Une visite et une découverte... {Edward prioritaire puis autres Cullen si ils veulent}

Invité

Volterra [ 03h00 ] Le palais

-Aro, puis-je me permettre de vous demander, oh cher mari, la permission de partir pour le parc d'Olympic prendre nouvelle de nos chers amis Cullen ?

- Partez alors si tel est votre souhait ma chére et revenez moi vite

L'élégante robe écarlate lui fouettant ses parfaites chevilles pales, Sulpicia Volturi, épouse heureuse d'Aro Volturi, montait les escaliers d'une des tours du palais afin de se dégotter une robe plus confortable dans ses appartements. Descendant les escaliers de marbre blanc, la vampire se dirigea d'un pas décidé vers les grandes portes lourdes d'ébène qui donnait sur une petite place de la cité. Les deux volets de bois refermèrent sur Sulpicia les ténèbres de Volterra.

Forks [ 10h33 ] Domaine des Cullen

A l'approche d'une telle prédatrice, puissante, gracieuse, attirante, dangereuse, les habitants de la forets s'enfuirent même si il n'avait rien a craindre. Le rythme des pas, le silence qui l'accompagnait, rien ne laissait présagés aux Cullen la venue de cette illustre créatures, une épouses. Son don lui permettait de ne pas se faire repéré. Même si Alice espionnait les Volturi, le don de Sulpicia la préservait de quelconques prémonitions. La robe de soie légère comme le vent, les cheveux tel un torrent de clarté, les traits de visage parfaits et sublime, arrivèrent sur le perron. A cet endroit elle savait que la famille connaissait sa venue du a son odeur. Cependant, elle frappa d'un coup bref mais subtil sur la porte de la villa.

Son ouïe de vampire lui indiqua que quelqu'un se dirigeait vers la porte d'entrée, autre chose que le portail du palais Volturien. Le volet s'ouvrit et, sans dire quoique ce soit, Sulpicia s'engouffra dans la pièce très ouverte de la villa. L''épouse se tourna vers son hôte elle le toisa de son regard inquisiteur. Comme toujours, la Volturi tendit sa main vers l'hôte afin qu'il déposer un baiser sur la face de celle ci comme a toute les rencontres avec ses confrères de race.

La douce musique qui raisonnée dans la villa blanche rendait l’ambiance agréable. Je me délectais du délicieux parfum de rose qui envahissait la grande maison aux murs ivoire. Rose qu’avait disposait ma chère sœur, Alice, un peu partout dans les pièces. Elle aimait tellement ça. Je marchais lentement, tournant en rond sans savoir que faire. Le visage pâle d’Isabella me parvint, tel un souvenir magnifique que je me faisais d’elle. Bien sûr, il ne serait jamais parfait, pas comme la réalité. Rien ne pouvait être comparé à ma Bella. Absolument rien.
Il régnait un silence absolu, dans les environs de notre demeure. Aucuns esprits trop encombrants ne pourraient me distraire. Tout était calme et serein, comme je l’aimais, moi.
Je présentais cependant une venue. Quelque chose qui me dérangerai, comme toutes les fois où je me retrouvais seul. Mais pour le moment, je restais là. L’horizon s’offrait à moi ; dessin infini sous un ciel à présent devenu mauve. Le temps avait passé sans que je puisse m’en rendre compte, et il serait bientôt l’heure de rendre une visite à Bella, lorsque son père serait suffisamment plongé dans ses rêves pour ne pas nous entendre.
Je m’éloignais de la baie-vitrée, marchant plus lentement que n’importe quel vampire, jusque dans le hall. Rien. N’y avait-il plus personne sur cette Terre, mis à part moi ? Probablement pas, et je ne me voyais vraiment pas vivre l’Eternité sans personne à mes côtés.
Doucement mais sûrement, un fond sonore me parvint aux oreilles ; bruits mélodieux de pas inhumain. Êtes-ce un membre de ma famille ? Je ne reconnaissais pas tout de suite l’odeur du vampire qui s’approchait toujours de la villa. Serait-ce possible que … Et bien, j’en allais avoir la certitude dès à présent. Un « toc toc » provenant de dehors fit vibrer le bois dont avait été fait la porte, et je me précipitais vers elle, ouvrant notre « refuge » à l’inconnue. Pourtant, dès que je vis son visage parfait, je reconnus les traits des Volturis ; si jeunes, blanchâtre, et d’une beauté dont aucuns humains n’auraient pu imaginer la grandeur…
M’offrant sa main d’un blanc plus pur que la neige, je lui déposais un baiser, découvrant à nouveau la douceur de leur peau lisse. Elle semblait si fragile, dans sa robe de soie légère, qu’on aurait pu croire qu’un simple coup de vent l’aurait emporté dans les airs.
« Bonjour. Ce mot paraissait si simplet comparer à la femme qui se trouvait devant moi que je baissais la tête, la relevant deux secondes plus tard, de peur d’avoir été malpoli. Que me vos l’honneur de votre visite ? »

Samedi. Il n'y avait pas cours ce jour là, si bien qu'Emmett s'amusait avec son fils adoptif, Keylian, qui avait eu une mystérieuse poussée de croissance : Quittant son apparence de nourrisson de quelques mois, il était devenu un bambin d'environ deux ans, ce qui ne lui avait rien fait perdre de son étonnante beauté.
S'occuper d'un enfant qui sait marcher est nettement plus fatiguant que de surveiller un bébé, si bien que le gros nounours était heureux d'être infatiguable grâce à sa condition de vampire, je vous prie de me croire !
Constatant que la chambre qu'il partageait avec Rosalie ne suffisait plus au petit, curieux, le jeune homme l'avait prit dans ses bras, avant de sauter par la fenêtre, et de se réceptionner souplement sur le sol de la forêt, alors que Keylian explosait de son rire enfantin.

Par la suite, il l'avait posé, avant de s'accroupir pour se mettre à sa hauteur, et de le questionner :

- Tu veux jouer à cache cache avec papa ?

Un large sourire s'était affiché sur le visage de l'enfant, qui avait agité ses petits bras, ravi, avant de répondre avec sa mignonne petite voix :

Keylian : Oui !

Emmett avait passé l'une de ses grandes mains dans ses boucles brunes, avant de se retourner contre le tronc d'un arbre, et de faire mine de compter.
Son fils était étrangement intelligent pour son âge, si bien qu'il s'était mis à gambader, s'éloignant de lui à une vitesse qui lui semblait dérisoire.
Même en ayant les yeux fermés, le gros nounours était capable de surveiller le garçonnet, car son ouie fine et son odorat extrèmement développé lui permettaient de connaître sa position exacte par rapport à lui.

- [ ... ] 9, 10 ! Attention, j'arrive ! Tu es caché ?

Keylian : Oui !

- Tu es sûr ?

Keylian : Oui !

Bien entendu, le petit était nettement visible, même pour un humain ordinaire, car simplement étendu sous une grosse fougère, mais comme n'importe quel parent, Emmett avait fait semblant de le chercher pendant plusieurs minutes, avant de le soulever de terre :

- Ah ah, je t'ai trouvé !

Leurs rires s'étaient mêlés, avant qu'ils ne s'interrompent : Quelqu'un approchait de la villa...

Keylian : Mama ?

Non, ça n'était pas maman...
Resserrant légèrement son étreinte autour de son petit corps, le vampire avait rejoint l'intérieur de la maison en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, avant d'aperçevoir...
Non de Dieu, mais qu'est ce qu'elle venait faire dans les parages celle là ?
Sulpicia Volturi, épouse d'Aro, et donc Reine des vampires, se déplaçait en personne pour leur rendre visite ?
Oh, ça, ca n'était pas bon signe, mais alors pas bon signe du tout !

Même si Carlisle et la majorité de sa famille les respectaient énormèment, Emmett n'aimait pas les Volturi : Ils étaient fourbes, et leurs manières lui déplaisaient beaucoup...
Néanmoins, lorsqu'il avait pénétré dans le hall, et fait face à Sulpicia, il s'était débarrassé de sa casquette, avant de lui adresser un respectueux signe de tête, et d'interroger son frère du regard. En savait-il plus que lui ?
Si la reine exigeait un baisemain, il s'exécuterait, mais comme elle semblait occupée avec Edward, il n'allait pas se précipiter, oh que non !

Nous étions donc Samedi, Je revenais du centre commercial les bras chargée de divers paquet, que ce soit en vêtement pour mon petit ange, ou bien pour moi. Bref celà ferais dans doute des heureux à commencer par moi.

Le calme plat, lorsque je fut entrer dans la maison, si bien qu'une odeur me parut suspecte, je fronçà les sourcil, inquiète. L'odeur d'Emmett ainsi que de Keylian était mélanger. Je soupirai quelques peut soulagé.

Je décidai donc de poser mes paquet à terre, histoire de voir l'intru qui portait cete curieuse odeur. Mine de rien, je m'approcher de la porte du salon qui était entrebailler. La pièce était occupé par mon frère, Edward, et par mon mari, Emmett, tenant dans ses bras notre petit Keylian, ainsi qu'ue jeune femme assez jeune est dotée d'habits luxieux. Typique d'Italie. Je fronçais de nouveau les sourcils. Qui était-ce ? J'examinai sa peau, sa voix et toute sa petite personne. Puis, je m'attardais sur l'expression que lançais mon mari à mon frère. Ila vait l'air visiblement inquiet. Que ce soit l'un ou l'autre. Ils étaient clair que la visite de l'intruse n'était pas de très bonne augure. Décidant qu'il était tant que je me montre, je m'arrageais les cheveux entra la tête haute et le regard hautain. Je ne salua pas la jeune femme qui se trouvais devant moi. Mais la regarda de la tête aux pieds, d'un sourcil haussait je lui avait addresser la parole, me, alors que mon frère et mon mari faisait mouche. Je me plaçai devant mon mari, fière et provocante.

- Je ne crois pas avoir eut connaissance d'une visite aujourd'hui..Mmm vous êtes ?

Je ne me doutais absolument pas de qui elle était, et puis, moi je n'avais pas eut la " joie" de les connaître, Edward nous en avaient fait un léger descriptif.

Je me tournai vers mon mari, me blottissant dans ses bras, ne tournant pas le dos à l'intruse, mon regard la foudroyer sur place avant même que je connaisse son identitée..

-Il me semble que notre invitée à perdue sa langue..aurais-je tord ?

Demandai-je le plus innocement à mon frère..

Son regard était voilé d’une couleur violette, accentuant le contraste de sa peau laiteuse. Sa fine taille recelée néanmoins une force inimaginable, cachée par la fragilité dont elle paraissait être dotée. Ses cheveux d’un brun presque noir étaient lisses et soyeux, tel le plus délicat des satins. Elle resta silencieuse un bon moment. Ses yeux allaient et venaient de moi à la maison, observant chaque détail de la pièce. En une fraction de second, Emmett, ainsi que son fils Keylian apparurent. Dans les bras de son père, il paraissait petit comme une souris. Son visage d’enfant avait prit des forces rondes, régressant avec le temps. Il grandissait à une vitesse incroyable.
Entrant dans la pièce, il inspecta Sulpicia d’un air étonné. Les femmes des Volturis ne voyageaient que très rarement seule, sans garde du corps. Et pourtant, j’avais juste devant moi la femme la plus respectée de toutes, chez les Volturis. Son esprit était froid, et je ne décelais absolument rien qui pourrait m’aider à savoir la raison de sa soudaine visite inattendue.
Lorsque je lâchais sa main, en un geste lent et doux – je ne souhaitais pas avoir les foudres de la femme d’Aro sur moi, je lui souris, croyant que cela pourrait calmer mon frère qui ne savait alors plus où se mettre. Avant que je ne puisse la voir apparaitre, Rosalie fit son entrée, claquant ses talons hauts contre le parquet du hall. Se plaçant en face d’Emmett – toujours aussi désireux de savoir le raisonnement de la jeune femme – Rosalie s’adressa à Sulpicia, comme si elle n’était rien comparée à elle, Déesse sur Terre.
« Je ne crois pas avoir eu connaissance d’une visite aujourd’hui… Mm, vous êtes ? » Son esprit – tout autre de celui de son mari – espérait savoir qu’elle était l’identité de la nouvelle venue. Cette dernière – toujours silencieuse – me regardait toujours, jetant quelques coups d’œil vers le couple de l’autre côté de la pièce.
« Il me semble que notre invitée à perdue sa langue… aurais-je tord ? » Son ton, beaucoup trop irrespectueux envers la femme d’Aro, aurait pu nous coûter cher. Connaissant les goûts des Volturis, j’avais conscience du danger. J’essayais alors de rattraper sa faute. Tournant le visage vers mon frère et ma sœur, je m’adressais à eux de ma voix la plus sereine.
« Et bien vous deux, ne la reconnaissez-vous donc pas ? Ils s’emblaient réellement inquiets, et j’aurais voulut en savoir plus sur l’arrivante. Mais son esprit m’était illisible. Pas comme avec Bella, dont je ne perçais aucune bride de pensée, mais plutôt à quelque chose de flou, d’incompréhensible. D’un signe de tête, je fis non à Emmett le plus discrètement possible, espérant qu’il comprenne mon geste.

J'étais resté toute la nuit avec Edward à parlé de tout et de rien... Il me raconta l'histoire de chaque membres de sa famille. Lui était atteint de la grippe espagnole, Rosalie avec était presque tué le jour de son mariage, Alice sequestré dans un asile, Esmé avait tombé de la falaise car elle avait fait une fausse couche, Emmett avait était attaqué par un ours et Jasper avait était transformé par des femmes... Il m'avait chanté ma berçeuse et je m'étais endormit tendrement dans ses bras. Toute la nuit j'avait encore fait le rêve ou Edward et moi on... Enfin passons.. Je me reveilla dans ses bras, je lui souria quand il se leva d'un coup avant de sortir de la maison par la fenêtre. Je cru qu'il m'abandonné mais il remonta en vitesse en souriant il m'embrassa... Les baissés devenait de plus en plus long... Puis Charlie se reveilla donc il fut obligé de partir. Les journées ce fessait de plus en plus longues... Mais aujourd'hui j'irai le voir chez lui. Je descendit en souriant, Charlie était deja partit. Je prit mes clés et je j'entra dans ma voiture. Puis direction la maison Cullen. Quand j'arriva je me dépécha d'entré car la pluie tombée. Mais a ma surprise, vu les formes, la peau blanchatre, et la beautée de la jeune femme, Edward et sa famille avait une visite. Dangeureuse pour moi? Je recula doucement contre la porte, le soufle coupé. Puis Edward alla vers moi et lui attrapa la main.

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Edward Cullen embrassa ma main, je lui souria. « Bonjour.» Il baissa la tête, la relevant deux secondes plus tard, de peur d’avoir été malpoli. «Que me vos l’honneur de votre visite ? » Je lui souria puis il fut rejoind par son frère, Emmett Cullen. Mari et apparament père d'un adorable petit garçon. Puis comme Emmett était la, sa jeune épouse arriva. Elle se plaça devant son mari, fière et provocante.«- Je ne crois pas avoir eut connaissance d'une visite aujourd'hui..Mmm vous êtes ?» Elle alla dans les bras de son mari. Je m'approcha doucement. «-Il me semble que notre invitée à perdue sa langue..aurais-je tord ?» Je la fixa et prit doucement son menton dans ma main

-Et bien ta beautée ne vaut pas ton cerveau...

Puis une odeur... Une odeur si florale... Une jeune humaine entra ici... Et qui plus est, l'humaine de notre jeune Edward...

-Tient... Tient... Je me nomme Sulpicia Volturi et pour ce qui ne se souvienne pas, Je suis la femme d'Aro Volturi.

Je souria a la jeune humaine, dévoilant mes dents blanches.

-Et vous êtes?

Découvrez Lady GaGa!

Elle m'agaçait, à peine étaits-je rester plus d'une minutes en sa compagnie et celle-ci devenaait vraiment irritable. Ne faisant pas attention à mon frère qui jetais des regard inquiets vers moi, l'espèce de mochetée devant moi c'était adresser à ma petite personne , tout en me prenant le menton dans ses mains. S'exprimant avec une des mots qui me déplut fortement et eut dont de me mettre à rire, ouvertement, je n'était pas de celle qui s'abaisser devant n'importe qui. Et, elle, elle n'était strictement rien pour moi qu'une petite femme, vampire, certe. Mais aussi banal qu'une autre comparait à moi.

-Et bien ta beautée ne vaut pas ton cerveau...

Je m'étais dégager affrontant son regard. J'était froide, et m'étais raidis.

-Vous devriez-vous regarder avant de critiquer autrui, ma chère. Sachez que vous êtes loin de m'égaler.

Celà avait au moins le mérite d'être assez explicite, j'étaits restais polie. Mais ne me laisser pas faire. Elle se croyait ou celle là ? Il était temps qu'elle descende de son pied d'estale. Elle n'était plus à Volterra.

-Tient... Tient... Je me nomme Sulpicia Volturi et pour ce qui ne se souvienne pas, Je suis la femme d'Aro Volturi.

Comme si celà m'inétresser. NOUS intéresser. J'en avais que faire.

** S'ayer, elle raconte sa vie maintenant..Edward, laisse moi la mettre dehors. Histoire de me défouler un peut mm ?**

-Comme c'est...intéressant...vraiment.

Mon visage neutre, mais mes paroles directe, voilà ce qui me qualifier. Tous au long de ma vie j'en avait vu des vampires, dit " gentil", "méchant", "stupide" mais celle là...elle dépasser toutes mes espérances...

-** Mmm tu crois pas qu'il faut que quelqu'un la remette à sa place ? Si c'est le cas, j'en serais ravie de m'en charger..tu sais ? **

Je regardais Edward avec un regard lourd de sous-entendue, je le prier de me laissez faire..Et puis..je voulais me défouler...Etant donné qu'une petite idiote d'humaine m'avait piquer ma robe dans mon magasin favoris..Bref, il fallait bien que quelqu'un prenne et la première dans les parages était-elle..

Emmett, attentif aux moindres sons qui l'entouraient, avait entendu le bruit des pneus de sa femme avant même qu'elle ne s'engage sur le chemin qui menait à la villa blanche, si bien que son apparition dans la pièce ne l'avait pas surprit.
Lorsqu'elle était venue se serrer contre lui, il avait refermé l'un de ses bras autour de sa taille, tandis que Keylian effleurait son visage parfait de l'une de ses petites mains chaudes.

Rosalie : Je ne crois pas avoir eu connaissance d'une visite aujourd'hui..Mmm vous êtes ? Il me semble que notre invitée a perdu sa langue..aurais-je tord ?

Ouille...De toute évidence, elle était d'humeur massacrante, et elle ignorait à qui elle s'adressait...
Désireux de rattraper le coup, Edward les avait interrogés :

Edward : Et bien vous deux, ne la reconnaissez-vous donc pas ?

Son frère l'encourageait discrètement à dire non d'un signe de tête, ce qu'il aurait sûrement fait si la Reine n'avait prit la parole :

Sulpicia : Et bien ta beauté ne vaut pas ton cerveau...

Un léger grondement s'était échappé de la gorge d'Emmett, qui détestait que l'on insulte sa tendre moitié. Il avait tourné la tête en direction de la porte lorsque Bella avait frappé, avant de la saluer brièvement :

- Salut Bella ! Tu ne tombes pas très bien, j'en ai peur. Nous avons une visite un peu...spéciale...

Sulpicia : Tiens... Tiens... Je me nomme Sulpicia Volturi, et pour ceux qui ne se souviennent pas, je suis la femme d'Aro Volturi.

Rosalie : Vous devriez-vous regarder avant de critiquer autrui, ma chère. Sachez que vous êtes loin de m'égaler. Comme c'est...intéressant...vraiment.

Et TOC, dans les dents vipère !
Le gros nounours n'avait pu s'empêcher de sourire devant l'insolence de son ange : Car si la part la plus raisonnable de lui même désaprouvait son comportement un peu suicidaire, l'autre se réjouissait de lui savoir autant de répartie.

Sulpicia : Et vous êtes ?

La Volturi interrogeait Bella...Ainsi donc, c'était pour cela qu'elle s'était déplacée !
Plongeant son regard doré dans le sien, Emmett avait prit la parole, sur un ton qui ne laissait aucune place au doute :

- Bella est ma future belle-soeur, elle fait partie de la famille depuis quelques mois.

Il pensait sincèrement ses mots, même s'il savait que Rosalie ne la portait pas dans son coeur. Depuis le moment où Edward s'était éprit d'elle, l'adolesçente s'était imposée aux yeux du nounours comme une personne à protéger, et Reine ou pas, il comptait bien le faire ici, et maintenant.
Dans ses bras, Keylian s'était retourné, pour faire face à Sulpicia, qu'il fixait de ses magnifiques yeux émeraude. Puis, à l'étonnement général, il l'avait montrée du doigt, avant de décréter :

Keylian : Méhante ! Pas...b...elle !

A la limite de l'hilarité, s'efforçant de contenir un énorme fou rire, Emmett avait passé l'une de ses grandes mains dans ses boucles soyeuses. " Méchante pas belle ", c'était ce qu'il disait lorsqu'il lui lisait des histoires avec des sorcières, et visiblement, il avait bien assimilé !

-Alors May tu trouve?

Réponse négative de ma fille. Je soupirai. Maybel et moi étions en ville pour acheter un cadeau a Callia pour son anniversaire. Le problème c'est que nous ne savions pas quoi. Et ça faisais des heures que nous cherchions. Sortant d'une énième boutique je pris Maybel dans mes bras. Elle commençait a être fatiguée. Normal. Tant pis je reviendrais un autre jour avec Jasper. Soudain en passant devant une boutique mon regard tomba sur une boutique en particulier. Suivant mon regard, Maybel le vit aussi. Je m'approchais.

-Qu'en penses tu petit ange?
Maybel :C'est beau maman
-On lui prend?

Ma fille eu un grand signe de tête et un sourire fleurit sur mes lèvres. Je rentrais dans la boutique et demandais a voir l'objet. Oui il était parfait. Ne regardant même pas le prix je demandais au gérant de me le mettre de coté avant de ressortir et d'aller a la voiture. Mettant Maybel sur son siège je lui fis un sourire complice. Nous avions enfin trouvé!!

-Allez hop on rentre!!

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Garant la voiture de Rosalie je sortis Maybel et me dirigea vers la maison. Soudain je me figeai.

-Merde je l'avais pas vue venir celle là!! m'exclamais-je.

Mais j'étais déja devant l'entrée et il était trop tard pour repartir, Elle m'avait sûrement déja sentie et elle avait sûrement déja sentie Maybel. Mince mince mince!!! Des éclats de voix me parvinrent.

Rosalie : Vous devriez-vous regarder avant de critiquer autrui, ma chère. Sachez que vous êtes loin de m'égaler.

Ah ça c'était du Lila tout craché!! Mais une autre fragrance me parvint et je gémis. Pas çaaa!!!

Sulpicia : Et vous êtes ?
Emmett :Bella est ma future belle-soeur, elle fait partie de la famille depuis quelques mois.
-Dites moi qu'elle le fait expré de venir a chaque fois qu'il faut pas! Quel aimant a ennuis alors...gromelais-je.

Finalement je rentrais. Me dirigeant vers le salon je remarquais Edward, Bella, Emmett et Rosalie ainsi que mon neveu et filleul Keylian qui d'ailleurs parla de sa petite voix.

Keylian : Méhante ! Pas...b...elle !

Je ne pus retenir un petit rire qui attira l'attention sur Maybel et moi. Je me forçais a ne pas rire tout en faisant un grannnd sourire a Sulpicia Volturi. Je rejoignis mes frères et soeur de ma demarche dansante ma fille toujours dans mes bras.

-Bonjour Sulpicia que nous vaut l'honneur de votre visite? demandais je de ma voix cristalline et chantante.

Ben quoi? Autant être polie.

*Désolée Ed' je l'avais pas vu venir celle là* pensais-je a l'intention de mon frère.

Remarquant qu'elle regardait Maybel je lui souris.

-C'est vrai que vous n'avez pas l'honneur de connaitre ma fille. Et bien voilà Maybel, Maybel voilà Sulpicia la reine des vampires...

*Aucun commentaires je rattrape les conneries de ma soeur!!* fis-je en regardant Edward puis en faisant passer silencieusement le message aux autres.

Alice état arriver tentant de "rattraper" mes erreurs. Je levai les yeux aux ciel tandis qu'elle débitait son petit discours de "bonjour Sulpicia et gna gna gna.." celà m'agaçer au plus au point, j'en avais vraiment assez. Tentant de me dégager, Emmett m'avais retenue d'une petite pression ma taille histoire que je ne me jette pas sur l'intruse, tandis que je fermai les yeux agaçer. A mon tour, je foudroyer mon mari du regard. Keylian me regardait de ses petits yeux, je les avaient croiser que très rapidemment il avait eut don de me faire presque rire lorqu'il avait dit.

KEYLIAN : Méhante ! Pas...b...elle !

Je passa vivement ma main sur le visage de mon petit. Avant de reporter le mien sur celui d'Alice...

ALICE : -C'est vrai que vous n'avez pas l'honneur de connaitre ma fille. Et bien voilà Maybel, Maybel voilà Sulpicia la reine des vampires...

Je me retournai vers ma soeur, la foudroyant du regard. Reine des vampires ? Mon oeil oui ! encore une de ces fille de bas étages. En tous cas c'est ce que je leur donné comme nom, pour êttre polie.

-Reine des vampires.... Avais-je murmurer en un petit sourire en coin l'air de dire " c'est çà et moi la reine d'Angleterre". Tandis que je lançai un regard lourd à ma soeur. Depuis le temps tu devrais savoir Alice, que nous sommes libre de nos choix, les Volturi sont seulement là pour veiller à ce que nous soyons pas découvert. Pour ma part, il n'y à aucun Roi et Reine, même si certains se prenne pour ce qu'ils ne sont pas.

Peut être m'enfonçais-je, j'en avais conscience, mais d'un autre côté j'avais raison. Mais peut importe, mon caractère m'empêcher de me m'abaissez comme une petite pauvrette devant cette idiote qui se prétendait être "notre " reine.

Je ne la quitter pas des yeux. Prête à l'éléctrocuter sur place.

Ah ah ah, ce petit était terrible ! Le digne fils de ses parents adoptifs, plein de caractère et d'humour !
Emmett avait eu un mal fou à se retenir de rire suite à la remarque de Keylian : La simple expression qu'avait affichée Sulpicia en l'entendant la traiter de sorcière avait bien faillit avoir raison de son " sérieux "...
Heureusement, l'arrivée d'Alice lui avait fournit un moyen de...en fait non, puisqu'elle avait elle même laissé échapper un petit rire...
Dans ses bras, le garçonnet s'était mit à rire à son tour, avant que sa tante ne prenne la parole, usant de mots bien plus respectueux que ceux de Rosalie :

Alice : Bonjour Sulpicia que nous vaut l'honneur de votre visite ? C'est vrai que vous n'avez pas l'honneur de connaitre ma fille. Et bien voilà Maybel, Maybel voilà Sulpicia la reine des vampires...

Le gros nounours espèrait intérieurement que le mot " reine " ne ferait pas courber l'échine à sa petite nièce, et qu'elle aurait autant de répartie que son petit cousin. Sa moitié quant-à elle, s'en donnait à coeur joie...

Rosalie : Reine des vampires.... Depuis le temps tu devrais savoir Alice, que nous sommes libres de nos choix, les Volturi sont seulement là pour veiller à ce que nous soyons pas découverts. Pour ma part, il n'y a aucun Roi et Reine, même si certains se prennent pour ce qu'ils ne sont pas.

Ouille, cette fois, elle était peut-être allé trop loin...
Resserrant légèrement son étreinte autour de sa taille parfaite, le gros nounours avait glissé quelques mots à son oreille, espèrant qu'elle comprendrait l'importance de ne pas trop fâcher son interlocutrice : Un seul mot d'elle, et ils risquaient une condamnation à mort...

- S'il te plaît mon ange, fais attention à ce que tu dis...

C'est ce moment qu'avait choisit Keylian pour récidiver...

Keylian : Pas b...elle !

Après avoir adressé un bref regard d'excuse à Sulpicia, Emmett avait entraîné la déesse blonde et le garçonnet à sa suite, dans une pièce voisine, avant de se laisser aller à rire, longuement, enfouissant son visage contre un mur afin d'éviter que la reine ne surprenne son hilarité.
Finalement, après quelques minutes de fou rire, il avait retrouvé son calme, et avant de rejoindre les autres, il avait caressé le visage de sa femme, à qui il avait donné leur fils.

- Essayez d'être sages vous deux, hum ?

Et c'était lui qui disait ça ?
Ah ah, très drôle !
Ils avaient tout de même affaire à une personne puissante, et sans lui lêcher les bottes, ils avaient tout intêret à lui témoigner un minimum de respect, sans quoi Aro et sa garde risquaient fort de se déplacer pour les rayer de la surface de la terre...
De retour dans le salon, Emmett s'était silencieusement excusé auprès d'Edward et de son petit lutin, qui faisaient des efforts pour rattraper leurs erreurs de conduite...

Je n’eux pas idée de l’importance des dégâts avant de voir Bella franchir le seuil de la villa. Son parfum, douce fragrance aux mélanges irrésistibles, déclencha une étincelle dans les yeux de Sulpicia. Plus rien ne comptait à présent, à par la vie de Bella. Sa présence ici n’était pas nécessaire. La Volturi était un danger, à prendre avec grande considération.
Les paroles de ma sœur me passèrent au dessus de la tête. Cela n’avait aucune importance. Elle avait l’habitude de se prendre à ce petit jeu du chien et du chat. Emmett semblait prendre un malin plaisir à écouter leurs âneries, à toutes les deux. Personne n’était là pour savoir qui devait être la reine et qui la servante. Nous étions tous pareils. Point final.
Le regard de Rosalie s’était fixé sur moi. « Mm tu crois pas qu’il faut que quelqu’un la remette à sa place ? Si c’est le cas, j’en serais ravie de m’en charger… tu sais ? » Finalement, je n’étais pas contre. Toute proposition était bonne à prendre, si cela signifié contourner l’attention de la visiteuse de Bella. Je fis un souris à ma sœur, m’avançant vers l’humaine. Elle n’osait plus bouger, de peur d’attirer le vampire vers elle. En un geste réconfortant, je lui entourais les épaules d’un bras, lui soufflant dans l’oreille que tout irait bien.
Toute la famille semblait se réunir. Keylian, le fils d’Emmett et de Rosalie, lança à Sulpicia un regard dégouté, avant de lui lancé un « Méchante ! Pas belle ! » lourd de sens. Je souris à ses paroles. Comment un enfant aussi petit pouvait deviner cela ? Probablement parce qu’il avait un esprit très imaginaire.
A la porte, Alice fit son apparition, Maybel non loin d’elle. « Bonjour Sulpicia que nous vaut l’honneur de votre visite ? » Elle paraissait sereine, mais son l’esprit l’était beaucoup moins… « Désolée Ed’, je l’avais pas vu venir celle là. » Je l’excusais d’un signe de tête. Elle comprendrait. Nous avions l’habitude, elle et moi, de communiquer par le biais de signe et de pensée. C’était une sorte de langage codé.
« C’est vrai que nous n’avez pas l’honneur de connaitre ma fille. Et bien voilà Maybel, Maybel voilà Sulpicia la reine des vampires… » « Aucuns commentaires je rattrape les conneries de ma sœur ! » Ce serait mieux ainsi. Je n’en voulais pas à Rosalie. C’était dans son caractère de se montrer hautaine envers les autres qu’elle trouvait inférieure. Malheureusement, le message d’Alice ne passa pas vraiment, et Rosalie avait bien vite fait de reprendre ses paroles incessantes.
« Reine des vampires… Depuis le temps tu devrais savoir Alice, que nous sommes libres de nos choix, les Volturi sont seulement là pour veiller à ce que nous ne soyons pas découvert. Pour ma part, il n’y a aucun Roi et Reine, même si certains se prennent pour ce qu’ils ne sont pas. » Non ! Mais pourquoi dont fallait-il qu’elle se mêle de ça ? Pourquoi fallait-il que ma sœur soit aussi bavarde ?
« Je vous en pris. Là n’est pas là question. Emmett, dans le même état d’esprit que moi, avait emmené Rosalie et son fils dans une pièce proche. Ils revinrent quelques secondes plus tard, recouvrant peu à peu leur sérieux. Je repris alors ; Restons sur la raison de votre venue, Sulpicia. Que faites-vous ici, seule ? »
Je gardais Bella dans mes bras, veillant à ne pas la lâcher. Un seul faux mouvement, et tout partirez en poussière.

Le peur se lisait sur mon visage d'humaine. Alice avec sa petite et Emmett avec un petit garçon dans ses bras... Le petit disait des mots telle que: Pas Belle, Méchante ! La jeune femme me vit, a mon plus grand déséspoir. "-Tient... Tient... Je me nomme Sulpicia Volturi et pour ce qui ne se souvienne pas, Je suis la femme d'Aro Volturi." Je n'osé plus bougé. Edward me prit dans ses bras pour que Sulpicia ne tente rien contre moi quand j'entendit la voix de notre nounours "- Bella est ma future belle-soeur, elle fait partie de la famille depuis quelques mois." Je n'osa rien, ni bougé, ni parlé... Mais apparament Rosalie était OK pour lui en mettre plein la face "- Reine des vampires… Depuis le temps tu devrais savoir Alice, que nous sommes libres de nos choix, les Volturi sont seulement là pour veiller à ce que nous ne soyons pas découvert. Pour ma part, il n’y a aucun Roi et Reine, même si certains se prennent pour ce qu’ils ne sont pas. " Oups... J'avait vraiment choisi un mal moment pour venir voir Edward... Je le regarda appeuré et j'osa parlé a mon tendre Edward

-Je croit que je vais repartir....

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