Plus de peur que de mal [PV Meredith] TERMINE

C'est pas drôle toute seule. De toute façon c'est toujours pareil, dés qu'il s'agit de bouger ses fesses, Amy n'est jamais partante. Amy. Ma meilleure amie. Je ne peux pas lui en vouloir de toute façon, elle a déja fait tant de choses pour moi. Comme venir s'installer à Forks par exemple. Je me demande ce que je ferai sans elle. Ah! Ben je sais moi...Me balader toute seule en forêt. Voila ce que je fais sans elle. Quelle lacheuse! Ca ne fait jamais de mal de se promener. C'est mon point de vue après. Marcher. Regarder le paysage. Se vider l'esprit de toutes les choses futiles qui nous encombrent. Liberté.
Et puis j'avais besoin de sortir de toute façon. D'une part pour visiter les alentours car je ne connaissais pas trés bien le coin. Et d'autre part pour aller faire une petite cueillette. Ca peut paraître bête, mais depuis qu'on a emménagé à Forks Amy et moi, l'aparte reste vide, presque sans vie. Pour égayé notre nouveau chez nous, je me suis dit qu'un petit bouquet ferait joli. Je ne me sens pas coupable d'avoir quitter la maison de cette façon, mais j'ai un peu de mal à me sentir chez moi. Peut-être que de faire connaissance avec les habitants de cette ville m'aiderait à me sentir mieux. Oh! J'en m'en fais pas pour ça. Une fois que j'aurais trouvé un travail, je me ferai vite des amis je pense. En tout cas je l'éspère.

Ca devait bien faire 20 minutes que je marchais maintenant. J'avais pris la voiture pour venir jusqu'ici et je l'avais laissé à la lisière de la forêt. L'épicier du coin m'avait juré que je trouverai de magnifiques fleurs par là. Mais pour l'instant, j'avais beau regarder autour de moi, je ne voyais que de la verdure mouillée par les fréquente pluies auquelles j'assistais à Forks. Ca sentait l'humidité à plein nez. On s'y habitue à force. En ville, je n'y fesais même plus attention. Mais en forêt, l'odeur est beaucoup plus intense. Il ne fesait pas trés clair non plus à cause des nombreux arbres qui nichaient ici. Leurs feuilles gachaient le peu de lumière que déniait nous envoyer le soleil. Madison...réveille-toi, tu es dans une forêt, c'est normal qu'il fasse sombre. Je baissais la tête pour apercevoir la moindre fleur qui n'est pas était piétiner. Soudain, juste devant moi je pu admirer une petite masse de petites fleurs blanches.

- Ah ben enfin! m'écriais-je.

Je me précipitais sur les fleurs pour les cueillir. Mais au milieu de mon action, un drole de bruit me fit frémir. On aurait dit comme un grognement ou quelque chose du même genre. Quelque chose d'animal sans aucun doute. Toujours accroupie, je scrutais tout autour de moi à la reheche du moindre signe de mouvement. Et derrière un arbre un peu plus loin, je vis la tête d'un animal contre le sol. Etait-il mort? Par simple curiosité, je me rapprochais de cet bête immobile. Soudain, elle disparut comme si quelqu'un la tirer en arrière. Quel animal pouvait avoir une telle force pour bouger un truc pareil. Le silence était revenu mais des bruits de pas se fesaient entendre à present. Quelque chose...je dirais même quelqu'un apparut près du même arbre. Etait-ce...une femme?

Nous étions en pleine après-midi. Cette nuit, j'avais prévue de la passé a Forks. Je voulais faire un peu de repérage pour chercher après des gens de mon espèce. j'avais apris en espionnant, comme d'habitude, les Cullen, que les vampires étaient en trin d'envahir Port Angeles et ses environts. Effectivement, j'avais remarqué plusieurs habitants qui me parraissait louche. Louche dans le sens: c'était des vampires. Que des imbéciles ses humains? Comment ne pas se rendre compte d'une tel choses. En même temps, c'était temps pis pour eux, temps mieux pour moi. Si le secret était réveler, les Volturi se ferait certainement un plaisir de venir me donné un hultimatome: nous ou la mort. Autant crever!
Bref, comme j'allais passé la nuit pas loin des humains tous endormi (ho que c'était tentant) et muni les uns et les autres d'un odeur bien plus qu'atirante, j'avais déscidé d'allé à la chasse aux pumas. Nous en trouvions beaucoup pour le moment. Ce qui était fort étonant vu l'augmentation de notre espèce. Pour pimenter la chasse, j'avais déscider de n'attraper que des pumas... En voyant un passé juste sous mon nez, je fis quellques pas plus que silencieux et ensuite sauta sur la bête. Mes dent semblable à des crocs transpèrsèrent sa chair comme si c'étais un cousin bien mouelleux. Je commenca a boir son sang quand je sentis une odeurs bien plus attirante que celle du puma m'emplire les narines. Aucun doute sur ce que c'était: une humaine!
Mais quelle genre de créature stupide fallait-il être pour déranger un vampire en train de se nourrir. Cette petite idiote aux cheveux noir avait une réel chance que je ne soit plus un nouveau née depuis longtemps. Au début, mon instinc fut plus fort que ma raison. Un grognement animal sortit du fin fond de ma gorge. Ensuite je tira l'animal de sorte a essayer de me cacher pour achever mon repas. Ensuite, ma raison me rapela a l'orde: il ne fallait absolument pa qu'elle découvres e que je faisais. Alors je lacha ma proie de sorte a la laisser la. Je fis un petit bond et aterit dans un arbre. je fu orifié que je vis que la jeune femme me regardais morte de peur. Mais qu'allais-je donc bien pouvoir lui raconter?

Je ne savais pas si je devais avoir peur ou pas. Apres tout ce n'était qu'une femme. Enfin c'est ce que je croyais puisque la pénombre de la forêt n'arrangeai pas les choses. Je n'osais pas oter mon regard de cette ombre de peur qu'elle ne disparaisse. Et si ce n'était que mon imagination. Non! Je ne suis pas folle quand même. La seule chose que je trouvais à faire était de me rapprochais pour vérifier que c'était une femme à qui j'avais à faire. Alors je m'approchais lentement. On en sais jamais. Mettant un pas devant l'autre, je repesais à la bête à terre. Etait-ce elle qui l'avait tirer. Si c'était le cas, elle était vraiment très forte. Pourtant à mesure que je m'approchais, je pouvais distinguer qu'elle était menue et pas trés musclée. Si seulement Amy était à mes côté, je n'aurais pas eu à affronter ça toute seule. Mais affronter quoi au juste? Si c'était bien une femme, je n'avais aucune raison d'avoir peur. Bien que cela fusse étrange qu'une femme se promène dans la forêt toute seule.

*Heu...Tu t'es regardé Madi!?*

Aprés tout, peut-être qu'elle était venue faire la même chose que moi. J'achevais mon dernier pas et je me postais devant elle. Je voulu lui adresser la parole mais aucun son ne sortie de ma bouche lorsque j'apercu la beauté de cette femme. Jamais de ma vie je n'avais vu une femme aussi belle. Elle avait des cheveux magnifiques et rayonnants malgrés le manque de lumière. Alors ma touffe ondulé à cause de l'humidité, les siens donné l'impression d'être tout juste coiffé. Son visage resplendissait. Son teint était pale. Très pale. Et rien que dans son allure, elle semblait divine et gracieuse. On aurait dit la femme parfaite.

Encore une fois, je voulu parler. Et là encore je ne pu. Je venais de repenser aux histoires de mon grand-père. Lui qui avait eu la chance de rencontrer des vampires et de les cotoyer quelques temps. Lui qui avait eu le privilège de connaitre tous leurs secrets. En regardant cette femme, je me rappelais la description que mon grand-père me fesait des vampires. Une beauté à toute épreuve, une élégance innée. Des être parfaits. Comme était-ce possible? Ici? Juste devant moi. Mon rêve était devenue réalité il n'y avait pas de doute.
Accaparée par mes pensées, je ne m'étais pas rendu compte de la boule qui se formait dans mon ventre. Peur. Oui j'avais peur. Parce que mon gran-père avait beau avoir été ami avec ces créatures, c'est l'une d'elles qui l'a tué il y a quelques années...

Je voulu faire demi-tour. Courir le plus vite possible jusqu'à ma voiture. Mais je savais que si elle voulait m'attaquer, ça serait peine perdu. Que devais-je faire?

J'étais moi aussi teroriser. Qu'allais-je bien pouvoir faire? Je n'allais tout de même pas la laisser découvrir mon secret!! & si elle le decouvrait, il allait falloir que je la tue. C'était tantant, mais iressponsable. Qu'avait-elle vu au juste? Un puma tiré pas quellque choses de non identifié, et moi grimpé dans un arbre. Avec un peu de chance, elle n'avais pas remarqué que c'était moi qui avait tuer et tirer cette annimal jusqu'a moi. Lui justifier mon bon dans l'arbre serait plus facile que justifier ce qu'elle vennait de voir avec le puma!! Je pris une grande bouffé d'air, question d'habitude car évidement, je n'en avait pas besoin. Je descenda de mon arbre en un petit saut très agile. Je fis exprès de retombé sur mes mains pour parraitre un peu plus humaine. Qu'elle horreur, à quoi étais-je en train de me rabaisser pour une simple humaine?? Je me retrouva fasse à elle, à une distance de plus ou moin 5 pas. Son odeur était certe très tentante, mais bien sur je savais y résister. Je lui fis un sourire. J'allais etre la plus gentille possible. Avec un peu de chance elle n'était pas trop curieuse et allait vite partir que je puisse vite finir mon repas. Avant de prende la parole, je l'examina atentivement. Elle était très jolie. De long cheveux noir lui tombait sur le dos. Reprenant mes esprits je pris la parole.

- Bonjour jeune fille, que faites-vous ici, dans cette forêt si sombre? lui dis-je de la voix la plus polie que je pouvais.

*Purée! Madi réagit! Fais quelque chose!*

Résumons. C'est un vampire. Apparement un vampire gentil vu qu'elle mangeait le puma. Enfin c'est ce que je croyais. Mais je ne peux pas lui dire que je sais ce qu'elle est. Devra-t-elle me tuer parce que je connais son secret. Mon grand-père était au courant. Il n'a pas était tuer. Mais peut-être que les règles ont changées. Tout s'entrechoqué dans ma tête. Même si je rêvais rencontrer des vampires, je n'avais jamais réfléchi comment je réagirai si je me retrouvais face à l'un d'eux.
La jeune femme descendit de son perchoir avec une légereté incroyable. Ben qu'elle mit les mains par terre, elle semblait maitriser son saut à la perfection. Je reculais d'un pas. C'est d'ailleurs le seul que j'étais capable de faire parce que j'étais prétifié. Elle pouvait me sauter au coup à tout moment. Et là! Elle me sourit. Incroyable. Etait-ce un signe de paix? Ou bien un sourire de satisfaction car elle savait que j'étais à sa merci? Dans un ultime espoir, je lui rendit son sourire, des fois qu'elle n'est pas envie de me bouffer. Mais tout petit sourire.
J'étais à la fois pétrifiée et fascinée par la déesse qui se trouvait devant moi. Que pouvait-je bien lui dire. Je viens en paix? C'est pitoyable. Finalement, elle rompit le silence. Il vallait mieux ne pas lui mentir.

- Et bien...heu...J'étais venue cueillir des fleurs, bégayais-je.

Je baissais les yeux. J'avais peur et je suis sûre qu'elle le savait. Mon instinct de survie me dictait de m'excuser et de m'en aller. Mais une envie encore forte d'en savoir plus me pousser à rester. Connaitre ce qu'avait connu mon grand-père. Un rêve.

- Le coin est vraiment magnifique...

C'est la seule chose que je trouvais à dire. C'était pitoyable tout comme moi. Je relevais les yeux pour apprecier la beauté de cette jeune femme. Ses yeux étaient...bizarre...

je regarda avec atention la jeune femme. Ces prunelles m'inquait clairement qu'elle était totalement et irévocablement pétrifier. Savait-elle se que j'étais? Comment cela était-il possible? Devrais-je la tuer? Peut-etre me fallait-il quellques explications avant cela. Certe, la tuer de m'aurais fais que du plus grand bien. Cela faisait vraiment longtemps que je n'avais plus bu une seule goutte de sang humain. Le sang animal me rendais un peu moin forte, mais à quoi cela me servait-il d'etre aussi forte dans ce tout petit vilage qui paraissait plus que paisible. A ce moment je regrettais de ne pa avoir le don d'éffacer les mémoires... Cela m'aurait emplement éviter les ennuis. Pourtant, quellques choses en cette jeune fille m'attirait. Elle avait l'air pure et d'une gentillesse rare. C'était déscider, Si elle découvrait mon secret je lui poserais un hultimatome: Soit je la tue maintenant, soit elle me donne sa parole. Si elle ne tennait pas sa parole, je la turais elle plus tout les gens à qui elle c'était confier. Cela me semblait une bonne idée. Cependant, ce n'était pas certain du tout qu'elle sache à qu'elle espece j'apartenais. Je l'entendis bégayé ces quellques paroles.
- " Maigre récolte à se que je voix ... "
Je lui addressa un petit sourrire malicieux. j'avais pour habitude, que personne ne résiste a mon sourire, certainement pas les humains. Quand je l'entendis dire que le coins étaient magnifque juste avant de me contemplé, je ricanna interieurement.
- "Oui, le coin est très beau, mais tu n'es pas dans le coin le plus sur de toute la forêt.

- Maigre récolte à se que je voix ...

Comment fesait-elle cela? Sa voie était chantante et clair. Aucune émotions n'entravait ses paroles. Encore un sourire. serait-ce pour me mettre à l'aise ou pour m'amadouer et me manger toute crue? C'est dur de s'habituer à une présence pareil. A côté d'elle, je me sens moche et sans interet. Ma peur partait petit à petit. Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs. Mais elle est vite revenue quand la jeune fille me dit que je l'endroit n'était pas tres sûr. Parlait-elle d'elle? Je ne comprenais ce que je ressentais. J'avais peur, mais j'avais envie de savoir ce que mon grand-père avait connu. J'avais envie d'être le héros des histoires dont mon ancêtre mort à ce jour l'avait été lui-même.

Sans que je sache d'où sortait cette élan de courage, je sortis sans réfléchir :

- Vous parlez du puma que vous avez bouger tout à l'heure?

*Merde! Qu'est-ce que je viens de dire!*

A cet instant, j'avais l'impression que j'avais mon contrat de mort. Je baissais les yeux, paniquée. Je lacha mon bouquet par terre. Allais-je mourir? Resterais-je en vie? Je tentais en vain de sauver ma peau.

- J...Je suis dé...désolée! Je ne voulait pas dire...ça....

Je reculais d'un pas...puis de deux.

- Je ne voulais pas vous déranger. Excusez-moi, je ne dirais rien à personne.

Je fis demi tour sur moi-même et avant de commencer à marcher, je tournais la tête pour arracher un dernier regard à cette divine créature en ajoutant :

- Je vous le jure.

Ma voix partait dans les aïgu tellement j'avais peur. Mais pourquoi partais-je? Je voulais rester. Je voulais apprendre à la connaitre. Devenir l'amie d'un vampire. C'était mon rêve. Et voila que je gache tout. Il suffirait juste que je lui explique ce que je sais, comment j'ai tout appris sur les siens. Alors je m'arretais net, le dos tourné vers la jeune vampire.

" Vous parlez du pumas que vous avez bougé tout a l'heure? "
J'étis pétrifié. Malgrès que ca ne se voyais pas. Je perdis mon sourrire. Qu'allais-je faire? Elle m'avais jurer de ne rien dire à personne. Mais fallait-il que je lui parle des close du contrats? Ou l'aprendrait elle juste assez vite si elle osait ouvrir sa bouche et parler de moi? Quand je l'entendis begayer quellques excuses minables je me recula d'elle pour ne pas qu'elle aie peur. Je voulais et des explications et j'étais certaine de les avoir! Quand elle se retourna pour partir je lui cria après.
- " Jeune fille! Arrête toi tout de suite! "
D'accord, la j'usais de mon pouvoir, mais elle s'arreta net sans même se retourner. Je m'avanca près d'elle. Et le lis fasse à elle. Nous faisions presque la même taille, mais je la dominais quand même de un ou deux centimètres... Mais peut importe, si comba il y avait, j'étais sur de le remporter. Je ne souriais plus, mais je m'éfforcais de ne pas etre trop effrayante.
- " Que sais-tu sur moi, et que jures-tu de ne pas réveler? " Dis-je d'un voix interogative. Comme si je ne savais pas de quoi elle parlait.

Je n'aime pas qu'on me donne des ordres. Et pourtant, quand sa voix fit tramblait toute la foret, c'est comme si j'étais obligé de m'arreter. Je ne savais pas ce qu'elle ressentait jusqu'à ce qu'elle vienne se postait devant moi. Elle n'était pas si grande. Plus que moi tout de même. Elle était encore plus magnifiqur de près. Je ne savais pas si je devais être horifiée ou juste abasourdie par cette beauté. Son sourire si apaisant avait disparu à present. Elle ne rigolait plus. J'avais l'impression que j'allais mourir sur place, sans rendre de compte à personne. Même si j'avais quitter la maison sans rien dire à personne, je me rendis compte que ça me fesait mal si je mourrai maintenant sans les revoir. A quoi bon. Une fois morte, je ne sentirai plus rien. Je ne sentirai plus toute cette douleur, toute cette haine que j'ai pour ma famille. Si mort il y avait, elle aura un côté positif, elle sera la même que celle de mon gran-père.

Un nouveau son claironnant et chantant sortit de sa bouche. Cette fois pour me poser une question à laquelle je ne m'attendais pas du tout. En entendant ses mots, j'avais l'impression que je m'étais totalement trompée. Pourquoi me poser cette question si elle était un vampire. Ca n'avait aucun sens. C'est pour cela que je decida de me me lancer. Si elle n'était pas un vampire, j'aurais le droit à ses moqueries. Ce n'est rien. Mais si elle en était un, je ne sais pas se qu'il se passera. Mais au moins, j'aurais le coeur net. Je la fixa dans les yeux et d'une toute petite voix je dis :

- Je sais que vous êtes un v....

Le mot ne sortait pas. Je voulais avoir tort pour être sûr de ne pas être en danger. Et en même j'esperais avoir juste pour avoir la chance de découvrir une créature ausso splendide. Repanssant une derniere fois à mon grand-père, je pris mon courage à deux mains.

- Je crois que vous êtes un vampire.

Je fermais les yeux, attendant ma sentence.

Cette jeune femme avais l'air tellment pétrifié, que j'eus envie de la prendre dans mes bras et de la rassurer. Je pris soin de chasser cette idée bien plus qu'idiote dans un coin de ma tête pour ne pas y repenser. Pourquoi avais-je tant de compassion pour une humaine? En temps normal, je l'aurais teroriser puis promettre de ne rien réveler puis laisser partir... Mais cette fille me donnait envie d'assouvir sa curiosité. Pourquoi? Moi qui avait toujours tant détester ces petits humains idiots? Je savais pourquoi... L'humaine me rappelait moi quand j'étais comme elle. Bien qu'elle soit prudente et appeurer, il y avait un peu d'arogance dans sa voix et je savais qu'elle était prete a mourrir pour assouvir sa curiosité. Ca me plaisait. Ca me plaisait jusqu'a se que j'entende : je crois que vous etesun vampire.
Ma première réaction fut idiote. Un grondement annimale sortis du plus profond de ma gorge et je montra mes dents. Ensuite je me recula, de peur de perdre le controle. Je pris une grande bouffé d'air qui me fut inutile. Il fallait que je sache comment elle avait la connaissance de notre existance.
- " Je ne te ferai aucun mal. Sois tranquille. Mais j'aimerais simplement savoir pourquoi crois-tu ca. " Lui dis-je d'une voix que je m'efforcait de rendre rassurante.

Oh mon dieu! C'était le même grognement que j'avais entendu tout à l'heure en ramassant mes fleurs. Le même son. La même raisonnance. Comme un animal. Je tentais d'ouvrir les yeux puisque de toute évidence elle ne m'avait pas encore attaqué. Et je préférais affronter la mort en face plutot que de ne rien voir. Je fus appeurée en voyant la dentition de la jeune femme. Ce n'était pas un sourire qu'elle me fesait. C'était plutot comme un geste animal, comme si elle était énervée. Elle me montrait ses dents.

Soudain elle recula. Je ne savais plus quoi penser. Avait-elle décidé de ne pas m'abattre? Ma question eut vite sa reponse puisqu'elle me dit qu'elle ne me ferait aucun mal. A present je devais lui repondre. Je lui devais une explication certe. Personne à Forks ne devait connaitre l'existence de ces sublimes créatures, je pense. Bien qu'elle restait distante, losqu'elle m'adressa la parole, sa voix me rassura. Je me sentais comme en confiance tout à coup. Pourtant, une partie de moi que je n'écoutais pas me disait sans cesse de me méfier. A quoi bon l'écouter. J'étais en face de mon rêve. Je fesais enfin partie des histoires de mon grand-père. Si seulement il avait été là. Il aurait su quoi faire lui....

- Ca ne servirait à rien de vous mentir, dis-je la voix tremblante et la tête baissée. Je sais ce que vous êtes car une personne qui m'est chère m'a parlé de vous.

Cette personne chère me manquait enormément, surtout pendant ce moment. Ses histoires défilaient dans ma tête à une allure fulgurante. Et je ne sais pourquoi, mon esprit s'arreta sur un détail particulier. Mon grand-père m'avait jurer que leur peau était froide comme de la glace et dur comme du marbre. J'avais tellement envie de la toucher que je lui demanda :

- Je pourrai toucher votre bras?

Je devint rouge comme une pivoine. Si elle avait décidé de boire mon sang, elle l'aurait fait dés le début. Les occasions ne manquaient pas. Je me laissais croire que j'avais eu la chance de tomber sur un "gentil" vampire. Comme lui en avant aussi rencontrer.

Je regardas cette jeune fille. Comment cela ce faisait-il qu'elle conaisse mon secret? Un membre de sa famille, enfin quellqu'un qui lui était cher avait déjà rencontrer des vampire... C'était très étrange et indéscriptible se qui me passais par le crâne. Je m'approcha un peu d'elle pour la voir d'un petit peu plus près. Certe elle avait l'air terorisé, mais j'avais distingué une émotion beaucoup plus forte, qui dominait l'autre, émotion qui m'aurait fait le même effet si j'avais été à ca place. De la curiosité.

Je fus totalement désenrianté quand elle me demanda si elle pouvait toucher mon bras. Je ne réagis pas tout de suite. Au début je ne savais pas quoi faire, c'est pour cela que je n'ai pas broncher en la fixant sans aucune émotion ( qu'elle aurait pu distingué ) sur mon visage. après mur réfflexion, à quoi bon cacher mon secret? Elle était déjà au courrant, et je ne sais pas pourquoi, j'avais confiance en cette jeune fille... J'étais peut-etre idiote, mais c'était comme ca. De tout manière, si elle ouvrait la bouche, elle aurait affaire à moi.

Sans réffléchir j'enleva mon gilet, en la fixant toujours, et lui tenda la main pour qu'elle puisse la toucher. Je l'observa pour voir quelle serait sa réaction.

Sur le coup de l'émotion, je lache toujours des mots sans réfléchir. C'est ce que je venais de faire et je regrettais deja mes paroles. Aucune emotion sur son visage. Ques'est-ce que ça voulait dire? Si seulement je pouvais entrer dans sa tête. Pendant un instant, elle resta immobile comme une statut. Elle ne fesait pas peur. Elle me fascinait. C'était si merveilleux de me retrouver là en face d'elle. Je réalisais que j'avais beaucoup de chance. J'esperais quand même qu'elle ne me fasse pas de mal. Rien que pour pouvoir découvrir tout les détails qu'elle pouvait me donner sur sa vie, ses habitudes, ses amis. Peut-etre même deviendrait-on amies? Il ne faut pas rever non plus. Un vampire et un humain. Pourtant mon grand-père avait été leur ami pendant un temps.

Mon esprit vagabondait quand elle bougea. Elle enleva son gilet et me tendit son bras. J'ouvris de grand yeux. J'étais tres etonnée. Je savais ce que je devais faire. La toucher. Mais mon bras ne voulait pas bouger. Il était comme glacé le long de mon corps. Alors je levais la tête pour la regarder elle. Pour essayer de déceler la moindre émotion qui pourrait encore me reconforter comme elle arrivait si bien à me le faire ressentir. Mais rien. Je fixa de nouveau son bras. Il était blanc, plutot tres pale. Une peau de neige.

*J'espere que tu ne m'as pas menti grand-père!*

Je levai alors doucement mon bras et je l'approchais du sien. D'abord un doigt. C'était dure comme de la pierre et tres froid. Je ne pensais plus à la regarder, mon attention était scotché à son bras. Je voulais tentais autre chose. Je pris son bras complement dans ma main et la je compresser de toute mes forces. Avait-elle mal? Je n'en avais pas l'impression. C'était plutot moi qui m'étais fait mal a tant vouloir serrer son bras. Tout en lachant lentement son bras je sortis un petit merci. Puis je me reculais et la fixa dans les yeux. Je suis sur que les miens devait brillé devant ma contemplation. Le sourire aux lèvres je lui dis :

- C'est fascinant! Je...Je n'en reviens pas.

Mon grand-père m'avait raconter beaucoup d'autres choses sur eux. Mais je n'allais pas tous les vérifer. Ca serait inconvenant. J'en étais sur maintenant. C'était bien un vampire. J'étais heureuse. Une autre personne aurait du avoir peur. Mais pas moi. J'eu un pincement au coeur en pensant à mon grand-père et je ne pu m'empecher d'ajouter :

- Alors je ne m'étais pas trompé, dis-je en regardant mes pieds avant de continuer dans un murmure, vous êtes bien un vam...enfin vous savez quoi.

Elle tramblait un petit peu quand elle avait approchhé son fin bras du mien. J'avais senti ses doigts sur ma peau, puis sa main, puis elle avait commencer à presser mon bras. à ce moment là, j'avais étouffé un petit rire. Quand elle m'avait lacher, et regarder d'un air fasciné et qu'elle m'avait dit qu'elle ne revenait pas... Je compris seulment qu'il était vraiment vraiment trop tard pour quoi que ce soit. Elle était au courrant. Il fallait juste que je lui parle des closes du contrat.

- " Une seconde Miss. Oui, je suis un vampire lui dis-je en soupirant. Mais promet moi un seule chose: tu ne le dira à personne! Sinon, tu sais se qui t'arrivera.

Je ne voulais pas lui faire peur non plus, mais il fallait qu'elle comprenne. Je souria mincement pour essayer de la rassurer. Depuis le début, la curiosité me rongeais. j'alla m'assoir sur un trinc d'arbre non loin en tapotant à coter pour qu'elle vienne me rejoindre.

- " Maintenant, dis moi se que tu sais sur les gens comme moi. "

Le regard toujours fasciné, je ne pouvais que la fixer. Elle confirma ce que je savais déjà. Mais me mit en garde quant à la tournure que prendrait les choses si j'osais réléver son secret. Et celui de tout les autres vampires par la même occasion. Bien sûr il était hors de question que je dise quoique ce soit à quelqu'un. Même pas à Amy. D'une part, je savais que ma vie était en jeu. Et d'autre, j'étais égoiste là dessus, je voulais garder ce secret rien que pour moi. Etre privilégiée. Se sentir comme responsable de garder ce secret me remplissait de joie. Alors que certain aurait craqué, moi j'étais aux anges. Je me sentais comme mon grand-père. Elle me rassura avec un petit sourire en coin. Pour la rassurer à son tour je lui répondis :

- Y a pas de soucis à se faire de ce côté là. Je compte bien être la seule à être dans le secret.

J'étais fière de ma reponse. Un peu. Aussi, je lui rendit son sourire de tout à l'heure mais en plus grand. Elle alla s'asseoir sur un tronc d'arbre et m'invita à faire de même à côté d'elle. Là, elle me posa une question qui me surpris. Je ne savais pas grand chose à leur sujet finalement. Seulement ce que me racontait mon grand-père. Je l'imita donc et vins me poser à ses côtés. J'étais tellement heureuse que je ne pouvais m'empecher de sourire.

- A vrai dire, je ne vous connais pas si bien que ça.

Ma voix ne temblait plus à present.

- Je sais que vous buvez du sang. Certain du sang humain, d'autres celui des animaux. Vous avez la peau pâle, dure et froide. Mon grand-père me disait que vous ne dormiez pas dans des cercueils et que vous n'avez pas peur du soleil.

Je réfléchis quelques secondes pour voir si je n'avais rien oublier puis j'ajouta :

- Je crois que c'est tout. J'ai encore beaucoup à apprendre sur vous je présume, dis-je en baissant la tête.

Je l'écouta attentivement. Qu'allais-je faire? Apprendre à la connaitre et devenir son amie? Ou bien, la mettre en garde lui dire qu'etre l'amie d'un vampire était vraiment dangereux. Elle vient s'assoir à côter de moi. Son odeur m'emplit les narine, cependant, j'étais assez âgé pour savoir me controler. Quand je l'entendis me vouvoyer, je souria... Rare étaient les gens qui me vouvoyaient. Tous croyait que j'avais à peine 20ans. La jeune fille à côter de moi m'avait dis se qu'elle savait de moi. En somme, pas grand choses... Elle savait les bases, mais il lui manquait beaucoup de détail pour comprendre ce qu'était un vampire. Qu'allais-je bien pouvoir lui répondre? Sa y'est, j'avais trouver...

- " tout d'abord, jeune fille, donne moi ton prénom... Comme ca je ne serai plus obliger de t'appeler comme ca. Ensuite, il faut que je te mette en garde... Trainer avec un vampire n'est pas la chose la plus sûr à faire. "

Il aurait fallu que j'ajoute quellques choses, mais je ne savais pas du tout quoi dire... Cela faisait si longtemps que je n'avais plus parler à un humain, les mots me manquaient, ils ne sortaient pas, comme caler dans ma gorge.

Je relevais la tête quand elle me demanda mon prénom. Où avais-je la tête? J'étais d'une impolitesse pure et simple. Ne pas se présenter, mais où va-t-on? Mes émotion me dépassées et mon esprit était rempli de tellement de questions que je n'y avait même pas penser.

- Ah! Oui...Désolée. Je m'appelle Madison.

Mon grand-père ne m'avait jamais parlé des vampires. Je ne savais même pas s'ils en portaient. Alors je lui demanda :

- Et vous? Vous en avez un?

J'attendis sa réponse et une question qui n'avait rien à voir me vint à l'esprit. C'était un vampire. Et le vampire se nourissent de sang. Est-ce qu'elle ressentait le désir de boire mon sang? J'avais tellement envie de lui demander que je ne lui laissais pas le temps de repondre à ma première question :

- C'est dur d'être là à côté de moi?

Je la fixai du regard. J'essayais de distinguer la moindre émotion sur son visage parfait. Mais c'était tres dur. A part quelques sourire par ci par là, aucun de son visage ne me montrait ce qu'elle pouvait ressentir.

Je regardais dans le vide. J'écoutais se qu'elle disait, ca oui, mais mon "cerveau" était assez développer pour faire plusieurs choses en même temps. Dans qu'elle pétrain m'étais-je mise? J'aurais du partir quand il m'en était encore temps. jamais je n'aurais du grimper dans cet arbre. Si seulment je n'étais pas aprtie à la chasse aujourd'hui... Stop, avec des si, j'aurais pu reffaire ma vie. & puis cette dénomé Madison n'était pas si terrible que ca. Elle avait l'air gentille même... En général, je n'aimais pas les humains, mais mon 6e sens me disait que je pouvais avoir conffiance en elle, conffiance du genre: elle ne dirait à persone que j'étais un vampire. Venir m'instaler à Forks m'avait changé. Mon "dégout" pour les humains c'était peu à peu estompé... Il ne restait rien, Juste un dégout pour mon ancienne moi, celle d'avant cette horrible transformation. Cepandant, j'étais beaucoup trop prétencieuse pour l'avouer. Quand elle me demanda si j'avais un prénom, j'éclata d'un rire silencieux.

- "Biensur que j'ai un prénom, j'étais comme toi avant... Je m'appelle Mérédith."

Je l'observait pour voir qu'elle émotion la traversait. Il restait un petit peu de peur. C'était certain. Mais cependant, il y avait mille &é une autre émotion comme de la curiosité, de la fascination et je ne sais quoi d'autre. Elle me posa une question qui me dérouta un petit peu. Étais-ce difficile pour moi d'etre pres d'elle?

- "Á vrai dire, quand je n'y pense pas, non. Mais quand j'y pense, ca l'est un peu plus. Biensur, ca reste supportable. Mais pour y arriver, il faut des années &é des années d'expriance.

- Biensur que j'ai un prénom, j'étais comme toi avant... Je m'appelle Mérédith.

J'ouvris de grand yeux. Quoi? Comment ça? Comme moi avant? J'avais beau chercher dans mes souvenirs, je ne trouvais rien que mon grand-père m'ait dit sur ce sujet. Et je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire par ces mots. Enfin j'avais une petite idée mais je n'étais sûre de rien.
Quand elle entendit ma deuxième question, je savais qu'elle ne s'y attendait pas puisque son visage changea légerement d'expression. Mais vraiment tres légerement. Personne n'aurait pu le voir à moins de la fixai comme je le fesais. Apparement il fallait des années et des années d'expérience pour supporter le sang humain sans passer à l'acte. Ca veut dire qu'elle devait être vieille déja. Pourtant, elle avait l'air d'être tres jeune. Surement la vingtaine. Elle ne vieillisait donc pas. Mon grand-père avait du oublier de me le dire. Il ne le savait peut-être pas puisqu'il les avait connu qu'un court moment de sa vie.

J'étais toujours outré par sa premiere reponse. Je ne savais pas quoi penser. Comme d'habitude, mes émotions prenaient le dessus et je me laissais emporter. Alors je me mis soudain debout et me mis en face d'elle. Je baissais la tête pour regarder son visage.

- Je ne comprend pas. Vous étiez comme...moi? dis-je avec un regarde interrogateur plus que perdu.

Quand elle se mit debout, il ne me fut que 2 secondes pour faire de même, je détestais me sentire dominer et dans ce cas, je me sentais en mauvaise posture. Je m'étais certainement trop vite emporter, comme toujours d'ailleur. Elle était juste curieuse & avait envie de savoir. Devais-je lui dire, ou la laisser découvrire. Non bien sur, il fallait qu'elle sache. Quand elle me demanda se que je voulais dire par comme elle avant, je lui souria. Elle n'en savait donc pas autant qu'elle en avait l'air. Allait-il falloir que je lui explique tout? Certainement, mais ce n'est pas surment pas moi qui me lancerais dans une tone d'histoire. Je repondrais juste à ses questions. Et je ne sais pas pourquoi, je sentais qu'elles allaient etre nombreuse.

- " &é bien tu es une humaine, n'es-ce pas? Et bien avant d'etre se que je suis, j'étais comme toi. Une humaine. Bien idiote ajoutais-je pour moi même. Pas la peine de lui raconter pourquoi je me trouvais idiote humaine.

Je l'obersais dans les moindres détails, cependant, tellment d'émotion aparaissait sur son visage, je me perdais. Il fallait que je saches.

- "As-tu peur Madison?

Elle se mit alors debout pour se retrouver à ma hauteur. Elle le fit avec une vitesse fulgurante. Je n'en croyais pas mes yeux. Je n'ai même pas vu le mouvement. En deux temps trois mouvements elle était debout en face de moi. Elle me fesait peur mine de rien. Je comprenais à quel point j'étais dans une situation dangereuse. C'était tout de même un vampire. Si je la contredisais ou quoique ce soit d'autre, il serait tellement facile pour elle de me sauter à la gorge. Mais je n'en avais que faire. Ma vie était déja dénué de sens comme ça. Grace à elle et à tout les autres vampires, ça m'était du piquant dans mon existence.
Elle me répondit. Evidemment. Pourquoi n'y avais-je pas penser. Mais si avant elle était humaine et maintenant vampire, ça voulait dire qu'elle s'est transformée. Mais comment? Je suis bête. Surement en ayant été mordue. Cette vision m'horrifiait. Et Meredith a du le voir sur mon visage puisqu'elle me demanda si j'avais peur. Oui. Mais mes autres émotions étaient tellement fortes que la peur était le cadet de mes soucis. Pour moi la seule réponse à donner était :

- Non.

Je la regardais à présent. Il ne fesait pas chaud dehors et le ciel commençait à s'assombrir. Elle n'était pas chaudement habillé. J'avais mis une veste et j'avais un peu froid. Je changeais de sujet parce que je ne voulais pas qu'elle voit la peur dans mes yeux.

- Tu...Vous n'avez pas froid habillée comme ça?

Sa peau était deja glacée comme ça, alors en plus s'il fesait froid dehors, elle devait être gelée. La pauvre. En tout cas si elle l'était elle le caché bien.

Si j'avais froid? Biensur que non. Et cette sensation me manquait d'ailleur. Cela faisait passé cent ans que je n'avais plus eu ni trop chaud, ni trop froid. Toujours cette sensation de température constante. Cela m'agassait profondément. J'aurais beaucoup donné pour pouvoir ressentir rien que quellques secondes la sensation du soleil qui tape sur ma peau, cette envie de sauter dans une piscine. Puis il y avait le froid, qui lui me manquait moin... Il fallait que je réponde à sa question. Je mis quellques secondes avant de répondre.

- "&é bien comme tu as pu le remarquer, ma peau est glacé. Mais le froid ne m'afect pas. Voila une des nombreuse calités, ou déffaut, comme tu veux, d'être quellqu'un comme moi.

Je vennais de remarqué qu'elle me vouvoyait encore... Il fallait que je lui précise que se n'était point nécéssaire.

- "Tu sais, tu peux me tutoyer... Je n'ai que 19 ans, si on veut du moin.

- Et en vrai, v...tu as quel age? lui dis-je avec un grand sourire au lèvres. Je mourrai d'envie de le savoir.
Vraiment, cette magnifique créature ne cesait de me surprendre. Elle ne ressentait pas le froid. Je savais aussi que la douleur ne l'affectait pas. Il devait y avoir encore beaucoup de choses dont elle ne ressentait pas la sensation. Si je ne l'avait pas vu de mes propres yeux, je ne l'aurait pas cru. si mon grand-père me l'avait raconter, j'aurais eu du mal à le croire. Et pourtant je l'avais juste devant moi. Un vampire.

Je regardais le ciel. Il s'était assombri. Il commençais à se faire tard et Amy allait se demander où j'étais partie. Mais je n'avais aucune envie de m'en aller. J'avais l'imppression d'être attiré à elle, comme à un aimant. C'était une sensation bizarre. Fesait-elle cet effet là à tout le monde? Ou du moins à tout les humains? Tout ce que j'ésperais c'était pouvoir la revoir. Pouvoir à nouveau parler d'elle et des siens. Ou même ne pas parler. Juste me montrer. Fallait-il encore qu'elle accepte.

Une dernière question me vint à l'esprit. Je n'envisageai pour l'instant de me faire mordre pour me transformer en vampire mais je voulais savoir. Juste ça.

- Mon Amy va s'inquiéter si je ne rentre pas bientot, dis-je en baissant la tete, comme deçue. Mais je voudrais savoir une chose. La.... hésitais-je, la transformation est-elle douloureuse?
Je la fixai dans l'attente d'une reponse.

La nuit était en train de tombée. J'adorais se moment. La nuit j'étais comme un chat, mes sens étaient encore plus développé. Je regardais le ciel en attendant sa réponse. Quand elle me demanda qu'elle âge j'avais je réffléchis un instant. Me dire que j'étais si agée m'étais assez douloureux. Quand j'avais appris que j'étais immortel, j'avais sauter de joie. Biensur, en y réffléchissant plus, je m'étais dit que ce n'était pas une bonne chose. Que c'était vraiment contre nature biensur, L'idée de rester figé dans ce corps parfait de mes 19 ans m'avait vite enlevé se mauvais songe du crane. Il fallait que je lui réponde et tout façon, à quoi bon mentire??

- " J'ai 110 ans & quellques moi. Bien conservé " plésentais-je en souriant.

Mes petits pieds enfermé dans de jolie basket haute que j'avais acheter jouait avec des bout de terre et de cailloux. Je souriais, j'atais heureuse. Parler avec quellqu'un comme Madison m'avais fait du bien. Certe, à par de lui parler de moi ou plutot des vampire en général, nous n'avions discuter de rien autre, mais parler vec quellqu'un d'autre qu'un vampire étais vraiment chouette.

Mon Amy va s'inquiéter si je ne rentre pas bientot, dit-elle en baissant la tete, comme deçue. Mais je voudrais savoir une chose. La.... hésitait-elle, [size=7]la transformation est-elle douloureuse?

C'est vrai, j'avais presque oublier que cette fille avait besoin de dormire et de manger. Sa question forma une boule dans mon estomac, parler de ma transformation m'était vraiment douloureux car celle-ci l'avait particulierement été. Il fallais cependant que je lui réponde pour ne pas parraitre impolie.

- " Très douloureuse " lui dis-je simplement

Tant que ça! Sa petite blague m'avait fait rire. Mais c'est vrai qu'elle était bien conservée. Tant d'années et pas une seule ride. Elle avait gardé toute sa jeunesse et sa vitalité. A cet instant je pensais qu'elle avait beaucoup de chance. Les vampire étaient donc immortelle. Ils avaient l'eternité pour faire tout ce qu'il voulait. Ca me fesait bizarre de penser qu'elle avait presque un siecle de plus que moi. C'était vraiment étrange. Mais qu'était-ce un siècle pour eux. Absolument rien. Rien pour cela, ca me tentai beaucoup dêtre vampire. Cette idée me dit sourire. Mais celui-ci disparut vite fait bien fait de mon visage.

Quand j'entendis sa breve reponse, je me pétrifia sur place. Sa voix semblait dure. J'avais senti que je remuait de mauvais souvenir. Je n'aurait sans doute pas du poser cette question idiote. Evidemment pour moi, elle ne l'était pas. Maintenant que j'avais ma reponse, je ne comptais plus l'embeter avec ça. Ca semblait douloureux pour elle d'en parler. Et de mon côté, je n'avais plsu tres envie de devenir un vampire. Passer par cette phase m'horifié. Mais ca en valait peut-etre la peine. Malheureusement, je n'avais plus le temps d'y penser. Enfin pour le moment. Avec un petit regard triste je lui dis :

- Merci d'avoir repondu à toutes mes questions. Et merci de ne pas m'avoir tué. Je te suis tres reconnaissante.

J'hésitai de lui demander si on pouvait se revoir. J'appréhendais sa reponse. Mais qui ne tente rien n'a rien. Si elle disait non, j'aurais été extremement fière d'avoir pu rencontrer un vampire comme elle. Dans le cas inverse, je serais vraiment tres heureuse de pouvoir encore parler de sa situation ou de tout autre chose cela va de soi.
Je mis mes mains derriere le dos, et me dendinais comme une enfant qui demande un chocolat :

- Ca te dis qu'on se revoit? Je t'oblige pas, bien sur! m'empressais-je d'ajoutais.

De toute facon, comment aurais-je pu l'y obliger, ricanais-je interieurement.

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