Retrouvons nous... {Amour <3

Retrouvons nous... {Amour <3 Dayzee38-013

Aaah… Etre parents, c’était beaucoup de bonheur mais aussi beaucoup de temps… Et tout cela faisait que ma femme et moi, et bien on n’avait plus vraiment le temps de se retrouver rien que tout les deux… C’était assez difficile comme adaptation, nous étions si proche, maintenant, notre relation était moins charnelle…

En ce soir d’hiver, nous étions tous dans la maison familiale, et oui Esmé aimait nous réunir le plus souvent possible maintenant que nous avions des enfants, Alice et moi vivions pratiquement tout le temps chez nous. Mais ce soir, la soirée avait été agitée. Maybel qui ne se détendait qu’en présence de femme s’était beaucoup amusé avec sa tante, sa mère et sa grand-mère et sa sœur. Tandis que les hommes de la famille étaient sortis chahuter un peu dehors. J’avais mis au sol plusieurs fois Emmett et Carlisle ne faisait que nous regarder. Seul Edward me résister, il utilisait son pouvoirs pour anticiper mes mouvements, mais je ne voulais pas utiliser le mien sur lui… Mais peut être qu’un jour j’y viendrais… Pourquoi ne pas le faire avoir un fou rire en plein combat ?? La fin de la soirée était venue au moment où mes filles s’étaient endormies sur le canapé. Alice et moi étions montés les coucher dans notre chambre afin de leur éviter le voyage, et puis elles aimaient bien dormir ici… Ensuite, je m’étais rapidement éclipsé sans qu’Alice ne me voit, ainsi elle me chercherait, ce qui me laisserait le temps de mettre mon plan, auquel j’évitais de penser, à exécution.

J’avais courru, plus rapide qu’une étoile filante vers notre maison qui serait vide ce soir. Une fois rentré, j’attrapai deux verres en cristal et repartis aussi vite, mes sens me conduisirent vers un puma endormis dans sa tanière. Il n’eut à peine le temps de se réveiller que mes canines avaient percé sa carotide. Je recueillis le liquide rouge dans les verres avant de repartir chez moi. Là bas, je posai les verres afin de me mettre au travail. J’attrapai des bougies et créa un chemin avec menant jusqu’à notre chambre à l’étage, j’allumai bien sûr chacune d’elle. Pour notre chambre, je jetai des pétales de roses un peu partout sur le lit, sur le sol et rajoutait encore une fois des bougies pour une lumière tamisée et une ambiance romantique. Je lançai une musique douce et partis dans le dressing avant de me recoiffer légèrement. J’optai pour ouvrir un bouton en haut de ma chemise blanche que j’avais mise pour aller avec mon pantalon noire. Autant être sexy, sans être provocant… Alice arrivait, je la sentais. Je descendis rapidement chercher les verres - que j'avais placé juste à côté de la cheminée, allumée, pour conserver la chaleur du liquide - et remontai dans la chambre ou je me plaçais à côté du lit, un verre dans chaque main...

J’espérai que cela allait plaire à ma femme, j’avais vraiment envie de passer une excellent soirée, d’ailleurs c’était la première fois depuis que je l’avais mordu que j’avais réellement envie d’être seul avec elle… dans un lit. J’entendais la porte de notre maison s’ouvrir et je ressentis sa surprise en voyant le chemin de pétale de rose et de bougie. Je comptai les bruits que faisaient ses pieds sur chaque marche, compte à rebours avant l’arrivée de mon aimée. Je fixai la poignet tourner et surtout, j’affichai un sourire détendu sur mes pâles lèvres si peu habitué au sourire. Si j’avais été encore en vie, mon cœur aurait surement battu la chamade dans ma poitrine. Etonnamment, de moi émanait une grande confiance, une sureté et un charisme qui ne reflétait pas vraiment mon état d’esprit actuel. Non pas que j’avais perdu la main. Mais juste qu’à chaque fois que nous avions essayé, la vue de cette cicatrice m’avait bloqué. Mais pas ce soir. Non je sentais que cette nuit serait notre nuit… Je vis mon magnifique ange entrer dans la chambre et j’adorai son air surpris et son sourire… Je restai silencieux attendant la réaction de mon amante.

Ce soir, Esmé ma mère adoptive avait décidée une fois de plus de réunir toute la famille dans une super soirée. Et en effet, comme d'habitude ça avait été une soirée géniale. Esmé, Rose Callia et moi étant présentes, ma fille benjamine Maybel, normalement très reservée en compagnie des hommes y compris de son père même si ça allait de mieux en mieux, c'était éclatée. Après le diner des petites nous avions beaucoup joué toutes les cinq, nos hommes respectifs sortant pour mieux pouvoir faire les fous, se bagarrer tranquilles sans avoir les réprimande de ma mère d'adoption quand aux différents objets fragiles. Mais il arriva le moment où la belle et puissante Morphée eu le dessus sur mes tendres filles Callia et Maybel et toutes deux sombrèrent dans le sommeil, la première sur le canapé la tête sur les genoux d'Esmé alors que la deuxième s'accomodait mes bras. Je lui passa une couverture et nous discutâmes longtemps autour du feu. Jusqu'au moment où nos maris rentrèrent hilares. Apparemment ils s'étaient bien éclatés tous ensembles. Même mon père semblait plus serein à présent. Il arborait un petit sourire tranquille. Quand a mon mari, Jasper, il riait en collant une bourrade amicale a mon ours de grand frère alors qu'Edward était hilare. Je souris, tendre et amoureuse. Ma moitié s'approcha de moi et m'embrassa avant de prendre tendrement Callia dans ses bras. Nous montâmes dans notre chambre coucher nos petits anges adorés. Elles dormiraient ici, elles le faisaient parfois mais je ne voulais pas leur imposer un voyage qui les réveilleraient pour les recoucher juste après. C'était idiot. Alors que je bordais Maybel, agée de cinq ans, puis Callia, beaucoup plus agée mais toujours fragile, Jazz s'eclispa sans que je m'en rende compte. Je contemplais mes filles. Elles avaient eu tellement d'horreur dans leur passé. Entre Callia élevée par un tuteur qui la considérait comme un objet et un monstre et Maybel ballotée de familles d'accueil en familles d'accueil dont toutes la battaient. Je poussai un soupire et après un dernier et doux baiser je descendis.

J'embrassai mes parents et mes frères et soeur avant de sortir et de marcher, a vitesse vampire certes mais je ne courrais pas. Je m'amusais à regarder les étoiles. Je cueillie une rose rouge dans le jardin de maman et respira sa douce odeur. Enfin j'aperçus ma maison dans cette clairière baignée dans la douce lumière de la lune. Ma peau pale se mit a scintiller doucement alors que j'approchais de perron et que j'ouvrais la porte. C'est alors qu'une douce odeur vint a mes narine alors que devant mes yeux couleur or liquide s'étendait tout un chemin de bougies et de pétales de roses. Surprise je posais le manteau qui ne me servait a rien sur le fauteuil et m'avançais.

Je montais doucement le escaliers ma main glissant sur la rambarde en bois. J'arrivais enfin devant la porte de ma chambre. Il y avait une musique que je ne connaissais que trop bien. Moulin Rouge l'un des films préférés de mon amour. Ma main se posa sur la poignet et j'ouvris la porte. Mon mari se trouvait à coté du lit deux verres emplis d'un liquide rouge bordeau dans les mains. Ma chambre aavait été transformé. Elle baignait dans une douce lumière, des pétales de roses partout. J'étais surprise. Agréablement surprise. Mon doux regard se porta sur Jasper. Il avait un sourire sur ses lèvres. Un sourire que je ne voyais pas souvent.

M'approchant de lui, un merveilleux sourire peint sur mes tendres lèvres rosées, mes yeux pétillants je pris le verre qu'il me tendait et que je reconnus a l'odeur comme du sang de puma, et l'embrassa tendrement sur les lèvres.

-Oh Jasper c'est une merveilleuse surprise mon amour...

Comme j'étais heureuse qu'il l'est eu ça faisait tellement longtemps que nous ne nous étions pas retrouvés ainsi lui et moi. Depuis l'arrivée de nos filles. Et oui dur métier que celui d'être parents.

Je tendis mon verre et trinqua avec lui avant de plonger mon regard dans le sien.

-En quel honneur trinquons nous?

Enfin la poignée tourna et la porte s’ouvrit. J’armai mon visage d’un sourire alors que mon ange pénétrait dans la chambre que j’avais transformé en parfait nid d’amour rien que pour nous deux. Je ne pus m’empêcher de détailler ma femme, ses courbes, son visage de lutin, ses long cheveux bruns dans lequel j’adorai passer mes doigts, ses douces lèvres que j’aimais embrasser, que j’adulai lorsqu’elle se tordait en un sourire comme maintenant. Elle était belle, elle était désirable, elle était mienne pour aujourd’hui, demain et pour l’éternité que notre statut nous confiait. En ce moment, je ne ressentais que du bonheur émanant d’elle, j’étais heureux de lui avoir fait plaisir, je me détendis, me libérant de toute ces appréhension stupide et infondée que j’avais pu avoir.

Ma femme s’avança de sa démarche dansante et écartant les verres pour ne pas la tacher – j’aurai sans hésiter lécher tout le sang qui serait tombé sur elle mais je ne voulais pas abimer ses vêtements – j’accueillais avec grand plaisir ses lèvres sur les miennes, son souffle proche de mon visage. Une fois notre tendre baisé terminé, je lui tendis son verre alors que j’inclinais la tête quand elle me remercia. Je reprenais doucement ses lèvres en un baiser avant de la laisser s’éloigner de moi. Je la vis porter le sang à son nez pour le sentir. C’était du puma encore tout chaud. Cela devait être ce qui se rapprochait le plus de l’humain, on n’en buvait pas tout les jours pour préserver les animaux, mais ce soir était la nuit de toute les folies… Elle fit tinter son cristal contre le mien dans une magnifique et pure note de musique qui retentit à nos oreilles.

« En quel honneur trinquons-nous? »

En quel honneur ? Il y avait en avait tellement… A nos filles, a notre futur mariage, a notre départ en lune de miel, a notre désir l’un pour l’autre, à notre envie de se jeter l’un sur l’autre après tant de temps d’abstinence ? Je fis mine de réfléchir pendant quelque seconde avant de déclarer, ma voix grave et velouté brisant le silence.

« A nous ! »

Puis suivant le geste d’Alice je portais le verre à mes lèvres et but légèrement le contenu. C’était un bon, ce puma devait avoir une très bonne alimentation et être en bonne santé pour avoir un gout aussi prononcé. On dirait presque du sang humain ! Je posais doucement mon verre a moitié plein (ou a moitié vide) sur notre commode et attrapant le verre d’Alice je le posais à côté et j’attirai ma femme vers moi. Mes lèvres allèrent à la rencontre de son cou que j’embrassai après avoir amoureusement dégagé ses cheveux… Je murmurai alors, mon souffle caressant l’étendu blanche et douce qu’était son cou

« Ca m’a manqué, d’être proche de toi… Physiquement. »

Aucune connotation perverse dans mes paroles, mais lorsque nous étions avec nous filles, tous les petits baisers et tout cela... Et bien ils étaient drolement moins nombreux.

Hum... ses lèvres sur les miennes, ses baisers, sa chaleur, son regard or qui se vrillait dans le mien, son sourire charmeur, sa decontraction et son corps d'adonis, il allait me rendre folle. Qu'est ce que je disais moi? J'étais déja folle. Oui folle de lui. Complètement et désespérément folle de lui mais qu'elle femme ne le serait pas en le voyant, si beau et si romantique? Et dire qu'il était mien pour l'Eternité qui s'étendait devant nous.

Jasper : « A nous ! »

Je souris en prenant le verre et goutait avec délice au sang de l'animal. C'était le préféré de mon frère Edward, mais je le comprenait parfaitement. D'abord, c'était celui qui se rapprochait le plus du sang humain et puis cette chaleur, ce gout délicieux. Un régal. Mon regard se vrilla dans le sien alors que mes lèvres goutait au sang. Après avoir comme moi, but un peu, mon mari posa son verre et prit le mien. Je le laissais faire avec un sourire sur mes lèvres. Il m'attira alors contre lui et après avoir tendrement dégagé mes longs cheveux, déposa des baisers dans mon cou.

Jasper : « Ca m’a manqué, d’être proche de toi… Physiquement. »

Je fermai les yeux en frissonnant. Comment ne pas être folle de lui heiin? Moi je ne lui resistait même plus je ne pouvais pas. Quand il était là comme ça si doux si aimant je ne pouvais reflechir correctement. Mes doigts glissèrent dans ses doux cheveux blonds cendrés.

-Prend moi Jasper cette nuit je suis tienne...murmurais-je.

Aucun sous-entendus pervers, simplement le desir d'une femme que son mari soit sien et qu'elle soit sienne. Je l'aimais, je le voulais tout à moi, je le désirais. Nos lèvres finirent par se trouver pour un baiser langoureux mais si doux et si tendre. Je l'entrainais sur le lit, tombais a la renverse l'emmenant avec moi dans ma chute. Nous cessâmes notre baiser pour ne regarder droit dans les yeux. Mes longs cheveux étaient éparpillés sur le lit, Jasper était au dessus de moi. Je caressai doucement sa joue avant de redresser la tête pour un autre baiser qu'il me rendit. Oui cette nuit j'étais toute à lui...

Mon dieu que j’aimais cette grand étendue de peau blanche, dure et douce qu’était son cou. J’adorai l’odeur qui venait ravir mes narines, l’odeur de ma femme si douce, si sucré, tout simplement merveilleuse ! A chaque fois que mes lèvres se posaient doucement sur sa peau un léger soupire s’échappait de la bouche de ma femme. Enfin, mes oreilles surpuissantes entendant ça comme un soupire alors que c’était simplement une variation de sa respiration, et oui tous mes sens étaient en éveil captant les signes de son plaisir. Je sentis ses doigts se glisser dans mes cheveux, un sourire en coin apparut sur mes lèvres.

« Prend moi Jasper cette nuit je suis tienne... »

Je souris beaucoup plus grand alors que je joignis mes lèvres aux siennes pour un baiser langoureux. Alors que ma main se glissait dans sa nuque pour attirer sa tête encore plus vers la mienne afin d’approfondir notre baiser déjà bien langoureux. Toute notre frustration accumulée ressortait à travers notre étreinte. Alice se laissa tomber sur notre lit moelleux et confortable et m’entraina avec elle dans sa chute. J’étais couché sur elle, m’appuyant sur les coudes pour ne pas l’écraser sous mon poids même si je la savais solide, question de principe. Je plongeai mes yeux d’or liquide dans les siens ou pétillaient joie, bonheur et plaisir. Nous nous contemplâmes pendant un long moment sans rien dire, je ne faisais que caressait doucement ses longs cheveux que j’adorais… Puis elle monta la tête et je ne mis pas longtemps à comprendre ce qu’elle voulait. Je descendais alors mes lèvres vers les siennes et s’en suivit un baiser passionné alors que mes mains parcouraient ses courbes qui me rendaient fou.

Je ne pus empêcher mes doigts curieux de défaire les premiers boutons de son chemisier avant que mes lèvres glissent de ses lèvres à son cou puis à la naissance de sa poitrine que mes mains redécouvraient. Je finis de lui défaire son chemisier embrassant avec plaisir son ventre plat et lisse. Je remontais à sa hauteur et partageait à nouveau un long baiser avec ma femme… Vous ne pouviez pas imaginer à quel point j’aimais ces lèvres… Elles étaient tout simplement parfaites ! Je souris lorsque je sentis ma propre chemise être détaché. J’aidai ma femme dans sa tache alors que j’enlevai ma chemise, me retrouvant torse nu. Je ne pouvais me lasser de son cou, de son visage, de ses lèvres, de son corps. Je faisais courir ma langue et mes lèvres un peu partout. Avant d’arriver à son oreille que je mordillai tout doucement avant d’y chuchoter

« Je t’aime… »

Je ne ressentais qu'une joie et un bonheur palpable. Nous étions comme deux adolescents qui s'aiment pour la première fois. Mais nous ne nous aimions pas pour la première fois et nous n'étions pas des débutants et l'amour que nous éprouvions l'un pour l'autre était plus fort que ceux de ces pauvres humains qui connaissaient l'infidélité et la perte d'amour. Pas nous, le bonheur.

Les baisers de mon mari sur mon corps redoublèrent. Il degrafa mon chemisier blanc et embrassa ma poitrine, mon centre plat. Ma respiration devient sacadée alors que je deboutonnais sa propre chemise. Remontant a mes lèvres il m'aida a m'en débarassée son haut volant dans la pièce. Le mien le rejoignit juste après alors qu'il mordillais mon lobe.

Jasper : « Je t’aime… »

J'eu un sourire et le fit basculer a nouveau le dominant de part ma position le tout en recapturant ses lèvres sucrées avant de passer a mon tour sur son cou tout en caressant son tour de douces caresses qui le faisaient frémir. Je souris avant de le regarder mes longs cheveux retombant en cascade come une doux rideau brun.

-Moi aussi Jasper Withlock, murmurais-je.

Je m'attaquais a son pantalon noir. Je finis alors sur le dos sans m'en être rendu compte, je souris a nouveau mais pas pour longteps. Les caresses et les baisers de mon amant devenaient plus fiévreuses plus passionnées, je me mordis la lèvres inférieures même si quelques gémissements m'échappaient. Ma jupe vint rejoindre son pantalon.

-Aime moi fort mon amour...Aime moi comme je t'aime

« Moi aussi Jasper Whitlock. »

Je souris de nouveau en l’entendant m’appelait par mon véritable nom, depuis que j’étais arrivé chez les Cullen, j’étais Jasper Hale, frère jumeau de Rosalie, tout ça pour bien évidemment préserver les apparences, Jasper Whitlock, il n’y avait que Alice qui l’avait connu. Cela ne mit immanquablement pensé au temps depuis lequel Alice et moi nous nous aimions, c’était formidable comme sensation, d’aimer et de se sentir aimer par une personne qui ne vous quittera jamais. Oh non, car notre amour était bien plus qu’une simple amourette ! Nous nous Aimions, avec un grand A. Désormais c’était elle et moi. Je n’étais jamais solitaire, même loin d’elle. Nous étions en permanence connectés, en relation et nous séparer ne nous plaisait pas.

Alors que je pensais à tout ça, je m’étais retrouvé sur le dos, ma femme assis à califourchon sur moi. Je ne pus m’empêcher à nouveau de sourire face à cette prise de contrôle qui ne me dérangeait pas du tout, au contraire. Je remarquais que j’étais complètement détendu, aucune odeur de sang ne venait me déranger, seule l’odeur de ma femme me ravissait les narines. Je lui caressais les hanches et le dos alors qu’elle me prodiguait de tendres baisers et de douces caresses. Elle s’attaqua à mon pantalon. Je l’aidai à nouveau et rapidement je me retrouvai en sous vêtements. Je la refis passer sous moi en une fraction de seconde et je lui enlevai sa jupe. Les vêtements volaient autour de nous.

En un doigté expert, je lui enlevai son soutien gorge dévoilant sa poitrine que j’empressai de découvrir via mes lèvres, ma langue et mes mains. Puis ce fut avec mes dents que finit le chemin vers sa nudité. Encore une fois je découvrais sa féminité par les mêmes moyens que précédemment. Je ne pouvais empêcher mes mains de courir sur son corps de déesse, ma déesse. J’aimais les gémissements qui se glisser entre ses lèvres, signe de son plaisir face à mes caresses passionnées et intimes. Je remontai vers elle et l’embrassait de nouveau, elle semblait encore plus excité que précédemment et elle aussi acheva de me mettre nu.

« Aime moi fort mon amour...Aime moi comme je t'aime »

Cette supplications me fit sourire, elle n’avait pas besoin de me le demander pour que je m’exécute. Alors dans un geste de ma part nous fûmes complètement connectés, de manière charnelle. Nos corps se mirent à danser l’un avec l’autre avec pour seule musique nos gémissement, plainte de bonheur, nos râles et nos ronronnements (dédicace à Emmett xDDD), nous ne faisions plus attention à l’extérieur, donc la musique que j’avais mis était bien lointaine !

***************

La nuit n’avait été composée que de plaisir de la chair qu’Alice et moi avions savourée plus que de raison. Ce n’est qu’au petit moment que je m’écartai d’elle, me couchant sur le côté. Je l’accueillis avec plaisir contre mon torse et je passai mes doigts dans ses cheveux emmêlé par nos jeux adultes. Je jetai un regard à la chambre, elle ne ressemblait plus à rien, il fallait dire que nous avions beaucoup de pulsions à évacué depuis le temps. Les rideaux était arraché, un des poteaux de notre lit à baldaquin était brisé, mais pourtant nous étions heureux. Heureux de s’être retrouvé… Je restai silencieux, caressant doucement ma moitié, encore dans la torpeur et le bonheur que prodiguait ce genre d’activité.

Je m'en rendais compte, j'étais une reine et j'avais trouvé mon roi, j'avais de la chance, tellement de chance. Tout le monde ne le trouvait pas comme moi je l'avais trouvé.

Flash Back

Ça faisait plusieurs jour que je l'attendais, toujours assise dans ce bar où les hommes ne cessait de me regarder jusqu'au moment où Il entra. Il vint vers le bar et me levant je me dirigeais vers lui avec ma démarche de danseuse. Il s'était arrêté et me regardait.

-Tu m'a fait attendre... avais-je dit.

Alors en parfait gentleman il s'était incliné et m'avait fait un baisemain.

-Je m'en excuse demoiselle...

Depuis cette soirée nous ne nous étions pas quittés.

Fin Flash

Après que ma jupe est valsé, Jasper s'attaqua à mon soutien-gorge qui te tint pas longtemps face à son expertise et je sentis bientôt ses lèvres, sa langue, ses baisers et ses caresses qui descendaient de plus en plus déclanchant mes gémissements et mes cris de plaisir. Je gemissais son prénom alors qu'il terminait ce qu'il avait commencé . Son visage finit par remonter vers moi et j'emprisonnais ses lèvres dans un baiser amoureux et passionné. J'étais encore plus exitée qu'avant je le voulais tou à moi. Je finis de le debarrasser de ses derniers vêtements, redecouvrant par des caresses sensuelles, son corps de Dieu avant de presque le supplier de me prendre, de m'aimer tellement je le desirais.

Ne se faisant pas prier, mon amant s'unit à moi et nos corps enlacés firent un ballet toute la nuit agréementé par nos gémissements et nos cris de plaisir et d'amour.

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Jasper et moi nous étions aimés toute la nuit, nos corps enlacés et fiévreux de ce desir qui nous envahissait et qui avait été trop longtemps refoulé pour préserver l'innocence de nos filles. Mais cette nuit avait été la notre, et je l'avais aimé comme telle. Lorsque la lumière du jour passa par la fenêtre dévoilant notre chambre presque entièrement détruite, j'étais blotti contre le torse de mon amant, respirant l'odeur de sa peau marmoréenne alors qu'il jouait avec mes longs cheveux bruns. Je nageais dans le bonheur d'avoir retrouvé ma moitié, nous étions inséparables, unis comme les doigts de la mains et avoir été séparée de lui comme ça m'avait fortement déplut mais maintenant que nous étions parents nous ne pouvions engager comme ça nos enfants. Me redressant sur un coude je m'amusais a dessiner le contour de ses muscles déposant un doux baiser à chacune de ses cicatrices avant de l'embrasser sur les lèvres.

-Je t'aime, murmurais-je en souriant.

Notre nudité était recouverte par un drap, lui-même déchiré par endroit. Il fallait dire que mon amour et moi nous étions légèrement lâché cette nuit, nous avions laissé nos instincts et nos désirs prendre le dessus et voyez le résultat. Notre chambre était en piteuse état, mais nous nous étions bien amusé, ça c’était sûr. On pouvait le voir à nos sourires qui ne quittaient pas nos lèvres. Je continuais de passer mes doigts dans sa chevelure, démêlant ses cheveux au passage alors qu’elle s’amusait à dessiner le contour de mes muscles du bout de ses doigts. Je sentis ses lèvres se poser sur mon torse et je frémis doucement. Puis elle vint m’embrasser, je lui rendis son baiser tout plein d’amour, de tendresse et de bonheur. Qu’on était bien ici… Elle me murmura qu’elle m’aimait. Je lui adressais un sourire détendu heureux avant de déclarer.

« Moi aussi mon ange, je t’aime plus que ma propre vie. »

J’aimais sentir ses cheveux venir chatouiller ma peau marmoréenne. Je déposais mes lèvres sur ses cheveux et embrassa son crane avec douceur. Amusé, j’attrapai un coussin complètement éventré et ayant perdu toute ses plumes et le montraient a ma femme qui semblait tout aussi amusée que moi.

« Notre chambre, elle, à l’air d’avoir beaucoup moins apprécié par rapport à nous… Tu aurais pu éviter de mordre ce pauvre coussin… »

J’attrapai une plume et chatouilla le visage de ma belle avec. Elle riait, qu’elle était belle ainsi. Je me couchai alors sur le côté, face à ma femme afin de plonger mon regard d’or dans le sien. Je me rapprochai alors d’elle, mon corps épousant parfaitement les courbes de siennes. Nous étions collés, et j’approchai mes lèvres des siennes dans un lent et profond baiser alors que ma main alla se poser sur sa hanche… J’étais tout simplement heureux. Je ne pensais même pas aux réparations que j’allais devoir faire dans notre chambre… Je m’en fichais !

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Jasper : « Moi aussi mon ange, je t’aime plus que ma propre vie. »

Je souris en l'embrassant a nouveau. Oui plus que notre propre vie elle même c'était comme ça que je le ressentais moi aussi, je l'aimais tellement, je ne pouvais me résoudre à être séparée de lui. Jasper continuer de jouer dans mes cheveux démélant les noeuds qui s'y étaient crées par notre nuit folle d'amour avant d'attraper un coussin déchiqueter et de me le montrer.

Jasper: « Notre
chambre, elle, à l’air d’avoir beaucoup moins apprécié par rapport à
nous… Tu aurais pu éviter de mordre ce pauvre coussin… »

Mon rire cristallin, semblable a des clochettes carillonantes s'éleva dans toute la maison. Mon homme se coucha sur le coté de façon à me voir bien. Ses lèvres s'approchèrent des miennes dans un profond baiser alors que je sentais sa mains caresser ma hanche. Je me plaçai alors au dessus de lui tout en souriant contre ses lèvres marmoréennes et douce.

-On est repartis pour un second tour mon amour? lui demandais-je.

Alors qu'il souriait une envie soudaine me pris. Je me redressais toujours nue. Attrapant la chemise de mon homme, première chose qui me tomba sous la main, je me levai laissant Jasper muet de surprise et allais mettre une chanson sur la chaine HI-FII. Alors qu'elle s'élevait doucement dans les airs je fermai les yeux un instant avant de me diriger vers mon cheri toujours dans le lit. Me debarrassant de la chemise je retournai sous le draps, sur lui.

-Alors où en étions nous? demandais-je d'une voix pétillante. Ah oui je sais...

Je posais mes lèvres sur les siennes dans un baiser passionément amoureux.

Encore une fois mes lèvres et celle d’Alice se rencontrèrent pour un doux baiser durant lequel je m’amusais à mordre doucement la lèvre inférieur de ma moitié. Ma belle se plaça au dessus de moi et je souris de nouveau en la voyant au dessus de moi, dominante mais amoureuse et mes mains se posèrent sur ses hanches. Elle se pencha vers moi et déclara, ne décollant pas ses lèvres des miennes

« On est repartis pour un second tour mon amour? »

Un grand sourire dévoilant mes dents blanches et parfaite alors que ma femme se redressait et enfiler ma chemise, je ne pus m’empêcher de détailler son corps de déesse alors qu’elle s’avançait vers la chaine HI-FI, je me penchais sur le côté, appuyé sur un coude. J’appréciai à sa juste valeur la musique s’élevant dans l’air alors que ma tendre moitié revenait vers moi, réenlevant la chemise, m’offrant à nouveau le bonheur de sa nudité alors qu’elle venait se coucher sur moi, je l’emprisonnai dans mes bras alors qu’elle me demandait où nous en étions… Elle retrouva son chemin toute seule, je l’aurais volontiers aidé, je tournais, me retrouvant allongé sur elle et recommença à lui embrasser le cou alors que mes mains caressaient les zones érogènes chez elles. Je vrillai mon regard, brillant et intense, dans le sien, appréciant la sentir frémir sous l’action de mes doigts, la savoir en mon pouvoir. Je souris en coin, ce qui me donnait un air irrésistible.

« Madame Hale, je vois que cela vous a manqué tout autant qu’à moi… »

Je voyais bien qu’elle n’était pas en mesure de parler, de léger gémissement de bonheur franchissait ses lèvres que je m’empressai de reprendre contre les miennes. Puis je nous unis à nouveau dans un râle de plaisir.

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Encore une fois nous nous sommes aimés une grande partie de la journée, les yeux dans les yeux nous nous étions porté l’un l’autre vers un plaisir incommensurable qui vous coupe les jambes qui vous arrache des cris... Nous avions quitté notre lit qui n’avait pas supporté le second round… Nous étions donc couchés par terre, entouré de coussin éventrée et couvert par le rideau que ma femme avait arraché de sa tringle dans un moment de perte de contrôle total… Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était mais le soleil avait disparu… Il devait être très tard dans l’après midi. Décidemment nous oublions vraiment le reste du monde lorsque nous étions tous les deux dans cette chambre…

Le moment juste après l’acte en lui-même était l’un de mes moments préféré. Je laissai papillonner ma bouche et ma langue un peu partout sur le corps de ma femme. Le coin de ses lèvres, sa joue, son oreille, sa mâchoire, son cou, ses épaules, sa poitrine, son ventre, puis je remontai en embrassant ses bras, la cicatrice que mes dents avaient laissé sur sa chair (il allait falloir que j’apprenne à vivre avec), ses mains, ses doigts. J’entremêlai mes doigts et les siens, contemplai ma femme. Elle était belle, elle était ma déesse et j’étai son dieu. L’idée de me séparer d’elle m’était insupportable, d’ailleurs je ne pensais pas en avoir la force… Si seulement je savais ce qu’il nous attendait au coin de la rue… Même ma voyante de femme ne pouvait le prédire… Ma femme se laissait faire avec plaisir, elle adorait quand j’étais ainsi, câlin et « papouilleur » (néologisme xD) je ne l’étais pas si souvent que ça en dehors de cette maison, enfin pas autant que maintenant. Oui maintenant on n’était que tout les deux…

A ma proposition plus que osée je devais l'avouer mais tellement tentante, mon amoureux eu un grand sourire qui dévoila ses dents blanches et parfaites. Je capturais ses lèvres alors que la musique s'élevait. Je sentis ses mains se balader sur mon corps fin avant qu'il ne me retourne se retrouvant sur moi. Je souris de cette prise d'initiative et le laissa faire. Il me connaissais vraiment par coeur et connaissais mes points faibles. Alors que ses lèvres embrassaient mon cou froid ses mains papillonèrent aux bons endroits me tirant des gémissements de plaisir. Et ce sourire qu'il avait, ce sourire!!!

Jasper: « Madame Hale, je vois que cela vous a manqué tout autant qu’à moi… »

Comment diable voulait-il que je lui réponde lorsqu'il me faisait ça? Non c'était tout bonnement impossible et il le comprit bien puisque pour la seconde fois je fus totalement sienne le ballet de nos corps recommençant encore.

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Toute la sainte journée nos corps avait fusionnés ensembles aucun de nous ne se rassassiant de l'autre. Nos baisers passionés, nos étreintes fiévreuses, nos caresses sensuelles tout était la, nous nous aimions point. Ma malheureuse chambre, dont le lit ne resista pas a cett seconde couche et nous nous retrouvâmes bientôt allongés a terre avec pour nous couvrir un rideau que j'avais arraché dans un moment où j'avais complètement perdue le controle de moi même, entourés de coussins éventrés et de plumes.

Ces moments là, après m'avoir pris, étaient les préférés de Jasper je le savais bien, ils étaient les miens aussi. La douceur qui se degageait était si doux si tendre. Mon amant embrassait chaque partie de mon corps alors que je caressais tendrement sa peau marmoréenne m'amusant a tracer les contour de ses muscles alors que je frissonnais encore sous ses caresses. Me blotissant contre lui je regardais par la fenêtre. La nuit venait de tomber, le ciel arborait encore un peu de rosé. Nous avions laissé nos filles toutes seule chez Carlisle et Esmé. Tant pis, j'avais retrouvé mon amour, ça prenait forcément du temps et on se rattraperais le lendemain, nousa vions tout le temps devant nous. Si seulement j'avais pu prédire l'horreur qui nous attendais. Me tournant vers mon amant je le regardais droit dans les yeux.

-Jasper...

Il me regarda en souriant, interrogatif devant mon air brusquement sérieux mais toujours doux.

-Promet moi de ne jamais m'abandonner... Promet le moi mon amour... murmurais-je.

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