Vitaly J. Heart ~ Waiting For [ Pour publique avertis ]

-( Vitaly J. Heart)

- « Et L’Agneau Se Fit Manger Par Le Loup

Simple mortel parmis tant d’autre, il est d’une beauté insignifiante comparé à ceux qu’il vénère. Pour un homme, il pourrais pourtant être pas mal s’il ne se négligeait pas autant. Cette négligences, le marginalisant, ne l’aide pas à comblé la distance qu’il éprouve avec les autres, son style, bien que classique, recèle certaines particularité qu’un observateur avisé peut facilement découvrir, ses excentricités, même non remarquées, l’exclu du cercle des gens « intéressant » ou « in » du lycée. Mais passons au jeune homme.

D’ une pâleur morbide à cause de ses insomnies et des drogues qu’il prend, son teint blafard n’aide pas à engager la conversation. Sa peau, terne, fait penser qu’il est à l’agonie, entre la vie et la mort. Des cernes noires, toujours du à son sommeil quasiment inexistant, font ressortir deux yeux bleu pâle, comme déjà endormi par la mort. Vous ne voyez pas ? Pourtant, lorsqu’un homme passe de la vie au trépas, une sorte de couche blanche se dépose sur ses yeux, les voilant… la couleur des yeux de notre jeune homme ressemble ainsi à cela. Une barbe d’une semaine sur le visage encourage encore à penser qu’il ne s’occupe pas de lui, lui mangeant le visage, elle aide pourtant à cacher en partie les dégât de l’insomnie associé aux drogues dures. Pourtant, deux lèvres rosées traverse cette « forêt », pleines de vies, elle contraste encore avec les affirmations de certains. Brun, les cheveux mi-long lui tombant dans le cou ne sont jamais coiffés bien qu’il prenne le temps de les laver, ne supportant pas les mauvaises odeurs comme celle des chiens mouillées.

Ses mouvements, saccadé, presque frénétiques, viennent contre-dire l’affirmation de sa mort prochaine. Il est souvent agité et se retourne toute les tentes secondes pour vérifié quelques choses qu’apparemment seul lui connaît. Fin, de taille moyenne, il n’a rien de très particulier physiquement bien qu’il semble pourvu de muscles efficaces au dépit de son manque flagrant d’exercice –il n’y a qu’a regarder son nombre extraordinaire d’absence en cours d’Eps pour remarquer qu’il n’aime pas cela.

Bien que peu intéressant, il possède plusieurs tics permettant de l’identifier clairement. Tout d’abords, replié sur lui même, il marche toujours en rasant les murs. Ses bras, le longs du corps, se lèvent souvent pour protéger quelques choses. Mais quoi ? Dans cette même optique, ses yeux parcourent souvent la foule.

Son style vestimentaire n’est pas très glorieux non plus. Un tee-shirt simple à manches longues qu’il ne replie lors des journées chaudes que du côté gauche pour cacher les nombreuse marque de piqûres qu’il possède au bras droit et associé à un simple pantalon noire en jean. Des chaussures de sécurité noire au pied pour leurs bas prix viennent compléter la tenue. Il y’a pourtant ses bracelets, souvenirs d’une périodes plus sereines, vestige d’un passé plus glorieux.

Caractère : Avec ce portrait physique peu enviable, vous pouvez déjà vous poser des question sur la santé mentale de notre jeune homme. Et vous avez raison ! Mais pour en pas gâcher tout cela, nous ferons un portraits complet de son caractère au lieu de ne lâcher que quelques mots qui auraient très bien pu, à l’instar de toutes ses lignes, vous le décrire. Dépeignons tout d’abords ce qu’il a de commun, ce qui pourrait faire de lui un être socialement et mentalement « normal » . Gentil, il n’est pas agressif lorsque on l’aborde avec douceur et si possible, par devant, pour qu’il puisse vous voir arriver. Un faible sourire éclairent de temps en temps cette face morbide, signe de sa jeunesse. Serviable et polie, il aime aider les gens qu’il trouve sympathique. Cependant, tout cela n’est rien, comparé à ses « tares ».

Il est solitaire et taciturne, n’aimant pas la présence des gens, ou plutôt celle-ci le dérangeant bien qu’il fait ce qu’il peut pour en pas le montrer… Lorsque cet aspect de son caractère prends le dessus sur celle, neutre, qu’il s’efforce d’adopter, il paraît timide. Il baisse les yeux, bafouille et ne sais quoi dire… l’instant d’après, il est limite vexant. Mais tout cela, bien sur, change par rapport à la personne qu’il côtoie. Autre soucis, cette paranoïa que personne ne comprends… Paranoïa que personne ne comprends… Celle-ci, causée par différentes drogues ainsi que de ses souvenirs ensanglantés est incontrôlable. Il est aussi obsédé par certaines choses, bien que cela, il se garde bien de le montrer… Les Sang-Froids ! Oui, il connaît leurs existences bien que ceux-ci ignorent son savoir. Seul signes pouvant le trahir, son attitude lorsqu’il les croisent : Il se fait tout petit, comme s’il les craignaient. Mais ajouté à cela cette flamme d’admiration, de curiosité et d’envie.

Je me souviens de tout. Je me souviens absolument de tout. De cette peur qui me tenaillait, me clouais littéralement sur place. Je me souviens de ce teint de cristal, de ses yeux rouges. Mais surtout, de cette apparente satisfaction se lisant sur leurs visages. Deux, ils étaient deux. Enfin, c’est-ce que je croyait au début. Deux femmes un hommes. Je n’avais que huit ans à cette époque et pourtant, je me souviens de tout. Les pleurs, les supplications, les paroles et surtout le sang. Le sang qui avait à peine coulé et pourtant la mort qui avait frappé. La mort… Eux aussi semblait mort, enfin, leurs teints impressionna l’enfant que j’étais et le laissa penser aux anges de la mort. Je n’ais jamais su pourquoi je n’était pas mort ce jour là. A cause de ses cartons empilés sur ma tête ? Pourtant, les ruelles sombres n’avaient pas l’air de leurs avoir posées de problèmes.

Je me doutais pas que ce n’était qu’a une seul chose que je devais la vie. La chance. La chance que leur faim eut été complète avec mes parents. Mais aussi une autre, chance, la génétique. Puisque, apparemment j’avais le don de me fondre dans le décor, de devenir « invisible ». je ne sus que j’avais ce don qu’après bien des années de questionnement, lorsque, jeune, j’avais décidé de voler de quoi boire et que le vendeur m’eus a peine remarqué sortir. Je sus alors que j’étais particulier.

J’aurais préféré ne pas l’être.

Je vais me permettre de vous racontez une partie de mon histoire, ou plutôt, de ma déchéance jusqu'à ce point de non-retour, jusqu'à ce que je suis aujourd’hui… un drogué perdu connaissant l’existence de monstre buveur de sang. Le pire, dans tout cela, c’est que je ne leur en veux pas. Le pire, dans tout cela, c’est que je les envie…

Après la mort de mes parents, mystérieuse comme tout les autres crimes que les vampires avaient commis. Crimes, le mot était un peu fort tout de même… Est-ce que l’on parle de crimes lorsqu’on assassine un animal ? Bien sûr, je en place pas de leur côtés, ils sont horribles et jamais, même si j’étais comme eux, je ne souhaiterais tuer d’humains. Seulement, il me semble à propos de tempérer les ardeurs de certaines personnes. Mais passons. Je fus donc placé dans un foyer d’accueil d’urgence, comme tout les orphelins de victimes. Il ne me semble pas nécessaire de vous dire ce qu’enduis une vie là-bas. La délinquance ou la médiocrité, tout simplement. Moi qu’ils croyaient avoir sauvé venait d’être perdu, à jamais.

Ce jours, là, je fis ma première connaissance avec la drogue. J’étais avec deux autres pommés comme moi, âgé de deux ans de plus que moi, ils avaient quinze ans. L’un avait ramené ce qu’ils appelés « Héroïne ». Moi, avec mes vampire dans l’esprit, que les psychologue essayaient de faire partir en vain –j’étais jeune mais ce genre de choses marques à vie- , en avais marre de l’autorité et décida d’essayer, juste parce que cela était interdit. Un peu comme tout les ados, mais en avance. Ce n’est que lorsque je me rendit compte que mes souvenirs étaient plus flou en prennent ma dose que je devins accro. Il me fallais ma dose, tout les jours, il me la fallais. Plus que manger, plus que boire, plus que dormir. D’ailleurs, je ne dormais presque plus. J’avais trop peur d’être mordus dans la nuit et d’être retrouver mort au petit matin comme mes parents.

Une descente en enfer. C’était cela la drogue. Je ne pouvais lutter contre l’addiction, je ne pouvais lutter contre la puissance qui m’ordonnait de planter cette saleté de seringue dans mon bras droit et d’appuyer sur ce bouton pour mélanger l’héroïne à mon sang. Enfin, plus tard, je compris que c’était mon esprit cette puissance, cette petites voix dans ma tête.
Je fus envoyé en centre de détoxication à seize ans. Lorsque l’on me découvrit, entrain de faire une over-dose. A la suite de cela, on m’envoya loin de mes connaissance. A Forks.

J’avais alors bientôt dix-huit ans.

On m’installa dans une vieille baraque excentré toute défraîchis. C’était l’été et pourtant, il faisait froid comparé à mon ancienne ville. Il n’y avait pas encore de nuage mais le temps serait pluvieux. De toute façon, je m’en foutais, je en sortais pas ou presque. J’avais maintenant l’obligation d’aller au lycée sous peine d’emprisonnement. Et je ne voulais aps être en prison, jamais. Je voulais en revoir. Je voulais savoir qui ils étaient, je voulais être comme-eux.

Je ne pense pas pouvoir remplir cinq lignes avec ses relations car le jeune homme, solitaire et taciturne, n’a pas d’amis. La seul personne qu’il côtoie le plus étant son propriétaire, venant lui réclamer cent dollar tout les mois… Et ses échanges se bornes à des yeux le fixant par le judas ainsi que des billets passant par le même trou. Alors non, il n’y aura pas cinq ligne ici, ah quoi bon parler pour ne rien dire ? le sujet étant inintéressant et les bases inexistantes…