Don't Cry..

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Le soleil venait tous juste de se lever, mes pieds dans le sable et recroqueviller sur moi même je repensais à toutes lépreuves que j'avais enduré. Emmett ma manquer. Terriblement.

-Emmett..que fais tu ?

Je m'inquiétais profondément pour mon mari. Le savoir en danger, et celà à cause de moi me rendais folle. Etre séparé de lui. Etait un véritable enfer. Durant le trajet j'avais était muette comme une tombe regardant par le hublo. Esmée discutant avec Carisle. Alice assise près de moi. Tandis que j'avais dans mes bras Keylian. Me resiration avait était saccadé. Un vieux réflxe humain que j'avais garder, lorsque j'étais angoisser.

Celà faisait à peine quatres heures que nous étions arriver et j'attendais le coups de fil de mon mari. A cet heure là il devait être entrain de chercher Romuald. Soudain, énerver, ne tenant plus en place, je me redresser, les yeux plein de tristesse, ma rage ne pouvant plus se contenir je taper contre l'arbre qui se trouvait derrière moi. Il tomba net. Surprise, je me reculer...celà me faisait toujours cet effet, cette force..elle n'était pas mienne. C'était le démon que j'étais..qui avait cette force..

Tombant à genoux, fatigué, épuiser par tous celà. Je porta mes mains à mon visage ..

-Je veut que celà finisse...

Je ne me douter absolument pas que quelqu'un m'écouté...

Le lever du soleil. C'est sencé être le moment le plus magnifique. Normalement j'aimais ce moment là surtout lorsque j'avais passé la nuit avec mon mari. Mon mari, ma moitié, mon unique amour. Jasper Whitlock Hale. Je l'aimais comme une folle et lui était loin. Il se battait. Contre ce monstre de Romuald Van Eyeck. Et moi j'étais là seule, avec mes parents a essayer de m'occuper de ma soeur et de ma fille, traumatisées par ce même monstre.

Pendant le trajet en avion j'avais été près de ma soeur ainée Rosalie qui n'avait pas dit un mot le regard collé a la fenêtre berçant Keylian. Moi j'avais Maybel, j'avais Callia, j'avais tenté de les rassurer, de calmer leur pleurs de ma voix douce et cristalline. Maintenant nous étions arrivés j'avais réussit a endormir ma fille ainée, ma fille benjamine était inconsolable et puis tous ces cauchemards qui lui venaient sans cesse. Rosalie était sortie. Je m'inquiétais un peu. J'avais promis a mon frère ainé de bien m'occuper d'elle. Laissant Maybel a mon père adoptif je sortis. Je la vis, sur la plage, triste comme jamais. Moi aussi je l'étais. J'étais aussi brisée qu'elle et je ne le montrais pas. Je devais être forte. Les paroles de Jazz me revinrent en mémoire.

Jasper : Je t’aime mon amour. Jamais je ne t’abandonnerai, je te ferrai revenir le plus vite possible. Et quand tu reviendras je me tiendrai ici même dans cet aéroport, sans aucune égratignure, et nous nous marierons, on se dira oui à nouveau pour l’éternité. Tu dois être forte pour quelques jours… Je t’appellerai je te le promet…

*Oui mais quand reviendrais-je mon amour?*pensais-je.

Il y eu un grand bruit. Je m'approchai en silence. Lila avait abattu un arbre et était recroquevillée sur elle même.

Rosalie : Je veux que celà finisse...

Je m'appuyais contre un tronc mordit ma main de marbre pour ne pas hurler, essaya de me calmer. Je repris le controle d emoi même et m'approchais. Entourant les épaules de ma soeur je la serrais contre moi,la berçant, caressant ses cheveux d'or.

-Je suis là ma Lila... Je suis là...murmurais-je.

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-Je suis là ma Lila... Je suis là...

J'avais lever la tête vers ma soeur. Elle c'était agenouillé près de moi, me tenant à présent dans ses bras. Je la repousser vivement, secouant la tête. Non tout irait mal tant que je ne savais Emmett loin de moi et en danger. J'avais peur. Peur de le perdre. Pur de se que pourrait lui faire Romuald alors qu'il me savais hors de sa porté. Maitenant une seule chose allez cojiter dans la cervelle de cet être abjecte. Se vanger. Parce que j'avais refuer ses avances. Parce que...je lui avouer que j'aimer Emmett.

-Tu ne comprend pas. Il à dit que le jour ou il "m'offriait" Emmett se serait en cendres ! lui dis-je dans un murmure. Je ne veut pas non. Dès qu'il aura Emmett à sa porter il en profitera pour lui faire du mal. J'ai vu comment il procède. Je lès observai pendant une semaine tout entière. Il est vil et cruel ! rien ne l'arrêtera..

Le vent souffla dans mes cheveux, mes yeux se fermèrent, l'impression qu'Emmett était avec moi était si forte. Malheuresement je devais me faire à cet idée. Emmett était seulement là en penser et rien d'autre.

-Je voudrais tant le serré contre moi...à peine quatres heure. Et j'ai impression qu'une internitée c'est écoulé. Sans que je ne puisse rien faire. Alice. Je déteste me sentir aussi impuissante que maintenant.

La vie état injuste, Dieu était injuste envers nous tous. Moi en premier. Qu'vais-e mérité pour ivre ce que j'était entrain de subir ? Impuissante. Je savais mon mari et mes frères au combat. La perspective d'en perdre un me hantait, me terrifier. Moi qui penser être une solitaire, dure et rebelle. J'avais apprit que je n'était rien de tout celà. Sans Emmett, Edward ni Jasper c'était comme si une partie de moi s'envoler en fumer. Si l'un de nous finirait part disparaître plus rien ne serais comme avant. C'était une certitude.

Je regardai Alice, les yeux supliant.

-Rentreons...allons les aidez. Alice..

Encore une fois comme bien avant, Rosalie me repoussa. Je ne bronchai pas. J'étais trop mal pour ça. J'avais abandonné mon mari et mes frères comme une lâche. Je ne cessais de me répéter ça depuis que je savais que je partirais. Oui j'étais lâche de tourner le dos à ceux qui m'étaient chers et tout ça parcequ'un malade s'attaquait a ma famille. Mais d'un coté Jasper et Emmett avaient raison, je devais m'occuper de Maybel, choquée, de plus qu'elle venait d'apprendre notre vraie nature, et Rosalie était au plus mal. Je l'écoutais parler. Mon Dieu, Romuald Van Eyeck était un vrai monstre, un de ceux qui n'hésite vraiment pas a tuer pour obtenir ce qu'ils souhaitent. Quel horreur!!

Rosalie : Je voudrais tant le serré contre moi...à peine quatres heure. Et j'ai impression qu'une internitée c'est écoulé. Sans que je ne puisse rien faire. Alice. Je déteste me sentir aussi impuissante que maintenant.

Je la regardais, plongeant un regard ocre dans le sien presque noir. Moi aussi je détestais ça, moi aussi j'avais l'impression qu'une éternité c'était écoulée, moi aussi j'avais un mari et deux frères là bas!! Je baissais les yeux à la fois honteuse et impuissante.

-Moi aussi Lila, moi aussi si tu savais...murmurais-je.

Elle parla a nouveau. Une proposition. Si douce, si alléchante. Oui reprendre le bâteau, l'avion, retourner a Forks aider nos amours, nos frères. Oui...

Rosalie : Rentrons...allons les aidez. Alice..

-Les aidez...rentrer...oui...soufflais-je a peine maitre de moi même.

Je me levais, plntais mon regard dans le sien. Elle me suppliais. Oui Rosalie Hale Mac Carty Cullen me suppliais moi simplement Marie Alice Brandon Cullen Hale. C'était une chose exeptionnelle. Non en fait. Parceque nous étions soeurs, parceque je la connaissais mieux qu'elle ne pensait.

-Oui rentrons...murmurais-je tentée.

Soudain mon portable vibra et le nom qui s'afficha sur mon écran fit bondir mon coeur. Je décrochais en moins d'une seconde.

-Jazz!!

La voix de mon amour résonna dans le combiné je ne le laissais pas parler.

-Jazz mon amour, tout va bien? qu'est ce qui s'est passé? personne n'est bléssé? Edward, Emmett ils vont bien? et Romuald? Qu'est ce que...

Sa voix calme et grave me calma instantanément. J'allais me taire, l'écouter pour essayer de me rassasier avant de repartir, avant que je ne doive le quitter. Oh mon amour parle moi encore je t'aime et tu me manque tant.

HJ: Jazz va repondre après on laissera la place a Emmett.

Mes yeux couleur or étaient fixé sur l’écran de mon téléphone que je tenais entre mes doigts. Je le faisais tourner, l’ouvrait, puis le refermait à nouveau. Ce petit manège durant un moment… Bizarrement j’avais peur. Oui cette drôle de sensation qui me prenait au ventre était bien de la peur… Je le savais, le combat approchait à grand pas, petit à petit nous flairions sa piste. Mais avant de me jeter à l’assaut, je me devais de faire une chose. Mais pourtant je n’arrivais pas à m’y résoudre ! Peut être courrions nous à notre fin, peut être cela serait la dernière fois que je parlerai à ma femme, à mes filles, au reste de famille. Ce n’était pas mon genre de paniquer, je devais garder mon sang froid, enfin façon de parler… Enfin, je parcouru le répertoire, trouva rapidement le nom de ma chère et tendre et appuyai sur le téléphone vert, en ayant l’impression qu’un frisson d’effroi me glaçai les veines, façon de parler encore une fois. La voix de ma femme retentit à mon oreille et je n’eus même pas le temps de dire quoique ce soit que sa voix cristalline me posa des questions. Ma voix, grave, douce, assurée, lui répondit.

Alice : « Jazz mon amour, tout va bien? Qu’est ce qui s'est passé? Personne n'est blessé? Edward, Emmett ils vont bien? Et Romuald? Qu'est ce que... »

« Ne t’inquiètes pas mon ange ! Tout le monde est en pleine forme et nos recherches avance bien, je pense que bientôt nous pourrons vous faire revenir. Mais parle moi, tu me manque, comment vont les autres ? »
Alice : *Soupir de soulagement* « Oui ici tout le monde va bien. Enfin...*Nouveau soupir*. Maybel ne va pas bien Jazz, elle ne mange rien, refuse de dormir, elle est irritable comme jamais et je suis casiment la seule qui arrive à l'approcher. Quand a Rosalie ... *je jettais un oeil a ma soeur, décidais de ne pas mentir mais de ne pas dire toute la vérité*. Elle tente de s'en remmettre comme elle peut, c'est dur pour elle, surtout lorsque vous êtes aussi loin Emmett en premier mais je pense que le bébé l'aide beaucoup. *Petit silence* Qu'avez vous trouvé suite vos recherches?»
Visiblement les nouvelles n’étaient pas bonnes. En pensant les mettre en sécurité, cet objectif m’avait obsédé et je n’avais pas vraiment pensé aux conséquences de nos actes. Ma fille ne supportait apparemment plus rien tout comme ma sœur, ma jumelle, ma meilleure amie. Apprendre tout cela me faisait du mal mais je ne pouvais pas fléchir, il fallait que je reste fort, comme je l’avais été depuis le début et comme je voulais le rester jusqu’à la fin… Je repris, contrôlant ma voix à la perfection, lui donnant des airs réconfortant et consolateur.

« Vous devez tenir bon. Romuald ne semble pas vraiment vouloir nous éviter. Il ne cache pas sa piste, laisse des traces facile à suivre, il court à sa perte et nous à la victoire. Vous serez rentré en moins de temps qu’il n'en faut pour le dire, je t’en fais la promesse. »
Je baissais le regard le coeur gros. Je voulais rentrer, j'avais peur, j'avais mal et je devez tenir bon en plus de ça? Non non je n'en avais pas envie, pas envie du tout!! Peut être que l'idée de Rosalie était la meilleure? Rentrer pour les aider.

Alice : «Je... Jasper laissez nous rentrer pour vous aider. Juste Rose et moi les autres reste ici. A cinq on sera beaucoup plus forts...Je t'en prie mon amour j'ai si peur ici qu'il ne vous arrive quelque chose, j'en deviens folle!!»
Elle ne pouvait pas savoir à quel point ses paroles me blessaient. Je n’avais qu’une envie, crier. Crier dans ce téléphone : Oui, rejoins-moi. Arrêtons cette torture, reviens à mes côtés. Mais je m’en empêchais. Elle était en sécurité là bas, bien qu’elle soit malheureuse. Je déclarai alors.

« Tout sera bientôt finis. Cela ne sert strictement à rien que vous ne rentriez ! Je ne veux pas à avoir à m’inquiéter pour vous deux, là ou tu es, tu es en sécurité. Tu ne peux pas savoir ce que cela représente pour moi. Mais je m’en veux, de te faire souffrir ainsi. S’il y avait eu une autre solution, nous permettant d’éviter cette séparation, crois moi que je l’aurais choisi sans hésiter. Te savoir loin de moi m’est insupportable, mais te savoir en sécurité est un réconfort. C’est à double tranchant. Mais je crois bien que l’amour c’est cela. Nous ne sommes jamais tranquilles. Et je t’aime Alice. Je veux que tu restes là ou tu es, tout ceci sera bientôt derrière nous. »

Colère, desespoir, tristesse, amour, fureur, tous ces sentiments qui me transperçaient et m'empêchaient de reflechir normalement. J'avais envie de balancer mon portable au loin, de ne pas l'écouter, de rentrer de ...

Alice : Moi aussi je t'aime mais je deviens folle ici. Et je ne suis pas la seule ... Rosalie veux vous parlez je vais lui laisser le portable. Reviens moi vite mon amour tu me manque affreusement ...

J'écoutais sa réponse puis passait le téléphone a ma grande soeur pour qu'elle puisse parler a son "jumeau" puis a son mari.