.....Et le temps passe.....

Aujourd'hui la journée me semblait particulièrement longue. L'ennuis n'est pas quelque chose qui à sa place quand il est question de vivre pour toujours. Pour toujours... Ses deux mots m'effrayait ! J'ai plus de cent ans, j'ai vu le monde changer, passer de la plume au stylo bile, de la calèche à la Mustang Gt. Plus le temps avançait et plus le monde se métamorphose de manière effrayante ! J'avais souvent un peu de misère à me faire à ce monde qui était si différent de celui que j'avais connu autre fois. Le crime était plus grand, les égoïstes plus nombreux et les valeurs religieuse et familial que je connais son presque morte. J'ai peur de me demande de quoi va avoir l'aire la vie dans cent autre année. Comme c'est parti l'humain n'existera plus, tout comment la planète et nous les vampires. Sans nourriture nous sommes aussi faible qu'un humain. Pensé à la fin du monde est quelque chose de vraiment troublant.

J'étais assise au milieu du grand lit Queen que je partageais à quelque heureuse occasion avec mon tendre époux. Autour de moi on pouvait y trouvé toute sorte de babiole, d'ou mon petit coté morose et apocalyptique. J'avais sorti d'une valise toute sorte de marque de ma vie. Sa allait d'un vieux bijou offert par Carlisle au premier coupons de train souterrain de New York. Durant toute ma vie j'avais conservé secrètement toute ses petites choses, comme un enfant garde ses peluches une fois adulte. Parlant de peluche. Je pris un petit ourson de tissus entre mes mains. Elle était tout défraichis et ne sentait plus très bon . Je le pris quand même contre ma poitrine et continua de regardé se qui se trouvait devant mes yeux.

Un bruit de porte que l'on ouvre et referme se fit entendre, ce qui me sorta de ma petite méditation. Je porta mon regard vers la pendule. Il était encore tôt pour qu'un enfant ou Carlisle arrive... Non ? Je fini par détourné mon regard de la pendule puis me remit à la contemplation de mes petits trésorts. Si on avait besoin de moi on savait ou me trouvé.

La vie n'était plus ce qu'elle était il y a plus de 300 déja que je la vivais cette vie. J'étais le meilleur médecin qu'on pouvait rêvé d'avoir vu mes connaissances, bien qu'on ignorait depuis combien de temps j'exercais. On disait de moi que j'étais surdoué. Si ca pouvait leur faire plaisir tant mieux. Je ne me considérais pas comme tel. Les années avaient fait de moi ce que j'étais aujourd'hui je n'étais certe pas le plus vieux vampire du monde, mais j'avais toute une histoire de vie derrière moi. Néanmoins, bien que j'avais fini par accepté mon état de vampire, ma vie de famille me faisait sentir étrangement humain et ca me plaisait.

Dans mon bureau, là où mafamille pouvait accédé sous condition quand meme, j'avais moi aussi une boite qui contenait des petits trucs du passé. Je m'y étais attaché quand même. Heureusement que nous pouvions voir notre reflet avec toute ses photos qu'on avait pu prendre depuis que j'étais avec eux. Il n'Y en avait pas vraiment eut du temps où j'Étais avec Edward mais eu après, avec l'arrivée de ma Esmée, j'avais pris plaisir à faire ce petit loisir humain d'album souvenir.

Aujourd'hui, en faite depuis hier soir ans la nuit, j'étais à l'hôpital, on m'avait appelé pendant la nuit et je m'étais déplacé sans problème et Esmée comprenait ce que mon travail impliquait. Bref, on demanda quand même à un interne de venir finir ma journée de travail car ces derniers temps, mais employeurs trouvaient que je faisais beaucoup non pas que ca leur déplaisait, mais vu que j'étais essentiel pour eux, ils se devaient de me ménager comme ils m'avaient dit..

Je garrai donc la ma Mercedez dans l'entrée sans même la mettre au garage puis je me dirigeai vers l'entrée où j'ouvris et refermis la porte en une fraction de seconde. Je retirai ma veste et m'étirai un peu bien que je n'en avait pas besoin, c'était un vieux réflexe à force de le faire au boulot pour me montrer plus humains que je ne l'étais. En uncoup de vent je montai à l'étage à la recherche de ma femme et entrai dans notre chambre. Je pris place à côté d'elle sur le lit.

"Bonjour ma chérie!"

Par chance je réussi à entendre Carlisle arrivé avant dans les marches qui séparait le hall d'entré de la chambre à couché. Oui je disais bien Carlisle. Rapidement sa douce odeur sucré me chatouilla les narines. Un petit sourire amoureux se dessina sur mon visage. Il était la un peu tôt, mais en quoi sa devrai me déranger? Il passait tellement de temps à l'hôpital et entre le travaille et la famille on trouvait rarement des moments pour se retrouvé seul.

Avant qu'il n'est le temps de s'assoir sur le lit, je pris rapidement l'album photo qui se situait à l'endroit ou son maintenant ses fesses. Il me salua avec sa voix mielleuse et si douce à entendre. Je lui souris tout en commençant à remettre mes petits trésors dans ma grande valise. J'avais tout sorti. Je n'avais pas pensé me laisser aller aussi loin dans ses vieux souvenir.

-Bonjours Carlisle, je ne t'attendais pas aussi tôt.

Doucement je me laissa tombé sur l'épaule de mon mari. Je pris la peluche qui sentait étrange et la mit dans la valise. Inutile de laisser Carlisle supporté ce subtile odeur de renfermer. Avec son métier il a beaucoup d'odeur naturel désagréable qui passe, ne lui faisons pas subir la même chose à la maison . Une fois bien accoté je pis sa main dans la mienne.

-Croyais-tu te rendre aussi loin Carlisle ? Pensais-tu un jours pouvoir garder ta famille aussi uni et être capable d'avoir un métier que t'aime dans chaque vie que tu recommence?

Je me tassa un peu de sur lui pour pouvoir regarder son visage. Il était si beau, si angélique. Je ne réussi pas à ne pas lui sourire. Je mélangea mes doigts entre les siens délicatement sans le perdre de vu.

À peine venais-je de passé le pas de la porte princiaple que je savais qu'elle avait senti ma présence. Je n'étais pas pressé de monter, mais j'avais simplement envie de retrouver ma femme. J'aimais le travail que j'exercais depuis tant d'années. Je n'avais pas à me plaindre à ce sujet. Je n'avais pas non plus à me plaindre de ma belle famille bien que certaines personnes nous trouvaient étranges d'autant plus que mes "enfants" adoptifs étaient ensemble, une chance que ses mauvaises langues ne savaient pas que chacun d'eux étaient marié.

Je fermai la porte derrière moi car j'avais envie de passer un moment en tête à tête avec ma douce ettendre Esmée. Entre le boulot et les enfants, je l'avais négligé et je comptais bien me racheter j'étais du genre discret et je ne tenais certainement pas à ce que les jeunes nous surprennent à quoi que ce soit! À peine assis à côté d'elle, je tournai la tête vers elle qui venait de me parler

Esmée: Bonjour Carlisle, je ne t'attendsais pas aussi tôt!"

Je posai un baiser sur ses lèvres avant qu'elle ne se laisse tomber contre mon épaule.

" Je pourrais retourner bosser et revenir en même temps que les jeunes si c'est ce que tu veux ma chérie!"

Je posai un baiser sur le haut de son crâne avant de caressser doucement sa main qui était dans la mienne. Je me sentais drôlement bien avec elle. Je la regardai s'éloigner un peu de moi et me poser une question :

Esmée: Croyais-tu te rendre aussi loin Carlisle? Pensais tu un jour pouvoir garder ta famille aussi unie et être capable d'avoir un métier que tu aime dans chaque vie que tu recommence?

Je passai une main sur sa joue et la caressai doucement.

"À vrai dire, quand je suis devenu vampire il y a plus de 300 ans déjà, je ne pensais pas à ce que je deviendrais, je pensais qu'à survivre sans tuer. Quand je t'ai trouvé, j'ai sû que la vie serait plus belle avec toi. Tu sais... Je m'efforce chaque jour de nous garder aussi uni car je sais que nous pouvons être plus que ce que nous sommes!"

Il mit sa grande main d'homme sur ma joue avant de répondre à ma dernier question . J'avais toujours aimé ses petits signe de tendresse qui me donnait il n'y avait que nous entre les mures d'une pièce. Je me sentais un peu gamine en se moment. Devrais-je en avoir honte? Peu importe, je me sentais légère et un peu trop nostalgique en se moment pour me compliquer la vie avec la manière qui serai mieux de me comporté. Je l'écouta sagement parler, comme toujours. Je ne croix pas avoir une fois manquer d'attention quand il m'adressait la parole. Peu importe..

-On pourrai être plus que ce que nous sommes ? J'ai bien peur de ne pas comprendre pourquoi tu penses de cette manière. Il n'y a pas de famille plus soudé que la n'autre. Je regarde le monde d'aujourd'hui et les personnes son méchante et leur valeur son absente. Ici , bien qu'il y a certaine embuche, tout le monde s'aime. Alors pourquoi demandé plus ? A trop vouloir atteindre la perfection on fini par se noyer dans l'illusion.

Je me relaissa tombé contre son corps en ferment les yeux. J'étais si bien quand il était proche de moi . Il n'avait pas besoin de me touché pour me faire fondre. Il avait tout simplement à me regarder pour me faire perdre la tête. Par chance je suis capable de resté moi même et de ne pas divaguer quand les enfants étaient dans les parages. Surtout quand Edward était la. Il en fallait toujours de peu pour qu'il puisse lire dans ma tête.

-Je suis sur contente que tu es fait de moi ta femme.

Je me redressa un peu pour pauser un baiser délicat sur ses lèvres. Je lacha sa main tout en me redressant un peu pour passer devant lui. C'était un peu mieux pour le prendre dans mes bras. Je pausa un nouveau baiser sur son front tout en me collant contre lui.

-Sa a du bon que tu sois entré plus tôt aujourd'hui.

Je soupirai lorsqu'elle commenca a parler de perfection, Bon j'avais encore dis un truc qu'il ne fallait pas, je demandais peu-être trop. Je je voulais seulement que les jeunes arrêtent de se disputer pour des conneries et puis, j'avais beau avoir plus de 300 ans, j'avais du mal avec les disputes et je ne savais pas comment m'y prendre. J'étais encore à cran avec cette histoire d'expérience. Je passai une main susr mon visage et soupirai faisant comprendre à ma femme que je ne voulais plus en parler et qu'il était temps de passer à autre chose. Je voulais garder mon tempéramment calme après tout et je suis certains qu'elle serait d'accord avec ca.

Je passai une main dans son dos caressant doucement du bout des doigts. Je me sentais tellement bien avec elle, Je devais retrouvé ce que j'étais avant cette foutue expérience je me torturais et j'avais l'impression de la perdre alors que je me perdais moi même. Je la gardai ainsi contre moi et sourit en écoutant ce qu'elle avait à me dire..

Esmée : Je suis sur contente que tu es fait de moi ta femme.

La voyant se mettre un peu mieux sur le lit agenouillée devant moi sur le matelas. Je passai a nouveau ma main sur sa joue et la caressai alors qu'elle venait de m'embrasser. Le haut du corps tourné vers elle, je lui souris avant de fermer un peu les yeux. CA me faisait tellement de bien lorsqu'elle se collait contre moi et posait ses lèvres sur moi.

"Si tu le veux bien Esmée... je... Je voudrais savoir si tu voulais renouveler tes voeux de mariage avec moi pour notre 85ème anniversaire.."

Esmée :-Sa a du bon que tu sois entré plus tôt aujourd'hui.

" je suis tout à fait d'accord !"

Minute, j'avais parler trop rapidement. J'avais manqué quelque chose? Mon cerveau commençais à prendre de l'age ! Il avait un peu de la misère à enregistré la demande de mon époux. Se genre de ''jeu'' on laissait sa a Rosalie et Emmett. Avec Carlisle je m'étais marier qu'une seule fois et jamais l'idée de me remarier avec lui m'avait passer à l'esprit. Non pas que je l'aimais pas ! Loin de la ! Mais seulement parce que je n'avais pas besoin de se genre de chose pour continuer à l'aimé un peu plus chaque jours.

Je passa ma main dans ses cheveux doré tout en affichant un sourire parfait sur mon visage. Même si je n'avais jamais vraiment pensé à renouveler mes vœux avec mon tendre époux, je n'étais pas contre l'idée. Depuis un moment à la maison les choses étaient un peu folle. On n'avait même eut notre première prise de tête. J'avais osé affronté mon mari! Vous vous rendez conte? Notre famille était unis, mais il y avait quelque débordement. Chose normal, on ne peut pas toujours être de bonne humeur. Je ne me souviens plus trop se qui c'est passer pour que cette histoire arrive.

Même s'il m'avait fait cette proposition, je le voyais préoccupé. Les remords suite à ce qui c'était passer l'autre fois refit surface. Je me serra un peu plus contre lui. J'étais a genou devant lui. Je pausa sa tête sur ma poitrine pour pouvoir mettre ma joue sur sa tête.

-Rien ne me ferai plus plaisir que de me remarier avec toi . Je t'aime tellement Carlisle.

Je n'aimais pas les disputes et tout le monde l'avait bien appris à leur dépend en faite. Je m'étais replongé dans le boulot jusqu'à en avoir marre et qu'on mon patron m'envoie en vaccances d'ailleurs j'avais passé cette semaine là loin de Forks où j'avais chassé comme un dingue et j'étais revenue à la maison saint de corps et d'esprit et surtout les yeux d'un doré très clair. J'avais retrouvé ma femme et m'étais excusé pour mon comportement douteux.

Je la regardai dans les yeux un bon moment avant de l'embrasser tendrement. Nous n'étions pas comme Rosalie et Emmett, j'avais épousé Esmée une fois et je savais que je n'avais pas besoin de faire plus, mais pour moi cette année avait été difficile et je voulais également souligné nos 85 années de vie commune. Je ne voulais même plus me rappeler cette dispute avec Esmée je n'étais pas dans mon assiette et je regrettais bien des choses que j'avais fait durant ce mois là mais mafemme avait toujours été près de moi. Je me laissai tirer vers elle et posai ma tête bien contre sa poitrine. Je fermai un peu les yeux et patientai. J'aimais ces petits moments là avec elle. J'avais bien fait de faire d'elle une vampire je ne l'avais jamais oublié.

Esmée : -Rien ne me ferai plus plaisir que de me remarier avec toi . Je t'aime tellement Carlisle.

"Si tu savais comme je t'aime Esmée, je ne sais pas ce que serais ma vie sans toi!"

Je regardai ma femme dans le yeux après avoir relever la tête et prenant son visage entre mes mains je l'embrassai avec un peu plus de passion et je voulais agir plus humainement et prendre mon temps alors une de mes mains changea de trajectoire et je la dirigeai vers le bas où je glissai cette fameuse main sous son haut.

Je le regarda doucement quand il prit la parole. J'adorai encore de sa bouche les preuves de son amour. Je l'aime tellement sans lui je serai plus de se monde et je n'aurai jamais connu la joie d'etre une femme. A ses coté je me sentais si aimé , si précieuse.Il ne me laissa pas le temps de dire quoi que ce soit. Ses douces lèvres emprisonna les miennes. Je répondis au baiser avec autant de passion qu'il en mettait, sinon plus. Puis sa main glissa sous mon chandail. Je redressa la colonne en décolla mes lèvres de sienne. Étrangement le geste m'avait fait réagir, je ne m'attendais pas à sa ....C'était un peu étrange, mais agréable. Je lui souris de bon coeur puis lui caressa la joue du bout des doigts.

-J'adore quand tu es dans cette étas. On devrai être seul plus souvent. Tes caresses me manques.

Avec l'arrivé des enfants dans notre vie on n'avait prit pour habitude d'etre un peu plus sage. D'être des figures parental ''normal'' Les marques d'affection qui dépassait la simple accola était rare quand ils étaient dans les parages. Deplus avec l'arriver d'Emmett, Alice, Rosalie et Jasper on n'était toujours occupé à gauche et a droite. Il n'y a que dans les premières années de notre mariage ,ou edward était absent plus que la moitié du temps , qu'on se laissait vraiment allé à nos instinct.

Je m'approcha de lui à nouveau pour capturé ses lèvres à mon tour. Je n'avais pas fini se que je voulais dire, mais sa n'avait pas d'importance. Je referma un peu plus mes bras autour de son corps. Une de mes mains se perdit doucement dans ses cheveux. Après plusieurs baiser enflammé je me recula un peu pour regarder son visage angélique. Je ne pu me retenir d'aller embrassé encore une fois ses douces lèvres. Il ne le savait peu-être pas, mais il m'avait complètement envouté..

J’aimais tellement Esmée beaucoup plus que ma propre vie et je savais qu’elle en était consciente. Je ne me souvenais plus tellement depuis combien de temps on n’avait pas fait ca tous les deux c’Était peut-être pour ca qu’elle s’était détacher un peu. Je posai ma main sur la sienne qui me caressait la joue et la regarda un bon moment dans les yeux. Elle me faisait sentir entier et heureux. Je vivais les plus belles années de mon existence depuis que je l’avais transformé et épousé.

Esmée : -J'adore quand tu es dans cet état. On devrait être seul plus souvent. Tes caresses me manquent.

- Je m’arrangerai pour changer un peu mes heures pour qu’on puisse passer du temps tous les deux sinon je prendrai des vacances et on partira sur ton île seuls en amoureux… Ca me fait drôle, depuis des années qu’on joue notre rôle de parents et maintenant on va prendre soin de nous!

Maintenant, et pour une fois, j’avais envie qu’on en profite un peu et qu’on se retrouve psychologiquement et physiquement. J’avais envie de lui montrer que malgré les années, je l’aimais toujours et que j’avais toujours autant de désir pour elle sinon plus. J’espérais simplement que lorsqu’Edward rentrerait, on n’allait pas y penser. Tant qu’à Jasper il allait sans doute être apaisé par notre attitude zen et satisfaite.

Je passai mes bras autour d’elle et remis ma main au bas de son dos pour la caresser de nouveau. Je fermai les yeux sous la caresse dans mes cheveux mais aussi par nos baisers enflammés. Je lui fis bientôt perdre l’équilibre pour la faire coucher sur le dos et me coucher tout contre elle. J’eus une main légèrement baladeuse ne lâchant pas ses lèvres. J’étais bien content que nous n’ayons pas besoin de respirer. Je m’arrêtai un bref moment pour la regarder dans les yeux et une main s’aventura plus haut pour détacher tranquillement son haut.

Mon regard était river sur le visage de mon tendre époux. Mon corps était plaqué contre le sien, Sa main me caressait doucement le bas du dos ce qui me donna une sorte de frisson. Je ne me souviens plus si avoir un frisson c'est la même chose pour les humaines que pour les vampires, mais chose est sur que sa me rends étrangement molle quand sa arrive. Nos lèvres ne se séparait plus, mon corps refusait d'être trop loin du sien. J'étais complètement envouté par lui, que ce soit par ses baisés ou ses caresses. J'étais devenue faible et soumise au moindre de ses désires et ce n'était pas quelque chose de déplaisant, loin de la ! Il avait toujours sur me rendre heureuse.

Il me fit chaviré pour que je me retrouve étendue sur le lit. Ce qu'il avait oublié était que j'avais mis un petit bordel sur la couverture. Discrètement je poussa la valise de truc vers le sol en faisant attention pour ne pas tout faire tombé. Le reste pouvais bien se ramasser au sol, je m'en foutais, ma tête n'était plus trop la. Si sa tombait aucun risque de casse comme il n'y a rien en verre.

Il fini par se décoller de moi. Je chercha rapidement son regard doré. Quand je réussi à le trouver je lui souris, comme toujours. mais cette fois ce sourire cachait un petit air malin et coquin. La main de mon homme commença à défaire les boutons de ma blouse. Je leva doucement la main pour caresser son visage, puis ses lèvres. Une fois qu'il eut fini son petit travaille je me releva sur un coude pour aller capturé ses lèvres de nouveau. Ma main qui était sur son visage se dirigea vers sa nuque. Elle fini par descendre sur son torse puis se fit à mon tour de se battre avec ses stupides boutons.À quoi sa sert d'en mettre toujours autant !

Je la serrai un peu mieux contre moi ne m’arrêtant surtout pas de caresser son dos et ses petites courbes ^^. J’aimais ma petite femme dans son ensemble. Je l’aimais pour ce qu’elle était et comme elle était. J’aimais pouvoir la toucher et ces dernières années je n’avais fait que la serrer contre moi et la cajoler sans vraiment la caresser comme je le faisais en ce moment. J’étais plutôt content que les jeunes ne soient pas là. Je posai des baisers quelques peu coquins sur le dessus de sa poitrine alors que je venais tout juste de détacher son chemisier. J’avais un sourire amusé au visage tout simplement heureux.

Je n’avais plus trop fait attention à la valise et c’est pourquoi j’avais haussé un sourcil en entendant le bruit mais ma Esmée captiva à nouveau mon attention. J’étais tout contre elle sur le côté souriant à ma douce qui me caressait la joue. Elle avait l’air si paisible, mais son petit air malin et coquin me donna envie de voir plus. Je la laissai donc aller et me laissa tomber sur le dos passant un bras derrière ma tête. Esmée avait toujours le Don de me surprendre et je devais avouer que j’aimais la regarder faire. Je voulais quand même rattraper le temps perdu. J’eus un léger rire à la voir se battre avec les boutons de ma chemise et je l’autorisai à la déchirer si elle le voulait, j’avais d’autres chemises. Je posai un doigt sous son menton pour l’attirer un peu à moi et l’embrassai langoureusement. Je voulais quand même prendre mon temps avec elle, mais nous savions tous les deux que les jeunes ne tarderaient pas alors il allait falloir passer aux choses sérieuses. Je posai une main baladeuse sur sa hanche et la caressai descendant un peu vers ses fesses et ses cuisses.

Un moment tendre avec mon doux mari, quoi demander de mieu ? Je suis si bien dans ses bras. Ses lèvres glacé se pausa sur le dessus de ma poitrine, je fermis les yeux tout en lui caressant les cheveux.

Puis il fini par se laisser tombé à coté de moi . Je changea de position pour pouvoir le regardé dans les yeux, un plafond c'était intéressant à regarder quand on n'a rien de mieux à voir.

Je captura à nouveau ses douces lèvres tout en finissant se me battre avec les boutons de sa chemise. Une fois fait je passa ma main sur le coté de son corps tout en me blottissant contre lui. Je ne voulais pas que se moment passe trop vite, je voulais le savouré le plus longtemps possible.

Mes lèvres finirent par quitter les siennes pour aller se perdre dans son cou. Puis je fini par tout simplement m'assoir sur lui. Mes baiser sur perdis sur son corps de marbre. Je m'arrêta dans le bas du ventre, embrassé un pantalon ce n'est pas ce qui à de plus savoureux.

Je me redressa à genoux, les jambes de chaque coté de son corps, je pris doucement sa main pour l'attira vers moi pour qu'il se retrouve en position assise. Une fois fait je fis glissé le bout de tissu de sur ses épaules et l'envoya baladé plus loin.

Je ne pouvais me raviser, j'adorais toucher ma femme et j'adorais qu'elle passe ses doigts dans mes cheveux. J'adorais tout simplement sa présence. Elle était ma douce et tendre moitié. JE me retrouvai bientot en dessous d'elle, j'aimais quand même ce petit moment de soumission où je pouvais être en dessous . Elle avait finalement réussi a déboutonner tout mes boutons et maintenant, j'avais tout simplement envie d'aller plus loin. Je me redressai un peu comme sous ses ordres et me serrer contre elle l'embrassant langoureusement

Je la laissai s'amuser et retirer ma chemise, elle l'avait bien mérité quand même depuis le temsps qu'elle se battait avec. Elle était maintenant a califourchon sur moi et ca me donnait encore plus envie qu'au départ. On aurait dit que rien d'humer son parfum et de l'avoir sur moi m'excitait encore plus que ce que j'avais prévu. Faut dire que les circonstance aidait de beaucoup. Ca faisait des années que aucun des enfants n'étaient à la maison et qu'on pouvait enfin profiter un de l'autre. Je posai un nouveau baiser sur ses lèvres et glissai mes mains vers son dos que je caressai doucement. J'avais envie d'elle, je voulais qu'elle soit comblée plus que d'habitude. Mes mains baladeuses descendirent sur ses hanches et vinrent finalement les caresser, elles glissèrent également sur ses cuisses alors que mes lèvres ne la lâchaient pas.

Autorisé par Alice

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