| | | Cueillir une Rose [PV Cullen] |  |
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+3Alice Cullen Hale Maybel Cullen Hale Romuald Van Eyeck 7 participants | | Auteur | Message |
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Romuald Van Eyeck
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|  Sujet: Cueillir une Rose [PV Cullen] ![Cueillir une Rose [PV Cullen] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) Mar 30 Déc - 2:10 | |
| La soirée avait particulièrement été agréable. La veille, j’avais eu dans les bras la femme que j’aimais, mais que je détestais en même temps. Je regrettais qu’elle ne fut pas aussi faible qu’à l’époque, et surtout moins docile. Malgré la nuit qui venait de passer, jamais je n’avais réussit à la mettre à ma main, malgré les illusions que je lui faisais avoir. Je ne pouvais utiliser une illusion pour la prendre, puisque je n’aurais rien senti. J’avais tenter par tout les moyens de me faire aimé, mais toujours, elle résistait.
Cela faisait plus d’une semaine qu’elle était ma captive, et malgré la faim qui l’assaillait, elle ne bronchait pas. J’avais spécialement attendu ce moment, où elle n’aurait pas été chassé, plus que de raison. La soif la torturait, plus que mes propres illusions, si cela aurait été possible. Seules, dans a grotte, j’espérais être là lorsqu’elle commencerait à divaguer.
Par contre, il fallait que je mette toutes les chances de mon côté.
Il fallait que je passe à l’étape supérieure, et je savais comment m’y prendre. Je connaissais le point faible de ma fleur, et je savais comment l’exploiter. Je lui extirperais cet amour, par la force s’il le fallait.
Même si cela serait risqué, je savais que c’était la seule solution. Elle me détesterait, mais la passion ne saurait tarder.
Je me faufilai dans Forks, sachant bien que les chances de retrouver sa famille sur mon passage venaient d’augmenter en flèche. Alice devait savoir ce que je préparais, et Edward devait être en train de ratisser la ville à ma recherche. Il savait tous que j’étais resté dans les environs, sans réussir à me trouver. Il faut dire que j’étais bien dissimulé. Depuis des jours, je m’évertuais à leur fournir de fausse piste, brouillant leur sens, et créant les illusions les plus amusantes possibles.
Plusieurs fois, je fis apparaître Rosalie dans la forêt, dans des habitations ou simplement chez elle. Chaque fois, je savourais l’expression de leur visage, tandis qu’il se rendait compte de la supercherie. Je trouvais dans ce passe temps, un amusement et une vengeance bien personnelle. Ma cible préféré était Emmett, maintenant au courant de la supercherie que je lui avait jouer, le soir de la disparition de son aimé. J’apparaissait à lui, sous ma forme, et je lui susurrais à l’oreille ce que j’avais fait à Rosalie, ce que je lui faisait subir en ce moment. Parfois, je lui racontait mes aventures avec elle, lui décrivait sa peine et ses cris de souffrance, disparaissant alors qu’il rageait le plus, en riant au éclat.
Pour Edward, je lui apparaissais dans la douche, et dans les corridors de l’école, vantant la beauté de son aimée, commentant le bonheur que j’avais eu à la frapper. Je lui racontais en détail la passion que j’avais mis à la caresser, vantant son odeur sucrée, l’exhortant à la tuer, à la rendre vampire.
Alice était toujours parcouru de vision, selon l’humeur de mon moment. Rosalie du mourir au moins 20 fois durant cette semaine là, ainsi que chacun des membres de la famille. J’avais particulièrement de goût lorsqu’il s’agissait de torturer le pèquenot.
J'aimais aussi apparaitre à la petite, lui apparaissant sous diverse forment, excepté la mienne. J'aimais lui faire peur, et lui montrer sa famille.... morte.
Le reste de la famille supportait mes illusions, souvent la mort de la famille, l’apparition de Rosalie, ou moi-même, m’exclamant de leur maigre tentative de la retrouver.
J’adorais leur apparaître alors qu’ils étaient rassemblé, Carlisle et Esmée , ainsi que les adorables rejetons, tous ensemble. Je leur apparaissait, dans toute ma splendeur, souvent entouré d’une Rosalie couverte de morsure, à moitié morte. Et je riais. Je leur disais à quel point il était pathétique, qu’il devait avoir honte de laisser Rosalie mourir comme cela, entre mes mains. J’aimais décrire les calvaires que la soif lui faisait subir, et le plaisir que j’avais eut à la violer.
J’étais dans la ville, présent de corps, pour la première fois en vrai. Je recherchais la petite Cullen, laissé seule avec sa voyante de mère. Il fallait la retrouver. | |
| | | | Maybel Cullen Hale
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| | Sujet: Re: Cueillir une Rose [PV Cullen] Mar 30 Déc - 2:28 | |
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Depuis combien de temps étais-je ici? Des jours? Des mois? Des années? Je ne savais plus, c'était trop complexe pour mon petit cerveau. Pourtant je m'y habituais, peu à peu, étape par étape. Bien que je n'approchais toujours pas des hommes de la famille Cullen. Bien que je commençais à supporter leur présence dans la même pièce que moi, de les savoir assit à quelque mètres de ma petite personne. Pourquoi ferais-je plus? Je n'avais pas envie de leur montrer toute les parcelles de ma personnalité, je ne voulais pas être vulnérable envers eux. C'était ma peur la plus profonde, celle qu'ils me blessent, comme mainte fois avant aujourd'hui...
Mes cauchemars étaient toujours présent, de plus en plus fréquent, répétitif et bientôt, ce ne fut pas seulement la nuit que je me pris à rêver. Des images encore plus sinistre que celle que je voyais endormie m'apparaissait sans cesse. Des corps morts, le visage tordu de ma mère, le sang de ma soeur.... Je devenais surement folle. Les crises d'angoisses s'ajoutèrent bientôt aux crises causées par les mauvais rêves. Le manque de sommeil, la peur...je devenais de plus en plus grongon et irritable.
Pourtant aujourd'hui, j'étais toute seule avec ma maman, et je semblais heureuse. Enfin, aussi heureuse que peut l'être une enfant comme moi. Mais les images effreuses flottaient toujours devant mes yeux Palpable et indestructible. Autours de moi, je n'étais pas la seule à souffrir, à voir des choses. Maman se mettait parfois à hurlée, effrayer, les yeux vides. Tonton Emmett avait souvent les traits tordus...et Edward...bref...c'était vraiment bizarre tout ça...
Bizarrement...j'avais peur.....
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| | | | Alice Cullen Hale
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| | Sujet: Re: Cueillir une Rose [PV Cullen] Mar 30 Déc - 3:01 | |
| Cela faisait une semaine que ça durait. Depuis l'enlèvement de Rosa. Cette semaine avait été un véritable enfer sur Terre même pour nous, immortels. Surtout pour nous d'ailleurs. Toute la semaine après la disparition de ma soeur ainée, elle nous apparaissaient soudainement ensanglantée malgré qu'elle soit vampire, ou alors tordue sous la souffrance des morsures de partout, ou bien alors Il apparaissait parfois comme ça riant de nous voir si vulnérables. Parfois c'était le corps sans vie ou torturé de Jasper qui m'apparaissait ou celui de l'une de mes filles ou d'un autre membres de ma famille, je devais folle, je devais vraiment folle avec toutes ses visions. Pourtant je resistais de plus en plus sachant que mon amant et que ma famille allait bien sauf... sauf Rosalie. Elle me manquait tellement, sa fougue, ses rares sourires, et même sa froideur et sa franchise. Elle me manquait horriblement et je devinais que c'était pire pour Emmett mais je souffrais horriblement et rien ne calmai cette douleur profonde en moi.
Aujourd'hui j'étais seule avec ma plus jeune fille Maybel. Elle était agée de cinq ans et ça faisait à peine quelques semaines qu'elle était à la maison. Elle avait beaucoup souffert dans son passé et j'avais promis que plus personne ne lui ferait de mal mais j'avais failli aussi sur ce point là. Chaque nuit après l'avoir endormie, elle hurlait dans son sommeil. Chaque nuit je devais calmer ses pleurs, sécher ses larmes, rassurer et chasser ses peurs mais elles revenaient toujours à l'attaque, sans cesse et ma fille devenait de plus en plus irritable au fur et à mesure que ses heures de sommeil s'amenuisaient. Je tentais d'essayer de gagner un peu, de la faire dormir dans mes bras, là elle se calmer un peu mais moi aussi j'avais des crises et parfois je ne pouvais retenir mes cris qui affolaient ma petite Maybel.
C'était un enfer, cette semaine avait été un enfer j'avais donc décidée de me changer les idées et de changer les idées de Maybel étant seule avec elle et je me dirigeai dans le garage. Ma fille dans mes bras je n'avais pu me résoudre à prendre la voiture de Rosalie s'entend un sanglot monter dans ma poitrine et j'avais pris la mercedes de Carlisle. Roulant à vitesse normale pour une fois, j'arrivais vite dans le centre ville de Forks et me garai. Ma petite puce, serrant Baluchon contre elle dormait à moitié. Je la pris dans mes bras, tendrement et laissant la voiture, je me mis à marcher le long des ruelles. La ville était presque vide en ce temps maussade et pluvieux, à l'image de mon humeur et ça me faisait d'autant plus peur. Je ne cessais de me répéter que je n'aurais jamais dû sortir mais j'avais besoin de me changer les idées. J'arrivais au Parc et posait ma fille à terre, la laissant aller jouer un peu. Je m'assis sur un banc, très peu loin d'elle, la surveillant constemment, malade comme jamais même si j'en étais d'autant plus belle allait savoir pourquoi. Mes pensées divaguèrent jusqu'a Rosalie. Oh j'aurais tout donné pour savoir si elle allait bien mais plus je voyais ces illusions plus mes visions allaient mal. J'étais si peu confiante. Soudain j'entendis les cris de ma fille. A vitesse surhumaine je me redressais.
-Non, murmurais-je.
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| | | | Emmett Cullen
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| | Sujet: Re: Cueillir une Rose [PV Cullen] Mar 30 Déc - 21:15 | |
| " Tu vas arriver trop tard pour la sauver. Peu importe la vitesse à laquelle tu coureras. Je serai déjà loin, et elle sera avec moi.... pour toujours. "
Depuis une semaine, ces mots hantaient l'esprit d'Emmett...Malgré ce que lui avait dit son ennemi, il avait courru le soir où sa femme, la belle Rosalie, avait été enlevée, plus vite qu'il ne l'avait jamais fait, plus encore que si sa propre vie en dépendait.
Mais malheureusement, comme Romuald l'avait prévu, il était arrivé trop tard...Le mur de la villa se souvient encore du poing qu'il y avait enfonçé lorsqu'il s'était rendu compte que son aimée lui avait été ravit...
Lorsqu'elle avait fait son apparition pour la première fois au milieu du salon, il avait eu l'espoir un peu fou de penser qu'elle était parvenue à échapper à son ravisseur, mais il avait très vite déchanté...
Il ne se passait pas un jour sans que ce dernier vienne murmurer des horreurs à son oreille, prenant manifestement plaisir à le torturer...
Entendre le récit du viol dont avait été victime son épouse, auquel Romuald prenait grand soin d'ajouter de nombreux détails, rendait Emmett malade...Oui, il était malade, malade d'amour, malade de chagrin...
Etre le spectateur impuissant de ce que son bourreau faisait subir à la belle blonde le détruisait, littéralement...
Pire, tout cela était de sa faute...
S'il ne s'était pas laissé abuser, son ange serait encore à ses côtés, dans sa famille, et n'aurait pas à endurer l'affreux cauchemard qu'elle vivait alors...
S'il était resté auprès d'elle, il l'aurait protégée, même si pour cela, il avait dû donner sa vie, mais il en avait été incapable...
Plus que jamais, il se sentait misérable...Jamais un tel vide n'avait encore déchiré son être...C'était...comme si on lui avait volé son âme...pire que si on lui avait arraché le coeur...
" Promet moi de ne jamais me quitter...promet le moi..."
Il avait promis...Il avait promis, mais c'était elle qui l'avait quitté, contre son gré...Comment avait-il pu être assez stupide pour croire qu'elle serait capable de le tromper avec un autre homme, et de l'attaquer ?
Comment avait-il pu...?
Romuald apparaîssait régulièrement lorsque la famille était réunie, montrant une Rosalie blessée et mourrante, leur demandant s'ils n'avaient pas honte de la laisser s'éteindre entre ses mains...
Et en vérité si, Emmett avait honte...Il aurait aimé pouvoir échanger sa place avec elle, qu'importe ce qu'il aurait pu endurer...Nuits et jours, il la cherchait, inépuisable, se moquant profondèment de la météo. Il passerait la terre entière au peigne fin s'il le fallait, mais il la retrouverait...
L'angoisse d'arriver trop tard une fois encore lui nouait les entrailles...Il n'osait imaginer ce qui se passerait si, quand il la retrouverait enfin, Rosalie n'était plus...
Désireux de ne pas partager sa souffrance avec Jasper qui, il le savait, ne manquerait pas de ressentir les mêmes choses que lui, le jeune homme était très peu souvent à la maison, et lorsqu'il y rentrait, il s'enfermait seul dans sa chambre, plongée dans le noir le plus profond...
Là, aussi étrange que cela puisse vous paraître, il pleurait...
S'il avait été capable de verser des larmes, c'aurait été un océan qui aurait trouvé naissance dans ses yeux tristes, mais seuls les sanglots déchirants qu'il ne parvenait à réprimer témoignaient de son intense désarroi...
Le fantôme de la belle blonde était partout : Dans les pièces qu'elle avait l'habitude de fréquenter, le salon, dans lequel elle avait supplié Romuald de cesser de la tourmenter, et même dans le lit qu'elle partageait avec son mari, même si sa place demeurait déséspérément vide...
Depuis une semaine, personne n'avait vu Emmett rire, ni même sourire...Toute joie de vivre semblait l'avoir quitté...
Sans Rosalie, il n'était plus qu'une coquille vide, un navire sans voiles, un oiseau sans ailes...
Il ne fréquentait plus le lycée, et les rares fois où il daignait se nourrir, il le faisait sans faim...Simplement parce que les autres lui demandaient...
Une chose était sûre, il ne survivrait pas sans elle...Il n'en aurait ni la forçe, ni la volonté...
Et pourtant, il continuerait de la chercher, pour l'Eternité s'il le fallait, et avant son trépas, il ferait payer ses diableries à Romuald...Cette promesse tacite, il l'avait faite le soir de sa disparition, avec la lune comme seul témoin... | |
| | | | Callia Cullen Hale
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| | Sujet: Re: Cueillir une Rose [PV Cullen] Mer 31 Déc - 3:24 | |
| Une semaine...une semaine...soit sept jours...sept pu*ains de jours que je ne voyais que ces scènes abominables devant mes yeux, dans mes rêves ou même lorsque j'étais éveillée.
La première fois que j'ai été victime de ces visions, je descendais les escaliers qui menaient au salon.
Mon pas était léger mais je sentais l'atmosphère tendu dans la maison depuis la disparition de tante Rosalie.
Je m'avance et sur le sol je vois une longue trainée de sang...je me souviens avoir retenu ma respiration, je me souviens avoir cessé de réfléchir et j'ai vu crucifié sur le mur du salon les trois corps de ma famille...ma petite soeur, mon père et ma mère.
Une brûlure en moi...atroce, ce bloqua au fond de ma gorge! Et puis j'ai entendu la voix de maman...elle me demandait si quelque chose n'allait pas! Mais...mais !!! Ne comprenant pas ce qui se passait je regardais de nouveau ce mur et plus rien! Il n'y avait plus rien sur ce maudit mur!!!!
Je m'approchais alors de ma mère...mon père était à sa suite. D’une main fébrile je leur touchais le visage à chacun ils étaient bien là! J'étais sûre d'être devenue folle! Je croyais les avoir perdu à tout jamais! J’avais tellement eu peur de les perdre, tellement eut peur de les perdre...
Alors sans réfléchir je les serais dans mes bras! Tout les deux, fermant les yeux et remerciant une quelconque entité invisible qui les avaient préservés. Je crois que c'est à cet instant que je réalisais qu'ils étaient devenus une part de moi-même. Je demandais ou était Maybel, ou était ma petite soeur! Ils me répondirent qu'elle était dans sa chambre, jouant tranquillement...alors sans attendre je me précipitais dans sa chambre et la trouvais par terre, parlant avec son amie imaginaire.
Je poussais un soupir de soulagement tandis qu'elle me regardait de ses yeux innocents. Alors je me précipitais sur le sol, la prenant dans mes bras et la serrant contre moi...respirant de nouveau lorsque je sentis son petit coeur battre contre le miens.
Etrangement elle ne broncha pas lorsque je le soulevais du sol, toujours en la berçant, faisant preuve d'un instinct maternel que je ne me connaissais pas. Elle me demandait ce qui se passait et je lui répondis seulement:
"Je t'aime petite soeur..."
Puis je la reposais sur le sol, pour ne pas l'effrayer d'avantage...je n'avais jamais eu d'effusion aussi tendre avec elle mais la voir crucifié sur ce mur, le corps couvert de sang m'avais complètement bouleversé!
"J'ai...j'ai simplement fais un mauvais rêve ne t'inquiètes pas...je reviens d'accord?"
Puis sans attendre sa réponse je me précipitais de nouveau en bas, il fallait que je parle à mes nouveaux parents. Ils ne tardèrent pas à m'expliquer ce qui se passait...que l'agresseur de Rosalie était quelqu'un qui faisait naître des illusions dans nos esprits.
Tout ceci n'était qu'un leurre...une monstrueuse illusion...
"J'ai eu très peur de vous perdre..."
Avais-je dis la voix brisée, j'avais eu si peur...j'enfouis mon visage dans mes mains et je sentais mes yeux gris me piquer mais aucune larme ne coula...cela n'étais jamais arrivé d'ailleurs. Je repris peu à peu mes couleurs, j'avais l'impression de revivre...une sensation libératrice vraiment agréable.
Et ce fut le même cinéma pendant toute la semaine...au bout d'un moment je m'y étais faite, et je ne savais pas si cette capacité à temporiser était normal ou non car par rapport aux réactions des autres...
J'avais un peu honte de ne pas pouvoir ressentir leur désarroi...
Je ne dormais presque pas et j'entendais les cries de ma soeurette tous les soirs...maudit sois-tu! Elle n'a que cinq ans! Alors je m'assaillais sur mon lit et regardais la nuit jusqu'au levé du jour.
Le manque de sommeil me coupait l'appétit mais...ce qui me fit mal par la suite, c'est de voir mon oncle.
Emmett, l'homme que j'admirais tellement dépérissait sous mes yeux. Il avait tellement fait pour moi et moi que pouvais-je faire? Je ne pouvais rien faire pour essayer d'apaiser sa peine et...cela faisait si mal...si mal de le voir comme ça.
Ou était le Emmett qui souriait tout le temps à en être fatiguant? Ou est le Emmett qui riait parfois trop fort et nous faisait mal aux oreilles? Ou est le Emmett qui chassait les ours avec tant de ferveur? Ou est-il celui qui était le premier à m'enseigner les bêtises? Je n'en pouvais plus de le voir comme ça...je me sentais impuissante!
Et mon père? Mon père...je le voyais qu'il était aussi désespéré que lui! J'aurais tant voulut trouver des mots réconfortants mais rien ne me venait! Je devenais folle de ne rien pouvoir faire!
Maman...je ne voix que l'inquiétude sur son visage...sursautant presque à chacune des visions de ce type!
Je n'en pouvais plus...je fis ce que je faisais lorsque j'étais encore captive de mon tuteur...je me mis dans un coin et mis ma tête dans mes genoux, espérant chasser ces visions qui me harcelaient sans relâche... | |
| | | | Edward Cullen
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| | Sujet: Re: Cueillir une Rose [PV Cullen] Mer 31 Déc - 20:11 | |
| Comment ne pas souffrir en cet instant ? Autour de moi se dessiné les visages apeurés de ma famille adoptive. Alice, Esmée,… Emmett. Ce dernier ne parlait plus à personne, ses traits n’affichait rien que je la peur et de la haine.
Lorsque j’étais rentré à la villa blanche, le soir où Bella avait été enlevé, j’ai demandais des explications à mes proches. J’avais questionné Alice pour savoir si elle avait vu ce qui c’était passé, et j’avais demandé à Emmett où était passé Rosalie. La pire des bêtises… Il n’avait pu répondre, secouait pas le chagrin. Carlisle était venu me voir peu après, pour m’expliquer ce qui
ce passé.
Il m’avait dit que l’homme qui avait enlevé Bella était un monstre, un tueur arrogant et féroce, sans cœur. Il se révélait être un des amis de Royce, l’ex fiancé de Rosalie, lorsqu’elle était encore humaine et fragile. Il avait participé à son … viole (le mot n’arrivait pas à sortir de ma bouche correctement). Lorsqu’il a été transformé, il a juré de retrouver ma sœur, voulant à tout prix se venger, lui faire payer. Cette dernière avait subit le même sort que Bella ; kidnappé et enfermé. Nous ne savions pas où. La nouvelle fendit mon cœur comme un vampire casse la roche. Je ne savais que penser… Rosalie… Enlevé par cet ignoble monstre…
Cela faisait maintenant une semaine qu’elle n’était plus avec nous. Une semaine de torture pour chacun d’entre nous. Et même moi, je ne me sentais pas bien. J’avais certes retrouvé mon Amour, mais comme les membres de ma famille, le vampire s’en prenait à moi, me montrant les pires illusions possibles, voulant m’écœurer, me rendre inutile.
La dernier en date avait été celle-ci ;
Bella était couché sur un lit – beaucoup trop grand pour elle seule- son visage meurtri par la peur et l’effroi. Sa bouche était caché par un épais morceau de scotche déchiré maladroitement. Ses yeux cernaient et humides déversaient des torrents d’eau salé, ne voulant plus s’arrêter. Les draps de soi blancs avaient été recouverts par des pétales de rose couleur sang.
La voir ainsi me rendait fou, fou de rage. Et comme je le présentais, ça n’allait pas s’arrêter.
Le vampire était apparue, sa peau blanche luisait sous les reflets de la lune, faisait de cette dernière une couleur parfaite. Un sentiment de démence se lisait dans ses yeux rouges flamboyants. Il s’était approché de Bella, caressant son visage comme si il avait été fait en porcelaine. Ses mains descendait, poursuivant leur chemin sur le corps de mon humaine. Les cris de cette dernière était étouffés par le scotche, mais je pleurais presque de la voir ainsi.
Je ne pouvais que regarder la scène, suppliant l’homme d’arrêter. Mes ma voix n’était qu’un murmure, malgré que j’eu voulus crier, plus fort que jamais.
Et lorsque ça allait trop loin, l’image partait, me laissant un peu de répit, avant qu’une autre apparaisse, plus atroce que la précédente.
Lorsqu’aucune visions ne me parvenait, je me concentrais sur ma famille, les regardant un par un, écoutant leurs pensées avec insistance. Esmée était dans tous ses états. Mais elle réagissait comme une mère aurait réagit si un de ses enfants avait été enlevé. Carlisle réfléchissait, son esprit bouillonnait. Et quelques fois, je ne savais suivre correctement ses pensées. Alice et Jasper se soutenaient mutuellement, parlant peu. Mais je savais qu’ils étaient tout aussi bouleversés que nous.
Emmett était sans doute le plus découragé de nous tous. Savoir que sa femme était loin de lui, et en plus de ça, en danger le rendait malade. Et bien sur, le vampire ne l’avait pas épargné. J’avais appris par mon père qu’il recevait également des illusions, horribles et effrayantes. Je pouvais voir dans sa tête les images qu’il se repassait, les visions qu’il avait eues. Je voyais souvent Rosalie, ensanglanté et tremblante de peur, criant son nom. Ou alors, des images d’elle et d’un autre, s’amusant follement sans se rendre compte que mon frère voyer toute la scène.
Horrible, ignoble, monstrueux… Aucun mot ne pouvait définir cet être sans cœur.
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| | | | Jasper Hale
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| | Sujet: Re: Cueillir une Rose [PV Cullen] Ven 2 Jan - 2:52 | |
| L’obscurité et l’isolement… Voilà dans quoi les miens et moi avions été plongé de force par ce monstre… Le même monstre qui avait enlevé ma sœur Rosalie, celle que je considérais comme ma jumelle, une des rares personnes avec qui je m’entendais parfaitement… Il nous avait ôté la lumière, avait fermé les volets et dans le noir, chacun s’était renfermé sur lui-même, juste un réflexe d’auto protection bien normal. Cette dernière semaine avait été insupportable pour nous tous… Je maudissais à chaque instant mon don qui me permettait de ressentir les émotions des gens. J’étais encore plus torturé que d’habitude dès que quelqu’un m’approchait. Tout n’était que peur, colère, haine, envie meurtrière. Le pire venait de mon frère.
Il m’était devenu impossible de le fréquenter et ayant bien compris le mal qu’il m’infligeait, il n’était pratiquement jamais avec nous, toujours en chasse… Je pouvais le remercier de m’éviter cette torture même si jamais, ô grand jamais je n’aurai pu lui en vouloir pour ça. Ce qui lui arrivait… C’’était tout simplement affreux. Perdre sa moitié était quelque chose que jamais je n’aimerai expérimenter. Mais quand il était là je pouvais sentir le désespoir qui l’envahissait, telle une ombre l’emmenant avec elle dans son monde ou tout est noir… Je ne pouvais que trop sentir son envie de mourir, de partir de ce monde où tout n’était devenu que douleur maintenant que le soleil de sa vie avait disparu… Mais j’étais certains qu’on la retrouverait ! J’en avais fait le serment à mon frère le soir même de son enlèvement !
Malheureusement, ce monstre ne nous laissait jamais en paix ! Il nous faisait voir des images plus affreuses les unes que les autres dans le simple but de satisfaire son sadisme, de nous voir souffrir encore plus que ce que nous faisions déjà. Notre perte combinée à ça, nous étions complètement dépourvu de nos facultés intellectuelles. Nous errions comme des âmes en peines supportant ces chimères aussi destructrices qu’elles puissent être. Plusieurs fois Rosalie m’étaient apparu, les premières fois je m’étais précipité vers elle, malgré que je ne sois pas du genre à laisser mes sentiments sortir, et à mesure du temps que j’avançai, son corps se transformait pour devenir celui de l’homme qui avait attaqué Emmett dans la forêt le soir où je l’avais « sauvé ». D’autre fois elle m’apparaissait ensanglantée, ce qui ne pouvait pas lui arriver. Avec le temps, j’avais l’impression de ne plus voir toute ces images… Je passai à côté d’elle, elle me faisait du mal mais je savais que si je les voyais vraiment je finirai par ne plus me relever… Je m’étais formé une carapace dans l’espoir de survivre à tout ça, de paraitre fort pour ma famille, pour ma femme et mes filles. Alice était sans arrêt assaillis par des visions, je faisais de mon mieux pour la calmer, Callia voyait des images atroces, nous lui avions donc dis ce qu’il se passait… Mais comment expliquer à une petite fille de 5 ans que toutes ces images aussi affreuses qu’elle voyait venaient du même monsieur qui avait enlevé sa tante. Comment lui dire ça ? Alors que petit à petit elle commençait à se laisser de plus en plus approché par les hommes, par moi son père.
Mais aller la calmer la nuit alors qu’elle se réveillait en pleur à cause de cet erreur de la nature était au dessus de mes forces… Je ne pouvais pas me résigner à la voir souffrir, cela me donnait des envies de meurtres surement aussi grande que quand je voyais mon frère les très rare moment où il était à la maison… Je devais être fort… Oui je le devais !
Aujourd’hui ma femme avait décidé d’emmener Maybel se promenait pour lui changer un peu les idées. Très bien, j’étais heureux de ça. Je leur avais juste demandé d’être prudente… Si seulement j’avais su ça. Callia était surement à la villa à aider Esmé dans les taches ménagère qu’elle faisait pour essayer de ne pas penser à tout ça… Pour ma part, j’étais parti chasser, mes yeux tirant de plus en plus vers le noir… J’avais donc couru sans grand entrain et m’était contenté de deux biches… Puis j’étais rentré et je remarqué que de la fumée s’échappait par la porte… Mes sens se mirent en alerte. Du feu ! Un feu avait pris chez moi ! Immédiatement je pénétrai dans le chalet et ce que je vis à travers la fumée me paralysa, me figea d’horreur, de terreur alors qu’une boule se formait au fond de ma gorge et que mes yeux virèrent de nouveau au noirs profond…
Un immense feu avait pris en plein milieu de mon salon… Mais je me foutais du feu, non ce qui me déchirait était ce qu’il y avait dans le feu… Je pouvais voir la tête de Callia dont le visage, léché par les flammes était mort mais figé dans une expression de douleur. Juste à côté de ce morceau de ma fille je retrouvai le bras de ma femme. Je ne pus empêcher un sanglot secouer ma poitrine… Je me serais surement effondré au sol, si je n’avais pas entendu un bruit de chut et une porte claquer. Mes pas me firent contourner le feu et à nouveau ce que je vis me figea… Je me laissai cette fois tomber au sol et ramenait à moi le corps de ma plus petit fille Maybel, pâle, des traces de morsure dans le cou. La petite était morte. Alors que des sanglots secouait ma poitrine, je serais ma fille contre mon cœur qui bien que mort venait de se briser à tout jamais… Berçant l’enfant dans mes bras, je chuchotai…
« Non ! Non pas toi aussi… Je t’en prie mon bébé… Reviens-moi ! Je t’en supplie Maybel ! Ne me laisses pas tout seul… Je ne survivrais pas… »
Mes yeux noircis pas la tristesse d’avoir tout perdu, j’écartai doucement quelque mèche qui couvrait le visage de mon bébé… Ce monstre m’avait tout pris ! J’étais seul maintenant, je n’avais plus rien à perdre ! De toute manière, tout n’était que douleur pour moi à présent, jamais je ne pourrais plus sourire, jamais je ne pourrais plus parler, jamais je ne pourrais plus vivre ! Ce monstre m’avait pris ma vie ! Il m’avait pris les êtres les plus chers, il m’avait pris ma famille, il m’avait arraché les miens ! Je voulais mourir ! Je voulais me lacérer la poitrine et m’arracher le cœur tellement il me faisait souffrir à ce moment… Je voulais me jeter dans ce feu qui bruler les femmes de ma vie… Je voulais rejoindre celle que j’aimais là peux importe là où elles étaient, je voulais y être moi aussi…
Soudain, tout disparut alors qu’un rire satisfait s’élevé dans les air puis plus rien. Je me retrouvai à genou au sol dans mon salon où tout était parfaitement en ordre. A la limite de l’hystérie je regardais autour de moi, tout était normal, elles sont en vie ! ELLES SONT EN VIE ! Rien que cette idée me fit rire tout seul, un rire qui faisait ressortir mon soulagement je ne les avais pas perdues ! Cependant ce rire s’arrêta rapidement alors que je me redressai, ayant l’impression que mes jambes avaient du mal à me porter… Je m’appuyais contre le mur alors que serrant les poings je redressai les yeux et jetant un regard vers l’extérieur. Cela ne pouvait plus durer… Si seulement je savais ce qu’il se passait actuellement ! | |
| | | | Romuald Van Eyeck
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| | Sujet: Re: Cueillir une Rose [PV Cullen] Sam 3 Jan - 0:17 | |
| Je la localisai finalement dans un parc, alors qu'elle était avec d'autres enfants. Son parfum sanguin parvenait à mes narines pour la première fois, et je savais que je pourrais maintenant facilement la traquer. Plus loin, j'apperçu sa mère sur le banc. Ses yeux parcouraient les alentours, elle était sur le qui-vive.
Bien qu'elle savait sans doute ce qui allait ce passé, elle ne savait pas de quel façon je comptais m'y prendre. La petite jouait, innoçament, alors que le loup la guettait à travers de la forêt...
J'avais attendu qu'elle fasse un faux mouvement, cette petite humaine à la senteur particulière. Un mouvement que les enfants faisaient souvent, surtout lorsqu'il était entouré de d'autre créature aussi stupide qu'elle-même. J'attendait qu'elle fasse une bêtise.
Alors, tout s'enchaina très rapidement. Après avoir vérifié du mieux que je pouvais l'absence des autres Cullen, je bombardai la mère d'illusion assez réelle. Elle verrait toujours se jardins d'enfant, tranquille, tandis que j'y défilerais dans la réalité, invisible.
Je m'approchai de la petite. Durant tout ces moment, j'avais pris bien soin de ne pas lui apparaitre, pour qu'elle ne se doute de rien. Lentement, jè me plaçai derrière elle. Puis, les illusions sur la petite commença.
Premièrement, sa mère arrivait près d'elle.
- Petite idiote. Pourquoi est-ce qu'il faut toujours que tu fasses des bêtises? Lorsque je t'ai pris sous mon ailes, je ne pensais pas que j'aurais autant de difficulté avec toi. tu te réveille toute les nuits en pleurant, en criant. Qu'est-ce que tu pense que ça me fait moi?
Elle avait l'air vraiment en colère maintenant. Je savais que cette scène ne pouvait être réaliste, cette Alice trop gentille pour cela, mais les enfants qui se faisaient gronder avait l'habitude de ne pas penser, heureusement pour moi.
Soudain, Alice l'empoigna par le bras et elle se tourna vers moi.
- Monsieur, je vous donne cette petite. Je n'en veut plus. C'est trop de problême pour moi. faites-en ce que vous voulez.
Les yeux méchant, j'accueillis la petite Maybel. J'aurais aimé savoir ce qu'elle pensait de tout cela. Je m,empara d'elle, et je la glissai dans un sac en toile, sous le regard médusé des parents qui avait assisté à la scène. Rapidement, je m'enfui. Derrière moi, je laissai un Alice complétement désemparé lorsqu'elle se rendrait compte de la supercherie. | |
| | | | Maybel Cullen Hale
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| | Sujet: Re: Cueillir une Rose [PV Cullen] Dim 4 Jan - 1:19 | |
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Le sable humide collait à moi, irritant ma peau pâle, mais je ne m'en souciais pas plus que le fait que je sois entourée d'enfants et de mères inquiètes pour leur progénitures qui courraient partout. Moi, ma maman, était assise pas très loin, comme plonger dans ses pensées. Je levai mes yeux rougis par le sommeil vers elle, étouffant un baillement. Retournant à mon château de sable, j'embilai les sauts les uns par dessus les autres. Las, le me levai et traversai le parc, m'éloignant de ma mère.
Je m'approchai de la fontaine pour y remplir mon sauts, l'eau me servirait à remplir la tracher de mon château de sable. Lorsque je revins sur mes pas, j'heurtai un petit garçon un peu plus vieux que moi et le mouillai, il se mit à tempêter et c'est à ce moment-là que maman se pointa, main sur les hanches, furieuse. Instinctivement, je reculai, crispée et effrayée. Je me recrocrevillais sur moi-même certaine que sa main volerait vers ma joue et s'y déposerai un en claquement sec.
"maman...ce...c'était un accident...je voulais pas..."
Ma voix sembla ne rien lui faire, comme si elle ne l'entendait pas. Ses doigts enserrèrent mon bras dans un étaux brutal et je me mis à me débattre comme un petit diable. Elle me donnait à un monsieur? Des gémissement prirent naissance dans ma poitrine. Avant que je n'ai eu le temps de faire un mouvement, la main immense de l'homme m'empoigna. Avant même que je reprenne mon souffle pour hurler, la suplier, je me retrouvai dans un sac de toile.
Les ténèbres m'envahir, je me débattis pour sortir de là. Mes points s'abattant dans le dos de l'inconnu alors que ma voix brisée appelait ma maman avec désespoir. Pourquoi? Pourquoi personne ne voulait jamais de moi? pourquoi personne ne m'aimait? Cette fois, j'y avais cru, j'avais crus qu'avec Alice, c'était différent. Je m'étais trompée, comme avant...
J'avais été si idiote...n'avais-je donc rien compris des ces cinq dernières années? Personne ne voulait de moi! Pourquoi m'acharner? Doucement, j'arrêtai de me débattre, fermant les yeux et me roulant en boule. J'avais mal....plus mal que jamais... J'avais l'habitude pourtant...mais cette fois, je m'étais attachée à Alice, à Jasper et à Callia. Je les...aimais vraiment. J'avais été idiote....C'est tout...Je devais les oubliers maintenant...
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