Je t'es enfin trouver...[pv: Carliste]

Il arrivais enfin à son but...Vance était enfin dans la petite ville de Forks, il regardais la ville du haut d'une colline, le soleil était filtré à travers d'énorme nuage, et une pluie fine et infinie s'abattait sur la petite ville...Quelques légères fumée se mêlée au brouillard qui donnait un aspect mystérieux à cette ville...Oui Vance comprenais pourquoi la famille Cullen avait décider de vivre dans cette ville, à croire qu'elle avait était construite pour les vampire...Vance se saisie d'un papier dans sa poche, il le déplia lentement, la pluie qui tombait faisait coulé le fusain, mais l'on pouvait distinguer un paysage sur cette feuille, et au milieux de ses arbres, se trouvait un homme droit et de dos...
Le jeune Vampire jeta la feuille, puis il se tourna en direction de la foret, il pénétra dans la forêt, et bientôt même sa silhouette se confondue avec les ténèbres des bois.
Il courait d'une vitesse incroyable, Il allait enfin retrouver l'homme qu'il chercher depuis un bon moment...La réponse à ses problèmes, était à sa portée, bientôt il pourrais continuer à vivre plus ou moins normalement, il le fallait absolument.
Vance arriva enfin a l'endroit que lui avait indiquer l'utilisation de son dons...C'était exactement le même endroit que lui avait indiquer sa vision...
Et au centre des arbres un homme avec à ses pied une carcasse d'un animal mort. C'était lui enfin il l'avait trouver, le professeur Cullen était la en face de Vance.

Vance touchais enfin à son but, il était la devant lui, le fondateur de la famille Cullen. Un homme d'une taille assez grande, avec une peau encore plus blanche que la neige. Ses cheveux blond, presque blanc plaqué a l'arrière...
Le corps de Vance se crispé rien qu'a la présence de ce vampire, Carliste se tourna lentement révélant son pale visage aux yeux de Vance...
une bouche fine de laquelle coulé encore un léger filet de sang qu'il essuya rapidement..., les trait de son visage était grave et sérieux, mais curieusement reposant...Le jeune vampire observais ses pupille noires, origine de ses angoisses. Carliste venait juste de manger donc sas yeux revinrent rapidement a leur couleur dorée d'origine...Tout ce passer bien pour le moment, mais chez Vance rien n'était réellement fait pour duré...

En effet cela faisait plus de cinq jour que Vance n'avait pas manger, ses pupille était noir ébène, et il sentit une atroce brulure dans tout son corps, comme si ses membre se consumés, dans sa tête plus rien ne répondais, il se roula par terre comme si il était recouvert de flamme...
Il hurlait de souffrance.

Je vous en pries aidez moi!

Je n’avais pas travaillé aujourd’hui et c’était tant mieux. Je n’avais pas tellement envie étrangement. J’avais passé un moment dans mon boulot à régler de la paperasse qui nous servait de couverture. Je faisais mon boulot de « père » de famille après tout. J’avais passé un peu de temps avec ma femme et disons que notre relation s’était rétablie depuis que j’avais arrêté cette fameuse expérience qui m’avait changé. J’avais passé presqu’un mois à me priver de notre nourriture habituelle pour voir comment je pouvais réagir sans manger normalement et combien de temps je pouvais agir ainsi. Bref, je me décidai finalement à tout laisser sur mon bureau de toute façon personne n’aimait faire ce que je faisais alors il n’y toucherait pas.

Je sortis de la maison et aller commencer ma chasse j’étais affamé, mes prunelles noir me trahissait mais hier soir j’éprouvais une étrange fatigue que je n’étais pas sensé connaître étant vampire immortel. Je n’avais donc pas eut le cœur d’aller chasser hier mais aujourd’hui c’était tout autre chose. J’étais parti ensuite comme une fusée mais je m’étais arrêté en bordure d’une rivière un peu plus en hauteur perché à un arbre pour voir où se trouvait l’animal à l’odeur si appétissante. J’avais bondis d’un trait et avait plaqué l’animal au sol m’abreuvant à sa gorge et le vidant totalement de son sang. Je finis par me relever en sentant une présence derrière moi. Ce n’était pas humain et encore moins Loups, c’Était un vampire, mais pas un Cullen.

Je me retournai vers lui essuyant rapidement le petit filet de sang au bord de mes lèvres et regardant le jeune vampire qui me détaillait visiblement. Mes pupilles avaient retrouvé leur couleur dorée et j’étais rassasiée pour le moment du moins. Je détaillai à mon tour le jeune homme car d’apparence il était plus jeune que moi et certainement en termes d’années. Je le vis soudainement se jeter par terre et se rouler également au sol. La faim devait le prendre aux tripes, je connaissais ca. Je fus surpris qu’il me demande son aide. Il avait l’air de savoir qui j’étais et c’était une bonne chose pour lui ou une mauvaise?

Vance : Je vous en prie aidez-moi!

Je m'accroupis devant lui et lui saisit le bras pour qu'il arrête de rouler sur le sol et je lui dis :

- Tu veux apprendre à te contrôler et à ne pas faire de toi un monstre? Sache que dans ma famille nous sommes différents, nous ne touchons pas à la vie humaine!

La souffrance était intense, elle était peut être la représentation de la tristesse de Vance, il était condamné à rester seul, ne pouvant rien ressentir, quel enfer quant on y pense, personne ne mérite sa, parce que la solitude est la pire des torture, si on faisait abstraction de la souffrance physique qu'il ressentait actuellement la souffrance de la solitude était bien plus forte...
Vance gardait les yeux fixé sur Carliste attendant sa réaction, la lueur de détermination qui brillé dans les yeux du jeune vampire reflétée parfaitement ses sentiments. Mais même si la situation était terrible, et le fait que Carliste ne puisse peut être pas l'aider ne sembler pas trouver Vance parce que l'espoir qu'il gardé en toute situation le rendez terriblement fort, les dons de vampire n'était rien comparer à la force de l'espoir.
Vance regardais Carliste s'approcher de lui, il était embarrassé d'être dans la situation dans laquelle il était, il n'avait pas fait grande impression... Le fondateur des Cullen saisie le bras de Vance ce qui arrêta ses roulement. La main glaciale l'apaisais étrangement.
Carliste se pencha vers l'oreille de Vance puis lui dit:

"- Tu veux apprendre à te contrôler et à ne pas faire de toi un monstre? Sache que dans ma famille nous sommes différents, nous ne touchons pas à la vie humaine! "

Enfin quelqu'un qui le comprenais, il avait compris ce qui se passer chez Vance, c'était enfin la fin du calvaire...Non c'était le début d'un long combats contre sois même...

-Je vous en prie trouvais un moyen de mettre fin à cette souffrance...

Il espérait que Carliste soit en mesure de stoppé les brulure qu'il ressentait dans son corps.

-J'aimerais que vous me rassuriez, dites moi que vous êtes en mesure de m'aider...Je suis près a tout!

La douleur dans le corps de Vance commençait à s'estomper...Il attendait une réponse de Carliste en espérant qu'elle lui serais favorable.

Je voyais bien que ce jeune vampire semblait désespéré et à la fois tellement déterminé. Ce jeune vampire voulait changer et j’étais content de voir qu’un jeune comme lui voulait changer son avenir. Ce n’était pas donné à tous les vampires de vouloir choisir mon mode de vie. La condition pour que toute ma famille reste avec moi avait été bien sûr de prôner le curieux régime alimentaire seule alternative que j’avais trouvé pour survivre et ne pas tomber dans la défaillance. J’étais ainsi depuis trois cent ans et c’était parfait ainsi.

Vance :-Je vous en prie trouvez un moyen de mettre fin à cette souffrance...

- Ne t’inquiète pas je vais t’aider. Je n’abandonne jamais.

Je faisais médecine depuis des années et jamais je n’avais abandonné personne. Peu de gens était mort pendant mon service et ceux qui l’étaient c’était que leur avenir n’appartenait déjà plus à ce monde. Je portai à nouveau mon attention vers le jeune vampire qui était toujours au sol et écoutai ce qu’il avait à me dire.

-J'aimerais que vous me rassuriez, dites moi que vous êtes en mesure de m'aider...Je suis près a tout!

- Il va falloir que tu te battes. Si tu te lèves et que tu viens avec moi, je peux te promettre que tout peut se faire!

Je lui tendis la main pour l’aider à se relever, me redressant du même coup tout de même et dans toute ma grandeur je regardai autour de nous pour voir ce qu’il en était. Lorsqu’il fut sur pied, je le pris sur mon dos car se serait plus rapide, il avait l’air faible. En peu de temps je me rendis près d’un petit regroupement de cerfs et m’accroupis au sol le reposant par terre et pris son visage entre mes mains pour qu’il soit bien attentif.

- Tu verras le goût n’est pas le même, mais on s’y habitue très vite. Tu dois attendre le bon moment et bondir d’un coup sur ta proie. Nourris toi et on en rediscutera après