Questions,réponses[Clémence]

Un homme courrait dans la forêt portant quelqu'un dans ses bras, cette personne n'était autre que Alexander amenant Clémence chez lui. Il essayait de ne pas regarder le sang sur elle, de se retenir par n'importe quel moyen. Il venait de s ebattre avec un traqueur qui chassait la jeune demoiselle, il avait senti la rage monter en lui quand il avait senti la belle en danger. Il ne comprenait pas sa réaction, il ne parvenait pas à savoir se qui se passait réellement en lui. Quand Clémence était la, il perdait ses moyens, se sentait tout drôle. Alexander arriva vite chez lui tandis que Clémence était dans les pommes, il s'inquiétait pour elle mais entendait son coeur battre normalement. Elle avait du avoir très peur, mais lui, craignait son réveil. Oui, elle allait lui poser des questions, qu'allait-il dire? Qu'il était vampire... Allait-elle fuire? Allait-il la perdre? Non, il ne le voulait pas et préférait encore mentir plutôt que de risquer de ne plus l'approcher. Alexander arriva devant sa porte et ouvrit celle-ci, il pénétra chez lui. Il avait une grande maison ou il n'y avait pratiquement que des vitres et pas de mûr... Assez spéciale. Il alla alors dans le salon et déposa doucement Clémence sur le divan, avec une grande délicatesse, il passa une main sur sa joue et regarda le sang.

*Faut que je nettoie sa...*

Il grimaca mais alla dans la salle de bain prit un gant de toilette et aussi une trousse de secoure, il revient au salon et nettoya les blessures de Clémence puis band aussi sa cheville après avoir poser une pommade chauffante sur celle-ci. Après une demi-heure, il rangea le gant de toilette plein de sang et la trousse de secour. Il resta un moment à observer la belle, il en avait oublié ses blessures et n'avait pas le cran de la laisser seule dans la pièce de peur qu'il lui arrive encore malheure. Il se leva de sa chaise et approcha d'elle, il s'accroupi et posa une main sur ses cheveux en murmuran

"Je suis tellement désolé, j'aurai du te protéger mieux que sa...pardonne moi Clémence..."

Il baissa les yeux doucement et se leva pour aller dans la cuisine, la, il s'appuya contre l'appuie de la fenêtre et regarda par la vitre d'un air fort absent

Invité

Une odeur exquise me parvînt à mon nez. Je me mit à sourire inconsiemment, malgrès les nombreuses blessures que j'avais un peut partout sur le corps à sourire.

La chaleur m'envahit soudain. Et j'ouvris les yeux en papillonant. Je tremblai quelques peut encore, même si mon coeur battait à un rythme casie normal. Je parcourut du regard la pièce ou je me trouvais. Il faisait bon, chaud et une agréable senteur vînt chatouiller mon nez. Du jasmin. Mon odeur favorite, je fronçai les sourcils, alors que je regardai ma cheville. Elle venait d'être bander. C'est alors que je le vit, lui. Je retînt mon souffle avant de murmurer...

-Alexander...ou je suis ? Lui demandai-je un peut perdue. Visiblement j'avais oublier quelques détails. Comment se faisait-il que je me trouvais dans cette demeure ?

-eee...nous sommes..ou ?.

Je tentai de me levai et poussa un petit gémissement. Ma cheville me lançer et ma tête ne faisait que tourner.. ** Ouch, ma tête...**. Alors que j'attendais qu'il me réponde, de petits flash back revenait peut à peut à moi.

-HO !. Je revoyer clairement la scène à présent. Deux hommes avaient tenter de me tuer..Et...ils avaient des..crocs.. Non..je secouer la tête, cen'état pas possible, c'était le choc que j'vais subit, je tentai néammoins. " Tu..ils...ils avaient des ..crocs ?" et toi tu.. Mes yeux s'équarquillèrent, je me mit à me reculer, inconsiemment " tu en avaient aussi..mais..mais qui est tu ?". je secouer la tête non je débloquer. Il ne me voulais pas de mal, puisque..il m'vaait sauver ! c'était ridicule.. "je..". J'hésitais. Et puis quoi..il m'avait emmener chez lui, soigner, prit soin de moi, et ses petits mot doux qu'il me répétais sans cesse dans mon sommeil..je les avaient entendu, mais incapable d'ouvrir les yeux je m'étais tue. Je relevai la tête et lui demanda, consciente que j'étais peut être folle de lui demandez celà. " embrasse-moi.."

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Alexander était la, appuyé contre la fenêtre il regardait dehors avec un regard perdu, rêveur. Il avait peur qu'elle se réveille, car la sa sera le moment des explications et il redoutait cela. Il entendit un bruit et tourna la tête, il vit que Clémence venait de se réveiller. Elle lui demanda ou ils étaient, le jeune homme approcha de quelques pas avec lenteur et resta à une distance très raisonnable. Il la regarda avec des yeux emplit de douceur, de tendresse mais aussi empli de peur de la voir un jour s'en aller, qu'elle s efasse une fois encore attaquer et traqué.

"Chez moi..."

Il la vit essayer de se redresser et il fit un pas en avant mais la laissa faire, il n'osait pas la toucher de peur qu'elle aille une réaction assez...peureuse! Il la vit alors pousser un ho assez comprométant pour lui, elle se souvenait. Elle se mit à reculer en disant qu'ils avaient des cros que lui aussi en avait, Alexander baissa doucement les yeux et resta sur place mais recula finalement d'un pas pour ne pas lui faire peur un peut plus. Il releva alors doucement les yeux vers elle

"Je ne te veux aucun mal Clémence, n'aie pas peur de moi..."

Il entendit alors sa demande et resta cloué sur place, elle venait bien de lui demander d el'embrasser ou alors il avait rêvé? Il pensait avoir mal entendu mais savait au fond que c'était faut, il avait très bien entendu. Il la regarda alors avec peine et dit dans un murmur

"Je veux pas te faire de mal..."

Il baissa alors la tête, devant elle, il était comme faible. Il se sentait vulnérable, comme un simple humain face à une personne de son genre. Il recula d'un pas et soupira, il aurai tellement voulu l'embrasser mais aller vers elle lui était impossible, il était comme paralysé sur place de peur de lui faire du mal... Alexander redressa les yeux vers Clémence, elle était si belle, si fragile. Il avait besoin d'elle c'était évident

Invité

Je venais tout juste de me réveiller, j‘avais mal de partout, mes yeux était gonfler, j‘étais littéralement épuiser. Quand à Alexander, il c’était avançai lentement vers moi, restant néanmoins à une bonne distance. Je levai la tête l'air, perdue. Je venais de lui demander ou nous étions..

"Chez moi..."

Je le regardais, puis acquiescer. Je grimaçai, je venais de réveiller la douleur d'une de mes blessures. Néanmoins je lui demander :

-Suis-je en sécurité... maintenant ? Ils... ne m'attaqueront plus ?

Je le voyais, avançai, baisser les yeux puis, de nouveau reculer. Je ne comprenait plus rien, perdu, encore sous le choc.

"Je ne te veux aucun mal Clémence, n'aie pas peur de moi..."

-Mais…je…je.. Je levai mes yeux vers mon sauveur et avait murmurer : « Je n'aie pas peur …de toi Alexander. » Lui dis-je en baissant les yeux virant au rouge. Puis, lorsque je lui avais soudainement la requête de m’embrasser. Il avait l’air surpris, a vrai dire je l’étais moi-même de mon audace. C’était la toute première fois qu’un garçon me plaisait temps et que, visiblement c’était réciproque. "Je veux pas te faire de mal..." Avait-il murmurer. Quoi ? Me faire du mal ? Mais..enfin il m’avais sauver…et... il avait prit soin de moi…cette histoire devenait visiblement trop compliqué pour mon pauvre petit cerveau qui commençait, visiblement à saturer.

-Mais..je croyais que... je.. . Je fermée les yeux tentant de comprendre depuis repris la parole quelques minutes après « je croyais que…je…enfin..que je te plaisait..

J‘avais conscience que je devais être vraiment très pitoyable, vraiment idiote devant lui. Je me maudissais intérieurement..

Alexander venait donc de dire à Clémence qu'elle ne devait pas avoir peur de lui, elle lui répondit qu'elle n'avait pas peur mais Alexander avait du mal à le croire. Puis, elle lui dit quelque chose qui lui fit mal au coeur, elle lui dit qu'elle pensait qu'elle lui plaisait. Le mot était faible, il en était fou d'amour c'était pas la même chose! Il leva doucement les yeux vers elle, même si son coeur avait cessé de battre le jour ou il avait été transformé, il pouvait néanmoins souffrir, aimer, être en colère. Il approcha alors de Clémence et alla près du divan, il plongea ses yeux dans les siens et dit alors dans un murmur

"Tu fais plus que me plaire Clémence...tu m'as littéralement charmé, depuis que je te connais, je n'imagine pas ma vie sans toi."

Il avait l'impression que son coeur allait se remettre à battre malgré qu'il soit mort, mais Clémence était celle qui pourrait faire qu'il se sente de nouveau vivant et plein de vie. Il alla vers la grande table et se mit sur une chaise, il ne savait aps comment dire se qu'il était à Clémence, mais apparemment, elle était traqué et il allait devoir la protéger! Il serra le point

"Clémence...tu es en danger. Je vais t'avouer une chose importante, mais avant, je veux que tu sache que jamais je ne te ferais de mal. Que je donnerais ma vie pour te sauver..."

Il tourna les yeux vers elle, puis, ses yeux devinrent or, ceux d'un vampire tout simplement. Le poing serré, il n'osait pas parler de nouveau et pourtant, il le devait il avait déja été tros loin même beaucoup tros loin!

"Clémence...les gens qui t(ont attaqué tantôt...c'est des...des...vampires. Je...j'en suis moi même un, mais je suis végétarien. Je ne me nourris pas de sang humain, juste de sang animal. Les gens qui t'on traqués eux, sont du genre à se nourrirent d'humain."

Il leva les yeux vers elle, ne sachant comment elle allait réagir à cette révélation des plus étrange!

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"Tu fais plus que me plaire Clémence...tu m'as littéralement charmé, depuis que je te connais, je n'imagine pas ma vie sans toi."

J'étais assise, je fronçai le sourcil au fur et à mesure qu'il faisait son discours, je ne tremblai plus désormais mais nous pouvions aperçevoir l'incompréhension se déssiné peut à peut sur mon beau visage d'ange.Tandis qu'il m'explique rle pourquoi du comment il aait peur d'entamer une relation avec moi. J'étais..perdu.

-Mais..alors..pourquoi ? Pourquoi te tient tu si loin de moi Alexander ?

Et le pire était à venir..qui l'aurais crut ?

"Clémence...tu es en danger. Je vais t'avouer une chose importante, mais avant, je veux que tu sache que jamais je ne te ferais de mal. Que je donnerais ma vie pour te sauver..."

Je fronçai les sourcil..en danger ? Pourquoi ? Pourquoi moi ? qu'avais-je fais pour mériter celà ? evenais tous juste de me remettre de la pert de mes parents, qui avaient mystéireusement était assassiné . Je m'en rappel comme c'était hier...Soudain, des images ffreuses vinrent se placer devant mes yeux. Je recommançai à trembler.

"Clémence...les gens qui t'ont attaqué tantôt...c'est des...des...vampires. Je...j'en suis moi même un, mais je suis végétarien. Je ne me nourris pas de sang humain, juste de sang animal. Les gens qui t'on traqués eux, sont du genre à se nourrirent d'humain."

-Des..Vamp..Je fermai les yeux, ahurit..des Vampires ? M'égosillais-je. non je divaguer, je devais surement avoir mal entendue, non ce n'était pas.. pas..possible.. si ?

Je reculai instinctivement. Puis me ressaisit. Idiote. Oui j'était une idiote, il venait de me dire qu'il m'aimer.. Je me leva, outre pssant l'idée que l'homme que 'aimer était un vampire et que j'avais terriblement mal à cette foutu cheville. Je m'approchai d'Alex, tendant une main vers sn visage, le caressant..

-Et..et..alors ?

Alexander venait donc de dire à Clémence toute la vérité, maintenant, il avait peur de sa réaction... Il la vit au début reculer, puis, elle se leva faiblement et avança vers lui une main tendue. Quand cette main se pausa sur son visage, il eu un frisson, dieu comme il avait attendu ce moment depuis longtemps. Il la regarda alors poser cette question étrange, n'avait-elle donc pas peur de lui? Il ne resentait aucune peur venant d'elle, il tendit une main vers le visage de Clémence et la pausa à son tour sur son visage si blanc mais tellement beau pour lui. Dieu qu'il l'aimait cette jeune fille, il en était fou d'amour. Il lui dit alors dans un murmur

"N'as tu donc pas peur de moi..."

Il la regarda droit dans les yeux mais il senti une douleur en lui, mais cela venait de la jeune fille, elle avait mal à la cheville à force de rester ainsi debout. Il laissa glisser sa main sur sa joue, puis sur son bras pour enfin venir prendre sa main avec une réelle douceur. Il l'entraina doucement mais pas sûr de lui sur ses genoux, quand elle y fut assise, il la regarda droit dans les yeux. La sentir si près de lui était tout nouveau à ses yeux, il ne savait comment réagir et pourtant, ses lèvres l'apellait comme un émant. Il laissait ses yeux glisser pour se poser sur ses lèvres puis de nouveau se poser dans ses yeux, il savait qu'il pourrait se contrôler, en mille ans, il avait apprit largement cela... Mais, oserait-il seulement?

"Clémence...tu dois savoir une chose, jamais je n'oserais te toucher, te faire du mal...jamais je ne laisserais uen personne mal avisé t'anéantire, je te promes de te protéger quitte à donner ma vie pour toi."

Il passa une main dans les cheveux or de la jeune demoiselle, son odeur, son parfum... c'était tellement enivrant pour lui, comme si elle était son univers, sa vie...Son coeur.Il baissa doucement les yeux pour regarder ses genoux, comme honteux d'une chose inconnue, mais il dit alors doucement

"Je vous aime Clémence Anderson, je n'ai plus ressenti cela depuis 1000ans..."

Invité

"N'as tu donc pas peur de moi..."

J'hésitai à dire oui. Il est vrai que je ne le connaissais pas encore très bien. Mais, dès la première fois que je l'avais eut, quelque chose en lui m'avait littéralement transporté et charmé.

-Non. Lui murmurai-je avec automatisme. Plongeant mes yeux bleu dans les siens. J'avais mal, il le savait, c'est ainsi qu'ilposa sa joue sur la mienne, la caressant avec tendresse, je fermai les yeux, savourant se moment si...intime, puis fit glisser sa main vers mon bras m'entrainant doucement sur le divan, m'instalant sur ses genoux. Mes yeux briller, mes joues venaient de s'empourprer. Je sentis ses yeux suivre le chemin de mes lèvres, puis de mes yeux...mes lèvres, yeux et celà continua pendant quelques secondes. Avant qu'il ne stope sur mes yeux. Je sourit. Mes lèvres n'osait plus bouger. Il s'emblait hésitai...

"Clémence...tu dois savoir une chose, jamais je n'oserais te toucher, te faire du mal...jamais je ne laisserais une personne mal avisé t'anéantire, je te promet de te protéger quitte à donner ma vie pour toi."

Je me laissa transporter par ses beau yeux bleu. Mon coeur se mit à s'accélérer, la température de mon corps monter d'au moins de deux ou trois degrès. J'avais chaud, très chaud et la seule evie qui me vînt à l'esprit c'était de me laisser allez dans ses bras...

-Je te fais confiance..Alex.

Il passa une main dans mes cheveux d'or et je rougie de plus belle.J'étais trnasporter, lorsqu'il c'était emparé de ma main, j'avais frissonner. Sa peau avait était froide, comme de la glace, mais, la focner dont il m'avait regardez m'avais réchauffer instantanément. Il baissa doucement les yeux pour regarder ses genoux, comme honteux d'une chose qui m'étais totalement inconnue, c'est alors qu'il me dit :

"Je vous aime Clémence Anderson, je n'ai plus ressenti cela depuis 1000ans..."

J'écarquiller les yeux..1000 ANS ? HO, m'à grand-mère aurait dit qu'il était beaucoups trop vieux pour moi..mais à quoi bon avoir 1000 ans et n'avoir jamais ressentie l'amour au moins une fois dans sa vie ?

-Moi aussi, je..je vous aimes Alexander Klavoski..

Je m'avançai de mon prince charmant, rouge comme une pivoine, le coeur battant la chamade, mes hormones en ébulition, je m'aprochai lentement des lèvres de mon vampire...

Alexander venait donc d'avouer à Clémence sa vraie nature, le faite qu'il soit vampire, qu'il aille mille ans mais surtout...qu'il l'aimait! Il l'entendit alors dire que elle aussi l'aimait, il leva doucement les yeux vers elle et vit celle-ci approcher son visage du siens. Il ne savait pas quoi faire, la peur de lui faire du mal était toujours présente mais un désir intense envahissait tout son âme et son corps. Il approcha alors d'elle calmement, quand enfin, ses lèvres se posèrent sur celle de Clémence. Un doux baiser fut échangé pendant quelques secondes, Alexander détacha alors ses lèvres de celle de son aimé. Il la regarda quelques minutes droit dans les yeux, si son coeur battait toujours, il batterait bien plus vite que la chamade. Il plongea ses yeux dans les siens, comme envouté par ce regard qui semblait le pénétrer au plus profond de lui-même. Il était la, la regardant avec une grande douceur, mais, il reposa une seconde fois se slèvres sur les siennes...comme si celles-ci étaient devenus une douce drogue pour lui. Il lui donna alors cette fois un baiser un peut plus fougeux que le premier, mais, très vite, il stoppa ce baiser ne voulant nullement laisser son désir prendre le dessus sur sa raison!

"Tu devrais te reposer Clémence, je vais aller te chercher de la glace pour ta cheville, sa va te soulager..."

A ses mots, il souleva sa douce humaine pour l'allonger dans le divan, gardant cette grande douceur envers elle. Il alla ensuite dans la cuisine et ouvrit le réfrigérateur, il attrapa des glaçons et prit un linge propre. Il mit ceux-ci dans le linge pour revenir dans le salon et il s'assoie une nouvelle fois au coté de la jeune demoiselle, une fois fait, il déposa le linge sur sa cheville et dit doucement

"Attention, c'est froid..."

Il sourie doucement à Clémence, il essaya de mettre une barrière entre elle et lui pour qu'il ne puisse pas ressentir les sentiments et émotions de celle-ci. Puis, il se posa une question, avait-elle faim? Lui, il avait de quoi manger dans le frigo au cas ou il aurait une visite imprévue. Il regarda alors Clémence toujours avec douceur

"Tu as soif ou faim? Parce que j'ai se qui faut dans le frigo...au cas ou on viendrai me rendre visite à l'imprévu, se qui arrive très rarement d'ailleurs puisque je vis seul ici."

Il fit un petit sourire, Alexander n'aimait pas la solitude et parfois, aimerait avoir d ela compagnie dans cette maison. Celle-ci était grande et belle, assez grande pour aceuillir quatres personnes en plus de lui, alors je ne vous raconte pas...

« Désolé … »

« J … je ne crois pas que mes capacités de petite humaine viennent jusque là. Jamais je ne pourrais me reposer. Tu n'imagine pas a quel point tu m'intrigue en ce moment ! J’ai … tellement de questions. »

« Merci. Je … Ne t’inquiète pas, je n’ai pas faim. »

« Tu ne me quitteras jamais ? Promet le moi … Je me sens tellement impuissante face à toi ! »

Un baiser fut échangé entre moi et cette humaine, au début un simple baiser... Néanmoins, je revient à la charge, cette fois ce baiser se fut plus fougeux, passioné, malheureusement, je n'étais pas près pour cela. La peur de perdre le contrôle, la peur de lui faire du mal. Je senti les mains de la jeune fille m'entourer, me serrer, mais je stoppa net celui-ci. Elle me demanda pardon, c'était pas à elle de se faire pardonner mais bien à moi. C'était moi qui n'était pas normale, moi qui compliquais tous malheureusement... Le pire, c'est que je le savais, le pire, c'est que je le regrettais. Non, je ne regrettais pas ce baiser tans attendu, mais plutôt le faite que je sois vampire. Néanmoins, si je n'aurais pas été vampire, je n'aurai jamais pu rencontré Clémence, jamais je n'aurai connu cet amour si pur et si dangereux. Je l'observe doucement

"Ne demande pas pardon pour une chose qui tu n'as pas fais Clémence...c'est moi qui complique tous et ne dis pas le contraire, moi même j'en suis consiens."

Je lui dit alors de s'allonger, de se reposer un peut. Moi, je me lève pour aller chercher un linge propre avec des glaçons pour la cheville de la jeune fille. Je repense aux traqueurs, je senti la haine monter en moii, je n'avais qu'une envie c'est de protéger ma princesse comme j'aimai l'apeller secrètement. Je reviens alors vers Clémence et me remi à ses coté, néanmoins, je reste assez distant. Pourquoi? Comme toujours, la peur de la blesser, de lui faire du mal alors que je m'en sentais réellement incapable. Jamais, au grand jamais je ne toucherai à cette demoiselle à la peau pâle et aux yeux bleus. Elle dit alors que je l'intriguais, qu'elle se posait tellement de questions. Que lui répondre face à cela, je n'en savais rien. J'avais peur de répondre à ses questions, mais je devrais bien vite le faire et elle méritait de savoir. Puis, elle devait se reposer, je savais que le meilleur moyen pour qu'elle trouve enfin la paix se serai de répondre à ses questions. Je soupire

"Que veux-tu me poser comme question?"

Je gardais le lingue posé sur la cheville de Clémence, je regardais sa jambe simplement, n'osant croiser son regard. Elle me dit qu'elle n'avait pas faim, néanmoins, je brisa la barrière des émotions entres nous et je fut heureux de voir qu'elle ne mentait pas. Directement, cette barrière mentale se reconstrui. C'est alors que je lève les yeux vers elle, elle avait les larmes aux yeux... Pourquoi? J'allais vite le savoir! Elle me demanda de lui promettre de ne jamais la quitter... qu'elle se sentait impuissante en face de moi. Mon dieu, si seulement elle savait, si seulement elle savait la puissance qu'elle avait sûr moi. Je me redresse et vais me mettre plus près d'elle, je passe ma main sur sa joue

"Je te promet que jamais, au grand jamais je ne te quitterai...Je n'en aurai pas le courage Clémence, maintenant que je t'ai trouvé, je ne veux surtout pas te perdre..."

Je la regardais doucement dans les yeux, elle était tellement belle, son odeur sentait tellement bon... Bref, elle avait tellement d'importance à mes yeux que ma vie à moi me semblait fade sans elle. Oui, tous se que j'avais véçu me semblait inutile maintenant qu'elle entrait dans ma vie!

« Co … Comment as-tu été … transformé ? »

« Oh ! Moi aussi. Je ne pourrais ja … jamais te quitter ! …Comme j’aimerais être pour l’éternité avec toi … »

Comment j'avais été crée...Je n'aimais pas en parler, j'avais été tros dtupide pour succomber au charme d'une fille des plus sublime, Elizabeth, celle qui m'avait envouter pour mieux me transformer par la suite. Je savais que si je la retrouvai, je ne donnais pas chère de sa peau blanche comme la neige. Non, elle m'avait enlevé ma vie pour simplement me laisser comme j'étais, pour simplement faire d emoi un vampire se que je regrettais. Pourquoi regretter? Simplement parce que je ne pouvais plus gouter aux simples choses de la vie. Le gout d'un fruit tombant d'un arbre, la sensation d'une larme roulant sur ma joue...mais surtout, aimer sans danger la femme qui a capturer mon coeur. Je détourne doucement les yeux, je ne savais pas comment lui expliquer cela mais le plus simplement ferai l'affaire. Je fini par la regarder de nouveau

"Par une fille don j'étais tombé amoureux... Elle était comme moi, enfin, à cette époque j'étais encore humain donc envouté par son charme. Une nuit, je la suivis dans la forêt, elle me reconnu et simplement, elle me transforma sans raison réelle. Elle voulait juste que fasse partie de la survie de sa race, donc, des vampires...Une histoire très simple."

J'avais dis cela avec une pointe de haine envers Elizabeth, comme je la haïssai, je voulais sa mort mais j'avais vite abandonné l'idée de la chercher. Bien sûr, si un jour je croise son chemin, se sera bien plus différant. Elle avait été la première à capturer réellement mon regard à cette époque, mais je l'avais regretté. Maintenant, l'histoire se répétait mais elle n'aurai pas la même fin, non, jamais elle n'aura cette fin tragique. Un vampire, une humaine. A la différance de mon histoire, moi j'aimais Clémence et je savais que c'était réciproque se qu'il n'y avais pas entre moi et...ce monstre! J'avais longtemps eu cette soif de vengance dans mon être, j'avais fais des choses dont je ne suis pas fière loin de la. Mais maintenant, j'ai changé, je l'ai trouvé, elle... Je lui dis alors que jamais je ne la quitterai, elle me saute alors au cou et je serre les poings mais me détend rapidement. Je la serre doucement contre moi, mais ses paroles me troubles, je sourie et dis doucement

"L'éternité c'est une vie...et je serais toujours à tes côtés pour cette vie Clémence. Crois moi, la vrai éternité ne mérite pas d'être véçue..."

Je la serre un peut plus mais toujours avec une douceur énorme, néanmoins, il se faisait tare et je pensais que la grand-mère de Clémence allait sûrement s'inquiéter pour sa petite fille. Je me détache doucement de la jeune fille, je passe une main sur s ajoue et je dis avec tendresse

"Je ne veux pas que tu t'en aille, mais ta grand-mère va s'inquiéter...tu vas devoir rentrer et bien sûr je vais te raccompagner, je ne t'en laisse pas le choix."

Je caresse doucement sa joue pâle, elle était si belle...

« Est-elle encore … en vie ? »

« Avec toi, elle le mérite Alexander … »

« Je voudrais rester avec toi. »

Je voyais dans ses yeux la jalousie qu'elle éprouvait à ce moment la, cela me surprenais je devais l'avouer. Pourquoi serait-elle jalouse, alors que c'est elle que j'aime? Peut-être avait-elle peur de ce premier amour, celui qu'on oublie jamais même avec des efforts. Mais mon premier amour à moi était tellement douloureux, tellement iréel et compliqué que je ne le considérais pas comme tel. Pour moi, le vrai et unique amour dont j'avais rencontré durant mon existance était devant mes yeux, cet amour était humain, cet amour avait les yeux bleus...c'était tous simplement Clémence et personne d'autre. Je l'entend me demander si elle était toujours vivante, je soupire, en parler était très désagréable pour moi. Je revoyais encore son visage pâle et ses yeux rouges me fixer, déposer un baiser sur mes lèvres après cette morssure qui détruiera ma vie. Je sentais encore son parfum qui autrefois m'envoutait, mais je sentais encore cette haine plus puissante à chaque fois que j'y repensais! Je détourne le regard, je n'en avais aucune idée... Peut-être était-elle morte ou peut-être pas, mais je supposais qu'elle ne l'était pas. Pourquoi? Quand j'avais voyagé, il m'étais arrivé de croisé le chemin de son odeur féminin et enivrant, une odeur qui me dégoutais plus que tous. Je dis alors, ne voulans nullement mentir à Clémence, car si je commencais à lui mentir elle ne pourra me faire confiance et sa, je ne le voulais pas.

"Je...je ne pense pas. Il y a cent ans j'ai croisé son odeur en Australie, mais je ne l'ai plus jamais revue depuis ma transformation. Pourtant, je l'ai traqué pour la tuer et si je la croise aujourd'hui, j'espère qu'une personne me retiendra car je ne serais pas capable de contrôler ma haine envers elle..."

Je lui dis alors que la vrai éternité ne méritait pas d'être véçue, je ne voyais pas vraiment le sens caché des phrases de Clémence.Sauf quand elle me dit que avec moi cela vallait la peine, je la regarde alors doucement. Et oui, je n'étais pas dupe et je savais qu'elle réalisait qu'elle allait vieillir et que moi j'allais garder cette apparance de jeune homme séduisant. Qu'un jour, la mort viendra l'emporter alors que moi elle ne fera que me contourner, j'aimerais tellement redevenir humain et être aux côtés de Clémence...vieillir avec elle, mais cela m'étais impossible. Je lui dis alors doucement

"Non...crois moi, même à mes cotés cela ne mérite pas d'être vu. La vie est faite pour s'achever un jour, je suis une erreur de la nature et j'en paye les conséquences Clémence. Je vois ou tu veux en venir et c'est non, jamais tu ne vivras le même cauchemard que le miens...je refuse que cela t'arrive."

Ma voix était douce mais déterminé...je lui dis alors qu'elle allait devoir partire, que sa grand-mère allait s'inquiété. Le soir, souvent, même très souvent, je la regardais dormir dans son lit. Toute la nuit je l'observais en silence, essayant de décoder ses rêves. Je la vis faire une moue boudeuse, elle était si ravissante ainsi, elle me faisait chavirer. Elle passe une main dans mes cheveux et pose sa tête contre la mienne, je la regarde de mes yeux dorés quand elle dit qu'elle voulait rester avec moi. Je la sentais s'accrocher à moi de toutes ses forces, je soupire doucement, comment pourrais-je lui résiter? Aucune idée...

"Je te ramène chez toi et je resterais avec toi si tu le veux, je rentrerais par la fenêtre de ta chambre ca te va ainsi?"

Avant même qu'elle répondre, je ne pu m'empêcher de pauser mes lèvres sur les siennes. Un délicat baiser, simple. Je ne pouvais pas risquer le diable en allant plus loin, j'étais peut-être un vampire mais comme les autres j'éprouvais des désirs peux catholiques et je ne pouvais pas franchir ses limites. De peur de lui faire du mal, de peur de ne pas savoir me contrôler. Même un baiser plus passioné j'en avait peur, alors que au fond de moi je savais que jamais je ne pourrais la toucher. Elle était ma vie à présent, je ne pouvais rester loin d'elle sans en souffrir...elle était devenue mon obsession.

« Non, je ne dis pas ça s’il te plaît. Ne redis jamais que tu es une erreur de la nature. Alexander, tu n’aurais pas était comme cela, jamais je ne t’aurai rencontré. Mais maintenant je veux juste t’avoir toi … »

« … pour toujours. »

« Tu resterai avec moi alors ? »

Elle était vraiment têtue comme fille...mais c'est pour sa que je l'aime! Elle me dit de ne jamais redire que j'étais une erreure de la nature, que si je n'avais pas été un vampire elle ne m'aurait jamais rencontré. Oui, c'est vrai, je l'avoue moi même c'étais un bon point de l'immortalité mais c'était le seul. Elle était la meilleure chose qui m'était arrivé durant mille ans, je l'aimais, dieu que je l'aimais même assez pour l'empêcher de devenir comme moi. D'ailleurs, elle me dit qu'elle me voulait à ses cotés, pour toujours. Non, je n'allais pas craquer, loin de la, elle resterai humaine car j'en aie déscidé ainsi! Se rendait-elle seulement compte de la vie que je menais? Craindre de blesser ou même pire, tuer les autres. De se nourrire de sang animal, d'avoir toujours cette soif car ce sang n'est pas assez conséquent pour m'assouvire complètement. Je soupire doucement, je dis simplement

"Je ne changerais pas d'avis, ne parlons plus de sa je te prie..."

Je pose ensuite un baiser sur ses lèvres mais je me stoppe directement, enfin presque, je sourie ensuite à ses paroles. Mais oui que j'allais rester avec elle, puisque je venais de le lui dire.Bien sûr, je n'allais pas la coller, juste rester avec elle. Je le faisais souvent avant, je l'observais dormire et quand sa grand-mère venait voir si elle allait bien, je disparaissais quelques secondes puis je revenais. Je veillais ainsi sur elle depuis si longtemps. Je rigole légèrement mais j'entend son ventre gronder, je rigole alors

"Oui, je resterais avec toi, mais tu vas vite manger quelque chose avant de partire...Cacher ta faim n'est pas une solution, souviens toi que j'ai l'oreille fine... Puis, j'ai quelque chose à t'avouer aussi..."

Je ne savais pas comment aborder le sujet du faire que je savais ressentir les émotions des autres, toutes les émotions... La gêne, la peur, l'amour, la douleure comme si c'était moi qui ressentais cela. Je regarde quelques secondes ailleurs, je réfléchissais à la manière de mettre sa sur le tapis...

"Clémence...certains vampires ont un don, certains peuvent lire dans les pensées, ou je ne sais quoi encore. C'est fort rare aussi, moi par exemple...je sais ressentir les émotions des autres. La peur, la haine, l'amour, la joie, la peine...comme si c'est moi qui le ressentais. C'est très désagréable quelques fois, car par exemple quand tu as mal j'ai mal aussi. Parfois, je sais poser une barrière entre moi et une personne, une barrière mental pour empêcher sa mais c'est rare car je n'en ai pas vraiment la force..."

Je lève les yeux vers elle, je sens alors qu'elle a faim, enfin, je m'en souviens et me lève alors. Je n'allais pas la gaver car elle allait sûrement manger chez elle, alors, je vais lui chercher une belle pomme et je la lui tend

"Mange sa le temps que tu rentre chez toi..."

« Mais alors … tu ressens tout de mes sentiments ?

Cette barrière, tu t’en es déjà servi sur … moi ? »

« Merci. »

Si je ressentais tous les sentiments de Clémence? Oui, enfin, si je le voulais...Si j'enlevais cette barrière mentale oui, mais je ne le voulais pas, néanmoins, je ne pouvais garder cette barrière tous le temps, cela m'épuiserai plus que de raison. Elle me demanda si j'avais déja utilisé cette barrière sur elle, je sourie simplement et vais lui chercher une pomme. Quand elle me remercie je sourie simplement, je reste néanmoins debout, mains dans les poches, je finis par répondre à sa question.

"Oui, je peux ressentir tes émotions mais je ne le veux pas. Donc, j'utilise cette barrière mentale entre toi et moi. Néanmoins, je ne peux la garder tous le temps, je dois parfois la laisser tomber, la, tes émotions me parvienne nettement. Par exemple, je sais que tu as peur je ne sais pour qu'elle raison...Tu as faim aussi, mais la je n'ai pas besoin de mon don pour le savoir. Tu es encore boulversé du à l'attaque, ne me dis pas le contraire car même si toi tu ne le ressens pas ainsi crois moi que c'est vrai."

Je garde légèrement le silence et baisse les yeux

"Je ressens aussi ton amour envers moi...Il est fort, mais crois moi, pas aussi fort que celui que je te porte. Et sa...depuis le jour ou tu as croisé mon chemin, ou tes yeux ont croisés les miens..."

Je n'avais pas l'habitude de faire des déclarations ainsi, néanmoins, elle était si différante des autres que les mots sortaient tous seuls de ma bouche. Je regarde alors dehors, il était temps de partire car sa grand-mère allait réellement s'inquiéter. Je lui prend la pomme des mains, je n'avais pas envie qu'elle s'étouffe non plus. Sans un mot je l'attrape par la taille et la soulève, elle était si légère pour moi. Une fois fait, elle se retrouve rapidement sur mon dos, je l'installe convenablement et me voila en direction de la porte d'entrée. Je sors et dis

"Accroche toi..."
A ses mots, je me mis à courire en direction de chez Clémence.

[on continue la?]