ENRIQUE. FERNANDO. GOMEZ - MILLINARY VAMPIRE

-( "RICO" FERNANDO GOMEZ)

--I Love Smilling, You To ?

Il est bien entendu, un vampire comme les autres, rapidité, force, invulnérabilité mais il possède un don un peu plus particulier que la plupart des vampire. Il peut en effet , terrasser un vampire plus facilement que n’importe qui. Il appelle son pouvoir, les ligne de vie et de mort. Il peut en effet voir les lignes qui parcours un être et le fragilise, ; il fait donc des dommage supérieur à n’importe quel humain ou vampire. Il voit aussi ses lignes sur les bâtiment et les humains. Il peut détruire une porte blindé avec deux doigt et faire effondrer un bâtiment –comme une petite maison- avec deux coups de poing. Cependant, ce pouvoir nécessite utiliser beaucoup d’énergie et il doit se nourrir r fréquemment et apporter un complément alimentaire à son repas pour l’utiliser à son plein potentiel. (il boit des poche de sang). Sa rapidité et au dessus de la moyenne vampirique.

Il me faut vous prévenir tout d’abords que notre « homme » est tellement beau, parfait, qu’il en fait avoir des rêve idyllique à toute ses étudiante. Et pour cause, étant un vampire, il est plus beau que le plus beau des hommes. La perfection de ses traits n’a d’égale que ses abdominaux et sa plastique parfaite allié d’une silhouette des plus agréable. Son teint, halé mais claire, fait penser à un surfeur durant les longs mois d’hivers, comme s’il avait un bronzage permanent. Normale pour quelqu’un originaire d’Espagne n’est-ce pas. Sa démarche, fluide et sans artifice est néanmoins gracieuse… mais comparé à la plupart des vampire, elle est plus efficace car, à son age, on ne s’embarrasse plus d’effet comme les autres. Son aura, sa présence, est rassurante, comme un père de famille qui vous observe avec tendresse, on se sent en sécurité, près de lui. Malgré tout, Enrique peut vous faire avoir des frissons dans le dos lorsqu’il est en colère car on ressent toute sa rage et sa haine en lui. Une aura de monstre meurtrier.

Ses traits fins, parlons en justement… Le nez aquilin, la bouche fine et sucré, il a tout d’un tombeur, son visage de forme ovale est doux mais durcis par une moustache et un bouc. Ses poils, plutôt espacés, donnent l’impression d’être artificiels. Ses yeux dorées vous observe souvent avec amusement sous des sourcil épais mais pas broussailleux. Un bel homme, même un homme parfait pouvant sortir droit d’un magazine de mannequin. Son style vestimentaire est très changeant, allant du costume jusqu’au débardeur, il porte toujours des habits griffés. Il ne s’embête pas, lorsqu’il voit un vêtements qui lui plaît, il l’achète, un point c’est tout !

Que dire sur le caractère du vampire ? Et bien il est très simple à décrire, car peu complexe. Bien sûr, il partage avec les autres personnes de son espèce cette facilité à se distraire et cette agressivité qui les caractérise lorsqu'on les menace. Sinon, il diffère beaucoup avec les autres vampires ! Rico est en effet très sociable, même avec les humains. Ainsi, il se mélange beaucoup, discute énormément avec les autres sans faire de distinction de race. Ayant une facilité innée à se contrôler en présence d'humain, il n'est pas autant embêter comme les autres par l'odeur du sang, ceci explique sûrement sa facilité à aller vers les autres. Très protecteur envers ses amis –tel que le docteur Cullen et sa famille, il l'est aussi avec le moindre de ses connaissance et de ses élèves, tenace et rancunier pour ce genre de choses, attention à ne pas blesser l'un des "siens" si vous ne voulez pas disparaître de la surface de la terre, car notre homme sera impitoyable.

Franc, il n'hésitera jamais à vous dire ce qu'il pense de vous et tout ce qu'il vous reproche... Ou à vous dire ce qu'il aime en vous et faire votre éloge. Ce franc parler, lui ayant déjà posé de nombreux problème l'incita à le nuancer et à se forcer de tenir sa langue en présence de certaines personnes. Il pense qu’a son age, on peut se permettre certaine chose. Attention cependant à ne pas le pousser à bout sinon vous verrez tout ce qu'il vous reproche. Il est très généreux et n’hésitera pas à vous aidez dans la mesures de ses moyen… Démentiels. Ayant beaucoup de facilité à sourire et à rire, c’est un comique qui dédramatisera toutes situations. Pas pessimiste pour un sous, il est d’un naturel décontracté et agréable.

Avez-vous cerner ce vampire quelque peu atypique ?

Lorsque je repense à mon passé d’humain, un grand sourire viens ébloui mon visage. Je souris mais pourtant, cette période n’était pas propice à se genre de chose. C’était l’honneur, encore et encore, la guerre, la passion et les livres. A cette période de ma vie, j’était un grand homme, fils du roi d’Andalousie, l’une des contrés la plus riche d’Espagne et d’europe. A ma naissance, nous étions encore en guerre contre les musulman et j’ais assister à des torture atroces et des évènements terrible durant mes tendres années. Il paraît que cela forgeait le caractère et me permettrait d’envisager la guerre d’une autre façon. Il faut dire qu’a cette époque, ils pensaient que les musulman étaient d’une autre race que nous et que les analyser de l’intérieur pourrait nous aider à les comprendre. J’étais horrifié par cette façon de penser ! Révolté aussi ! Etant profondément humaniste, je pensais plutôt que ceux-ci étaient comme nous. Cette façon de penser m’attira de nombreux problèmes comme de nombreux coup de fouet.

Plus vieux, vers mes seize ans, je fus invité à aller à la guerre contre l’empire ottoman. J’étais très forts, ce n’était pas tant ma technique qui me permettait de décimer nos « ennemis » -surtout les leurs car je n’avais aucun ressentiment contre eux, c’était ma rapidité hors norme et ma capacité à lire mes adversaire… Enfin, de lire leurs faiblesses ainsi que leur forces. Ce petit jeux m’amusait beaucoup et , j’avais l’habitude de créer certaines faiblesses chez mes adversaire. J’étais terriblement efficace. Un jours, j’étais seul contre quatre arabes qui voulais ma peau car j’avais coupé la tête de leurs commandant. Mon père, à l’arrière me vit me débarrasser en quatre minutes de ses quatre combattants enragés et plus vieux que moi… Il me nomma commandant de son armé. Je n’étais pas très content de ce poste car mes ennemis semblaient de plus en plus fascinant et ma motivations au plus bas.

A sa mort, je partis rencontrer le chef ennemis et fus terriblement attiré par cette culture et ce peuple. Je proclama la fin de la guerre et leurs permis de régner avec mon frère – a qui j’obligea de le faire pour faire prospecter notre pays. Et cela dépassa mes espérance. C’est à ce moment là que je découvris que mon ami berbère était un vampire. Lors d’un soir étoilé, il me parla de lui et me livra son secret. Horrifié par cette… race car profondément catholique je mis mes idées de côté car je connaissais mon ami et son ultime sagesse. Il me parût alors futile les enseignement religieux bien que, encore maintenant, je restais profondément attaché au catholicisme

Mon ami vint me voir le soir, très tard, alors que je campais sur les sables chaud de mon Andalousie natale. Très proche, j’aurais pu dire qu’il était de ma famille. Il avait pris une importante décision. Il me dit qu’il en avait un projet. Quitter cette vie de conquête qui l’ennuyait maintenant, aller voir du pays sans forcement soumettre de peuple. Je trouvais cette idée incroyablement fascinante et intéressante et lui proposa de l’accompagner. Une ombre passa sur son visage et il me dit que pour cela, il faudrait que je devienne comme lui, un vampire. L’éternité devant moi… Quoi de plus formidable pour un aventurier comme moi, un grand rêveur ? Je dis oui et il me prévint que cela serait dangereux et douloureux… J’en avais vu d’autre, comme en témoigner mon visage buriné et assombri par les années. Je lui demandais quand nous partirons, il me répondit que cela se ferait dès que je serais apte… je ne compris pas… Lorsqu’il me mordis, je sus que je n’avais pas connu pire et pourquoi il m’avait dit cela.

Je souffrais le martyre tandis qu’aucun son ne sortais de ma bouche. J’avais l’impression de brûler de l’intérieur que de la lave en fusion parcourait mes veines au lieu du sang… les battements de mon cœur diminuaient de plus en plus… j’allais donc mourir ainsi ? Torturé par un venin atroce, pire que tout autre poison… Oublié de tous et sans pouvoir avoir d’enterrement plus noble ? lentement j’avais l’impression que mon corps se vidait de tout mes fluide, que ma peau se faisait froide et sans vie… Etais-je mort ? Une douleur encore plus vive m’informa que non lorsque mon corps s’agita dans un dernier soubresaut de révolte, que mon cœur battait une dernière fois…

Je me réveilla alors… Plus de douleurs, plus de sensations, plus rien… JE ne sentait plus le sable battant contre ma peau, ni agressant mes yeux… je n’avais plus le besoins de respirer… S’était terrifiant , amusant et agréable à la fois. Je regardas mon ami qui se rongeais les ongles à côté de moi, soucieux pour ma santé et ma réaction, nos affaires sur des chevaux à côté de lui.

Je lui souriais, j’étais heureux, à présent . Quelque chose me choqua lorsque je regarda les chevaux, je voyais des lignes les parcourant, en regardant le palmier à côté de moi, la même chose… Curieux, je passa la mains sur cette ligne et… L’arbre se disloqua ! Première intervention de mon don

J’étais aux Etats-Unis… J’aimais bien ce pays et ma condition de nomade ne me convenais plus. C’est alors que je me souvins qu’un de mes Veil ami habitait dans la péninsule d’olympique… le docteur Cullen. Je décida alors de me rendre là-bas pour y écouler une existence plus paisible. Je me renseigna sur cette région et découvris sans étonnement que la pluie y était prédominante. Des conditions parfaites pour des vampires végétariens comme nous voulant s’intégrer parmi les autres. J’acheta un grand terrain et fit construire une maison high-tech et moderne dessus pour habiter là-bas. D’ici une mois ou deux, je n’aurais plus à loger dans un hôtel. De toute façon, je ne dormais pas ! Je pris aussi mes diplôme de professeur de biologie en découvrant que le lycée en recherchait un. Mon diplôme d’harvard dans les mains, je me présentais devant le directeur, bien habillé et peu soucieux de la finalité de cette entretiens. J’avais, en plus de mes études de médecines, un diplôme de psychologie de haut niveau. J’aurais pu enseigner dans n’importe quelle université de first ligue sans m’inquiéter. Pris, je rentrais à l’hôtel et chercha la trace des cullens.

Il ne fut pas difficile à trouver car tout le monde les connaissais. Mais je n’étais pas encore au courant de tout les troubles qu’il y avait autours d’eux et qui allait me mettre hors de moi… j’allais tuer un vampire et je ne le savais pas encore…