Kaïlleenah A. Wildayne

Kaïlleenah Alexendrine Wildayne

S U R N O M : Lina, Kaïllee, Kaï

S E X E : Féminin

A G E : 15 ans

N A T I O N A L I T E E : Canadienne

S T A T U T: Humaine
A V A T A R : Selena Gomez

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C A R A C T E R E.

Si quelque chose nous frappe chez la jeune fille, c'est sans aucun doute cette manie de s'effacer complètement d'une discussion ou encore de détourner l'attention de sa personne. En réalité, Kaïlleenah est tellement timide que tout ce qui lui importe est que personne ne lui porte attention. Elle n'aime pas être le centre d'intérêt. De nature calme et douce, il est rare qu'elle se mette en colère ou qu'elle porte un jugement quelconque sur les autres. Il est rare qu'elle prenne la parole d'elle-même ou qu'elle donne son opinons sur quoi que ce soit. Elle préfère de loin écouter les autres parlers. En effet, Kaïllee est une jeune fille qui sait écouter, elle est l'épaule sur laquelle on peut compter sans aucun problème. La jeune femme est posée et sage, bien qu'elle est un talent inouïe pour se mettre les pieds dans les plats. Non parce qu'elle attire les ennuis, mais parce que Kaï n'est pas exactement comme tout le monde, mais j'y reviendrai plus tard. L'adolescente est particulièrement solitaire et elle a très peu d'ami. Elle a d'ailleurs du mal à faire confiance au gens, de peur d'être trahis aussi tôt. D'un autre côté, Kaïlleenah est particulièrement créative et imaginative. Elle part souvent dans les méandres des rêveries sans pouvoir quitter ce monde imaginaire sans une aide extérieur. Son petit monde à elle lui permet de se protéger contre la brutalité du monde réelle, c'est surement une bonne chose, car Kaïllee est quelqu'un de particulièrement fragile mentalement.

Néanmoins, l'adolescente est une battante, elle ne se laisse pas abattre facilement et ne prête aucune attention à ce que les autres disent d'elle. En réalité, Kaïllee est différente des autres et elle le sait. En fait, la jeune fille est dotée d'un handicape déplaisant qui l'isole légèrement ; Elle est aveugle. De ce fait, elle a subit les nombreuses moqueries des enfants toute sa vie. Elle n'a jamais pu se faire à l'idée que quelqu'un pourrais être son ami pour autre chose que par pitié pour son incapacité à voir.

Elle essaie souvent de comprendre les gens, leurs geste, leur erreur, mais parfois, elle n'arrive pas a comprendre comment les gens peuvent être aussi dénuer de sentiments. Certes, la jeune fille n'est pas une sainte, mais certains gestes la rendent sceptique, comme s'il n'y avait aucune raison imaginable d'agir ainsi. Ayant vécu dans la moquerie des autres, jamais Kaïlleenah ne s'abaisserait à un tel niveau, sachant la douleur que cela cause dans l'esprit des gens. Mais elle passe par dessus les moqueries en se disant que les gens rient parce qu'ils ne comprennent pas, parce qu'ils ont peur. C'est tout.

Kaïllee se cache souvent derrière l'aveugle qu'elle est pour ne pas voir les choses horribles qui se passe partout sur cette terre. Bien qu'elle ne voit rien, elle est consciente de tout ce qui ce déroule devant elle, sans le voir. Elle déteste parler du passer, des choses qu'elle aurait dû oublier il y a si longtemps, mais les vieux fantômes ont la vie tenace et ne se laissent pas chasser comme cela. Elle a souvent l'impression que sans le vouloir, les gens autours d'elle tourne le couteau dans la plaie, cette plaie béante qui souille son âme au plus profond...

L'adolescente est particulièrement renfermée, jamais vous ne l'entendrez parler de ce qu'elle ressent, du moins, pas d'elle-même. Jamais elle n'avouera qu'elle a peur ou qu'elle a une irrésistible envie de pleurer. On dit que les yeux sont la porte de l'âme, et Kaïlleenah aime le fait que ses yeux ne reflètent rien en dehors du vide total et absolu. Bien que parfois, le reste de son visage la trahisse. La jeune fille est une sorte de coquille qui garde tout ses émotions à l'intérieur, de peur de communiquer sa détresse aux autres.

Kaïlleenah est également très mal dans sa peau, comme n'importe quel adolescent de son âge. Mais elle n'a pas de complexe comme les autres filles de son âge, certainement parce qu'elle ne peut pas se voir, pourtant, elle passe son temps à se chercher, à essayer de trouver qui elle est réellement, quel est sa place dans ce monde de barbare.

L'adolescente est particulièrement naïve et il est, malheureusement, trop facile de la manipuler à votre guise. C'est d'ailleurs se qui la force à se méfier des gens. Elle n'aime pas être le petit pantin de tout le monde. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle est, au premier abord, quelqu'un de particulièrement froid et distant. Elle est s'est créée une sorte de bouclier de douleur et de froideur. Elle ressemble à une automate, dénuée de sentiment humain. Elle est difficile à cerner, mais Kaï a tomber tellement souvent qu'elle sait qu'à la prochaine chute, elle ne pourra se relever sans dommage.

Kaïlleenah à une peur bleue des orages. À ses oreilles fine, le tonnerre est le pire bruit du monde. Elle a peur du vacarme en tant que tel. Le brouhaha de l'école la rend mal à l'aise. La jeune fille est beaucoup plus dans son élément dans le silence .
P H Y S I Q U E S

La jeune fille a beaucoup plus l'apparence d'une enfant que d'une adolescente de son âge. Peut-être son physique représente plus son état mental qu'autre chose? Elle ressemble à une poupée, irréelle et étrangement difficile à atteindre. Néanmoins, en voyant la jeune fille, vous ne pouvez qu'être attendrit ou encore vous moquez, dépendant de votre mentalité.

Sa silhouette est fine et gracile. Kaïlleenah ne mesure pas plus d'un mètre cinquante-trois, la plus part des élèves de son âge la dépasse d'une demi-tête. Son poids est adéquat, bien que son visage ait gardé ses rondeurs enfantines. Lorsqu'elle ne bouge pas, on pourrait croire qu'elle est gracieuse et agile, cependant, ses mouvements sont légèrement désordonnés, et son pas est particulièrement mal assuré et craintif, normal, lorsqu'on ne voit pas où l'on met les pieds. Pourtant, cela n'enlève rien à son charme.

Sa chevelure est d'une couleur ébène, aussi sombre que la nuit. Ses boucles soyeuses cascadent jusqu’au milieu de son dos. Sa mère prend parfois plaisir à les raidir, leur donnant un aspect beaucoup plus fin. Il est rare de les voir attachés, car Kaïlleenah s'en sert comme bouclier, cachant ses prunelles vides.

Ces dernières sont particulièrement...intéressantes. La pupille de ses yeux ne se détache pas de ses iris, formant un amalgame de noir glacer et sans vie. De loin, Kaïllee ne semble pas être victime d'une cécité quelconque, cependant, de près, on voit nettement que ses yeux sont déficient. D'un part parce que la frontière entre le blanc de l'œil et l'iris est bordé d'un rouge grisâtre qui ne trompe pas. Cependant, ses yeux sont souvent cacher derrière des lunettes fumées ou encore baisser sur le sol de façon à ce que les gens ne les voient pas.

Mais son handicape ne passe pas réellement inaperçu, étant donner que Kaïlleenah se balade avec un chien guide. L'animal n'est pas particulièrement discret. C'est d'ailleurs pour cette raison que pendant 15 ans, elle a reçu une éducation à la maison, parce qu'elle avait peur de ce que les autres pourraient penser d'elle.

Le visage de la jeune femme a garder ses formes enfantines, presque poupin. Son jolie minois forme un rond presque parfait, chaque détails se marie à ravir avec le reste. Cependant, sa bouche à un accent boudeur lorsqu'elle ne souris pas, lui donnant un air triste continuel. Sa peau est d'un ivoire soutenue, lui donnant d'avantage des airs de poupée en porcelaine. Côté vestimentaire, entendons-nous sur le fait qu'elle ne choisit pas ses vêtements seules. Comment ferait-elle sinon? C'est effectivement sa sœur aînée qui choisit ces vêtements chaque matin. C'est donc avec un minimum de grâce que la jeune fille fréquente l'établissement scolaire.

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V O U S & C E . F O R U M

Mon prénom : Karianne
Mon âge : presque 18
Comment je trouve ce forum ? jolie ^^
Le code
Spoiler:

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H I S T O I R E

Je me suis souvent fait dire que la vie n'était qu'éphémère et qu'avec le temps, elle disparaissait pour faire place à une autre vie, celle-ci éternelle. Celle-ci s'appel la mort. Autours de moi, tout le monde en a peur disant que C'était le passage ultime vers la sagesse, notre jugement finalement. En regardant tout cela de loin, je découvre que ce n'était pas le jugement finalement qui leur faisait peur, mais l'inconnu. Je me suis demande à plusieurs reprise si c'était ainsi pour tout les êtres humains habitant ce monde. Avec le temps j'ai découvert que si. Mais l'inconnu fait partit de la vie. La peur aussi. Alors pourquoi reculer si souvent devant lui? Pourquoi ne pas simplement ce dire: " Oui, j'ai peur, et alors?" Malheureusement la constitution humaine n'est pas faites ainsi. On se cache, on a peur d'être rejeter et cette peur fait qu'on l'ai. Alors pourquoi avons-nous peur? Un sentiment simplement humain? Je l'ignore, je n'ai pas les réponses a tout, mais je veux croire. Croire qu'un jour le monde ce libérera de cette peur qui nous enchaîne a plein de croyance. Cette peur qui à fait basculer ma vie paisible et cauchemar éveiller. Cette peur contre laquelle je me bat depuis tellement longtemps que j'en peu plus. Mais cette peur, ce n'est pas l'inconnu. Cette peur viens de qui je suis.

J'ai peur de ce que je suis.

....

Mes parents étaient deux être complètement différent. Autours d'eux, tous et chacun ce demandait ce que cette femme et cet homme faisaient ensemble. Elle était fille de bonne famille, aimante et charmante et lui, bourru et solitaire. Ils n'avaient rien en commun, pourtant ils disaient s'aimés. Peut-être était-ce vrai, peut-être que non. Personne ne le saura jamais. Quoi qu'il en soit, ils semblaient heureux. Mais quelque chose clochait. Tout les deux vivaient dans le passer. Lui dans un passer malheureux, sans parents, vivant dans la misère et elle dans un passer merveilleux entourer de gens. Le problème lorsque l'on vie dans le passer c'est qu'on le laisse prendre l'avantage sur le présent et qu'on ne voit plus les cadeaux que la vie nous offre. C'était leur cas. Malheureusement. Cet homme silencieux était le fils de personne, qui se donnait corps et âme au travail pour subvenir au besoin de la famille. Il n'était personne. Rien que l'ombre de lui même. Elle, elle était la fille d'un homme d'affaire. Une petite princesse gâtée. Elle était tout pour ses parents, tout le monde l'aimait, tout le monde la choyait. Elle faisait de l'ombre aux autres.

Jalousie, envie...Destruction. Amour, attention, possession..
C'est à ça qu'était destiné ces deux personnes. Derrière les apparences l'un détestait l’autre et l'un aimait l'autre. La morale de cette histoire? Je ne la connais pas. Cette femme au grand cœur l'aimait a mourir. Il était son homme, sa raison de vivre, son oxygène et son eau. Pour cet homme, elle était tout ce qu'il détestait. Amour et rêve. Tout ce que les dieux ne lui avaient pas donné. Elle n'était rien. Il se servait d'elle pour avoir de l'affections, jamais il ne l'aurais avoué, mais il l'aimait pour ce qu'elle lui avait donné. Malheureusement, elle lui faisait de l'ombre. Elle et toute sa bonté. Maintenant, il vivait dans l'ombre d'une femme qu'il avait choisit pour lui faire de la lumière. Et maintenant....me voila en scène...

Je suis née dans une immense ville, là ou la douleur et le bonheur n'ont aucune importance tant et aussi longtemps que l'économie roule. Mes parents ne firent pas long feu ensemble et ils divorcèrent avant mes 2 ans. J'étais, pour eux, une source de conflit continue. Mon père aurait souhaité avoir un fils, un héritier amusant et charmant. Mais à la place, il m'a eu moi. Une enfant qui, en plus d'être indésiré, était un handicape pour la famille. À ses yeux, j'empêchais la famille de prospérer, d'être heureux. Je compris que plus tard que c'était non moi, mais lui et sa rancune qui nous empêchait d'être heureux.

Je grandis normalement, enfin le plus normalement possible. Je passai des semaines dans plusieurs hôpitaux, je reçu de nombreuse greffe de Cornée, essayant de me rendre la vu, mais mon corps ne semblait pas accepter la greffe et désespérer, j'abandonnai la partit. Après tout, à l'âge de cinq ans, je ne voyais pas la différence entre moi et les autres enfants.

Je me rendis compte de ma différence que lors de mon premier - et dernier- jour d'école. À la récréation, un enfant était venu me demander pourquoi je me baladais avec une canne blanche, je lui avais expliquer que je ne voyais pas, et les enfants s'étaient mis à rire de moi en me lançant des jouets. Je n'avais plus jamais remis les pieds dans un établissement scolaire de ma vie. Je m'étais isolée des autres avec un facilité qui allarma ma mère, mais je n'y prêtai pas attention.

On me fit l'école à la maison. Nous étions deux, un autre enfant, souffrant du même problème que moi partageait ma classe. Il était mon meilleur ami, mais personne ne m'avait dis que son absence de vison était dû à une maladie inconnue à ce jour. Pour moi, il était né sans vision, comme moi. C'était peut-être naïf, mais c'était ainsi. Cependant, je passais le trois quart de mon temps avec lui, nous avons apprit à lire ensemble, comme des enfants normaux.

Quand j'atteingis mes dix ans, mon ami avait succombé. La maladie qui avait attaqué les nerfs de ses yeux avait rongé son cortex cérébrale, causant une hémoragie qui avait fait trop de dégat. Je me retrouvai à nouveau seule et, déprimée, je ne cherchai plus à apprendre quoi que ce soit. Peut-être qu'avec le temps, j'aurais compris. Ce n'était pas que de l'amitié entre nous. Avec le temps, cela se serait transformé en une amourette d'adolescent, sans aucun doute, mais maintenant, y songer me fait trop mal. Je préfère de loin me dire qu'il n'a jamais exister, qu'il était le fruit de mon imagination, aussi stupide cela puisse être.

Il vint un temps dans la vie de tous et chacun où l'on cherche à comprendre à quoi nous servons dans ce monde. Moi, je ne l'ai jamais trouvé et c'est dans ce mystère que j'ai grandit. Bien que je fus choyée et aimée, il me manquait des repères. Ce fut pire, lorsque mon grand-père, mon unique figure paternelle, mourrut d'un crise cardiaque. Lui aussi, je le remisai dans un coin de mon esprit, me disant que je l'avais imaginer, comme pour mon ami.

Il y a deux ans, notre petite maison sur les rives de la Colombie-Britanique flamba. C'était l'orage qui avait frapper la maisonnette et l'éclaire avait provoquer l'incendie. Une chose idiote certes, mais tellement effrayante. En voulant me sortir de là, ma mère se prit une poutre sur le crane. C'était idiot ça aussi, mais ce fut le coup finale. J'avais l'impression de collectionner les décès. Oh mais ma mère n'est pas morte! Non, elle a été plonger dans un coma pendant près de 18 mois. Entre temps, ma grande soeur me donna Zéphir, mon chien-guide. Il est devenu mon meilleur ami et mon seul confident d'ailleurs.

Au réveille de maman, Clara, ma grande soeur, me demanda d'aller vivre avec ma tante, à Forks. Je ne pu qu'accepter. Je savais pertinnement qu'elle ne pourrait pas s'occuper à la fois de ma mère et de moi, et que moi, je ne pourrai pas supporter de "voir" ma mère ainsi, comme un bébé. Je partis donc chez ma tante et celle-ci, dans un élan de compassion géniale (non mais! Et puis quoi encore?) décida qu'il était temps pour moi de cotoyer des jeunes de mon âge, trouvant que j'avais été élever dans la soie. C'est donc avec un haut le coeur que je commence ma nouvelle vie...espérant que les gens soient plus sympa ici que chez moi...

Re-Bienvenue miss, et VALIDEE !
Très jolie fiche en passant^^

Bienvenue parmis-nous. =]

Bienvenue à toi ! et merci de t'être incrite sur le forum.

Merci ^^

Invité

Bienvenue l'humaine =)