un nageur en difficulté auquel on tendrait une perche, comme à une bouée de sauvetage la préservant des profondeurs si noires, si ténébreuse qui se reflétaient dans ses yeux qui étaient d’habitude habité par l’or liquide. Elle continuait encore un peu à parler… Je sentais sa peur, je faisais tout pour la calmer, passant mes doigts dans sa longue chevelure, la serrant contre moi, l’enveloppant de douceur et de tendresse. Enfin elle se calma pour de bon et s’apprêta à partir tout en déclarant qu’il fallait qu’elle prévienne Carlisle. Je la retenais par la main et lui adresser un regard plein d’inquiétude mais aussi de curiosité… Je n’eus pas besoin de mots pour qu’elle se mette à m’expliquer d’une traite sa vision :

« Tout se passe en Alaska chez les Dénalis. Ils sont soudainement attaqués par les habitants vampirisés. Tous sont tués et lorsque nous arrivons seule Carmen est encore vivante. Malheureusement Rose mourra en tuant tous les vampires nouveaux nés... »

Dans ces dires, quelque chose me dérangeait. Il y avait un truc qui ne collait pas. Alors que j’allais mettre le doigt dessus, lorsqu’elle me devança. Elle se mit à m’expliquer ce que j’étais sur le point de comprendre. Cette vision était trop brusque, trop brutale pour être une réelle. Bien sûr je lui répondis qu’elle n’était absolument pas folle. Quelqu’un jouait avec les nerfs de ma femme et je n’aimais pas ça du tout ! Je jetai un regard inquisiteur autour de nous avant de prendre la main de ma femme pour m’éloigner à ses côtés…

Soudain, cela recommença et tout se passa très vite. En à peine deux seconde, ma femme se retrouva à genoux au sol après avoir poussé un hurlement qui avait fait décollé tous les oiseaux de leurs arbres. Immédiatement je me jetai à genoux derrière et l’entourait de mes bras alors qu’elle se balançait d’avant en arrière tout en répétant les mêmes supplications… J’approchai mes lèvres de ses oreilles et lui murmurait…

« Calme-toi mon amour. Je suis là, juste à côté de… »

Soudain ma voix se brisa tandis que mes iris virèrent aux noirs de jais. En un quart de seconde, j’étais debout et le quart de seconde suivant j’étais tourné vers la forêt, scrutant le moindre détail. Je l’avais senti. J’avais exploré le monde de ses émotions en à peine un millième de seconde et tout ce que j’avais ressentis m’avait pétrifié, horrifié. Notre malfaiteur était un véritable psychopathe dont les émotions trahissaient ses objectifs… Un grondement émana de ma poitrine… Non il n’aurait ni ma femme, ni Rosalie ni personne d’autre. Il était un véritable danger ! Je l’avais senti. Fou d’inquiétude, j’attrapai ma femme et partis en courant en direction de la maison. Ma vitesse était extraordinairement rapide, il fallait que je rentre au plus vite. Il fallait que je prévienne les autres, les prévenir de cette menace… Les prévenir du danger qu’allait représenter cet homme pour nous…

« Calme-toi mon amour. Je suis là, juste à côté de… »

Des bras, ses bras, oui oui il était avec moi je ne devais pas m'en faire il était avec moi. Le sentir contre moi, sa chaleur, son amour, son parfum me calmèrent un peu. Pourtant lorsqu'il se releva m'arrachant a son étreinte ma poitrine se compressa à nouveau et le souffle me manqua encore une fois. Je suffoquais. Soudain je me retrouvais dans ses bras, à nouveau, mais lui courrait, volait comme s'il avait le diable a ses trousses alors que moi je m'accrochai a lui en larme, suffocante de douleur, déchirée par le chagrin. Jasper nous ramena chez nous et commença à préparer je ne sais quoi, une valise ou deux il me semble. Ah bon on partait? Perdue, je ne cessais de répeter le nom de Bella. Je ne m'inquiétais pas pour mes filles elles étaient en ville avec Esmé . J'avais mal j'avais peur, j'aais froid aussi ce qui était anormal. Me redressant je regardais ma moitié s'affairer.

-Jazz!! Bella Rose Il va s'en prendre à elles!! Il faut les aider!! criais-je un peu hystériques.

Fermant les yeux je tentait vainement de me calmer. Par bonheur j'y arrivais à peu près. Je ne savais pas qui Il était mais je savais qu'il était dangereux. Très dangeureux.

-Emmett Edward!! Jazz il s'attaque a nous tous il essaye de nous diviser!!