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![Le Vent Souffle Et Balaye Ma Vie Minable. [Pv Ed' ou Cullen] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) |  Sujet: Le Vent Souffle Et Balaye Ma Vie Minable. [Pv Ed' ou Cullen] ![Le Vent Souffle Et Balaye Ma Vie Minable. [Pv Ed' ou Cullen] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) Lun 2 Fév - 22:51 | |
| -Theme Musical : Papa-Roach- Forever
« Can I Forget ?;
Oublier. L’oublie la chose que les humains veulent le plus au monde après avoir souffert. L’oublie totale, la souffrance qui abdique et recommencer de zéro, comme si rien n’avait exister, comme s’ils n’avaient jamais existé… Souffrire, encore et encore car on n’est en vie… A quoi bon ?
Deaed Like Me
Je roulais vite, trop vite. Tout était flou autours de moi et seul les phares des voitures que je croisais me permettait de me repérer sur la petite route que j’arpentais à plus de cent-cinquante kilomètre heure… Je ne me rappelais pas vraiment des détail.. Seul trois sachet sur ma table, cocaïne, héroïne et du crack… j’avais tout pris… Je me revis prendre cette voiture d’une marque inconnue devant une épicerie, une idée peut plaisante pour la plupart des humains en tête. J’étais en peine, je ne voulais plus exister, je ne voulais plus penser, je ne voulais plus la sentir, sentir sa présence dans le lycée… Tout cela à cause de mon cœur… Tout cela à cause d’une éternel malchance… Cela faisait trop longtemps que je souffrais, cela faisait trop longtemps que ma vie aurait du être effacé, rayé de la liste, avoir un traits noire sur ses lettres… Un coup de blanc sur ma vie ? Pourquoi avais je pensé pouvoir tout oublier, recommencer une vie heureuse et sans tâche ? j’avais voulu arrêter la drogue, voulu refaire ma vie avec elle… Mon cœur se brisa en millier de morceau, j’avais l’âme en peine, des larme coulaient de mes yeux sans que je le veuille. Seul les gouttes qui mouillaient mon baggy et le cuir des fauteuils me permettais de m’en rendre… J’avais été bête, j’avais tout foiré, je n’étais qu’une tâche à effacé de ce monde, qu’une erreur monumentale de la vie.. ma vie était une monumentale erreur. Recalé, sur le banc de touche, je n’avais pas eu la chance de goûter à tout ce que les autres décrivaient… le bonheur, l’amour, la tendresse… ma vie n’avais jamais été facile mais je m’en étais contenté… mais maintenant, impossible d’oublié, dans cette voiture légère, je dépassais largement les limitations de vitesse… je me refusais à entendre, seul les klaxons de certaines voiture que je frôlais de trop près me ramenant à la réalité… je sentais tout mon être disparaître, couler, s’échapper de mon cœur en morceaux… Jamais je ne pourrais le reconstituer comme je l’avais cru tout d’abords en côtoyant Emmett, puis sa famille… Depuis que j’avais croiser sa route, près de chez moi… Sélène. La colère afflua en moi lorsque je repensa à elle… La colère contre dieu, contre la vie, contre tous ceux qui avaient raconter l’amour… Je haïssais ce monde.
I Want To Forget, Forever
Utopie, rêve que j’avais cru réalité. Elle n’avait jamais existé pour moi, mon cœur humain, mes sentiments ridicule m’avaient fait croire qu’un jour, peut-être j’aurais pu être à elle, lui appartenir et qu’elle aussi. Non, rien de tout cela, rien d’aussi magnifique, qu’une erreur incroyable d’un être humain… Je me haïssais, je haïssais l’humain, je ne voulais plus être humains, je voulais disparaître, à jamais, mort. Anonyme, je voulais qu’on laisse pourrire mon cadavre au bord de cette route de forêt, en solitaire, comme je l’avais toujours été.
Adieux la vie, bonjours la mort. Adieux la souffrance, les souvenirs, la vie, la drogue et mon monde cauchemardesque… Bonjours l’idylle de la mort, l’oublie totale qu’aucune substance ne pouvait m’apporter, Bonjours anges de la mort que je sentais s’approcher de moi, vouloir me faire lâcher le volant et partir dans le décor… Ce que je fis. Dérapant de la route je pris un arbre dans le par choque, ma vision se brouilla et je sentis un liquide visqueux et froid s’écouler de mon front pour venir couler sur mes yeux puis vouloir entrer dans ma bouche…
[Je ne sentis pas toute suite cette morsure à ma jambe, au niveau du genoux et de la hanche, je ne sentis pas toute suite que mes chairs avaient été déchirées par mes os qui se révoltaient. Je m’en rendis compte quelque temps après… Un gémissement passa au travers de ma gorge et sortir de ma bouche… La douleur était atroce mais si ce n’était que ce prix à payer pour quitter ce monde, je le payerais avec joie.
Voilà, la mort venait, l’ange de la mort soufflant son haleine froide contre mon visage, a moins que ce ne soit le vent ? Je ne savais pas, Tournant la tête et ouvrant les yeux pour garder un souvenir de ma mort, je vis, à cinq cent mètre de moi en contre-bas, la maison Cullen illuminé… Adieux mes amis, j’ai passé d’agréable moment avec vous.
Ansi Allait s’éteindre un homme, un martyre, un malchanceux pourrie par la vie.
*Boom Boom Boom* |
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