Attention HOT : La nuits de toutes les folies [ EMMETT] = TERMINER

La nuit de toutes les folies ?

Journée laçante et pénible. Celà faisait bien deux heures que j'étais rentrer à la maison. Mes achats déballer et dans le placard. Je n'avais pas résisiter de préparer une petite surprise pour mon tendre mari. Une chose était sûre il aimer ce genre de soirée ou nos deux corps étaient en...ébulition. Justement, le miens l'était, une envie irrésistible d'avoir mon mari contre moi c'était fais sentir. Je me trouvai désormais dans la chambre que j'arpentai déjà depuis dix minutes, le portable à la main.

Au bout de quelques minutes je mettais diriger vers la salle de bain, pensant qu'il était grand temps. Je me dévêti, laissant tomber à terre mes vêtements derrière moi avec un petit sourire coquain sur les lèvres, n'oubliant pas de tamiser la lumière.

Une fois la chambre prête, je courut me mettre dans mon bain, me relaxant . Fermant les yeux un petit moment. Imaginant déjà les scènes les plus folles avec mon amant, nos cors en ébulition, bos baisers enflammé. Nos corps s'echevêtrant parfaitement. Nos coeurs battant à l'unission, enfin façon de parler.

Je soupirai d'aise. J'avais hâte que la soirée commence. Vingt minutes passèrent et j'étais déjà dehors entrain de me vêtir de nouveaux sous vêtements que j'avais acheter pour l'ocassion, un déshabillé tous à fais ...sexy de couleur noir, qui rendrais fou pas mal d'homme. Il fallait l'avouer j'étais une bombe sexuel, ce soir. La blacheur de ma peau blanche, s'accordant parfaitement avec le noir, ma poirtrine mise en valeur et le porte jartel mis en place. J'étais fin prête. Je regardai mon reflet dans le miroir, un sourire aux lèvres, satisfaite. Mes cheveux laché retombant sur mes épaules. Je disposais les sous-vêtements ultra moulant que j'avais acheter dans l'après-midi pour mon mari sur le lit . Après quelques minutes de pomponnage . J'étais fin prête. Prête à m'offrir à lui, ce soir.

Alors qu’étais allonger sur le lit, mes cheveux sur mes épaules. Je ne tenais plus d'attendre mon mari. Sentir son odeur, son corps contre le mien, sa voix. Je fermer les yeux. J'avais envie d'Emmett, maintenant. J’affichai alors mon sourire aguicheur lorsque j'entendis des pas dans l'escalier et m'allonger sur le lit. Il était entrer, affichant un sourire surpris, puis coquin. Je baisser les yeux, me mordant les lèvres, déguageant mes cheveux de mon décolleté. J'étais fin prête à lui offrir, mon corps et mon âme.

« Madame Hale Cullen... Que me vaut l'honneur et le plaisir de cette vision délicieuse ? »
M’avait-il dit en esquissant un petit sourire coquin. Je sourie de plus belle avant de lui répondre tout en jouant avec une de mes mèches en murmurant :

« Et bien, j’ai penser que l’on …pourraient passer un peut de temps, tous les deux… » Lui dis-je tous simplement. Puis je poursuivis. « Et…j’ai terriblement envie de toi.. ». Rajoutai-je après quelques secondes.

Au moins j’étais directe. Aussitôt ma phrase dîtes. Emmett avait contourné le lit, ne me lâchant pas, me dévorant littéralement des yeux. Je me retînt de rire lorsque que j‘avais vu son regard posée sur mes formes. Ses yeux pétillant de malice. Il était visiblement enchanté. Tous comme moi. Nous avions besoin de nous retrouver tous les deux de tant à autre. Et sentir nos corps l'un contre l'autre. Sentir sa " tiédeur". Je continuais de le regarder.
Il était remarquablement séduisant. Il c’était saisies de la lingerie que je lui avait acheter dans l’après-midi et avait murmurer un :

« Oh oh ... Intéressant... »

Croisant son regard alors qu'il se pencher sur moi. Je fermer les yeux, humant son odeur avant de les ré-ouvir et de lui répondre en me redressant légèrement sur mes genoux, parcourant de mes doigts fin son torse.

-N’est-ce pas ? Lui fis-je en murmurant tout en rajoutant " tu t'es fais attendre mon chéri...il va falloir te faire pardonner..."

Après s’en être emparé, l’homme de mes rêves c’était enfuie dans la salle de bain. Je retombai sur le lit, plissant mes yeux d'or.

« Emmett MacCarty Cullen, vous êtes.. » . Je ne trouvais plus mes mots. Comme celà, Monsieur voulais se faire désirer... et bien j’allais faire de même. Et dieu sais comme si j’étais douer pour ces jeux là… Une chose est sûre, il ne s’en remettra pas..

Qui succombera le premier ?

- Vous m'en voyez flatté et ravi madame... Avait-il dit lorsque je lui avais effleuré de mes doigts fin sa peau pâle comme la neige. Je lui souriais alors qu'il était partie s'enfermer dans la salle de bain à double tour. J'avais fronçai les sourcils. L'air mécontente qu'il s'éloigne de moi. Mais mon sourire était vite réapparut lorsque je l'avais vu sortir de la salle de bain. Haussant un sourcil, je pinçai les lèvres alors que j’avais remarqué qu’il avait garder son pantalon... forcément… Je me mit rigoler .

- Tu es sublime ce soir mon ange...

Comme réponse je lui adressa un petit sourire et murmurer un petit: "merci.." avant de poursuivre : - C'est bien ce que j'avais crut comprendre... monsieur aime ce faire désirée.. Lui dis -je en un sourire. Puis je poursuivis. « Si tu veut jouer à çà, je suis d‘accord… Mais… fais attention de ne pas succomber avant… » Alors que je terminai ma phrase il était arriver près de moi, les yeux flamboyant, le rejoignant dans le lit, il m’avait donner un long et langoureux baiser. Je fermais les yeux, savourant pleinement ce moment intimes, je frissonnai aux contact de ses mains sur ma peau. La température monter entre nous deux alors que je venais de décider de le mener par le bout du nez. Une chose était sûre , si un des deux devaient craquer ce serait lui en premier. Je savais y faire. Je répondit à son baiser aussi passionnément et amoureusement que lui, mais à ma manière. Me rapprochant de lui de ses lèvres lentement, laissant la magie opéré. Je lui déposer de petit baisers sur les lèvres, sans jamais allez plus loin. Mon corps ondulant sous le sien ( Emmett va craquerrrrr niark ) je l’embrassai lentement, arrêtant à chaque fois qu’il tentait d’approfondir le baiser. Au fond, j’étais plier en deux, il voulait se faire désirer, attendre...et bien soit. Moi j’allais le faire attendre. Alors que nos « respiration » s’accéléré je lui glisser à l’oreille. « Alors qui va craquer en premier ? » n’attendant pas de réponse je recommencer mon petit manège, me collant cette fois un peut plus contre lui, lui mordant au passage l’oreille (ouille xd ), je lui souffler son prénom avec sensualité. " Emmett..".

Une chose est sûre...nous pourrions jouer à ce petit jeux toute la soirée...

Comment ne pas hurler ?

Alors que je venais de demander qui allaient succomber le premier, je sentais mon mari se réchauffer contre moi, la température de nos deux corps monter petit à petit, et cette sensation ne m'étais pas désagréable. J'avais susurrer son prénom. Chose, qui je le savais allez le faire craquer, l'oreille...une tactique infaible. Mon corps ondulant, il descendait ses lèvres charnue, mais douce dans mon cou, aant de s'attarder longue:ent en me couvrant de baiser, je frissoner à son contact, mais ne m'aveur pas vaincu. Le faire languir...tel était là, son désir..et bien soit. j'étais prête à le faire languire jusqu'au bout, quand j'entendit me susurer à mon oreille :

Emmett : Tu vas me rendre fou...

Je me mîme à sourire. Etait-il entrain de craquer ? Moi, qui pensais que se serait plus..dure. Je n'était donc pas aux bout de mes surprises.

-Tu t'avoue vaincu ? Lui lachai-je au bout du compte dans un petit soupir de plaisir. Tandis qu'il m'embrassai dans le cou. Inutile de vous dire, que...j'allais devenir folle moi aussi. Mais celà..je ne le lavouerai jamais..Ho grand jamais..Puis, lentement, il avait reprit ses caresses, s'aventurant avec sa bouche un peu plus bas sur mon corps. Je fermai les yeux et pinçai mes lèvres.

* Non..non..je ...je..ne hurlerai pas ! **

Désormais je tremblai quelques peut. Mon corps luttant pour ne pas hurler. Je planter mes ongles dans le dos d'Emmett et me mordai les lèvres. La température était clairement monter d'une vigtaine de degrès tandis que nos corps onduler avec plaisir sous les baisers donner. Je l'arrêtait, emprissonant son visage dans mes mains au niveau du mien, et l'embrassai langouresement, nos langues s'entrechoquèrent avec passion, désirs.

Je lui soufflai : " J'ai gagner..."

- Jamais...

Je mettais mise à grogner. Aie... la tache allait s’avérer plus dure que je ne le pensais.
Je serrai à présent les dent, tandis qu'il me dévorait de yeux. Une question, une seule subisitait " QUI craquerai le premier ?"Alors qu'il continuer à m'embrasser, me faisait frissoner de plaisir. Il s'immobilisa soudain à quelques centimètres de mon visage, mes yeux luttant pour ne pas se fermer. Mon ventre me titillant, comme si des milliers de petits papillon tenter de sortir, je le regardai, ma " respiration saccadé", encore quelques chose que j'avais garder de l'humaine que j'étais il m'avait soufflé :

Emmett : Pas encore mon ange...

HA, petit problème , il ne comptai pas céder ? Est ce que...j'avais le droit de..m'arracher les cheveux ? En plus de celà, il ne c'était pas arrêta là..il était entrain de me titiller le lobe de mon oreille. Je fermer les yeux, à un choulla prête à rendre les armes.

-Emmett..

Oups..c'était sortie tous seul. Ha non pas question de craquer la première, je m'en étais fais la promesse. Après quoi il c'était mis à m'embrasser le ventre. j'écarquiller les yeux. HO non par pitier qu'il arrête..mais, il n'avais pas l'air de vouloir s'arrêter là, ho non. J'en perdais tous sens de la normalité. Remontant de mon ventre...ha ma poitrine cacher par un simple morceau de tissu, il avait déposer de léger baiser s'attardant, encore et encore. Inconsciemment. Je m'étais agrippé à lui. Serrant les dents, me mordant les lèvres, appuyant férocement ssur le matelas avec mes pieds pour ne pas tomber dans son piège s'y attirant.

- non non non.. Gémissais-je à vois haute, tandis que je me maudisait de lui avoir montrer que j'étais entrain de faiblir.

A présent il était entrain de dégraffé mon soutien gorge, j'avalai ma salive diffcilement, le laissant faire. A ce rythme là, j'allais devenir un légume, pure et simple. Il c'était mit à me déposer de petit baiser langoureux. Ses yeux, je n'osait à peine les regarder, aux risques de baisser les armes bien plus vite que je devais. Le pire..ce fut le ronronnement...

-Non..d'acc.. Commençai je, mais, me résonnant je n'allais pas me laisser avoir aussi...ee...facilement ? Durement ? Aucune idée, j'étais ailleur..sur un nuage peut être ? EN tous cas j'étais très, très loin.. 20 millieux sous les mers ? Vous connaissez ? Ha bah voilà ou j'étais... Sa bouche, ses muscles contracter, son odeur me rendais littéralement folle. Comment ne pourrais-je pas succomber ? S'attardant sur ma poitrine à nue, insistant sur les partie que je considérais comme LES zones érogènes, enfin du moins les miennes. Je m'étais aggripper aux draps..Et là..le coup fatale me tombai dessu..

- Alors, tu poses les armes ?

HO -MY- GOD, j'en oublier mes mots tandis que lui continuer son ouvrage plus entousiaste que jamais..qu'allais-je dire ?

-Tu..tu as gagner... Je le regardai, mes yeux flamboyant avant de dire... -Parce que je veut que tu gagne..

Oui, et au plus profond de moi j'étais fière, parce que j'avais gagner d'une certaine façon...

Leçon 1 : Comment faire fondre son mari, comme neige au soleil.



Emmett : Vraiment ? Je ne dois donc ma victoire qu'à ton bon vouloir ?

Je me mime à sourire. Et fondis devant sa mine adorable. C’était fou comme il savait y faire.
- D’une certaine façon…oui . Lui fis-je en un clin d’œil, amuser. « Mais, si sa peut te rassurer tu à était divin. » . Quelques secondes après, je décidai qu’il était à mon tour de lui en faire voir de toute les couleur. Je posai mes doigts fin et délicat sur sa peau, tentant de le faire basculer sur le dos. Docile, Emmett se laissa faire sans rechigner Et puis, quel jeune homme ne se laisserait pas faire ? Rhum…aucun je pense. Je me positionna au dessus de lui, à califourchon, ne manquant pas de bouger encore un peut plus mes hanches, histoire de le rendre encore un peut plus fou. Me positionnant au dessus de mon aimé. Mes cheveux retombant en cascade, je plongeai mes yeux dans celui de mon mari, plongeant mes yeux d’or dans les siens, je me mordait une nouvelle fois la lèvres avec un sourire charmeur. Mes mains se positionnèrent sur son torse, je les baladais, doucement, tendrement. N’hésitant pas à caresser le plus lentement possible sa peau blanche comme l’ivoire pour…descendre plus bas, au niveau de son jean. Là, je relever la tête en un petit sourire et commença à défaire avec habilité le jean d’Emmett…


Emmett : Oh oh madame Cullen...Vous comptez donc me faire payer l'affront de votre défaite ?

Je haussai un sourcil. Et répliqua.

« MacCarty, Madame MacCarty, je vous prit. Défaite ? Mmm…chéri voyons, tu me crois aussi docile que çà ? » J’approchai mon visage du siens, stoppant seulement à quelques centimètre, ma respiration encore haletante je lui dit: « qui te dit que ce n’était pas prévu depuis le début ? » Conclu- je en un petit sourire. « Depuis le temps tu devrais savoir que ta femme est plus résistante que çà. »

Un sourire réfréner je repartie à l’ouvrage. Le bouton ne me résista pas une seul seconde, puis la braguette..

-Mmm..je doit dire que j’ai toujours eut bon goût pour les sous vêtement. Je leva la tête le regardant dans les yeux. « Il te vas…merveilleusement bien…Emmett.."

La vue était plutôt agréable, même voir un peut plus. Je devais l’avouer. Une seule envie à présent, que mon corps et le siens fusionne à nouveau. Je remontai lentement mes mains, déposant de petits baisers sur le torse de mon époux, fermant les yeux, frissonnant de plaisir, haletante. Il était beau, terriblement séduisant, dépassant de loin les dieux Grecque, je l’embrassai langoureusement faisant balader mes mains un peut partout sur le corps de mon amant…lui mordiller les lèvres, tel une tigresse, gémissant, tremblant d’envie, je voulais le faire miens pour l’éternité. Sentir son corps tiède contre le miens, gesticuler ou encore ronronner. L’extase était proche... toute proche…

Moment de Tendresse à deux ?




Après avoir passer la nuit à se caliner, se caresser plus tendrement à chaques minutes. Emmett avait prit les choses en main. J'avais était agréablement suprise et m'étais laisser faire. Habituellement je ne lui aurais pas rendu la tache aussi facile. Mais là, c'était une façon de le récompenser et ee...d'assouvir mon envie soudaine, que voulez-vous. Même les vampires ont la facheuse tendance à tomber dans l'angrenage de l'amour et de l'Amour charnel. Il avait laisser parcourir ses lèvres sur mon ventre pâle et j'avais soupirée d'aise. M'agrippant encore et toujours aux draps à moitiée déchiré, j'haletai, en transe. Je ne tenai plus, et il l'avait très vite compris, me débarassant de mes derniers bout de tissu qui se trouvait encore sur mon corps d'ivoire, nous nous étions unis...nous abandonnant, tous les deux, l'un à l'autre, tantôt dans des gémissements, tantôt des cris de plaisir...

***


Nous étions désormais le matin, l'Aube venait de se lever. Nous pouvions aperçevoir les petits rayons parvenant jusqu'à nos peaux cintillante. J'étais lové contre mon époux, les yeux fermer savourant sa peau, son odeur continuant à lui déposer de petits baiser dans son cou, comme pour le remercier de cette fabuleuse nuit. Une Alouette se mit à chanter, signe que le monde des humains allez bientôt prendre vie. Tandis que nous, vampires nous étions entrain de savourer ce moment si delectable qu'étaits nos amour l'un envers l'autre. Il caressa mes long cheveux blond, soyeux comme la soie tandis qu'il avait murmurer ses deux mots, qui me faisait chavirée..


- Je t'aime...

Je le regardai, les yeux flamboyant, c'était étonnant comme, à chaques fois qu'il me murmurer des mts doux à l'oreille, je perdais, inconsiemment le fil des évènements. Comme déconnecter de la réalitée, je vivais un véritable compte de fée. J'étais loins de savoir, que c'était peut être la dernière fois que j'allais pouvoir les entendres, l'embrassai et faire l'amour avec lui..

-Moi aussi..Emmett MacCarty..

Je bessai la tête avant de me glisser sur lui, m'allongeant de tous mon long sur mon mari, posant la tête sur son torse, fermant les yeux et savourer encore et encore sa peau marmoréenes déposant de léger baisers...

-Promet moi de ne jamais me quitter...promet le moi..