First Day... [Pv Emmet + Cullen ensuite [ Si vous voulez ^^]

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Classmate;
Il est des jours, comme ceux-ci, ou ont a envie de partir, de fuir, de ne jamais revenir. La pluie, cette pluie qui vous refroidissez les sens était si violente qu’elle vous agressez presque. Ses conditions climatiques, parfaite pour les vampire, les faisaient pousser comme des plantes vertes. Un climat tropical, la température en moins. Premier jour en classe, déjà des problème...

SomeDay Are Not A Good Day

-Pousse toi de devant moi…

Mes yeux le fusillant. Son pote gloussa. Stupide adolescent pré pubère ! L’autre se vexa rapidement et commença à me chercher… je ne répondais pas… Pour me faire réagir il décida de m’insulter.

-Oh ! Tu m’écoute Fils de Pute!

Quoi ?! Il avait osé ? Il avait traiter MA mère de pute ? ma mère morte, assassiné il y a des années ?! Il voulait mourir ou quoi ?! Je le fusilla du regard et lui dit d’une voix ou la haine et le mépris commençaient à déborder…

-Repete un peu ! vas-y, que jt’explose ta face !

-C’est qui la pute maintenant ?! Bâtard de merde !

Je lui envoya une série de coup de pied dans le bide avant de fendre la foule en deux et de partir dans les couloir. Je ne voulais pas plus d’histoire. Trop tard, tout le lycée semblait au courant lorsque j’entrais dans le self. M’installant à un table vide près d’un mur, je contemplais mon assiette sans aucune envie.

Ce jour était encore un jour de classe sans Rosalie, ce qui mettait Emmett d'une humeur assez maussade : Les cours auxquels il assistait, il y avait déjà assisté par le passé, une fois, deux fois, dix fois même, si bien qu'il n'y trouvait plus l'ombre d'un intêret.
Il se contentait d'être un spectateur absent, désireux de conserver sa couverture afin que sa famille et lui même puissent continuer de vivre à Forks durant quelques années...
En sortant d'un cours de langue particulièrement ennuyeux,, le vampire avait perçu des éclats de voix, en provenance d'un couloir situé non loin de sa salle de classe.

Curieux, et comme il n'avait pas faim, il s'était servit de son ouie extrèmement développée pour se diriger, avant de se retrouver devant une foule d'élèves surexcités, qui assistaient à une bagarre.
Elle s'était terminée avant qu'il n'ait eu le temps de faire quoi que ce soit, et c'était avec surprise qu'il avait constaté que l'un des combattants n'était autre que l'humain qu'il avait sauvé des crocs de Kendra quelques jours auparavent...
Comme à l'accoutumée, les gens s'étaient écartés de lui lorsqu'il avait traversé l'assemblée.

L'un des deux adversaires de son " protégé ", le moins abîmé des deux, n'avait pas l'air de vouloir lâcher l'affaire, puisqu'il se dirigeait vers lui à une vitesse soutenue.
Plus vif que lui, Emmett l'avait devancé, avant de se poster devant Vitaly, installé à la table qu'il occupait ordinairement avec le reste de sa famille.
L'adolesçent s'était arrêté net, impressionné par sa carrure de grizzli, ce qui ne l'avait pas empêché de tenter de se donner de la contenance lorsque deux amis l'avaient rejoint :

Petit coq : Laisses nous passer Cullen, c'est une histoire entre lui et nous !

Nullement impressionné, car sachant très bien qu'ils avaient la trouille rien qu'en imaginant se mesurer à lui, le jeune homme avait rivé son regard étincelant dans le sien, avant de remonter légèrement ses manches, et de lui répondre :

- C'était. Mais si tu tiens vraiment à te battre, alors viens. J'attend.

Bien entendu, le jeune prétentieux n'avait pas été très long à s'éloigner, jurant silencieusement et de façon très grossière, entraînant ses gardes du corps avec lui.
Riant devant leur couardise, Emmett s'était installé en face du jeune toxicomane, qu'il avait brièvement salué, avant de s'adresser à lui sur un ton neutre :

- Eh bien, on dirait que tu as un don pour t'attirer des ennuis...Qu'est ce que tu as fais pour qu'ils te sautent dessus ?

La plupart des regards étaient tournés vers eux, regards qui se baissaient en hâte dès que les yeux d'or du buveur de sang les croisaient...
Si ce dernier avait l'habitude d'être dévisagé, depuis le temps, il ignorait s'il en était de même pour son vis à vis...

Invité

« Anger And Other Joke;
Colère, haine, ressentiment. Foulé de sentiments on ne peut plus humain qui présent en chacun de nous… n’avez vous jamais eut envie de tuer ? N’avez-vous jamais eut envie de faire voler en éclat la vie d’une autre personne, comme cela, sans raison particulière ? Juste parce que votre rage était trop forte, juste parce que votre propre vie l’avait été ?

Make Me, Destroy Me

J’étais assis à ma table, le nez dans mon assiette que je ne touchais pas. Je n’avais pas faim, la colère que je ressentais été trop forte, la rage que je portais en moi me brûlais de l’intérieur, m’empêchais de vivre pleinement l’instant présent… Ma mère, à cause de l’autre imbécile qui avait inconsciemment provoqué son état… Petit caïd de son quartier qui s’était cru plus fort que le nouveau venu… Mais moi, je venais de Seattle, j’avais côtoyer les foyers et les centres de désintoxication ! Lieu ou le respect était primordial, ou, si on ne se faisait pas respecté, on n’était rien, un souffre douleur tout au plus. Sa mère… belle blonde aux yeux bleu ciel, elle lui avait légué ses yeux, sa douceur, sa gentillesse… Son père, grand brun silencieux lui avait gardé son caractère solitaire qui, pourtant, loin de rebouter, attirait les autre. Tout les regards s’étaient braqué sur moi, je levais les yeux lorsque je vis un garçon massif posté devant moi, le dos tourné vers un interlocuteur que je ne reconnaissais que trop bien. Mon regards se tourna lentement vers le siens et mes yeux bleu pâle, comparable à celui d’un mort l’avait transpercé. Je savais mettre les gens mal à l’aise avec ce regard de tueur que j’avais acquît très tôt… Je me souvins de mon premier jour au foyer, du premier sang que j’avais fais couler du nez d’un autre garçon…Pour un regards. J’avais la violence dans le sang, j’avais vu ce qu’il ne fallais pas voir, la chose interdite…

J’avais goûté au fruit défendu…

Imbécile N°2 : Laisses nous passer Cullen, c'est une histoire entre lui et nous !

je souriais. Ce garçon était mon protecteur ou quoi ? En tout cas, il avait été le bienvenu la dernière fois, contre cette vampirette qui voulait faire de moi son repas. Son caractère enjoué -j’avais remarqué sa posture et devina qu’il avait un sourire narquois sur le visage, semblait déteindre un peu sur moi. Un vampire. Un vampire parmi les humains mais qui, apparemment n’en faisait pas son repas.

C'était. Mais si tu tiens vraiment à te battre, alors viens. J'attend.

Ils partirent et son rire épais me, tira un sourire narquois, un véritable sourire. Il vins s’asseoir près de moi et me salua. Je répondis puis il attaqua directement par une discussion plus…Sérieuse. Je répondis avec un sourire non loin d’être forcé.

-une véritable calamité, tu a remarqué ?

Un petit rire s’échappa de ma gorge. Je l’aimais bien. Mon sang maintenant à peu près débarrassé de toute son héroïne, j’avais les idées les plus claire et pu mieux le détailler. Grand, avec une carrure qui aurait pu faire pâlir le premier body builder venu, il avait un sourire franc, un regards doré et pétillant. Je remarqua tout les regards sur nous, je ne fis pas attention à cela, j’avais l’habitude que les gens me regarde passer dans la rue… J’étais un camé pour eux, un pouilleux qui n’avais plus de vie… Ce qui n’étais pas faux, j’étais plus mort que vivant, une partie de moi parti avec mes parents, une partie de moi avait été aspiré dans la gorge d’un vampire. Je le regardais dans les yeux, plus intrigué par la couleur de ses yeux qu’apeuré. Mon regards se fit dure, froid, un regards de tueur, le regards de quelqu’un qui avait beaucoup vécu, le regards de quelqu’un qui avait la haine au fond de lui, directement dans ses veines.

-Mais ils perdent rien pour attendre. Je les buterais.

j’en avais envie, je le savais, j’en étais capable

.

-Mais pourquoi m’aider, à force ,je j vais finir par croire que tu est mon protecteur !

Mon regards s’était détendu un peu, mes dent blanches avait percé le voile de solitude que mon visage reflétais en tout temps.

Vitaly : Une véritable calamité, tu as remarqué ?

Le jeune homme riait de bon coeur, preuve qu'il n'avait pas peur d'Emmett. Plus étrange encore, ce dernier l'avait comprit dans la façon qu'il avait de le regarder, il semblait le trouver sympathique...
A son tour, le vampire avait inspecté les traits de son visage, étrangement pâle pour un être humain ordinaire, ainsi que ses yeux d'une jolie couleur assez peu ordinaire, cernés de noir.
Tout en sa personne, de son aspect maladif à son teint blafard, en passant par l'expression de son visage fin, indiquait qu'il n'avait pas eu, et ne devait pas avoir une vie facile, ni particulièrement heureuse...

Vitaly : Mais ils perdent rien pour attendre. Je les buterais.

Son ton avait été dur, et il semblait véritablement capable de mettre sa menaçe à exécution. Tant de violence se lisait dans son regard, mais pourquoi ? Comment un être si jeune pouvait-il être à ce point chargé de haine ?
Emmett avait toujours été impulsif, même durant son vivant. Toutefois, le côté agréable de son caractère avait toujours dominé, même s'il supportait mal qu'on lui marche sur les pieds...La différence résidait en une chose d'après lui : l'amour qu'il avait pu reçevoir ou non durant son enfance, puis sa jeunesse, jusqu'à maintenant...

- Tu pourras toujours engager celle qui voulait ta peau la dernière fois, à la clairière. Je suis certain qu'elle sera ravie de te venir en aide.

Une fois encore, le buveur de sang avait rit, avant de retrouver son sérieux :

- Laisses tomber, ils n'en valent pas la peine. En plus, quelque chose me dit qu'ils ne te chercheront pas de noises de sitôt...

Ils auraient bien trop les foies pour ça ! Même s'ils étaient stupides, ils ne l'étaient sûrement pas au point d'ignorer que s'en prendre aux fréquentations des Cullen, c'était du suicide...

Vitaly : Mais pourquoi m’aider, à force ,je vais finir par croire que tu es mon protecteur !

Un sourire franc avait étiré les lèvres du gros nounours, qui avait machinalement passé l'une de ses mains dans ses cheveux bruns, avant de répondre :

- Disons que tu as eu la chance que j'arrive au bon moment jusqu'à présent. Mais ne t'en fais pas, je ne suis pas envoyé par une organisation secrète pour te surveiller, ou quelque chose de ce genre là !

En vérité, c'était le hasard qui l'avait mit sur sa route, par deux fois. Heureux hasard ?
Sûrement...
Constatant que son interlocuteur tritouillait son assiette sans y toucher, Emmett l'avait questionné :

- Tu ne manges pas ?

Il n'était pas stupide, si bien qu'il se doutait que ce manque d'appêtit avait très certainement un rapport avec la bagarre, mais sa curiosité naturelle le poussait à vouloir en savoir plus sur son interlocuteur, qui de surcroît, semblait étrangement bien renseigné sur son espèce...

Invité

« When I Kill You, I’m Smiling;
Avez vous déjà vu la tête, ou plutôt l’expression d’un psychopathe lorsqu’il égorge une de ses victimes ? Non, sûrement pas, sinon vous en seriez pas la pour voir ses mots. Mais vous avez sans doute déjà vu le sourire qu’arborait celui-ci lorsqu’il avouait ses crimes, ce sourire sadique, à vous faire pâlir un mort… Pire que la mort elle même car celle-ci vous libère de votre souffrance, ce sourire reste gravé dans l’âme de celui qui l’a vue… Surtout entraperçu à l’age de huit, après l’assassinat de ses parents.
Madness In The Heart.

Mon rire perturba le self qui était Presque silencieux. Enfin, même si les gens discutaient entre eux, j’avais bien remarqué que le centre de leur palabres étaient deux étranges personnage assis à une table reculé, près du mur du fond. Cela me faisait sourire, ce brusque silence. Ils devaient être étonnés, choqués peut-être. Apparemment les Cullen ne devaient pas avoir pour habitude d’avoir une autre personne à leur table… Cela aussi me fis rire, je savais parfaitement pourquoi. J’écoutais ce que disais Le vampire et ris une nouvelle fois avec lui. Je rétorqua :

-De toute façon, une fois qu’elle aura goûté à mon sang, elle n’en voudra plus !

Un éclair fugace dans mon regards avait du lui faire remarquer que cette remarque teinté d’ironie n’était pas toute à fait une blague. Cette phrase, murmurer, n’avait pu être entendu des autres élèves et tous ceux qui suivaient notre échange se jetèrent un regards empli de curiosité… Qu’avait-t-il dit ? Cela resterait un mystère pour eux, un mystère dont il ne sauraient rien. Pauvre créature ignorante… D’ailleurs, qu’elle le reste, cela valait mieux pour leur santé mentale. Après ma question, celui

Disons que tu as eu la chance que j'arrive au bon moment jusqu'à présent. Mais ne t'en fais pas, je ne suis pas envoyé par une organisation secrète pour te surveiller, ou quelque chose de ce genre là !

Cete fois, ce fut mon sourire qui s’étala sur ma pâle figure. Je l’aimais vraiment bien lui, grand, souriant, drôle, il avait toutes les qualités d’un chic type ouvert et francs. Je pris ma fourchette et remua le contenue de mon assiette sans y toucher… C’était plus pour m’occuper les mains que pour satisfaire mon besoins de nourriture.

Tu ne manges pas ?

Cette question me fis avoir un léger rictus. Je le dévisagea une nouvelle fois. Est-ce que les vampires savaient lire dans les pensées ? Est-ce qu’il savait bien pourquoi je ne mangeait pas et me posait une question rhétorique, pour la forme ? Je repondis, avec un léger sarcasme narquois dans la voix.

-Toi non plus, d’ailleurs…

Disons que je n’ais pas très faim, ils m’ont rappelé une mauvaise histoire et un passé que je préfère oublier. Et puis, autant entretenir le mystère pour nos spectateur, non ?

Je souris encore une fois puis me frappés al tête comme si ‘j’avais oublier quelque chose de primordial.

-Mais… pour quelqu’un m’ayant déjà, protégé deux fois, je ne connais pas ton prénom !

Mes talons claquère contre le carelage du self ave cune éléguance sans pareil. Mon entrer se fit quelques peut remarquer puisque alors que la porte se refermer derrière moi..le vent avait souffler légèrement dans mes chveeux blond faisant équarquiller les yeux à plusieurs hommes. je retîns un sourire lorsque j'avais croiser le regard de mon homme. Il avait l'air occupé. Je haussai un sourcil. C'était-il fais un nouvel ami ? Interssant mais vu la tête qu'il avait c'étiat pas du neuf. Il avai l'air shooter, mais bon, je décidai de lui laisser le bénéfice du doute.

J'arrivai de derrière mon mari, penchant ma tête légèrement, capturant ses lèvres. Je sais, celà ce faisait pas. Mais que vouliez-vous j'avais l'habitude de montrer plus que je ne le devais. Enfin, mon caractère donnez plus l'impression à du "provocateur" qu'autre chose. Mais, avec le temps j'avais apprit que la vie nous réserver parfois des suprises. Et j'vais décider de ne plus me soucier des humains même si parfois, je m'emportait avec eux.

Une fois finit d'embrasser mon homme, j'avais afficher un infime petit sourire à l'inconnu avant de reporter l'intention sur mon mari et de luid emander.

-Qui est-ce ? . Puis me tournai vers l'inconnu et ajoutai : Je n'est pas eut le plaisir de vous connaître ...

Mes yeus d'or ne le quittais pas une seule seconde. Apparemment mon cher et tendre le connaissais depuis eut mais, avait l'air de bien s'entendre avec lui.

- Rosalie Hale. Sa petite amie. Enchanté.

"Petit ami" était seulement pour les humains. Même si je détestais ce groupe de mot car il donnait espoir aux filles du lycée qu'Emmett ne m'appartenait pas..

Vitaly : De toute façon, une fois qu’elle aura goûté à mon sang, elle n’en voudra plus !

Tiens, et pourquoi ça ? Comme il était très curieux, et qu'il n'avait pas faim, Emmett s'était risqué à humer l'air, cherchant à déterminer ce qui rendait le sang de son interlocuteur si peu désirable : Il y avait bien quelque chose, qui voilait les effluves les plus fortes de ce délicieux liquide écarlate, mais quoi...?
Sa réponse, il l'avait eue lorsque ses yeux d'or s'étaient posés sur le poignet droit du jeune humain...
Vif, mais pas agressif pour autant, le vampire avait refermé sa main froide sur le bras de ce dernier, avant de remonter sa manche, découvrant avec une légère grimace que sa peau avait été trouée par une aiguille plus d'une dizaine de fois, et que des hématomes sombres la recouvraient en de mutliples endroits...

- Tu ne devrais pas faire ça, c'est dangereux, et malsain.

Le gros nounours n'avait jamais comprit pourquoi les gens mettaient leur vie en danger en consommant des substances comme l'héroïne ou la cocaïne...Pour se sentir bien qu'ils disaient, et puis, de toutes façons, ils finiraient bien par mourir un jour...Mais s'ils étaient malheureux, pourquoi n'en parlaient-ils pas avec des amis, ou d'autres personnes de confiance ?
Et à supposer qu'ils n'aient ni famille, ni personne sur qui compter, pourquoi en arriver à de pareilles extrèmités ?
Bon, lui même n'était pas un modèle de sagesse et de protection de son être, mais tout de même...
Menfin...

Son interlocuteur l'avait tiré de ses pensées en abordant un sujet bien plus léger, la nourriture, répondant à la question qui lui avait été posée plus tôt :

Vitaly : Toi non plus, d’ailleurs…Disons que je n’ai pas très faim, ils m’ont rappelé une mauvaise histoire et un passé que je préfère oublier. Et puis, autant entretenir le mystère pour nos spectateurs, non ?

Ainsi donc il avait vu juste...A vrai dire, il le comprenait : Lorsqu'on est malheureux, ou contrarié, on a rarement faim...
Désireux de détendre l'atmosphère, qui était en phase de devenir bien trop sombre à son goût, Emmett avait rit à sa dernière remarque, avant de se retourner vers les spectateurs en question, leur faisant une nouvelle fois baisser les yeux, et de reprendre, amusé :

- Ah, eux ! De vrais commères, c'est incroyable ! Ils passent leur temps à nous dévisager, et à jaser dans notre dos ! Dommage qu'ils ignorent qu'on les entend !

Il s'était interrompu l'espace d'un instant, avant de plaisanter, adressant un clin d'oeil à son vis à vis :

- Au fait, tu as une touche. La fille là bas, elle te regarde comme si elle avait vu la vierge Marie !

A peine avait-il terminé de parler que son compagnon de table se frappait la tête avec la paume de sa main, comme si quelque chose d'essentiel venait de lui revenir :

Vitaly : Mais… pour quelqu’un m’ayant déjà, protégé deux fois, je ne connais pas ton prénom !

Ah mais oui, c'était vrai ça, ils ne s'étaient même pas présentés !

- Emmett Cullen. Mais j'imagine que tu as déjà pas mal entendu parler de moi et de ma famille, non ?

Les Cullen par-ci, les Cullen par là, c'était lassant à la fin, je vous assure !
D'ailleurs, une foule de murmures s'était élevée dans le self, signe évident que l'un d'eux le rejoignait...
Cette odeur, il l'aurait reconnue entre plusieurs millions, tout comme le son de ces pas légers sur le sol de la pièce : Rosalie. Etrange, il la croyait à la maison, avec Keylian !
Très heureux de la retrouver, et nullement gêné, car il se moquait bien du regard des autres, le jeune homme s'était laissé embrasser avec délectation, emprisonnant tendrement les douces lèvres de sa moitié entre les siennes.

Rosalie : Qui est-ce ?

Après l'avoir invitée à s'installer à ses côtés, son mari avait haussé les épaules, un sourire amusé affiché sur le visage :

- Tu tombes à pic mon ange, j'allais justement l'apprendre !

Rosalie : Je n'ai pas eu le plaisir de vous connaître. Rosalie Hale. Sa petite amie. Enchantée.

Petite amie...Bon sang, cela sonnait comme une insulte ! La Déesse blonde méritait tellement plus que ce statut insignifiant !
Et puis, cela faisait plus de cinq fois qu'ils s'unissaient ! Ah, maudite couverture, qui les empêchait d'être véritablement eux même...
Sa femme, d'ordinaire méfiante et froide avec les inconnus, semblait de bonne humeur. Emmett espèrait que cela aller durer, histoire que son interlocuteur humain puisse l'apprécier à sa juste valeur...

-

Journée tout à fait banale si on pouvait dire ça comme ça. En fait on avaient eu anglais avec Jasper et ... on avaient séchés. Pourquoi? Parcequ'on avaient envie de passer du temps avec Maybel et Callia et qu'on étaient allés en ville. En famille. Rien que tous les quatre. Ça avait été vraiment génial sincèrement. Enfin jusqu'a ce qu'on croise deux des trois vipères. Les pom pom girls. Hum ça avait fait mal. Pourquoi? Parceque je savais que l'une s'interressait d'un peu trop près a mon goût a MON mari. N'empêche, lorsqu'elles nous ont vus avec nos filles j'ai cru que Miss Roxanne je sais pas trop quoi allait faire une attque cardiaque. J'avais beaucoup rit intérieurement. Maybel et Callia étaient en plus magnifiques alors!!

Mais il avait fallut retourner en cours pour au moins ne pas se faire gronder par cette chère directrice. Mais bon j'étais plutôt sérieuse alors on y étaient retournés après avoir rendu nos filles a ma mère. Mais Jasper devait retrouver Edward pour un truc et revenir après. Je le laissais donc filer alors que j'allais vers la cantine. En entrant j'aperçus mon frère Emmett et ma soeur Rosalie en train de parler avec un humain. Je m'approchais de mon pas aérien et dansant, un sourire sur mes lèvres, mes yeux or liquide brillant comme jamais.

-Hellow!!

Je souris à l'humain et lui fit un geste de la main. Il avait l'air sympa et son sang bien que sentant assez bon ne me tentais pas. Ouff...

-Salut, moi c'est Alice!! La petite soeur!! fis-je amusée.

Ma voix cristalline et musicale, résonna comme des clochettes carillonantes dans la cantine. Certains se tournèrent vers moi. Oh oh mon Jazz n'allait pas être content. Enfin.

-Ravie de te connaitre, continuais-je.

Derrière l’immense fenêtre recouverte d’un fin rideau blanc transparent, la pluie n’en finissait pas de tomber. S’écrasant contre les vitres, provoquant un bruit désagréable, mais beaucoup plus apaisant que le discours lassant de mon professeur de langue. Je n’écoutais que distraitement le cours, passant le plus clair de mon temps à observait l’horizon à travers le vers opaque. Mon enseignant, un homme charmant aux airs un peu trop sérieux, ne prenait pas vraiment attention à moi. Il savait pertinemment que je parlais l’Espagnol beaucoup mieux que lui. Et cela ne semblait pas vraiment le surprendre. Il s’avérait être plutôt impressionné par mon niveau. Probablement croyait-il que nous avions un espagnol dans la famille.
Seul sur ma table, j’observais les autres élèves qui partagés mon cours. Ou plutôt, j’inspectais à chacun leur pensée, les détaillants une à une.
« … Il a bientôt finit de parler là ? J’ai l’impression que je vais m’endormir sur place. Et puis c’est … »
« … au supermarché. Il me manque quelques ingrédients pour le gâteau de ce soir… »
« … poitrine en avant et les poumons gonflés, comme de la toile, j’escalade le dos des flots amoncelés que la nuit me voile … »
Ah, que cela pouvait être reposant. Je finis d’écoutais le poème, heureux qu’une personne de cette école sache qui était Baudelaire. Auteur à la plume délicate, aux textes brillants. Que cela paraissait faux, en comparaison à son talent.
La sonnerie retentit enfin ; son qui signifiait liberté pour la plupart des élèves. Et je ne leur en voulais pas de penser cela. Je pourrais enfin apprécier la compagnie d’êtres me ressemblant. Ma seule famille. Les couloirs étaient bondés, et les discutions allaient bon train. Les pensées également. L’ouïe ouverte à toute nouvelle pouvant être acceptable, j’écoutais silencieusement l’esprit de quelque personne, entrant dans leur tête, pour ne pas en ressortir. Il semblait avoir eu du raffut, peu de temps auparavant. Que c’était-il donc passé, ici ? Je n’y voyais pas grand-chose, juste des gestes flous. Un conflit ? Mes frères et sœurs en seraient peut-être plus.
Je marchais rapidement dans les corridors aux murs délavés, me frayant un passage dans la foule, sans pour autant touché un élève. Je ne souhaitais pas être à nouveau dans l’esprit des gens de mon entourage. Surtout pas comme étant le garçon le plus froid au monde. Ma peau gelée en aurait fait peur à beaucoup, s’ils avaient pu un jour la toucher. Je rentrais enfin dans la cafétéria. Lieu de rassemblement, pour certain groupe qui s’était formé avec le temps. Je ne levais pas les yeux lorsque j’entendis mon nom, prononçait en pensée bien sûr. Nous en avions l’habitude, ma famille et moi. Dès que l’un de nous entré, nous étions le centre des esprits présents. Je me dirigeais alors vers notre table habituelle, pensant y trouvait mes semblables. Ils y étaient, en compagnie d’une autre personne. Le connaissais-je ? Probablement pas, mais son visage me disait quelque chose. L’aurais-je déjà croisé pendant les cours ? Je me stoppais net en lisant ses pensées, m’apercevant qu’ils nous avaient démasqués. Comment pouvait-il savoir … ?
Je m’avançais encore, les yeux fixaient vers l’inconnu à notre table. Lorsque je l’atteignis, je restais droit comme un « i », regardant fixement Emmett, qui semblait beaucoup mieux le connaître que nous tous.
« Bonjour. Nous avons un invité à note table ? » Ma voix, un air élégant que tout le monde semblait apprécier, avait été rejoint d’un sourire. Au fond, j’étais certain qu’il n’avait rien de bien méchant, malgré son air de débraillé.

Invité

« Could I Think ?;
Pensé que sa vie avait pris un tournant meilleur que ce qu’on avait pensé est toujours difficile à appréhender, comme s’il on mettait toute nos erreur à nue, devant nous, sans artifices, sans excuses. Alors pourquoi tant douter de ce moment ? Peut-être n’est-ce que par peur de voir ce que l’on à fait et ce que l’on n’aurait pas du faire ?

-Vitaly John Heart, enchanté de tous vous rencontrer.

captant l’inquiétude de certains de ce qui allait devenir mes nouveaux amis, je dit d’une voix plus sincère.

-Et non, je ne dirais rien à propos de vous. Déjà, je n’en ai pas envie, pourquoi faire dire cela ? Et puis, qui me croirais ?

Mon sourire attristé ne devait avoir échappé à personne. Je leva les yeux de mon assiette que je repoussa, je n’allais pas manger alors qu’eux ne le faisaient pas !

» Présentation de Bella aux Cullen ( Cullen + Bella) Attention respecter la scène du film.
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