L'Attaque de Romuald TERMINER

Quand les cauchemar remonte à la surface..

Il était tard, peut être vers les vingt et une heures du soir. Je songé sérieusement à tenter de me distraire. Mais sans succès. La maison était vide pour mon grand déplaisir et je ne savais que faire pour tuer le temps. Esmée et Carlisle étaient partie tous deux en amoureux. Tandis que j'étais condamné à rester à la maison. Toute seule à parler à voix haute comme un pauvre fille gâteuse. C’est ainsi que je secouai la tête négativement

- Si j’avais su… J‘aurai prévu quelques chose pour moi est Emmett..

J’étais habillé simplement aujourd’hui. Un jogging noir avec un petit débardeur lui aussi de la même couleur. Mes cheveux était lâché retombant sur mes épaules. J’étais, comme à mon habitude très belle. Mes yeux reflétant le feu qui crépitait dans la cheminer que j’avais allumer il y avait de cela quelques heures. J’aimer cette sensation de chaleur tout autour de moi. Je remontai a couverture jusqu’au niveaux de ma poitrine et m’empara de mon mp3.

Je fermis les yeux pendant un petit moment, heureuse, savourant ma tranquillité qui, serait surement très vite déranger par un membre de ma famille. En attendant je chantonnai ma chanson favortite du moment que j'avais entendue sur un portable d'une de ses humaines, qui adorait passer ses week end en boite de nuit. Faute de temps. Ou de mon statut de vampire. Je n'osai allez dans ce genre d'endroit. Les gens buvaient, hurler. Et parfois leurs comportement dépasser les bornes. Tous celà me rappelait étrangement l'attitude de Royce, le soir ou il m'avais agresser..

Alors que je respirai, immitant les humains et leurs souffle, ma poirtrine se soulevant au fru et à mesure . Je savourer cet instant présent...jusqu'au moment ou j'entendis un bruit suspect..Je me redressa alerte.

-Emmett ? C'est ..toi ?

À travers les hautes fenêtres de la maison, penché dans un équilibre précaire sur les hautes branches d'un chênes, je regardais celle qui peuplait mes rêves éveillés. Encore plus belle que dans mes souvenirs, elle vagabondait dans sa somptueuse maison, seule. Ses cheveux or flottant derrière elle, me replongeant dans mes souvenirs les plus atroces de mon humanité. Ces mêmes souvenir humains, teinté de brumes, qui ne lui rendait pas hommage. Elle était si belle, dans ces vêtements qui auraient rendu hideuse tout autre femme.

Je dut me contrôler pour ne pas m'approcher d'elle, pour ne pas aller, et la presser contre moi.... pour ne pas la posséder de nouveau. J'imaginais son odeur, et je crus devenir fou de douleur, à la seule pensé que je devais rester encore loin d'elle.

Je me devais de me rappeler que bientôt, je l'aurais pour moi seule. Sans sa familles, sans son homme pour le protéger. Elle m'appartiendrait, et j'aurais enfin ma vengeance.

La nuit douce, et les reflets de la lune déposé sur son corps était impossible à décrire. J'ai du rester plus de 2 heures à la comtempler, ne bougeant pas, de peur d'attirer son regards. Mais jétais loin, loin d'elle et de son corps.

Je pris une grande inspiration, même si je n'en avais pas besoin. Il fallait que je me ressaisissent avant que sa famille ne débarquent .

Me concentrant comme jamais, je réussis à entrer en moi, comme lorsque je créais mes illusions. J'étais maintenant dans sa maison, bien que je n'y étais pas. Tout était intangible, et aucune odeur ne me parvenait. Je controlais cette vision comme si elle eut été moi. Je m'arrêtai à l'entrée du salon, comtemplant ma déesse toujours sur le canapé. Puis, je fit tinter mes pas sur le planché. Lorsqu'elle se retourna vers moi, je murmurai, d'une voix mieilleuse et basse les mots suivant:

- Belle de mes nuits, je serai toujours avec toi. Tu m'appartiens à jamais.

Puis, je disparus.

En même temps, je regardais par la fenêtre. Ce don si difficile à contrôlerl'étais entre autre, par le sentiments de détachement qui en résultait. D'un côté, j'étais l'illusion, et j'un autre, j'étais moi, le spectateur qui regardait la scène.

De mon arbre, je me vis m'avancer, je me vis parler. Sous mes yeux, je voyais ma douce, et la silhouette si familière de celui qui était mon meilleur ami.... Royce King.

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- Belle de mes nuits, je serai toujours avec toi. Tu m'appartiens à jamais.

Cette voix...je me redressai. Je le voyait devant moi, je clignais plusieurs fois des yeux croyant que je rêvai. Impossible. Je ne pouvais rêver. Assise encore sur le sofa je reculai et dans un souffle je murmurai étant certaine que je débloqué. Royce était mort. Je l'avais tuer, je tentai d'essayer, certaine qu'il ne répondrai pas. Que c'était simplement un mauvais tour de ma conscience, qui tenter de me faire perdre la tête.

Ro.. Roy ..Royce ?

Non..je rêvai, je ne voulai pas croire que c'était lui. Et pourant...cette phrase, je m'en rappelle comme si c'était hier. Je dégluti inconsciemment. Non, je rêvai.

- Tu devient cinglé Rosalie..

Consciente que je parler, seule. Je m'emparait d'un coussin à ma porter et le balançer sur "Royce". Quelques secondes après..il disparut. Je re-commencer à "respirer, soulagé. Je décidai de me lever et de fermer tout à clef. Allez savoir pourquoi. Cette "visions" de mon ex-fiancée m'vaais quelques peut remué. Une fois redescendu, je retourna à mes occupations, reprenant mon bouquain et mon portable que je laissai près de moi. Je surveilla le cadran, personne ne m'avais encore appeler. j'attendais le coups de fil d'Emmett. J'ouvrie la première page du bouquain et tenter de me replonger dans ma lecture. Deux minutes après. Je laissa tomber et tira la couverture sur moi, me recroquevillant dans le sofa.

Je tentai d'oublier.

-Fichue conscience !

La voir dans tout ses états m'était jouissif. J'avais encore quelques minutes devants moi, et je comptais bien tous les utilisées. La belle semblait vouloir reprendre la lecture, tandis que je préparais ma prochaine intervention. Lorsqu'elle déposa son livre et qu'elle se mis en boule, je fit apparaitre un autre être sorti tout droit de ses cauchemards.

Encore une fois, J'étais dans le salon , avec elle. Je la comtemplais, tandis qu'elle était recroqueviller sur le divan. J'eut un sourire lorsqu'elle parla de sa conscience.

Mon apparence était celle d'un jeune homme, habillé dans le costume de notre époque, celle de moi et de Rosalie. J'étais un des garçons présents lors de l'attaque. Le regard paticulièrement pervers, il était le deuxième a lui avoir passé sur le corps et le premier à être mort par sa faute.

J'étais tout ensanglanter, portant les même vêtement que le jour de sa mort. La machoire était pratiquement défaite, et l'épaule ne tenait que par un fil. ¸

J'apparut à elle, sinistre cadavre ambulant. Les yeux particulièrement vitreux, et l'odeur du sang puissant émanant de mon être.

- Rosalie.... tu vas payer.... pour ce que tu nous as fait subir...

La voix d'outre-tombe sortait de ma bouche. Alors que son regard se posa sur moi, je m'évaporais de nouveaux.

j'étais maintenant à côté d'elle. J'étais une femme, la mienne, en l'occurance. Assez banale en soi, d'une beauté ordinaire. J'avais appris que ma disparition lui avait laisser une trace indélébile. Malheuresuement, elle était tomber enceinte de moi. Ne pouvant supporter les ragot, elle avait mis fin à ses jours, lançant ma seule déscendance dans une falaise.

Je ne m'étais jamais soucier de ces broutilles, mais l'idiotie de ma femme allait me servir.

J'étais la mère éplorer, tenant dans les bras mon enfant mort. Ses cheveux pareil au miens. J'étais assis à côté de Rose. et je pleurais de tout mon corps.

- Pourquoi avoir fait cela a mon mari. Pourquoi... tu étais mon amie, tu savais comment je l'aimais.

les sanglot étouffait ma voix, tandis que ses bras dévoilais les profonde cicatrice qu'elle s'était infliger aux poignet.

J'espèrais de tout coeur qu'elle eut entendu parler de ces histoires. J'étalai le rejetton mort sous les yeux de Rosalie et en la maudissant, je disparut de nouveaux.

Toujours sur mon arbre, dans une autre partie de moi, j'observais la scène comme si je fut au cinéma.

Recroqueviller sur le canaper, la couverture sur moi. Je tentai de reprendre mon self control. "Respirant "lentement, une habitude que j'avais conserver de mon encienne vie d'humaine. Je tentai d'oublier. Je pensai à Emmett, m'imaginant dans ses bras. Et le sourire me revînt immédiatement. Je l'aimer. Il me manquer terriblement. A chaques absences de mon dévouer mari. Me briser le coeur. Alors que j'étais dans mes pensées. Une de mes "hallucination" revenait à la charge. Je poussai un petit crie. Je les avaient reconnu, comment aurais-je put ne pas me rappeler de ces hommes..

- Rosalie.... tu vas payer.... pour ce que tu nous as fait subir...

Je reculai apeuré, avalant ma salive.

-Vous ? mais..je..je..vous aient tuer !

Je me recroquevilla un peut plus. Incapable de bouger. J'avais peur, terroriser. C'était comme si mes cauchemars d'humaine reprenait vie mais en pire. Ils étaient défiguré. Par le temps. Le sang encore présent. Je gémissais.

-Qu'est ce que vous.. Je ne put terminer ma phrase que les deux bourreaux s'étaient évaporé. Perdu, je ne comprenait plus rien.

-Je perd la tête c'est...C'est... pas possible..non.

Alors que je tentai de prendre mes esprits. Je poussai un crie déchirant. Une femme aux allurent s'anglante avec un enfant dans les bras m'étais apparut. Un nouveaux née. Je tenter de parler. Aucun son ne sortait de ma bouche.

-Pourquoi avoir fait cela a mon mari. Pourquoi... tu étais mon amie, tu savais comment je l'aimais.

Je la regardais. J'étais entrain d'halluciné ? Je tandis ma main vers elle. Alors que je sentie sa peau froide. J'hurlai me redressant.

-Non non non..NON je rêve..vous...vous n'exister pas...non..

Les sanglots étouffait sa voix, tandis que ses bras dévoilait les profonde cicatrices qu'elle s'était infliger aux poignet. Je la regarder effrayer tandis qu'elle me poser sont rejeteons à terre. Mort. Si j'aurais était capable de pleurer, je l'aurais fais. Mon regard allant du nouveau né. Jusqu'à la mère. Et inconsciemment. Je me mit à me justifier auprès d'elle. Malheureuse, désemparé. Impuisssante.

-Mais...il m'à...il...il m'à violer...je.... Me lamentai-je aux bord de la panique. La peur, l'angoisse, la culpabilité...peut être.. c'était emparé de moi. Alors que j'étais sur le point de parler une nouvelle fois..elle disparut, elle, et son enfant.

Un vide, immense s'emparut de moi. J'étais entrain de douter de moi. J'avais peur. Des choses étranges se passaient en moi.Et je n'étaits pas sûre que j'allais résister longtemps..

La scène qui se déroulait devant moi était incroyable. Alors que je savourais ce moment, je fus désolé de ne pas avoir un petit encas, pour mieux savourer le spectacle. De la chair fraiche, un bambin ou une jeune enfant peut-être....

Alors que je descendais de l'arbre, me rapprochant doucement de la maison, une nouvelle illusion déferla sur la maison. J'avais pris l'apparence d'une jeune fille, qui était alors l'une des meilleurs amies de Rosalie.

Ses cheveux brun boucler était parfait, et ses yeux verts et brillant était sensationnelle. C'était une très belle jeune fille à l'époque. Une vrai langue de vipère, mais très apprécié. Elle s'appelait Amandine.

Je s'avança vers Rosalie, son regard froid posé sur elle, les lèvres retroussé de dédain.

- Tu t'es fait violé... la belle affaire. Tu l'avais mérité, Rosalie Hale. Toujours a agiché les garçon, à les attiré dans tes filets, tel une veuve noir. Attirant nos maris, et nos amis.

La voix était froide, et le regard acusateur.

- Personne n'a été surpris de la nouvelle. Nous savions tous que cela allais arriver un jour ou l'Autre... Et toi, tu oses prétendre que tout cela n'étais pas de ta faute.

Elle cracha par terre. Au pied de la blonde jeune fille. S'approchant lentement, elle s'avanca vers elle, menaçante.

- Tu nous as tous pris Rosy, nos mari, nos amants, nos amours.

Se joingnant à la jeune femme, d'autre apparurent, et entonnèrent en coeur.

- Nos fils, nos pères, nos amis, nos camarades de classe

C'est alors que je passai le parvis de la porte, aussi silencieux qu'une ombre. Aussi tangible que mes illusions.

- Tu m'as tué, ma rose, celle que j'aimais. Tu m'as brisé en milles morceau, moi qui t'aurait offert le monde. Je n'étais pas assez bien pour toi. Et maintenant, tu va payer pour ta vantardise et ton orgueil.

Une nouvelle illusion apparut. Je tremblai à présent. Amandine se trouvais devant moi. Une encienne amie, à vrai dire, à l'époque, je ne la considérai que comme une petite greluche. Mais de la voir, ainsi , devant moi. Je fut désarçonnai.

- Tu t'es fait violé... la belle affaire. Tu l'avais mérité, Rosalie Hale. Toujours a agiché les garçon, à les attiré dans tes filets, tel une veuve noir. Attirant nos maris, et nos amis.

Incapable de parler. Je tentai de comprendre ce qu'elle me disait. Quoi ? non...je n'avais jamais voulu çà ! jamais..mes parents, c'étaient eux, la cause de tous celà. Pas moi. J'étais innocente. je me mit à lui crizer dessu.

-NON ! ce n'est pas vrai...je..je n'est amais voulu çà..je n'est pas mérité çà ! NON !

- Personne n'a été surpris de la nouvelle. Nous savions tous que cela allais arriver un jour ou l'Autre... Et toi, tu oses prétendre que tout cela n'étais pas de ta faute.

Désemparer... Je me mit la tête dans mes mains. Sanglotant. Tremblant.

-Non..non...je n'est jamais..jamais voulu çà..

Je répétai sans cesse cette phrase, pour me convaincre que ce n'était pas ma faute. Oui à l'éppoque j'aimer que les hommes me tournent autour, mais je n'vais jamais voulu nuir à personne. Personne.

Amandine cracha à terre. Me regardant un sourire mauvais. Je la regardai, incapable de la quitter des yeux.

-Je..

- Tu nous as tous pris Rosy, nos mari, nos amants, nos amours.

Ils apparurent tous. Et je reculai de plus belle. Planquant une main sur ma bouche. Effrayer. Je devenais folle..

- Nos fils, nos pères, nos amis, nos camarades de classe

Je gémis. Les suppliant d'arrêter, me plaquant les mains sur mes oreilles.

-Arrêter..je vous en supplie...arrêter..

Alors que je tombai à terre, complètement désemparé. Sa voix retentie. Sa voix à lui. Celui qui avait participer à mon enfer. Romuald Van Eyeck. Meilleur ami de Royce. Croyant encore à une de mes allucinations, je l'ignorais, plonger dans ma peur, dans mes peines.

- Tu m'as tué, ma rose, celle que j'aimais. Tu m'as brisé en milles morceau, moi qui t'aurait offert le monde. Je n'étais pas assez bien pour toi. Et maintenant, tu va payer pour ta vantardise et ton orgueil.

-Non...laissez moi tranquille. Vous êtres tous morts. Mort et entéré. Vous êtes du passé.

Je m’avançai vers la belle, à pas lent et mesuré. Il y avait maintenant près d’un an que je surveillais ses faits et gestes, et ceux de sa famille, en prévision de ce jour. Ce jour où je me dévoilerais à elle, après avoir attendu près de 90 longues années. 90 ans, à me languir d’elle, à la contempler sans pouvoir la toucher, sans pouvoir la sentir. Loin, une ombre parmi les ombres.

Mon calvaire était maintenant terminé, et j’avais peine à croire que le jour fatidique était enfin arrivé. J’humai l’air, savourant chaque bouffé de son arôme comme un noyé les premiers souffles de vie. Je m’approchai d’elle, les yeux fixai, tandis que mes illusions disparaissaient les unes après les autres. Complètement omnubilé par sa beauté, par ses yeux or posé sur moi, par la frayeur qui se dessinait sur son visage.

Je cru revivre mon passer, alors qu’elle était mienne. Terrorisée comme lors de cette nuit inoubliable. Je croyais me sentir revivre, et j’aurai parier que mon cœur s’était mis à battre la chamade.

Je m’avançait vers elle, mes yeux ne pouvant plus se détacher de son corps sublime. Toute mes pensées étaient dirigé vers elle, ma Rose de la nuit. Ma Rosalie.

Lentement, j’approchai ma main de son visage. Mes doigt se heurtant sur sa chair soyeuse, je cru m’embraser. La douleur qui me vrillait les tripes étaient insoutenable, autant que le désir qui me submergeait.

- Aime moi, lui chuchotai-je, du bout des lèvres. Aime moi, Rosalie Hale, comme je t’ai toujours aimé. Je te donnerai ma vie et mon âme. Aime moi.

Je savais que mes dernière parole ressemblait a une lente supplication. Je voulais tant de son amour, autant que je voulais la faire souffrir.

- Aime moi, ou tout ce que tu aimes, tout ce que tu as déjà chérie ne seras plus.

Derrière moi, la famille Cullen au complet apparut, les yeux suppliant, semblant m’appuyer. Le seul que je ne fit pas apparaître était Emmett. Je savais qu’elle aimait ce batard, qu’elle avait sauvé de la mort. Cet homme qu’elle avait sauvé, tandis qu’elle m’avait tué. Ce dernier qui devait être sur la route, pour rejoindre sa douce, se rendant compte de sa méprise.

Le temps filait, mais je n’en était guère interresser. Il n’y avait qu’elle et moi qui comptait. Que sa douce présence.

Plus brusquement que je ne l’aurais voulu, je m’approchai d’elle, lui pris les poignets, les serrant fort. Ramenant son corps contre le mien. Maintenant serrer contre elle, je lui murmurai, d’une voix froide. La famille était maintenant disparut, nous étions seul.

- Aime moi, ou je t’obligerai à m’aimer.

Alors que chaques images disparaissaient peut à peut de ma vision, mon coeur s'allégea quelques peut. Un regard perdu sur le sol. Je senti ma poitrine me serrée afreusement, j'avais besoin d'air, de me retrouver avec ma famille, avec mon mari. Je secouai la tête, j'épprouvai une envie terrible de pleurer. Alors que je me morphondé seule dans mon coin, jje n'avais pas remarqué que seule une illusion de mes sens subsistais encore et toujours, elle s'avançais vers moi, plus déterminer que jamais. Tous mes membres tremblai, n'arrivant pas en me remettre de mes hallucinations..

-Calme toi..souffle..respire..Emmett va bientot arriver..Tu as rêver.

Alors que je tentai de me calmer, je refit une chute, pas dans le sens tomber, non. Mais plutot dans le sens...apeuré, effrayé. Je ne me sentais plus du tout en confiance. Perdu, je relevais la tête pensant que mon cauchemar était bel et bien terminer mais c'est là que je le vit.. Je gémissais..s'ayer je recommençai..je débloquai. Une chose est sûre, j'allai finir comme Alice avait commençer..enfermé dans un asile de fou.
Agaçait par ma conscience ou je ne sais quoi j'avais répliquer.

- Sa suffit !

Mais, visiblement, mon cerveau, à supposer que j'en aie n'était pas en état de fonctionner ou, du moins avait décider de faire ce qu'il voulait. Ce n'est qu'au moment ou il se mit à parler, que je me demander si la cause de tous celà était bel et bien mon cerveau ou..la réalitée.

- Aime moi, me chuchota t-il, du bout des lèvres. Aime moi, Rosalie Hale, comme je t’ai toujours aimé. Je te donnerai ma vie et mon âme. Aime moi.

Je relevai la tête, regardant le fameux Van Eyeck, qui m'avais tant fais du mal. C'était lui, lui qui c'était occupé de me tenir tandis que les autres s'amuser avec moi...bien entendu..ils avaient échanger les rôles après..et mon calvaire n'avais fais que commençait...Ma famille venait d'apparaître, sauf celui que j'aurais voulu voir. Mon seul et unique amour, qui avait sut m'aimer à la perfection. Emmett.. Mais aussitôt apparut, aussitôt disparut..

- Aime moi, ou tout ce que tu aimes, tout ce que tu as déjà chérie ne seras plus.

Aucun mot ne pouvais sortir de ma bouche. je le regardais avançer, les yeux exorbité, paralisée. Je rêver non..je rêver. J'étais entrain de me convaincre, mes sans succès.. C'est alors que ma sois disante illusion m'avais empoignée. A ce moment là je sut que, depuis le début que je ne mettais pas tromper..c'était bel et bien la réalité...

- Aime moi, ou je t’obligerai à m’aimer.

Je poussa un crie déchirant la nuit. Tantant de me débattre, hurlant, implorant..

-Non..non..NONNNNNNNNNNNNNNNNNNN...LACHER MOI..non...lachez moi...

La rage déchira ma voix, tandis que mon cœur se déchirait en deux. J’avais tout fait pour elle, tout fait pour me retrouver dans ses bras, et voilà comment elle me remerciait. Elle me repoussait, alors que je lui offrait la terre. Que je m’offrais à elle.

La rage, maintenant m’aveuglait, alors que je pensais déjà au tourment que j’allais faire subir à sa famille entière. Cette rage brûlante, tel un fer rouge, qui s’infiltrait dans mes veines. Elle me torturait, encore et toujours.

Qu’avais-je fait au ciel pour mériter une tel souffrance? Tout sourire et amour disparurent de mon visage, tandis que mon bras, d’une violence inouit, percutait les cheveux blonds de Rosalie. La gifle était partie, et j’y mis autant de haine que cette fameuse nuit, qui fut sa dernière en tant qu’humaine. Encore une fois, je faisais revivre la scène.

Chaque homme qui avait posé la main sur elle, chaque cris de désespoir, perçu avec la clarté de mes sens vampiriques. Je passais des scène au ralenti, tandis que la jeune fille sur le pavée criait à l’aide. Je pris un malin plaisir à lui faire revivre l’intensité que j’avais ressenti à cette instant, pour qu’elle comprenne vraiment ce qui c’était passé.

Je revivais moi-même la scène, revivant les émotions que je ressentais à l’époque. Si je ne l’avais pas, personne ne l’aurait. Mais cette fois, j’avais des moyens de l’atteindre que je n’avais pas à cette époque.

Je lui pris le poignet, puis, la soulevai comme si elle eut été une poupée de chiffon. Je la bombardais d’illusion, plus affreuse les unes que les autres. Je lui replongeait son passé, les scène qu’elle aurait tant aimé oublié, tandis que nous parcourions la forêt.

En sortant de la maison, j’avais entendu les pas précipité d’Emmett, et avec satisfaction, je su qu’il arriverait trop tard. ¸

Toujours, le parfum enivrait de ma belle se retrouvait dans mes narine, manquant de me faire virer fou. Rapidement, toujours dans mon habit de l’époque, ma belle dans mes bras, rendut soumise, écrasé par le poids des souvenir, nous atteignîmes un endroit très reculé de Forks. C’était une cabane et à l’intérieur, une cage en métal particulièrement épaisse y était installé. La cage avait été particulièrement longue à préparé, et renforcer a l’extrême. N’importe quel vampire prendrait des semaines à la détruire seule, et Rosalie, encore plus, dans l’état ou elle était.

Je l’y déposai, et refermai la porte. J’attendit qu’elle revienne avec moi.

- Je t’avais averti.

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