Rencontre & dispute? {Edward et Elizabeth

Je m'étais retourné encore et encore dans mon lit sans parvenir à trouver le sommeil. Hier soir en rentrant du lycée j'avais essayé de joindre Renée, j'avait du mal a lui dire la nouvelle. Elle m'avait simplement dit qu'elle était occupé et qu'elle me rappelerait plus tard. Mais elle ne rappelerait pas je le savais bien... Bref du coup j'avais peu dormit cette nuit là vu qu'après m'être endormi, un cauchemard horrible m'avait assailli. En resultat, je me fis peur devant la glace ce matin là. J'étais toute pâle et les traits tirés. Je pris une bonne douche chaude, laissant avec délice l'eau ruisseler sur mon corps fin et dans mes longs cheveux et finit par sortir après avoir entendu ma mère crier que j'allais être en retard. Je mis rapidement un jean, des converses, sécha rapidement mes cheveux les laissant bouclés et libres attrappai mon sac dans ma chambre et descendit a toute vitesse. Dans la cuisine, j'embrassai mon père qui buvait un café, attrappai une pomme et sorti. Ma voiture m'attendais sur le parking. Arrivée au lycée, je me garai, attrappai mon sac en bandoulière et rentra dans le flots des élèves. Je vit alors mon amour... Ma vie, Edward Cullen. Je me dirigea vers lui en souriant. Je l'embrassa sur la joue.

-Coucou sa va?

Spoiler:

Il m’était à présent beaucoup plus facile de rester avec Bella. Son odeur – bien qu’enivrante – m’était supportable. Et au contraire d’avant, je ne pouvais plus vivre sans.
Je passais mes nuits chez mon humaine, savourant son parfum plus présent que jamais dans sa chambre. Je restais là, couché près d’elle lorsqu’elle dormait profondément. Souvent, elle prononçait mon nom. Elle rêvait de moi. Je ne pouvais expliquer avec des mots la sensation que je ressentais quand elle murmurait un « Edward » dans son oreiller. Dans sa bouche, mon prénom était doux, presque inoffensif. Pourtant, je ne l’étais pas, inoffensif. Je ne devais pas commettre d’erreur en sa présence. Et si, par malheur, il lui arrivait quelque chose, je ne m’en remettrai pas.
J’étais dans ma chambre à écouter de nouveau Debussy – le CD allait bien vite se railler à force de l’écouter – lorsqu’Esmée, ma mère, me dit qu’il était l’heure de partir au lycée. Quelques mois plutôt, j’aurai fait la moue. Je n’avais aucune envie de m’y rendre, à quoi bon ? Mais à présent, je savais pourquoi je devais y aller. Pas pour apprendre des cours que j’avais suivit depuis près d’un siècle, mais pour voir ma Bella.
Je m’étais déjà garé lorsqu’elle fit apparition dans le parking avec sa camionnette rouge. Un sourire fendit son visage quand elle me vit, près de ma Volvo. Mes frères et sœurs suivirent la route qu’emprunté les humains pour aller en cours, alors que moi, j’attendais, impatient de pouvoir la toucher, de pouvoir sentir son parfum…

- Coucou, me dit-elle en m’embrassant la joue. Ca va ?

Comment ne pas aller bien lorsqu’elle était avec moi ? La joie de vivre émané d’elle, et c’était contagieux, en tout cas, pour moi.

- Très bien, et toi comment vas-tu ?

Ce qui était frustrant, c’est que je ne pouvais rien savoir d’elle, sans lui poser la question. Je n’aimais pas le fait que je ne puisse lire dans ses pensées, ne pas savoir ce qu’elle ressent, là, maintenant.
J’entendis la cloche sonnait, avertissant tous les élèves du lycée que nous pouvions rentrer dans la cours. Il commença à pleuviner, et je pris le bras de Bella, l’emmenant vers le prés-haut pour qu’elle ne prenne pas froid.

Mes yeux s’étaient tout d’abord débridés. A présent, ils distinguaient le plafond blanc qui me surplombait de toute sa hauteur. Je me demande encore aujourd’hui pourquoi la plupart des plafonds sont blancs. Le « blanc », c’est une couleur qui pourtant n’en ait pas une … elle n’a aucune vivacité. Sans doute est-ce encore l’une de ces questions que je me pose et qui n’ont aucune importance. Mais comme tout le monde le sait si bien, je déteste ne pas savoir. Cela me rend folle à lier.
Doucement, j’extirpai mon corps semblable à du caoutchouc – j’avais mal, mes muscles endoloris me faisaient souffrir le martyre et pourtant, je ne pouvais me permettre de rester sous mes draps : aujourd’hui était un jour important, bien plus important que les autres jours insignifiant qui avaient gouverné ma vie durant le début de cette première année de seconde que j’entamais au lycée de Forks.
Je jetais un rapide coup d’œil à la pendule fixée au dessus de mon lit : 7 h 46 ; il ne me restait que quelques minutes pour me préparer et me rendre en cours. Avec une rapidité digne du plus grand des félins, je me levai d’un bond et me dirigeai vers la salle de bain, léopard dont le pelage bleuté – la couleur de ma robe de nuit – luisait à la lueur des rayons du soleil.
J’ai toujours été fascinée par la lumière, et ce depuis le jour où mes yeux ont pu se faire pénétré par elle, m'octroyant de par ce phénomène le don de la vue. Mais j’aime par dessus tout celle du soleil, qui toutes les nuits se reflète sur la lune. Beaucoup de gens négligent inconsciemment tout ce que l’astre brillant du jour peut faire pour nous ; ils pensent qu’il n’a qu’une fonction d’éclairage, et ils ne se rendent pas compte de l’erreur phénoménale qu’ils commettent à cet instant là. Non seulement il nous éclaire, nous faisant ainsi don de la vue, mais il nous réchauffe aussi ; sans lui, la température ambiante de notre planète, la terre, serait sans doute égale à –200 °, température qui, bien évidemment, ne permettrait pas la présence d’êtres vivants tels que les humains.

La salle de bain de mon dortoir est plutôt petite, et je fus bien heureuse de constater qu’elle était vide – sans doute parce que les autres occupants de l’orphelinat s’étaient déjà rendus en cours. Les murs qui la cernaient étaient recouverts de magnifiques carreaux aux arabesques vert émeraude qui brillaient à la lueur des bougies disposées dans chacun des coins de la pièce. Les lavabos, au nombre de deux, faisaient luire leur magnifique teinte ivoire et leur robinetterie d’argent. Malgré l’étroitesse de la pièce, chose qui bien évidemment n’arrangeait personne en ce dortoir, la beauté du lieu suffisait à nous contenter et à nous empêcher d’émettre un quelconque commentaire auprès de la directrice.
Je pris ma brosse à dent et y disposai une noisette de dentifrice avant de frotter mon émail avec entrain. Par la suite, je me passai du lait de toilette sur le visage, un de ceux que je préférais, et dont la senteur ressemblait à celle d’une peau de bébé. Enfin, j’attachais mes cheveux avec une barrette argentée afin de ne pas les avoir dans les yeux, même si j’aurais préféré qu’il en fut ainsi – de toute façon, les prof’ m’aurait demandé de les attacher à un moment ou à un autre …
Ma tenue était simplette : une robe à carreau rouge et blanc ainsi qu’un petit veston rouge basque qui m’allait à ravir. Mes chaussures ? De petites ballerines aux teintes bordeaux qui s’alliaient parfaitement avec mon veston. Quoi de plus simple ? Après tout, je n’allais pas à une fête, mais bien à un cour, et de toute façon, mes vêts seraient recouverts par mon long manteau de lin noir – couleur que je n’ai jamais porté dans mon cœur : elle est triste et sans teinte joyeuse …

Après cela, je dévalai les escaliers à une vitesse fulgurante et en profitai pour jeter un œil à la pendule du grand salon commun : 7 h 52. C’était un temps record ; jamais je n’avais mis aussi peu de temps pour me préparer, et j’en était heureuse : aujourd’hui, je ne serais pas en retard au moins.
J’étais fin prête pour partir, et c’est d’humeur joyeuse que je me jetai au travers des sombres couloirs, gravissant quatre à quatre les escaliers pour rejoindre le parking, clef à la main …

A ma grande surprise, lorsque j’arrivai au parking, je constatai que le temps n’était pas fameux – j’aurai pourtant juré avoir vu des rayons de soleil traversé la fenêtre de mon dortoir. Le ciel était brumeux, comme si sa voûte avait été peinte par le pinceau d’une irascible colère. Les nuages semblaient m’observer de là haut, me suivre à la trace, moi, simple humaine que j’étais, porteurs d’un présage de mauvaise augure ; et pourtant, malgré tout, j’étais confiante. Je ne saurais dire pourquoi. Car, bien sur, n’importe quelle personne censée allant à un cour dont la prof possède une réputation capable de faire chanceler l’homme le plus puissant du globe aurait été effrayé, se serait effondré – surtout si cette personne avait été en retard. Heureusement, je ne l’étais pas …
Je m’approchai de ma voiture à petits pas. Cette dernière était vieille ; la peinture de la carrosserie, usée par les assauts du temps, affichait une couleur bleu délavée qui tranchait avec les fauteuils de cuir rouge tout aussi usagés. Nombre de personnes m’avait faite des remarques, quant à l’alliance peu subtile que figurait le rouge et bleu. Je les avais tous renvoyées se faire cuire des œufs en leur répondant qu’ils n’avaient qu’à m’en acheter une, de voiture.
Evidemment, leurs paroles m’avaient vexée ; je n’avais jamais roulé sur l’or, et cette voiture était le fruit de nombreux mois de travail acharnés dans une boutique de Forks, où je passais la plupart de mon temps libre. Elle n’était qu’un assemblage de pièces détachées trouvées à la casse – ç’avait été beaucoup plus économique pour moi.
M’installant sur le fauteuil de cuir qui, il fallait le dire, était peu confortable, je mettais les clefs sur le contact et les tournai pour faire démarrer la voiture. De cette dernière émit un bruit tonitruant ressemblant étrangement à un vieillard asmathique. Enfin, après quelques secondes de bruitage infernal, le vrombissement du moteur se transforma en un doux et léger ronronnement qui me berça derechef.
La route fut rapide – l’orphelinat dans lequel je vivais ne se tenait qu’à quelques centaines de mètres du lycée, j’aurais pu y aller à pied, mais il fallait avouer que j’étais flemmarde sur les bords …
Une fois garée sur le parking du lycée, je constatai que la cloche avait déjà sonné, et je me mettais à courir, prenant mes jambes à mon cou pour parvenir à l’heure aux casiers. Il y a quelques jours de cela, j’avais été malade, et la directrice de l’établissement avait refusé que je vienne, en dépit de mon désir ardent d’étudier … N’importe qui à l’écoute de cette nouvelle aurait sauté de joie. Pas moi. Bref, je devais donc rattraper les cours que j’avais manqué, et pour cela, il fallait que j’en demande les copies à un de mes camarades ; ce que je fit sans m’attarder.
Evidemment, j’avais tout planifier. Je savais précisément qu’aujourd’hui, à cette heure là, Il se retrouverait aux casiers. Il, c’était Edward, un jeune étudiant bien étrange à la peau blafarde mais aux traits d’anges ainsi qu’aux cheveux de cuivre qui luisaient malgré tout sous les rayons du soleil dissimulés derrière les lourds nuages qui assombrissaient Forks en quasi permanence.
Je l’apercevais, et mon cœur manquai un battement. Il était si … charmant. Toutefois, je m’interdisais de trop le contempler : il était accompagné d’une jeune fille que je ne connaissais pas. Elle paraissait presque banale aux côtés de cet être, sans doute à cause de ses yeux cernés jusqu’aux oreilles. Pourtant, malgré cela, ils allaient bien ensemble.
Je refusais de me laisser aller, d’écouter mes sentiments … je savais que si je le faisais, je n’aurais certainement plus le plein contrôle de ma vie, car l’amour était un imprévu. Et les imprévus faisaient que plus rien ne pouvait être planifier … Or, je cherchais par dessus tout à les éviter.
Je m’approchai, silencieuse et agile comme une panthère à l’affût. Enfin, je prenais la parole.

« Bonjour ! Belle matinée, n’est-ce pas ? », dis-je tout en regrettant mes paroles à l’instant même ou je jetai un coup d’œil au ciel obscurci par les nuages : j’avais oublié qu’il ne faisait pas beau. Étourdie par ma bêtise, je laissai quelques secondes s’écouler avant de me reprendre en me tournant vers Edward :

« Hum … je ne sais pas si tu me connais, je m’appelle Elizabeth, lui dis-je en affichant un sourire béat. Je suis en seconde, mais certains de nos cours sont communs. Je me demandai si … enfin … étant donnée que j’étais absente, il y a deux jours, cela ne te dérangerait pas de me recopier le cours de Science ? m’enquis-je, peu sûre de moi. Bien évidemment, il n'y a pas d'obligation ! », ajoutai-je précipitamment tout en constatant que le sang me montait aux joues. Je me tournai vers la jeune fille et affichai un sourire enjoué :

« Je m’appelle Elizabeth, heureuse de t’rencontrer ! »

J’étais nulle. Définitivement nulle. Je pensais pouvoir me contrôler, et j’avais parlé à une vitesse qui dépassait l’entendement. C'était à ce genre d'imprévu, que je n'aimais pas me prêter ... Et à présent, comme une idiote, je Le contemplait. Malgré ma réticence, c'était plus fort que moi. Mes yeux le scrutaient involotairement ... Pauvre idiote que j'étais !

A chaque nuit s'était pareille, je revoyé ce vampire qui m'avait attaqué moi et toute la famille Cullen. J'avait eu peur de lui oui... Peur de ne plus revoir Edward, Charlie et Renée mais surtout Edward... Edward mon seul éspoirs de survit ici a Forks... Je lui souria, il étais comme le prince charmant qui vient en aide a sa belle princesse dans les contes de fées... Il me demanda comment j'allais. Moi tant que j'était avec lui tout allé bien mais je ne pu lui repondre, qu'il commença à pleuviner, et il pris mon bras, m’emmenant vers le prés-haut.

-Je vais trés bien.

Je voulu l'embrassé sur ses lêvres blanches qu'une voix me stopa dans mon élant:« Bonjour ! Belle matinée, n’est-ce pas ? » Je regarda la jeune femme qui fixait Edward. « Hum … je ne sais pas si tu me connais, je m’appelle Elizabeth, Je suis en seconde, mais certains de nos cours sont communs. Je me demandai si … enfin … étant donnée que j’étais absente, il y a deux jours, cela ne te dérangerait pas de me recopier le cours de Science ? Bien évidemment, il n'y a pas d'obligation ! » Puis elle se retourna vers moi un grand sourire au lêvre. « Je m’appelle Elizabeth, heureuse de t’rencontrer ! » Je lui souria sans trop me forçé puis je regarda Edward.

-Je suis Isabella Swan mais apelle moi Bella...

Je ne savait pas se qu'elle voulais a Edward mais je le saurait bientôt.

- Je vais très bien, m’avait assuré Bella.

Après qu’elle m’est répondu, je la conduisis vers les casiers. En chemin, j’écoutais les pensées des personnes qui nous entourés. Toujours les mêmes, comme tous les matins. Cependant, quelque chose m’interpella. Mon nom avait été prononçait. J’étais heureux que mes parents mets appellé Edward, prénom courrant vers les années où j’étais né, mais plus maintenant, au XXI siècle. Il m’était d’autant plus facile de savoir lorsqu’un élève penssait à moi.
L’esprit ce révélé appartenir à une jeune fille, non loin de nous. Dans sa tête, elle me décrivait, comme le lui rappelé ses souvenirs de moi. Lorsqu’elle m’apercu, elle voulut faire marche arrière. Mais pourquoi ? Je compris quand elle posa son regard sur Bella. Elle se rapprocha de moi d’une démarche qui se voulait adroite.

- Bonjours ! Belle matinée, n’est-ce pas ? nous avait-elle dit.

J’ettoufai un rire. On voyait bien qu’elle était nouvelle. Les belles journées à Forks étaient rare. C’était pour quoi nous étions venu nous installer ici, ma famille et moi.

- Hum… je ne sais pas si tu me connais, je m’apelle Elizabeth, se présenta-t-elle. Je suis en seconde, mais certains de nos cours sont communs. Je me demandai si … enfin … étant donnée que j’étais absente, il y a deux jours, cela ne te dérangerait pas de me recopier le cours de Science ? Bien evidemment, il n’y a pas d’obligation !

Elle avait débité ses paroles à vitesse axélérée, et ses joues avaient prisent cette couleur rose bouton qu’avait souvent les humains lorsqu’ils étaient gênée. Son odeur m’envahi instentannément, et je dus arrêter de respirer pour pouvoir rester … normal.
Elle se tourna vers Bella et lui esquisa un sourire.

- Je m’appelle Elizabeth, heureuse de t’rencontrer !

Ses yeux se tournèrent instentanement vers moi, inconsciente que je l’avais vu, elle me regarda, admirant mes traits d’une beauté inhumaine. Bella semblait rétissante, puis elle lui sourit également.

- Je suis Isabella Swan mais appelle moi Bella…
- Edward Cullen, heureux de faire ta connaissance, Elizabeth, dis-je avec ce sourire qui faisait battre plus fort le cœur des demoiselles.

Je pris Bella par la taille et regarda la jeune fille devant moi. Elle était habillé simplement, avec des petites barettes dans ses longs cheveux bruns ondulés.

- Ne t’en fait pas, tu auras ton cours à la fin de la journée, lui répondis-je souriant.

« Je suis Isabella Swan, mais appelle moi Bella... »

« Edward Cullen, heureux de faire ta connaissance, Elizabeth,

« Ne t’en fait pas, tu auras ton cours à la fin de la journée,

« Hum … vous … vous êtes habitez ici depuis … depuis longtemps ? »

J’eu tout le droit de contempler son visage. Ses yeux bruns s’accordaient parfaitement à son teint pèche. Ses joues, cresées par endroit, étaient teintées d’une couleur rose pâle, dont le parfum m’envahie sans que je ne sache comment. Il était clair qu’elle était intimidée. Cela m’arrivé souvent, ce genre de réaction. En tout cas, les gens qui me côtoyaient avaient cette réaction. Bella m’avait dit un jour que mon sourire était la cause de toutes ses rougeurs. Moi, je n’y avais pas franchement fait attention.
Se penchant sur un pied, elle me regarda, et ses pensées se fixèrent sur moi. Elle semblait être pareille que toutes ses filles qui m’avaient vu pour la première fois, lorsque j’entrais au lycée de Forks avec mes frères et sœurs. Nous étions attendus, et des rumeurs avaient circulé comme quoi nous étions des anges à la peau blafarde et aux traits parfaits. Et bien sur, ils avaient raison. Cependant, quelque chose manquait à la description ; nous étions leur prédateur.
Bella semblait distante, comme si la présence de la jeune fille la gênée. Comme si elle avait comprit ce qu’elle pensait. J’en doutais fortement, mais son comportement était très… lisible.

- Hum… vous… vous habitez ici depuis… depuis longtemps ? bafouilla Elizabeth, rougissant une nouvelle fois.

Elle semblait satisfaite d'elle. Le fait d'avoir réussi à prononcer cette phrase la soulaga, comme si elle n'avait pas été sure d'avoir la force de me parler.
Ma compagne me laissa la parole. Et, d’une voix mielleuse, je lui répondis, sans bredouiller comme elle l’avait fait.

- Bella habite Forks depuis peu, dis-je en regardant l’intéressée. Je suis ici depuis deux ans et des broutilles.

Je lui souris de nouveau, me ravisais lorsque la phrase de Bella me revint en tête. Je ne voulais pas intimider les autres !

[ Je poste le premier à la demande de Bella, elle souhaitait que je réponds avant elle. ^^' ]

« Bella habite Forks depuis peu

Je suis ici depuis deux ans et des broutilles. »

« Ah … oui … d’accord … je vois …

« Et pourquoi avoir décidé de s’installer ici ?

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