R.O.X.A.N.N.E . Attention, j'arrive. [Terminé]

Je venais à peine de pousser mon premier cris que mon père avait déjà reçu un coup de file. Grand-mère surement. Vous croyez? Et non, ce n'était autre que Mme Gaultier, sa patronne. Quelle gentillesse à la patronne de mon père de prendre des nouvelles de sa nouvelle petite fille. Vous croyez? Encore une fois vous vous trompez. Il lui fallait juste les papiers du dossied Mugler. Papa n'a même pas su couper le cordon. Vous y croyez, vous? Un père qui vient avec son portable en sale d'accouchement. Oui? Moi aussi, mais j'en connais très peu qui vienne avec leur portable consacré uniquement à leur travaille. Une eureure? J'en doute. Mon père et son travail, c'est une grande histoire d'amour. Beaucoup me dise que je devrais en être contente. C'est vrai qu'avec mes èxigeances de princesse, heureusement que papa à un bon boulot. Bref, je pleurais comme un bébé, normal j'étais un bébé. J'entendais maman pleurer de joie. "Encore une petite fille, quelle merveille" Disait-elle. "Maman, c'est ma nouvelle poupé?" demandait ma soeur. Mélissa à trois ans de plus que moi. "Elle est née le jour de l'été" Criait un docteur. Je les entendais rire aux éclats pendant que l'infirmière me lavais. Quelqu'un manquait dans cette pièce. Devinez qui... L'accouchement c'était très bien passé. Me voilà dans la chambre d'hôpital dans les bras de Mélissa... La famille parfaite, heureuse... Mais quelqu'un manquait encore à l'appelle...

Voilà presque cinq ans jour pour jour que j'étais née. Famille toujours aussi parfaite et toujours aussi heure, toujours quelqu'un qui manque à l'appelle... Ho vous savez, on s'y fait... Ce jour là était à prévoir en fait. laissez moi revenir une dizaine d'année auparavant. Ashley Lowry, ma mère, jeune Américaine agé d'à peine dix-neuf ans part en voyage en France. Son rêve depuis qu'elle était toute petite? Visité la tour Efele. Là bas, elle y rencontre un jeune homme nomé Martin Paolini. Première année d'étude de droit et beau comme un dieu. Rien à quoi ma mère ne puisse réisté. Ils se marièrent en France et eurent deux petites filles. Ma mère ne retourna jamais en aux Etas Unis. Bref, vous conaissez la suite. Mais se fameux 20 juin pourrait bien changé nos vies. Pour une fois papa était là. Moi et Mélissa étions à l'étage, dans la salle de jeux. Nous jouions gentillement aves nos barbies en ne pretant aucune atention à la dispute qui éclatait en bas entre mes deux parents. En fait, c'était plutôt ma mère qui hurlait... Ensuite la porte d'entré avait claqué (papa était partis) et maman nous avait crier après. Ma soeur et moi nous étions regardé, puis nous étions descendue. Maman était dans une colère monstre, mais pas contre nous. Nous avions deviné que c'était contre papa... Elle nous a fait nous assoeir à la grande table familiale. Et Évidemment, la chaise de papa était vide... Je me souviens ne même pas y avoir preter atention. Mélissa qui était plus âgé savait certainement mieux que moi ce que maman allait nou annoncé. Elle me prit la main et me la serra très fort. " Les filles, papa et moi allons divorcé " nous aviat annoncé maman, toujours très en colère. Je me souviens n'avoir rien dit, d'avoir juste serrer la main de Mélissa le plus fort que je le pouvais. C'étais horrible. La sensation qu'un couteau en plein de le coeur ne m'aurait même pas encore fait la même sensation... Ce jour là, nous n'avons pas revu mon père, ni personne d'autre d'ailleur. Maman est monté avec nous faire nos valises. Ni ma soeur ni moi n'avions rien dit. Une fois nos valises bouclés, nous avions pris la Mercedes que papa ne sortait jamais du garage pour allez jusqu'a l'aéroport. "Les filles, nous retrounons aux Etas-Unis, là où maman habitait avant... Á Forks." Je me souviens de l'effet que le nom de cette ville m'avait fait quand maman l'avait prononcé. La nausé m'étais venue.