Randonnée

J'ignorais pourquoi, mais j'adorais cet endroit. Les gens y étaient si simple et l'endroit si isolé que je ne pouvais demandé mieux pour la sécurité de ma famille. On vivait tous ensemble depuis des années et leur sécurité m'importait plus qu'autre chose. Bien sûr il y avait ce pacte avec les Quileutes que je respectais et faisait respecter à mes enfants mais pour le reste je ne demandais rien. J'aimais mon métier et malgré les décennies, j'aimais toujours autant sauver la vie des humains.

Aujourd'hui, c'était une petite journée nuageuse plutot grisate. J'étais partie à pied de la maison depuis un petit moment déjà et j'avais envie de juste prendre l'air, de me balader comme si je n'avais pas plus de 300 ans! et comme si j'avais vraiment 23 ans, ma dernière année de vieillissement. Esmée était partie avant que je ne quitte la maison. Les enfants risquaient de rentrer bientôt, mais je ne les obligeaient jamais en rien. Malgré mes nombreuses années j'étais toujours en pleine forme, mais je ne le montrais pas aux autres. Je finis par m'asseoir sur un de ses énormes rochers et regardai partout autour de moi.

Un sourire aux lèvres j'étais arriver à la maison en compagnie d'Alice, nous discutions sur le prochain "anniversaire" de nos hommes respecif. Oui, nous vampires comptions encore les années, même si celà ne se voyait pas c'était " l'attention" envers les membres de notre famille et encore plus en sachant que c'était NOS mari.

-MMm pour Emmett j'avais penser à un week end " sport extrême" je sais qu'il adore çà !

-Mmm et moi..va faloir que je réfléchisse...je voudrais quelque chose qui sorte de l'ordinaire.

Je fit mine de réfléchir et ajouta avec un peut plus d'entrain.

-Ou..je lui offre mon corps, je sais que çà, il aime également. Dit-je en rigolant.

Aice leva les yeux aux ciel tandis que moi j'étais plonger dans mes pensée, il est vrai que c'était une idée çà..même très intéressante, s'abandonner de temps en temps à l'autre ..et se faire plaisir ! tous le monde y gagner..

C'est là que nous vîmes un petit mot, d'Esmée nous demandant d'aller et dire aux garçons de rejoindre Carlisle dans la forêt pour une petite randonnée improviser. Je leva les yeux aux ciel, à mon tour avant de dire :

-Pourquoi une randonnée à cette heure-ci ? Carlisle avait faim ?

Sans tarder nous partîmes toutes les deux avertirs les garçons de venir avec nous dans la forêt après nous être changer et habiller de façon convenable, plus ...décontracter.

Nous partîmes avec nos différentes voitures, trouvant un endroit calme, à la lisière de la forêt ou les garer. Et rejoignirent Carlisle. Emmett me tenait la main tendit que les autres se trouvait derrière nous. Arrivée je salua Carlisle.

-Alors qu'est ce qui se passe ? Esmée nous as demander de te rejoindre..rien de grave ?

Emmett était confortablement installé sur le canapé, devant un match de football qui l'ennuyait plus qu'autre chose, lorsqu'il avait entendu les voix de sa femme et d'Alice. Ah, enfin un peu de distraction dans cet après midi monotone !
Il allait se lever pour les rejoindre, lorsqu'il avait comprit qu'elles complotaient au sujet de son prochain anniversaire, et de celui de Jasper...
Soudainement très intéressé par leur conversation, le gros nounours ne s'était pas montré, immobile et silencieux, espèrant ne pas être découvert en train " d'écouter aux portes ".

Son ange avait tout d'abord évoqué un week end " sport extrême ", démontrant une fois encore qu'elle connaissait parfaitement ses goûts.
Alors qu'un sourire se dessinait sur son visage, le vampire avait pensé :

* Hé hé, tu as tout bon mon amour ! *

Par la suite, Alice avait annonçé qu'elle souhaitait quelque chose de spécial pour Jasper, ce qui avait ammené Emmett à s'interroger : Qu'est-ce qui pourrait bien faire plaisir à Jasper, à part passer du temps avec sa moitié ?
A vrai dire, il l'ignorait...Une nouvelle voiture ? Un objet sympa et technologique ?
Sa réflexion avait été interrompue par Rosalie, qui avait reprit en riant :

Rosalie : Ou..je lui offre mon corps, je sais que çà, il aime également.

Le sourire de son mari s'était élargit :

* Oh que oui ! Je dois dire que c'est une excellente idée ça ! *

Entendant que les deux jeunes femmes se rapprochaient de sa " cachette ", le buveur de sang s'était rapidemment éloigné, regagnant sa chambre pour qu'elles ne le soupçonnent pas de les avoir écoutées.
Riant tout seul de son " méfait ", il avait entendu parler de randonnée. A cette heure-ci ?
Lorsque sa belle était venue le chercher, il avait toutefois été heureux d'enflier ses baskets pour aller marcher, toujours partant pour s'amuser un peu.

Après avoir garé son énorme 4X4 à la lisière de la forêt, non sans avoir plus ou moins fait la course avec ses frères et soeurs, Emmett avait rejoint Carliste, tenant la main de Rosalie dans la sienne.
Si cette dernière s'inquiètait de savoir ce qui avait poussé Esmée à leur demander de rejoindre le chef de famille, lui n'était pas inquiet : Il devait avoir envie de passer un peu de temps en famille, voilà tout !
Enthousiaste, le grand gaillard avait salué son père d'adoption, avant de lui lançer :

- Alors, déjà fatigué ?

Bien entendu, il n'ignorait pas que Carliste, malgré son grand âge, était aussi en forme que ses frères et lui, mais sa gentille boutade avait pour but de détendre un peu les autres, qui pensaient que quelque chose de grave était peu être arrivé...

Journée shopping a Port Angeles avec Rosalie. On avaient pas mal dévalisées les pauvres commerçant et leurs magasins. Ben quoi, nous aimions la mode et nous aimions être belles. Surtout aux yeux de nos hommes respectifs. Quoique Rose aime être belle aux yeux de tous. En rentrant, grand sourire aux lèvres, nous parlions des anniversaires respectifs de nos moitiés, qui approchaient a grand pas.

-Mmm pour Emmett j'avais penser à un week end " sport extrême" je sais qu'il adore çà !

Sport extrême? Ah oui parfait pour mon nounours grizzli de grand frère.

-Mmm et moi..va faloir que je réfléchisse...je voudrais quelque chose qui sorte de l'ordinaire, avais-je répliqué a ma soeur.

Oui, c'était ça le gros problème. Je n'avais absolument aucune idée de quoi offrir à mon unique amour. Perdue dans les méandres de mes pensées, je me dirigeai vers le canapé histoire de m'assoir et de rêvasser quand j'entendis ma soeur parler. -Pourquoi une randonnée à cette heure-ci ? Carlisle avait faim ? Je la regardai sans comprendre puis je vis le mot. Je le lus et sourit.

-Chouette une rando!!

Je courrus chercher mon Jasper, qui fut très tenté par la randonnée, et m'habiller mieux. Un jean, un sous pull léger, une veste, mes baskets et je redescendis avec Jazz. Emmett et Rosa nous attendais. Nous prîmes les voitures et rejoignirent Carlisle assit sur un rocher, rêveur. -Alors qu'est ce qui se passe ? Esmée nous as demander de te rejoindre..rien de grave ? lança ma soeur en guise de salut. - Alors, déjà fatigué ? lança son mari. Levant les yeux au ciel je sautillais de ma démarche fluide et dansante jusqu'a mon père d'adoption et , passant a coté de mon gros nounours je lui glissa

-Pas bien découter aux portes frérot!!

Avant d'aller jusqu'a Carlisle. Je déposai une bise sur sa joue et m'assit a coté de lui.

-Tout va bien ? demandais-je de ma voix cristalline et musicale.

J’étais dans ma chambre, ou plutôt dans la chambre qu’Alice et moi nous partagions. Elle était spacieuse, avec un immense dressing pour contenir tout nos vêtements, et possédait une immense baie vitré qui donnait sur la forêt. Mon amour et moi l’avions décoré à nos goûts même si Esmé avait eu son mot à dire, après tout c’était sa maison ! Posté devant la fenêtre je regardais l’extérieur, le regard dans le vide. Carlisle n’était pas à la maison, il me semblait qu’Esmé non plus, Alice & Rosalie était partit faire du shopping à Port Angeles, et Emmett était en bas occupé à regarder un match de baseball.

J’avais bien sûr essayé de m’intéresser à ce qu’il regardait mais ce n’était pas vraiment très intéressant, beaucoup moins que nos partie de baseball… Je m’étais donc réfugier dans ma chambre pour faire le vide, me recentrer, me détendre. Mon anniversaire arrivait bientôt, c’était quelque chose à laquelle au contraire de ma moitié je ne faisais pas vraiment attention. Quand vous aviez l’éternité devant vous pourquoi compter ? A quoi cela servait il de savoir si vous alliez avoir 164 ans où que vous en aviez 500… Mais si cela était important pour Alice, alors je ne refuserai pas les cadeaux et la fête qui irait surement avec. Surtout qu’Emmett et moi avions été transformés aux alentours de la même date, sauf que pour moi cela avait été environ 70 ans plus tôt.

Je sortis de ma torpeur alors que j’entendais Alice monter et entrer dans notre chambre. Je l’accueillis d’un doux baiser alors qu’elle m’annonçait qu’on partait en randonnée. Heureux de pouvoir sortir de cette maison pour faire quelque chose, j’accueillais la nouvelle avec un sourire alors que comme ma moitié je me changeai. Le style avant tout… Je quittais ma tenue de ville pour enfiler un jean, un gilet noir et des baskets. Tenant la main d’Alice nous arrivâmes rapidement en bas où Rosalie et Emmett nous attendais.

Une fois dans le garage, Alice et moi prirent place à bord du 4x4 dont le volent fut pris par Emmett. Il ne fallut pas longtemps à notre petite troupe pour arriver à la lisière de la forêt. Immédiatement je me mis à courir, ma main dans celle d’Alice et très rapidement nous fûmes au côté de notre père d’adoption, Carlisle. Alors qu’Alice allait l’embrassé, Je me plaçai au côté d’Emmett et tout en saluant Carlisle d’un signe de tête et d’un léger sourire. Je n’étais pas bavard, c’est quand même pas de ma fautes. Et puis les questions avaient fusé, pas la peine d’en rajouter une couche…

J’avais passé ma matinée à courir dans la forêt, sans but précis. J’avais juste besoin de m’extérioriser, de penser à autre chose qu’à Elle. Tout compte fait, Alice avait sans doute raison… Je ne pensais qu’à elle, à l’odeur de sa peau… Étais-je en train de tomber amoureux d’elle… une humaine ?
Tout cela me semblait encore impossible, malgré les visions de ma sœur. Je me posais des tas de questions, me demandant parfois si je ne devrais pas m’exilé de Forks, et d’habiter là où il n’y aurait aucuns humains. Mais, si je faisais ça, ma famille adoptive m’en voudrait. Et je ne voulais pas repartir, comme il y a de ça plusieurs décennies. Esmée avait été bouleversé, et je ne permettrais pas qu’elle le soit de nouveau.

J’étais rentré aux alentour du début de l’après-midi, restant à plusieurs mètres de ma maison respectives, où mes frères et sœurs discutaient. Je ne voulais pas les embêter, ils avaient l’air de bien s’amuser. En tout cas, je le pensais. Et je savais que si je me rendais à la maison, Jasper détecterait mon humeur, qui n’était pas des meilleures je dois le dire. Et le rendre perplexe n’était pas ce que je souhaitais. Je restais donc dehors, assis sur une branche d’un arbre géant qui bordait l’allée de notre entrée. Je regardais le ciel, pas pour apercevoir quelque chose -il n’y avait pas grand chose à regarder dans le ciel à par les nuages -, je voulais juste réfléchir en toute tranquillité à ma situation difficile depuis quelque temps…

J’entendis soudain des pas dans le garage. Sûrement s’apprétaient-ils à partir en balade. J’attendais encore sur mon arbre que le temps passe, regardant la porte s’ouvrir, laissant passé les voitures des deux couples. Lisant dans leurs pensées, je m’aperçu qu’Emmett projetait une petite course avec Jasper pour savoir qui conduisaient le plus vite de deux. Rose quand à elle avait l’air perplexe. Elle se demandait pourquoi Esmée avait voulu qu’ils aillent tous voir Carlisle - lui partit dans la forêt, je ne savais pas pourquoi. Alice semblait elle aussi se questionner sur le mot de notre mère. C’était-il passé quelque chose de grave ?

Les suivants en courant dans la lisière des arbres près des routes, je me dirigeais vers la forêt pour savoir de quoi Carlisle voulait nous parler. Parce qu’il voudrait sûrement nous avertir de quelque chose, non ? La réaction des filles m’avaient rendu soupçonneux. Curieux de savoir de quoi il s’agissait, je me rendis au plus profond de la forêt, suivant les odeurs qui me mèneraient vers mon père.
Je laissais les autres passer devant moi, les suivants toujours par derrière pour ne pas attirer l’attention sur moi. Je vis au loin Carlisle assit sur une pierre, Alice s’installait près de lui avec Rosalie et les deux garçons devant, le regardant, curieux. Je décidais de me faire voir, m’ asseyant non loin de tous, sachant pertinemment qu’ils me verraient à un moment ou un autre.

Apparemment, Esmée avait compris que je voulais avoir tout le monde dans la randonnée, je n’y voyais aucune objection d’ailleurs. J’étais quand même content de les voir. Bien qu’ils arrivèrent chacun leur tour. La pluie s’était arrêtée un peu avant que je ne parte. Le sol était humide voir même avec quelques flaques ici et là mais bon c’était les merveilles de la nature et du monde humain. Je vis d’abord arriver les deux filles, Rosalie avait l’air inquiète comme bien souvent d’ailleurs -Alors qu'est ce qui se passe ? Esmée nous as demander de te rejoindre..rien de grave ?et Alice, elle, toujours de bonne humeur. Elle voulait simplement s’assurer que tout allait bien. Sans doute Rosalie ou Esmée, peu importe, avait semé le doute dans l’esprit de la belle Rosalie et ca l’avait simplement inquiété. Alice me donna un baiser sur la joue me demandant finalement : Tout va bien ? et je lui fis un petit sourire, elles étaient adorable toutes les deux, vampires certes mais adorable quand même, depuis le temps qu’on était dans la même famille^^. Je décidai d’attendre un peu pour répondre à tout le monde en même temps

-Bien sûr que ca va! Ne vous inquiétez pas !

Je posai un baiser sur la joue de la belle Rosalie pour qu’elle se calme un peu et j’attendis que les garçons arrivent pour parler a tout le monde en même j’eus un petit rire au commentaire d’Emmet! Sacré Emmet - Alors, déjà fatigué ?. On l’aimait pour ca et pour bien d’autre chose mais c’était souvent lui qui détendait l’atmosphère. Je saluai Jasper d’un mouvement de tête et finit par soupirai un peu. Tout le monde était là sauf ma tendre et douce moitié, mais bon, si j’avais quelque chose à lui dire, je lui dirai. Je finis par ouvrir la bouche et dit :

-J’ai deux choses à vous dire. La première étant qu’on ira chasser donc pas de cours demain on part ce soir et on reviendra demain… Et la deuxième étant un sujet qui concerne notre petit Edward! Évidemment, vous savez tous ce qui se passe en ce moment. On ne doit rien négliger! Edward semble avoir trouver quelqu'un qui pourrait devenir sa compagne, mais vous devez tous faire attention, elle ne doit pas savoir pour nous ou du moins elle ne doit dire à personne ce que nous sommes...

Carlisle : J’ai deux choses à vous dire. La première étant qu’on ira chasser donc pas de cours demain on part ce soir et on reviendra demain… Et la deuxième étant un sujet qui concerne notre petit Edward! Évidemment, vous savez tous ce qui se passe en ce moment. On ne doit rien négliger! Edward semble avoir trouver quelqu'un qui pourrait devenir sa compagne, mais vous devez tous faire attention, elle ne doit pas savoir pour nous ou du moins elle ne doit dire à personne ce que nous sommes...

Sur le coups, je fallit m'étouffer, quoi ? Bon, d'accord pour allez chasser. Mais en revanche la deuxième partie commençait à beaucoups moins me plaire. Je me raidis lorsque je l'enendit dire "Edward semble avoir trouver quelqu'un qui pourrait devenir sa compagne, mais vous devez tous faire attention, elle ne doit pas savoir pour nous ou du moins elle ne doit dire à personne ce que nous sommes... " Je prit mon air arroguant. Edward se trouvait non loin de nous, il rester quelques peut à l'écart quand à moi, je m'avancer perdant patience.

" Oui, bien entendue et qu'elle idée de s'enticher d'une humaine . Imaginez que sa tourne mal... Celà va nous retombez dessu ! Bravo Edward ! tu trouve toujours le moyen de nous mettre sous les feux des projecteurs. Dois-je te remercier ?. Lui avais-je dit en colère. Oui je ne supportez plus de me taire et de ne rien faire. Je devais protéger ma famille, enfin, j'essayer. Avec Carlisle, Esmée et Alice qui soutenait Edward dans sa démarche, je n'avais pas trop d'allier..Je me retournai vers les autres, desespéré, attendant une réponse de leurs part.. " Et vous ! vous ne dîtes rien, vous le laissez mettre notre famille en danger sans rien dire ! " Concluai-je énervé. Je tournai en rond, énerver. Emmett navais rien dit. En revanche je sentais que Jazz tenter de me calmer ...Ce qui avais le don de m'exapérer encore plus..

- Jasper... roupétais-je " arrête çà.."

Lorsqu'Alice lui avait glissé à l'oreille qu'elle était au courant qu'il avait écouté sa conversation avec Rosalie, Emmett avait légèrement grimaçé, avant de poser sur elle des yeux qui semblaient vouloir dire : Pitié ne dit rien à ma femme, elle va me trucider si elle l'apprend.
Carliste avait rassuré tout le monde en annonçant que tout allait bien, avant d'expliquer pourquoi il avait demandé à Esmée de les faire venir :

Carlisle : J’ai deux choses à vous dire. La première étant qu’on ira chasser donc pas de cours demain on part ce soir et on reviendra demain… Et la deuxième étant un sujet qui concerne notre petit Edward! Évidemment, vous savez tous ce qui se passe en ce moment. On ne doit rien négliger! Edward semble avoir trouvé quelqu'un qui pourrait devenir sa compagne, mais vous devez tous faire attention, elle ne doit pas savoir pour nous, ou du moins elle ne doit dire à personne ce que nous sommes...

La première nouvelle était excellente, si bien que le gros nounours ne s'était pas retenu de montrer le contentement qu'elle provoquait en lui en lançant un " Yes ! " enthousiaste.
Toutefois, la seconde avait eu pour effet de mettre la belle blonde en colère...Visiblement furieuse, elle s'était approchée de leur frère, avant de prendre la parolle avec une voix sèche :

Rosalie : Oui, bien entendu, et quelle idée de s'enticher d'une humaine . Imaginez que sa tourne mal... Celà va nous retomber dessus ! Bravo Edward ! tu trouves toujours le moyen de nous mettre sous les feux des projecteurs. Dois-je te remercier ?

Elle s'était interrompu durant quelques instants, avant de reprendre, après avoir posé un regard accusateur sur son mari et sur Jasper :

Rosalie : Et vous ! vous ne dîtes rien, vous le laissez mettre notre famille en danger sans rien dire !

Emmett n'ignorait pas que Jasper s'efforçait de la calmer en diffusant des ondes positives grâce à son don, chose que Rosalie lui avait d'ailleurs repprochée. Voyant que la discution risquait de dégénerer d'avantage s'il ne tentait rien, il s'était approché d'elle, avant de poser l'une de ses mains sur son épaule droite :

- Rose...Aucun de nous n'a envie de mettre notre famille en danger. Tu sais que je ne laisserais jamais faire une chose pareille ! Le choix de compagne d'Edward est risqué, c'est vrai, mais je pense que nous devons le respecter...

Posant son beau regard ambré et tendre dans celui de sa moitié, le jeune homme l'avait supplié en silence d'essayer de retrouver son sang-froid...
Il était partagé, entre le désir de la soutenir, et celui de ne pas faire de mal à Edward, ce qui représentait pour lui un véritable déchirement...

Je m'étais assise à coté de mon père adoptif attendant sa réponse. Du coin de l'oeil je vis Edward s'assoir près de nous. De toute façon je savais bien qu'il viendrait, d'un je le connaissais par coeur, de deux, je voyais ses pensées alors...

Carlisle : J’ai deux choses à vous dire. La première étant qu’on ira chasser donc pas de cours demain on part ce soir et on reviendra demain… Et la deuxième étant un sujet qui concerne notre petit Edward! Évidemment, vous savez tous ce qui se passe en ce moment. On ne doit rien négliger! Edward semble avoir trouvé quelqu'un qui pourrait devenir sa compagne, mais vous devez tous faire attention, elle ne doit pas savoir pour nous, ou du moins elle ne doit dire à personne ce que nous sommes...

A la première réplique, Nounours ne put retenir un "Yes!" et moi même eu un grand et splendide sourire en battant des mains comme une petite fille devant un grand sapin où plein de cadeaux tronent. La deuxième partie des paroles de Carlisle calma mes ardeurs mais réveilla celle de ma soeur, Rosalie qui explosa litéralement.

Rosalie : Oui, bien entendu, et quelle idée de s'enticher d'une humaine . Imaginez que sa tourne mal... Celà va nous retomber dessus ! Bravo Edward ! tu trouves toujours le moyen de nous mettre sous les feux des projecteurs. Dois-je te remercier ?

Je soupirais. Rose était vraiment contre le fait que la compagne de notre frère soit une humaine. De plus elle ne pouvait vraiment pas se voir Bella. Moi je l'adorais et Rosalie savait bien que comme Esmé et Carlisle j'étais du coté d'Edward. Mais si je savais qu'elle était contre, je savais aussi que Jasper était neutre et qu'Emmett avait beaucoup de mal a choisir entre sa femme et son frère.

Rosalie : Et vous ! vous ne dîtes rien, vous le laissez mettre notre famille en danger sans rien dire !

Encore une fois je poussais un grand soupire. Quand est ce que Rosa comprendrait qu'il fallait parfois faire des sacrifices pour ceux que l'on aime? Mon mari tenta de la calmer à l'aide de son merveilleux pouvoir mais ma soeur le senti et se mit a raler sur lui. Sans vraiment m'en rendre compte je grognais un peu. Je detestais qu'on parlât sur ce ton à ma moitié. Emmett tenta de la calmer, a son tour.

Emmett : Rose...Aucun de nous n'a envie de mettre notre famille en danger. Tu sais que je ne laisserais jamais faire une chose pareille ! Le choix de compagne d'Edward est risqué, c'est vrai, mais je pense que nous devons le respecter...

Je me levai alors et allait vers ma grande soeur et me plaçai devant elle prenant ses mains glacées entre mes doigts fins et tout aussi glacés.

-Rosa je t'en prie écoute moi... Si Edward a choisit une humaine tu te dois de respecter son choix... Emmett aussi était humain lorsque tu l'a choisit... Respecte son choix Rose, il n'arrivera rien à la famille nous feront tout pour tu le sais bien...

Ma voix cristaline et musicale était douce mais avait des intonations de supplications. Rosa devait entendre raison c'était essentiel!!

En quelque sortes j’étais soulagé, mon père d’adoption n’avait rien de grave tant mieux. Il représentait beaucoup pour moi. Sa première annonce fit planer une joie palpable, surtout pour moi. Cependant le reste de ses paroles déclenchèrent la colère de ma sœur « jumelle »

Rosalie : « Oui, bien entendue et qu'elle idée de s'enticher d'une humaine. Imaginez que sa tourne mal... Cela va nous retombez dessus ! Bravo Edward ! Tu trouve toujours le moyen de nous mettre sous les feux des projecteurs. Dois-je te remercier »

Ma sœur était vraiment en colère, je le sentais parfaitement, elle s’adressa ensuite à nous tous, nous reprochant de laisser Edward mettre notre famille en danger sans rien faire. Je restai silencieux comme à mon habitude. Décidant de mettre fin à cette colère qui ne ferrait rien avancer, je fis courir une onde de calme et de paix jusqu’à ma sœur. Elle la « détruit » sans même qu’elle ne puisse l’atteindre lorsqu’elle m’ordonna d’arrêter. Cela provoqua un grognement de ma femme et entraina un renfrognement de ma mine encore plus fort que d’habitude.

Puis chacun expliqua qu’Edward savait surement ce qu’il faisait, tout ça pour calmer Rosalie. Le principal intéressé, à savoir celui qui avait eu l’idée de s’enticher d’une humaine, ne pouvait il pas s’expliquer lui-même ? Il était pourtant présent parmi nous… Pour ma part, je jouai la carte de la neutralité comme ça je ne me retrouvais pas coincé dans la peau d’Emmett, à devoir choisir entre ma femme et mon frère. Quoique ma femme semblait totalement pour cette union. Personnellement, moins je voyais Bella, mieux je me portai, mais si Edward était heureux avec elle, pourquoi pas après tout. Cependant je restai silencieux et en retrait comme à mon habitude… Jetant parfois des légers regards à ma femme.

J’étais resté assis en tailleur près de mon arbre pendant toute la discussion. J’avais déjà deviné de quoi parlerait Carlisle avant même qu’il ne se prononce à haute voix, un jeu d’enfant…

- J’ai deux choses à vous dire, commença-t-il. La première étant qu’on ira chasser donc pas de cours demain on part ce soir et on reviendra demain…

Cette idée me réjouissait beaucoup. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas joué ensemble.

- Et la deuxième étant un sujet qui concerne notre petit Edward! ( Je fronçais les sourcils, ayant comprit où il voulait en venir ) Évidemment, vous savez tous ce qui se passe en ce moment. On ne doit rien négliger! Edward semble avoir trouver quelqu’un qui pourrait devenir sa compagne, mais vous devez tous faire attention, elle ne doit pas savoir pour nous ou du moins elle n doit dire à personne ce que nous sommes…

Bien sûr, la révélation ne fit pas sourire tout le monde… Rosalie avait adopté un air horrifier qui ne me plaisait pas. Elle n’appréciait pas du tout le fait que je laisse Bella m’approcher, elle n’arrêtait pas de me dire que je me trompais, et que je mettais en danger toute notre famille. Elle réitéra mes paroles, comme si elle avait pu lire dans mes pensées.

- Oui, bien entendue et qu’elle idée de s’enticher d’une humaine. Imaginer que sa tourne mal…Cela va nous retombez dessus ! Bravo Edward ! Tu trouve toujours le moyen de nous mettre sous les feux des projecteurs. Dois-je te remercier ?

Elle avait débité ça à toute vitesse, si bien qu’un humain n’aurait pu suivre ses paroles correctement. Elle avait sûrement raison. Mais n’exagérait-elle pas un peu les choses ? Depuis que Bella s’était installée à Forks, personne n’avait été blessé. Et je ne m’étais pas permis une seule seconde de lui faire du mal. Jamais de la vie !
Rose se retourna et fit face aux autres membres de la famille présent ici. Elle s’énervait contre eux, les accuser de me laisser faire, sans protester. Jasper avait essayé de la calmer grâce à son don, mais elle ne souhait écouter personne, et resta là, marchant en rond en sortant des âneries sans que ça n’ai trop de sens… Je n’avais toujours pas osé adresser la parole à ma famille, qui chacun leur tour avait rassurer la blonde. En vint. Même Emmett ne fut capable de la calmer.
Quelques secondes plus tard, je me levais pour faire face à Rosalie qui marchait toujours, sans but précis. Mes yeux étaient devenus presque noirs de colère. Je ne pouvais pas la laisser penser cela. Je me devais de réagir !

- Rose… commençais-je. Rosalie, je peux comprendre ton point de vue. Mais toi aussi, essaie de me comprendre!

Je m’arrêtais deux secondes pour trouver les mots corrects. Ce n’était pas très facile… Expliquer à Rosalie l’emprise qu’avait Bella sur moi. Elle pouvait me comprendre non ? Ca lui était arrivé, bien avant avec Emmett.

- J’ai passé ma vie seul, à vous regardez toi et Emmett, Carlisle et Esmée, et même Alice et Jasper. Je soufflais puis repris, je crois qu’à présent, c’est à mon tour d’être heureux!

Je baissais les yeux, puis les tournaient vers les autres qui étaient restés à l’écart de la discussion.

- Et je tiens à remercier ce qui seront de mon côté, dis-je en souriant. Je pense que … j’aurais besoin de soutient de votre part…

Je soupirai longuement en entendant Rosalie faire son petit speech! Mais on y pouvait rien. Chacun avait sa moitié sauf Edward et je trouvais juste de lui laisser aussi le droit de choisir. C'était risquer d'autant plus que Bella n'était pas au bord de la mort, mais bel et bien en vie malgré qu'elle risquait sa vie trop souvent à mon gout!

Rosalie : - Oui, bien entendue et qu’elle idée de s’enticher d’une humaine. Imaginer que sa tourne mal…Cela va nous retombez dessus ! Bravo Edward ! Tu trouve toujours le moyen de nous mettre sous les feux des projecteurs. Dois-je te remercier ?

Je la laissais aller comme elle le voulait mais elle dépassait quand même les bornes. Je regardai tout le monde autour de moi, m'approchant de Rosalie pour tenter à mon tour de la calmer mais d'une facon autoritaire que je ne prenais pas souvent. J'avais tendance, ou du moins les autres m'avaient toujours vu calme et poser, j'osai levé le ton un bref instant.

- Ca suffit! avais-je émis dans un grondement qui résonnait au fond de ma gorge. Ca avait sans doute surpris tout le monde ici. Je regardai Rosalie dans les yeux l'air sérieux puis je regardai tout le monde à nouveau avant de m'approcher d'Edward le premier de ma famille bien qu'en terme de famille tout le monde était égaux. Je laissai Edward parler car il voulait s'expliquer:

Edward- Rose… commençais-je. Rosalie, je peux comprendre ton point de vue. Mais toi aussi, essaie de me comprendre!

Puis marqué d'une pause, il reprit ce qu'il avait a dire:

Edward: J’ai passé ma vie seul, à vous regardez toi et Emmett, Carlisle et Esmée, et même Alice et Jasper. Je crois qu’à présent, c’est à mon tour d’être heureux!

Je finis par me poster devant mon grand Edward, j'étais fier de mes "enfants". Je les aimais pour ce qu'ils étaient. Je posai mes mains sur ses épaules après qu'il ait dit:

Edward: Et je tiens à remercier ce qui seront de mon côté, dis-je en souriant. Je pense que … j’aurais besoin de soutient de votre part…

Je réfléchis un bref instant à ce que j'avais à dire car je savais que ce dernier prenait toujours très au sérieux ce que je pouvais lui dire et je savais que je pouvais le remettre sur la bonne voix et le pousser à se battre pour ses convictions.

- Edward... Sache que quoi que tu fasse je serai toujours derrière toi, Tu as le droit à ta chance et à ton bonheur et que s'il y a des jaloux, tant pis! Je serai toujours fier de toi!

Je me raidis. Visiblement tous le monde était contre moi, bref ce n'était pas nouveau. Blessé, dans mon égaux je partie au quart de tour. lorsque Carlisle avait OSER insinuer que j'étais je cite "Jalouse". Il avait hausser le ton..

Carlisle - Ca suffit!

Je lui lançà un regard assassin, il était beau être la partriarche de la famille, mais il ya avit un minimum. Après tous j'étais bel et bien libre de mes choix et acte non ? Puis Edward s'avançà pprès de moi, les yeux emplit de colère. Je le regadais de haut, me pinçant l s lèvres our tenter de me calmer...

Rose… commença t-il. Rosalie, je peux comprendre ton point de vue. Mais toi aussi, essaie de me comprendre! Il marqua un pause et ajouta "J’ai passé ma vie seul, à vous regardez toi et Emmett, Carlisle et Esmée, et même Alice et Jasper. Je crois qu’à présent, c’est à mon tour d’être heureux!

Je le regadais à d'un ton non chalant avant de lui répondre.

-Et bien je ne te comprend pas..Tu as le choix entre plusieurs personne. Vampire ! et..et toi tu te laisse avoir par cette gamine . Non, je ne te comprendrais décidemment jamais . Lui dis-je sur un ton de dégout.

EdwardJ’ai passé ma vie seul, à vous regardez toi et Emmett, Carlisle et Esmée, et même Alice et Jasper. Je crois qu’à présent, c’est à mon tour d’être heureux!

-Tu aurais put choisir une vampire ! tu as le choix Edward.. Après tout..tu ne la connais pas assez bien, tu ne sais pas si elle est capable de divulguer notre secret ou non. Je ne veut pas vivre la perte d 'un membre de notre famille à cause d'un humain, peut scrupuleux, pensant qu'à lui ou elle . La preuve ! Emmett à faillit se faire tuer la dernière fois, j'ai eut si peur, j'ai crut que ma vie était entrain de défiler devant mes yeux et la cause ? Une HUMAINE !

Si j'avais eut encore le droit de pleurer, je l'aurais fais. Fatigué de tous, de mon existence, de nos chamailleri, des bétises que mon frère était entrain de faire..Je baissa la tête..malhereuse, personne ne me comprenait..

Edward : Et je tiens à remercier ce qui seront de mon côté, dit-il en sourian en souriant. Je pense que … j’aurais besoin de soutient de votre part…

Carlisle - Edward... Sache que quoi que tu fasse je serai toujours derrière toi, Tu as le droit à ta chance et à ton bonheur et que s'il y a des jaloux, tant pis! Je serai toujours fier de toi!

Je relevai la tête en attendant cette phrase. Qui, sans le savoir m'avais fais du mal. M'avais blessé. Enormément.

-Dans ce cas...je m'en vais. Sa vaut mieux poour tous le monde. Puis que apparemment, je veut gêne tant ! . . Et..desespéré, je tournai les talons..peut être m'étais je tromper de, famille ?

La situation dégénérait lentement, mais sûrement : Edward avait tenté de s'expliquer auprès de Rosalie, Jasper ne parvenait pas à détendre l'atmosphère malgré son don, et même Carliste, d'ordinaire si calme, avait haussé la voix...

Carliste : Ca suffit !

Emmett était malheureux d'avoir à choisir entre Edward et sa femme : Il les aimait tout les deux, pas de la même façon bien sûr, mais tout de même, et faire de la peine à l'un ou l'autre le tracassait plus qu'il ne le montrait...

Edward : Rose... Rosalie, je peux comprendre ton point de vue. Mais toi aussi, essaie de me comprendre! J’ai passé ma vie seul, à vous regarder toi et Emmett, Carlisle et Esmée, et même Alice et Jasper. Je crois qu’à présent, c’est à mon tour d’être heureux !

Rosalie : Et bien je ne te comprend pas..Tu as le choix entre plusieurs personne. Vampires ! et..et toi tu te laisses avoir par cette gamine . Non, je ne te comprendrais décidemment jamais. Tu aurais pu choisir une vampire ! Tu as le choix Edward.. Après tout..tu ne la connais pas assez bien, tu ne sais pas si elle est capable de divulguer notre secret ou non. Je ne veux pas vivre la perte d 'un membre de notre famille à cause d'un humain, peu scrupuleux, ne pensant qu'à lui ou elle . La preuve ! Emmett à faillit se faire tuer la dernière fois, j'ai eu si peur, j'ai crut que ma vie était en train de défiler devant mes yeux !

La conversation ne cessait de s'envenimer, ce qui amplifiait le malaise du gros nounours : Les disputes familiales, lui, ça n'avait jamais été son fort...

Edward : Et je tiens à remercier ce qui seront de mon côté. Je pense que … j’aurais besoin de soutient de votre part…

Le patriarche de la famille lui avait assuré qu'il le soutiendrait toujours, quoi qu'il arrive, ce qu'Emmett ne pouvait pas faire pour le moment...
Non pas que l'envie lui en manquait, loin de là, mais il se devait de soutenir également sa moitié, qui avait été offensée par les paroles de Carliste...

Rosalie : Dans ce cas...je m'en vais. Ca vaut mieux pour tous le monde. Puisque apparemment, je vous gêne tant !

Adressant un regard d'excuse au reste de la famille, Emmett l'avait suivit un peu à l'écart du groupe qu'ils formaient, avant de la prendre tendrement par les épaules, et de tenter de la réconforter :

- Rose..Si tu pars, je meurs...La dernière chose que je souhaite est que tu t'en ailles loin de nous, loin de moi...

Il s'était interrompu l'espace d'un instant, avant de reprendre, les yeux brillants :

- Je t'en prie, arrêtes de te faire du mal...Viens là...

Ouvrant les bras, n'osant pas trop étreindre son ange de peur d'être rejetté, le vampire avait attendu qu'elle se blotisse contre lui en quête de réconfort...ou qu'elle se fâche à nouveau...

Ça dégénérait, ça dégénérait et ça aller...exploser. C'est ce qui se passa. Je reculai lorsqu'a nouveau ma soeur explosa. Edward essaya tant bien que mal de lui parler lui aussi jusqu'a ce que pour la première fois Carlisle hausse le ton.

Carlisle : Ca suffit !

Tout le monde se figea moi la première. Je n'avais casiment jamais vu, une fois pour tout vous dire, Carlisle se mettre en colère ou hausser le ton.

Edward : Rose... Rosalie, je peux comprendre ton point de vue. Mais toi aussi, essaie de me comprendre! J’ai passé ma vie seul, à vous regarder toi et Emmett, Carlisle et Esmée, et même Alice et Jasper. Je crois qu’à présent, c’est à mon tour d’être heureux !

Rosalie : Et bien je ne te comprend pas..Tu as le choix entre plusieurs personne. Vampires ! et..et toi tu te laisses avoir par cette gamine . Non, je ne te comprendrais décidemment jamais. Tu aurais pu choisir une vampire ! Tu as le choix Edward.. Après tout..tu ne la connais pas assez bien, tu ne sais pas si elle est capable de divulguer notre secret ou non. Je ne veux pas vivre la perte d 'un membre de notre famille à cause d'un humain, peu scrupuleux, ne pensant qu'à lui ou elle . La preuve ! Emmett à faillit se faire tuer la dernière fois, j'ai eu si peur, j'ai crut que ma vie était en train de défiler devant mes yeux !

Le ton montait, la conversation s'envenimait. Je tendis la main vers ma soeur hésitai, ne fit rien. Et la conversation continua. Je n'aimais pas les disputes familiales, le froid qui s'installait, les mots durs.

Edward : Et je tiens à remercier ce qui seront de mon côté. Je pense que … j’aurais besoin de soutient de votre part…

Je n'eu pas un seul sourire. Oui j'étais du coté de mon frère mais je comprenais ma soeur et je ne pouvais rien faire j'étais coincé. Mon père adoptif prit le parti d'Edward et ses mots fusèrent durs tranchant blessant Rosalie. Celle ci eu des mots encore plus durs qui me déchirèrent autant qu'Emmett.

Rosalie : Dans ce cas...je m'en vais. Ca vaut mieux pour tous le monde. Puisque apparemment, je vous gêne tant !

-NON!!

Mon cri avait fusé, bref, net. Non la famille n'avait pas le droit de se déchirer ainsi, personne n'avait le droit de partir, non non non ça ne devait pas se passer comme ça!! Emmett tenta de calmer Rose.

Emmett: Rose..Si tu pars, je meurs...La dernière chose que je souhaite est que tu t'en ailles loin de nous, loin de moi...

Je secouai la tête perdue boulversée. Non elle ne pouvait pas partir elle n'en avait pas le droit. Et je la regardais s'éloigner de nous, Emmett avec elle sans pouvoir faire un seul mouvement. J'enfouis mon visage dans mes mains. Je sentis Jasper me serrer contre lui. Je tremblai de tout mon corps. La colère s'empara a nouveau de moi et je me retournai contre Edward.

-Tu vois où nous mène tout ça? Vois donc comment va se finir ton histoire d'amour à la Roméo et Juliette!! Tu n'avais pas le droit de faire ça Edward, pas le droit de diviser la famille pour ton seul besoin personnel!! Par ta faute Rosalie est blessée et elle part, par ta faute la famille se déchire!! Rien n'est plus que colère et tristesse et tu nous force à nous diviser ne sachant qui choisir entre toi ou Rose!!

Mes mots étaient durs je le savaient et je ne les pensaient pas vraiment mais j'étais tellement en colère et tellement déchirée. Ma poitrine était compréssée par des sanglots perceptibles, mon souffle était haletant, mes yeux rouges de larmes qui ne pouvaient couler. Je n'étais pas la Alice habituelle, non j'étais celle, déchirée entre son frère ou sa soeur. Une onde de calme se dirigea vers moi je reculai en faisant non de la tête. Les bras de ma moitié m'enlacèrent et finalement je me laissai aller contre lui mon visage tourné contre sa poitrine divisée intérieurement.

Je souffrais. C'était une certitude. Mais personnes aux alentour, s'emblait y faire attention. Seul compter Edward. Alors que je tourner les talons, et partez en sens inverse, Emmett m'avais doucement retenue, en me pprenant par les épaules, sachant pertinamment que c'était lui. Je le laisser faire gentiment.

- Rose..Si tu pars, je meurs...La dernière chose que je souhaite est que tu t'en ailles loin de nous, loin de moi...

Je me blottie immédiatement dans ses bras, cherchant un peut de réconfort. J'avais envie de pleurer, ne serait-ce que pour soulager ma peine que j'éprouvé en ce moment. Un Ralebol, magistral se fit sentir. J'avais envie de tous plaquer, et partir loin, très loin. Mais ne laisserez pas mon âme soeur, seul. Il viendrait avec moi.

- Je t'en prie, arrêtes de te faire du mal...Viens là...

-J'ai impression que tous le monde ce fou, de ce que je ressens... . Murmurai-e à l'attention de ma seconde moitiée. Soudain, alors que j'étais plonger dans ses bras, à lui. Alice ce déchaina à son tour.

-NON Avait-elle hurler.

J'étais triste, énervé, perdue, tous celà à la fois..

-Tu vois où nous mène tout ça? Vois donc comment va se finir ton histoire d'amour à la Roméo et Juliette!! Tu n'avais pas le droit de faire ça Edward, pas le droit de diviser la famille pour ton seul besoin personnel!! Par ta faute Rosalie est blessée et elle part, par ta faute la famille se déchire!! Rien n'est plus que colère et tristesse et tu nous force à nous diviser ne sachant qui choisir entre toi ou Rose!!

Je décida de faire abstraction de tout, me noyant dans le chagrin et dans les bras de mon homme. Celà ne me ressembler pas, mais j'en avais marre de me battre.. Je relevai la tête, croisant les yeux tendre d'Emmett? Je l'aimer, et je ne pouvait me résoudre à lui faire du mal, à lui.

-Je resterai..seulement pour toi..Emmett..seulement pour toi. Avais-je murmuré dans un souffle incertain avant de m'abandoner une nouvelle fois dans ses bras, à lui.

« Ca suffit ! »

La voix de mon père d’adoption avait résonné comme un coup de tonnerre dans la foret, il avait accompagné ses paroles d’un grognement et je me figeai comme les autres de la famille. Voir le patriarche « en colère », cela ne m’était jamais arrivé, lui qui était si calme, qui avait un self control hors du commun. Entre les membres de la famille, le ton monta rapidement !

Rosalie et Edward continuèrent de se parler sans la moindre courtoisie, la colère de Rosalie étant palpable en particulier pour moi, grand empathe… Puis Rosalie décida de partir, mais pas de partir s’en aller. De quitter la famille pour de bon ! Cette déchirure me faisait du mal, elle était ma sœur, ma jumelle, ma confidente ! Je ne pouvais pas la perdre ainsi ! Je tenais trop à elle. Cependant, ce fut ma femme qui extériorisa nos sentiments à tous les deux en criant en grand Non ! Immédiatement, sentant son désespoir, je m’étais avancé vers elle et l’avais pris entre mes bras. Ma femme explosa de colère et déblatéra toute une slave de parole. Surement que les paroles avait dépassé sa pensée !

Il me fallait la calmer, j’envoyai une onde de calme qu’elle ne semblait pas vouloir, c’est pourquoi j’arrêtai, mais cela ne l’empêcha pas de se blottir dans mes bras. Je savais que si elle avait pu pleurer elle l’aurait fait.

Je n’en pouvais plus, toute cette colère, ces déceptions, ces déchirures, cette peine ! C’était l’enfer pour quelqu’un comme moi capable de ressentir les émotions des autres. D’ailleurs mon visage était crispé, j’étais balloté entre toute les émotions. D’une voix à la limite suppliante je déclarai

« Calmez-vous ! S’il vous plait. On pourrait peut être en parler calmement ?! »

Puis j’enfoui mon visage dans la chevelure de ma femme, la serrant un peu plus contre moi. J’essayai de faire abstraction de tout ça. C'était dur, trop dur. Je souffrais de la souffrance de tous ceux qui m'entourait

Je m’étais toujours promit que je ne ferais jamais de mal à ma famille, et pourtant, j’avais l’impression de m’être trahis… Rosalie m’en voulait atrocement… Je ne savais comment la résonner, lui montrer que je ne ferais jamais une telle chose si cela était risqué. Bien sur, ça l’était, mais je me contrôlais! Je savais m’arrêter quand tout allez trop loin… Apparemment, personne n’en était fier.
Même Alice… Ma douce et belle Alice ne me faisait plus confiance. Ses pensées étaient enragées, et elle n’avait pu les retenir, lançant un flot de parole qui, à mon grand désarroi, me firent à mal de chien.

- Tu vois où nous mène tout ça? Vois donc comment va se finir ton histoire d'amour à la Roméo et Juliette!! Tu n'avais pas le droit de faire ça Edward, pas le droit de diviser la famille pour ton seul besoin personnel!! Par ta faute Rosalie est blessée et elle part, par ta faute la famille se déchire!! Rien n'est plus que colère et tristesse et tu nous force à nous diviser ne sachant qui choisir entre toi ou Rose!!

J’avais mal… Atrocement mal… Comment osait-elle me dire cela, alors que plutôt, elle m’avait promit de m’aider, de me soutenir dans mes choix… Je ne savais quoi penser. Est-ce si mal de fréquenter une humaine? D’aimer? Pour ma famille, ça l’était oui. Pourquoi avaient-ils le droit au bonheur et pas moi ? C’était tout bonnement injuste de leur part !
Jasper avait essayé de calmer le jeu, sans succès. Ses attaques étaient beaucoup trop visibles, et toutes personnes concernées détruisaient la bulle qu’il nous envoyé. Même moi, elle ne m’atteint pas. Je ne supportais plus la scène, je ne voulais plus faire souffrir ma famille ! A quoi bon rester lorsque aucun être que vous aimiez ne vous soutenez ? Il y avait certes Carlisle, mais même lui était à présent énervé contre nous tous. Nous agissions comme des enfants!
Mon visage n’affichait rien d’autre qu’une tristesse énorme. Mes yeux étaient d’un noir d’encre… Tellement perçant que des humains n’auraient pu s’empêcher de s’en apercevoir.

- Calmez-vous ! avait crié Jasper affolait. S’il vous plaît. On pourrait peut-être en parler Calmement ?!

J’allais commettre quelque chose de stupide. Je ne pouvais plus supporter de les voir ainsi, tous.

- Non Jasper, ça ne s’arrangeras pas ! Si je suis tellement dangereux pour vous, je ne vois pas pourquoi je resterais. Je ne veux pas nuire à VOTRE bonheur.

J’avais insisté sur le « votre », aller savoir pourquoi. A cet instant même, je ne savais plus quoi faire. Courir loin d’eux, ou rester pour en discuter ? Non, mon choix était fait! Je les regardais dans les yeux, l’un après l’autre, puis me retournais, près à partir d’ici. Je m’élançais comme une fusée, courrais sans savoir où dans la forêt qui s’assombrissait de plus en plus. La nuit approchait, et je ne voulais pas retournait à la maison…

Tout cette situation m'échappait... J'avais l'appétit coupé Plus question de manger a présent. J'allais me retenir pour manger au final. Je ne regardai pas Alice mais ses paroles étaient blessante vis a vis Edward et Rosalie agissait comme une enfant gâté qui n'avait pas eu ce qu'elle voulait.

Alice:- Tu vois où nous mène tout ça? Vois donc comment va se finir ton histoire d'amour à la Roméo et Juliette!! Tu n'avais pas le droit de faire ça Edward, pas le droit de diviser la famille pour ton seul besoin personnel!! Par ta faute Rosalie est blessée et elle part, par ta faute la famille se déchire!! Rien n'est plus que colère et tristesse et tu nous force à nous diviser ne sachant qui choisir entre toi ou Rose!!

Je ne savais pas comment... ou du moins je ne savais plus ce que je ferais dès maintenant. J'en avais assez. J'avais mal de tout ca et même Jasper n'arrivait pas à m'appaiser. J'avais présentement honte d'eux. Honte de leur agissement et je ne pouvais rien controler. J'avais beau être le patriarche de la famille mais personne n'était de mon côté et ils étaient tous derrière Rosalie... la princesse. Je l'aimais quand même mais son attitude me décevait amèrement. J'étais calme a présent, mais loin d'être appaisé Je tournai la tête vers Jaspers

Jasper- Calmez-vous ! S’il vous plaît. On pourrait peut-être en parler Calmement ?!

Puis Edward repris la parlole dans un ultime message de détresse.

Edward: Non Jasper, ça ne s’arrangeras pas ! Si je suis tellement dangereux pour vous, je ne vois pas pourquoi je resterais. Je ne veux pas nuire à VOTRE bonheur.

La randonnée que je prévoyais faire, ils la feraient sa moi. J'étais dégouté et je n'avais plus faim du moins mes prunelles noir me démentissait mais pas question de manger avec ce qui bouillait en moi de peur de faire un grosse bêtise que je regretterais. Je bessai la tête et finit par lâcher simplement:

- Débrouillez vous sans moi... Je n'ai plus faim!

Puis j'étais parti d'un coup dans une autre direction que celle d'Edward. Loin de tout......

Après mes mots durs et blessants, Jasper tenta de ma calmer, tenta de calmer tout le monde. Sa voix grave et apaisante s'eleva mais je le sentait mal si mal de devoir calmer sa famile, de devoir choisir entre sa soeur et son frère.

Jasper- Calmez-vous ! S’il vous plaît. On pourrait peut-être en parler Calmement ?!

Un message desépéré me parvint. Celui de mon frère.

Edward: Non
Jasper, ça ne s’arrangeras pas ! Si je suis tellement dangereux pour
vous, je ne vois pas pourquoi je resterais. Je ne veux pas nuire à
VOTRE bonheur.

Je réalisais alors ce que j'avais fait. Je réalisais ma bêtise lesmots durs que je lui avaient balancés et que je ne pensaient absolument pas. J'avais été horrible, une horrible garce, une... Je sentis qu'il partait. Je me detachai brusquement des bras de ma moitié.

-EDWARD!!!

Mon cri résonna, appel de desespoir entendu par tous et par les anges mais qui n'eu aucune conséquence. Je tombai a terre, a genoux, alors que Carlisle s'enervait a son tour et partait, furieux. Moi je ne cessais de repeter le nom de mon frère ainé;

-Edward, Edward, Edward... pardon...

Je m'en voulais tellement, qu'elle horrible fille j'avais été. Des bras puissants m'entourèrent et me relevèrent mais je les repoussaient.

-Non je dois le retrouver!!

Je fermai les yeux et entrai un moment en transe puis subitement je courrus, vite, tellement vite, je savais où allait mon frère. Je l'appelais de ma voix cristalline, tellement brisée, tellement déséspérée.

-EDWARD!!

J'arrivais au milieu d'une clairière perdue a milieu de je ne sais où je ne parvenais pas a réfléchir.

-EDWARD!! appelais-je desesperement. EDWARD JE T'EN PRIE PARDONNE MOI TU SAIS QUE JE NE PENSAIS PAS MES MOTS!!

Rie, le silence. Profond. A nouveau je chutai a genoux le visage vers le sol.

-Pardon Edward, je m'en veux tellement si tu savais...

Je répétai ces mots encore et encore et encore. Je n'avais jamais pensé dire ça un jour à mon frère je l'aimais tellement, je le soutenait aussi mais les mots avaient dépassés ma pensée et je me sentais brisée, a choisir entre ma soeur ou mon frère. Déchirée en deux parceque je les aimaient énormément sans aucune différence. Rosalie était ma complice, Edward mon confident. Je ne pouvais me resoudre à perdre les deux.

Rosalie : J'ai impression que tout le monde se fout de ce que je ressens...

Une fois que sa compagne avait été installée contre lui, Emmett avait doucement resserré autour d'elle ses bras puissants, avant de la rassurer :

- Bien sûr que non, personne ne se fiche de ce que tu ressens...La situation est juste...tendue ces derniers temps...

Tendue ? Le mot était faible ! Accablé par une vague de souffrance, Jasper les avait presque supplié d'arrêter de se disputer, pour continuer leur discussion calmement. Manque de chance, après Carliste et Rosalie, c'était Alice qui s'était mise à élever la voix :

Alice : Tu vois où nous mène tout ça? Vois donc comment va se finir ton histoire d'amour à la Roméo et Juliette!! Tu n'avais pas le droit de faire ça Edward, pas le droit de diviser la famille pour ton seul besoin personnel!! Par ta faute Rosalie est blessée et elle part, par ta faute la famille se déchire!! Rien n'est plus que colère et tristesse et tu nous force à nous diviser ne sachant qui choisir entre toi ou Rose!!

Voir sa famille se déchirer était l'une des pires choses qui pourraient arriver à Emmett, si bien qu'il s'était quelque peu crispé en entendant ces mots...

Edward : Non Jasper, ça ne s’arrangera pas ! Si je suis tellement dangereux pour vous, je ne vois pas pourquoi je resterais. Je ne veux pas nuire à VOTRE bonheur.

Son frère avait annonçé cela avec une voix brisée, et il était parti en courant, suivit de près par Carliste, qui semblait profondèment déçu par leur comportement...
Lorsque sa soeur était tombée à genoux, regrettant ses paroles dures, le gros nounours avait esquissé un pas dans sa direction, mais Jasper avait été le plus rapide. Toutefois, il avait été repoussé, et le petit lutin, d'ordinaire si joyeux, s'était lançé à la recherche d'Edward...

Jasper avait été tenté de suivre sa femme, mais Emmett l'avait retenu :

- Je crois qu'elle a besoin d'être un peu seule avec lui...

D'une façon semblable à celle d'un automate, le jeune homme avait relâché son étreinte d'autour de son ange, avant de se laisser tomber assis sur une énorme pierre, la tête entre les mains.
D'une certaine façon, Alice avait raison...La famille était en train d'imploser...La journée était gâchée, et ni lui, ni ses frères et soeurs n'avaient le moral...

J'étais perdue et désorienté, comme à mon habitude. Emmett tenta de retenir Jasper qui partait déjà pour rattrapper Alice. Moi, je commençais à me sentir ridicule. Peut être l'étais-je ? Mais d'un autre côté, je camper sur mes positions et mes idées. Il était hors de question que je mette à "aimer" ou " adorer" cette fille. Elle étiat humaine, et n'avais donc rien à faire dans notre famille. De plus, elle nous mettaient tous en danger, d'une certaine manière. Edward était irrémédiablement et inconsciemment aveugle, oui l'amour l'aveuglé et moi, celà m'énerver au plus au point. Comment ouvait-il croire qu'une simple petite humaine ne pourrait pas trahir notre secret ?

Discrètement et reprenant un peut sur moi pour ne pas flancher. Je m'approchais vers mon frère jumeau et mon mari, les regardant avec peine. Mais toujours stoïque, je tentai de me calmer.

-Emmett ? Lui dis-je d'une petite voix, qui me surpirt moi même. Je rajouta : "J'aimerais rentrer..maintenant."

J'évitais soigneusement le regad de Jasper et m'agrippa à mon cher et tendre avec espoir.

** Pourvu qu'il vienne, sans tarder..**
En effet, j'étais prise d'un mal être ppas possible, j'vaais besoin d'être seule avec Emmett, que l'on se retrouve tous les deux, et ne plus penser à rien qu'à lui et moi, à notre désir d'être avec l'un et l'autre.

Ma plus grande peur ? Surement perdre Emmett. Qu'il me laisse tomber. La peur d'être seule était belle et bien présente. Mon seul lien avec la réalitée, l'amour et la vie ? Emmett, celui qui m'avais redonner goût à la vie...a l'amour et la joie de vivre que j'avais perdu l'hors de mon agression. Très peut de personne save que celà m'à profondément bouleversé et que, je ne m'en suis jamais réellement remise..

Je m’en voulais. Ma réaction avait été exagérée. J’avais réagis comme un enfant se disputant pour une poupée. Sauf que dans mon cas, la poupée était vivante.
Ma vie était devenue un désastre. Je n’avais rien fait de bien ces temps-ci. Comment ne pas m’en vouloir ? Rosalie avait raison. En restant trop longtemps avec Bella, je m’étais la famille en danger. Je ne la connaissais pas vraiment, mais comment ne pas l’aimer ? Et je suis sur qu’elle ne me trahirait jamais ! Elle n’oserait pas faire une telle chose ! Rosalie avait tord ! Il fallait que je me le rappelle.
Je courais encore, loin des autres. Personne n’avait voulut m’écouter, pourquoi les écouterais-je alors ? Ils avaient tous dit la même chose ; « Elle est dangereuse ! », « Tu ne devrais pas être attiré par une humaine ! », et des autres choses du même genre. Je m’arrêtais et m’assis au pied d’un grand arbre. Je ne savais plus quoi penser. Comment réagiriez-vous si votre famille entière se met contre vous ? J’ai préféré m’enfuir, moi. Ridicule !
Soudainement, une voix résonna dans mes oreilles. Cette voix, je pourrais la reconnaître entre mille.

- EDWARD !! EDWARD JE T’EN PRIE PARDONNE MOI TU SAIS QUE JE NE PENSAIS PAS MES MOTS !!

La voix d’Alice était triste, presque casser par la grande force qu’elle avait mit pour me crier ça. Elle ne dut pas m’entendre, mais de mon côté, je parlais d’elle également.

- Alice… Non Alice, ne t’en veux pas ! avais-je murmuré.

Je n’arrivais pas, je me levais, plus vite que notre normal et courrait dans sa direction. Je ne pouvais pas la laisser souffrir comme ça. Un grand frère ne fait pas ces choses ! J’avançais, trop lentement cependant. Mes jambes ne me portaient plus, comme fatiguées de la longue course de tout à l’heure.
A quelques mètres, j’aperçu Alice, tombant sur ses genoux. Si elle avait pu pleurer, elle l’aurait sûrement fait à cet instant. Je m’en voulais tellement… Comment ais-je fais pour commettre une tel chose ?! Je m’avançais vers elle, silencieux.

- Alice…

Un murmure, un souffle, je retins ma respiration quelque instant mais tout avait déja disparut et mes sanglots reprirent de plus bel. Mais comment avais-je pu faire ça? Je me haissais d'avoir craché ces paroles si dure au visage d'Edward. Lui n'avait rien fait d'autre que trouver sa moitié, son amour, son ange, même si elle était humaine et au lieux de le blamer nous devrions le soutenir.

Edward : Alice…

Je redressai la tête et me précipitai dans les bras de mon frère, si vite que s'en était flou.

-Oh Edward pardon!! Si tu savais comme je regrette!! Je ne pensais pas un mot de ce que je t'ai dit!! Bien sur que c'est compliqué et tu sais que je te soutiendrais tout le temps mais c'est tellement dur de devoir choisir entre Rose et toi je vous aime autant l'un que l'autre!!

J'étais toujours accroché au cou d'Edward et je pleurais toujours mais au moins je m'étais excusée et il savait que j'étais avec lui bien que je ne pouvais abandonner Rosalie comme ça. Non je n'en avais aucunement le droit.

Après un long moment où mon frère me berça en essayant de me calmer, c'est ce que je fis. Mes pleurs sans larmes se tarirent, ma poitrine décompressa un peu, je reprenais le contrôle de moi même. Et comme si elle avait vécue comme moi, la forêt se détendit aussi, les oiseaux recomencèrent a chanter, les petits animaux tout comme les grands reprirent leur vie.

-Pardon...dis-je encore en m'éloignant de mon frère.

J'avais les yeux rougis et sombres mais j'allais mieux. Oui, je ne choisirais pas entre les deux. Je soutiendrais Edward mais je défendrais Rosalie. Voilà ce que je ferais.