Alors tout est finis ? Ou...mon calvair ne fais que commencer ? [TERMINER]

Découvrez Yiruma!

Nous étions le lendemain de mon sauvetage. Je m'en remettais petit à petit, doucement avec l'aide de mes proches et celle du nourrisson. J'avais demander à Alice une faveur, celle de retrouver ses parents. Ils devraient être mort d'inquiètude. Surtout sa mère. Je me mettait facilement à sa place..
Je baissai la tête, regardant dormir le nourrisson tout contre moi. Je pouvais sentir son coeur battre, sa respiration, sa cage thoracique se lever et s'affaisser à un rythme presque hypnotisant. A mes yeux c'est tous ce que je rêver...Un enfant. Se bonheur si simple, celui d'être mère. Une vague d'apréhension se fit sentir. Je ne devais pas trop m'attacher à ce petit ange, au risque d'être plus mal que je ne l'était à présent, à cet instant.

J'étais encore un peut faible mais mon Etat c'était quelque peut améliorer et Carlisle y veiller personnellement, m'apportant du sang tant qu'il le pouvait pour me nourrir. En revanche, si physiquement j'allais beaucoups mieux, psychiquement c'était tout autre chose. Mes pensées était tourner 24/24H vers Van Eyeck. Son rire, ses paroles me hantait. J'avais peur qu'il s'emprenne de nouveaux à ma famille ou qu'il tente, cette fois-ci non pas seulement de ne pas me nourrir, mais de me tuer pour de bon. J'avais lu dans son regard toute la haine qu'il éprouvait pour moi. Mais elle n'était rien en comparé à celle que j'éprouvais à son égard. Il m'avait "tuer", voler ma vie humaine, violer...détruit la partie en moi qui rêver d'être une jeune femme heureuse et libre.

Durant cette semaine de captivité, il ne m'avait pas laissez une seule secondes de répit, me torturant sans vergogne avec ces longues et terrifiantes illusion. Il c'était amuser, à faire gambader Royce autour de ma cage. Tandit que j'étais désemparé...revoir ce visage...avait était insuportable. Il c'était delecter du spectacle avec une lueur malsaine dans ses yeux border de rouge....Il fallait l'avouer, j'était terroriser à l'idée de me retrouver de nouveau devant lui...Je fermai les yeux quelques instant, comme pour..definitivement oublier...

Perdu dans mes pensées..je n'avais pas vu que quelqu'un m'observait d'un regard inquiétant, mon mari Emmett...

Emmett avait retrouvé sa merveilleuse femme la veille...Toute la famille était aux petits soins pour elle, si bien qu'elle se remettait assez rapidemment.
Toutefois, elle avait changé depuis son enlèvement : Elle qui possèdait déjà une personnalité torturée avant les évènements, semblait souffrir plus que jamais...
Bien entendu, Jasper et Edward avaient prévenu leur frère que l'état de son moral était alarmant, mais cela avait été inutile : Il savait...
Il connaîssait Rosalie mieux que personne, et pourtant, il se sentait terriblement impuissant face à la situation à laquelle il était confronté.

Comment lui faire oublier les horreurs qu'elle avaient vécues ? Comment parvenir à lui permettre de prendre un nouveau départ ?
Une partie de sa réponse, il l'avait eu de la bouche d'Alice...
Elle avait été chargée par son ange de retrouver les parents du bébé qu'ils avaient sauvé, et elle avait mené sa mission à bien avec succès. Malheureusement,elle avait fait une horrible découverte : Ces derniers n'étaient plus...
Le vampire se demandait comment il allait annonçer cela à sa femme tandis qu'il montait les escaliers qui menaient à leur chambre : Il ignorait quelle serait sa réaction en apprenant la nouvelle...

Le décès de ces gens signifiait que le petit n'avait plus aucune famille, ce qui l'attristerait très certainement, mais aussi que s'ils le désiraient, ils pourraient l'adopter, et en faire leur fils...
Silencieux, le gros nounours avait poussé la porte de la pièce dans laquelle la Déesse se trouvait avec l'enfant, avant de s'immobiliser, un air contrarié affiché sur son visage aux traits encore enfantins...
Sa belle était étendue sur le lit, et le nourrisson s'était lové contre elle, refermant ses petits doigts sur ses vêtements durant son sommeil. En d'autres circonstances, il aurait trouvé la scène terriblement atendrissante, mais le visage de son amante exprimait tant de douleur qu'il était lui même incapable de ressentir autre chose...

Prenant grand soin de ne pas réveiller le petit endormi, Emmett avait rejoint sa moitié, avant de s'allonger en face d'elle sur le lit. Leurs corps ne se touchaient pas, séparés par le nouveau né, ce qui ne l'avait pas empêché de caresser tendrement ses longs cheveux blonds, puis sa joue. Il ne savait guère trop quoi dire pour la consoler, si bien qu'il s'était d'abord contenté de garder le silence, la couvrant d'un regard si doux qu'il aurait fait fondre la banquise...

Quelques instant après, sentant un regard poser sur moi, j'ouvris lentement les yeux. Il se trouvai là, devant moi, ses iris dorée plonger dans les miens. J'afficha un petit sourire. Il m'avait tant manqué. Etre loin de lui avai téiat un véritable calvaire. Il se contenter de me regardez l'air maheureux. Je fronçai légèrement les sourcils avant de lui murmurer :

- Ne fais pas cette tête, ce n'est pas ta faute...chéri.

Un petit gazouilli se fit entendre, je baissai vivement les yeux vers le petit ange qui se trouvait lovée contre moi. Il venait d'ouvrir ses petits yeux vert Emeuraude. Je lui fii un petit sourire qu'il me le rendit, s'amusant au passage avec une de mes mèches blondes qui retombait sur mes épaules.

-Coucou toi..bien dormi ?

Pour toute réponse il posa sa petite main sur ma poitrine. J'en conlu qu'il devait avoir fin. Je fit une triste mine. Avions nous du lait à la maison ? Car j'étais incapable de le nourir...au sein.

-Il...il faudrait lui donner à du lait..il à faim..

C'est là, que la triste véritée vînt à mes yeux. Encore une fois. J'étais une vampire, et lui un humain, enfin c'est ce que je croyais. Je pouvais lui faire du mal, si e ne me nourrissai pas sufisamment, il vivrait dans une maison infester de vampire, se retenant de lui enlever la vie. Et puis sans parler des loups, vampires traqueurs, chasseurs.

Trop de danger pour ce petit ange. Celà me fendit le coeur. Heureusement qu'il rentrerait bientot chez ses parents, vivrait heureux. Je lever la tête vert mon mari. Mes yeux aurait briller à cet instant, un sentiment de tristesse mêlée à de la joie. Je papillonai e syeux un instant esayant de reprendre mes esprits. Ce n'téiat pas le moment de me morfondre. Quelques chose me vînt à l'esprit :

-Emmett ? Pourquoi as tu mit la musique si forte dans la chambre d'Alice et de Jazz ? Lui demanais-je par simple curiositer.

Rosalie : Ne fais pas cette tête, ce n'est pas ta faute chéri...

Indirectement si, tout était de sa faute...S'il avait été là au moment où Romuald s'était introduit dans la villa, rien de tout cela ne serait arrivé...
Silencieux, ce qui était plutôt rare chez lui, Emmett se contentait d'observer le visage de son aimée, sur lequel se dessinait un pâle sourire. Et dire qu'il avait bien faillit la perdre à tout jamais !

Le gazouilli du bébé l'avait fait sortir de ses songes. Baissant la tête presque aussi vivement que la Déesse blonde, il avait posé ses yeux d'or sur lui. Son regard était infiniment tendre à l'égard du petit être, non seulement parce qu'il était terriblement mignon, mais aussi parce qu'il n'avait pas approché un nourrisson d'aussi prêt depuis sa transformation...
Il adorait les enfants, et ce depuis toujours, mais il avait eu peur de ne pas pouvoir contrôler sa soif...Et puis, ils étaient tellement fragiles !

Rosalie : Coucou toi..bien dormi ?

L'une des petites menottes de l'enfant jouait avec les belles boucles blondes de la jeune femme, et un sourire ravi illuminait son visage, sourire que partageait Rosalie. Qu'il était agréable pour le gros nounours de la voir heureuse, ne serais-ce que quelques secondes !
Lorsque le petit avait déplacé sa main sur la poitrine de la vampire, chose qu'il serait définitivement le seul individu de sexe masculin à être autorisé à faire sans avoir affaire à un mari en furie, cette dernière avait immédiatement comprit ce qu'il désirait :

Rosalie : Il...il faudrait lui donner du lait..il a faim..

Du lait ? Avant tout chose, il aurait fallut que le réfrigérateur en contienne...
Avant que le jeune homme ait eu le temps de répliquer, sa moitié, dont les yeux brillaient, l'avait interrogé :

Rosalie : Emmett ? Pourquoi as tu mis la musique si forte dans la chambre d'Alice et de Jazz ?

Oh non..Comment est-ce qu'il allait lui expliquer ça ? Finalement, il avait décidé de tenter de lui cacher les faits, comme cela était prévu depuis le début...

- On avait besoin de se défouler un peu...

Assez mal à l'aise, même s'il ne le montrait pas, le vampire avait quitté le lit, avant d'annonçer à son épouse qu'il allait chercher de quoi remplir l'estomac du petit.
Usant de sa vitesse surhumaine, il était descendu dans la cuisine, où il avait trouvé Esmée, qui avait manifestement eu la présence d'esprit d'aller faire quelques courses.
Fouillant dans les sacs de provision, il avait déniché une brique de lait et un biberon, ainsi qu'un paquet de céréales spéciales premier âge.

* Super, je suis bien avançé maintenant...*

Heureusement, sa mère adoptive était venue à son secours, dosant et chauffant le contenu du récipient à sa place. Elle lui avait brièvement expliqué comment il fallait s'y prendre, affichant un sourire amusé lorsqu'il avait renversé la moitié du biberon en appuyant un peu trop fort dessus pour vérifier la température du lait...
Enfin bref !
Quelques minutes plus tard, le gros nounours rejoignait son ange, à qui il avait tendu le biberon, avant de la regarder le donner au nouveau-né.
Au fond, il aurait bien voulu essayer lui aussi, mais il aurait vraiment eu peur de lui faire du mal...

-On avait besoin de se défouler un peu...

Je me relever doucement, me sentant pas encore d'aplomb à tenir debout. Aussi incroyable que celà paraissez, être priver de sang m'avais affablit plus qu'autre chose. Néammoins je n'étais pas idiote. Emmett me cacher quelque chose. A peine voulu-je lui demander le pourquoi du comment qu'il c'était enfui dans la cuisine la recherche de lait pour le petit. Je fronçai les sourcil regardant le petit.

-Toi aussi tu pense la même chose que moi n'est ce pas ?

Aussi ridicule soit-il je parlai avec ce petit être. Sachant pertinament qu'il ne me répondrait pas. Je soupirai. Que me cachait-il à la fin ?

Quelques secondes après Emmett état revenue, me tendant le biberon.

-Tu as vérifier la température ?

Sans tarder je vérifier, il était à la bonne température. Je redressai le petit ange, le positinnant dans mes bras, soutenant légèrement sa tête et son petit corps fragile. Un fin sourire se dessina sur mes lèvres tandis qu'il me tendait ses petite mains. Aussitôt, je le lui donna, et il commençà à succer la tététine avec envie. Je relevait la tête après quelques minutes proposant à Emmett de tenir le petit ange dans ses bras. Je le voyait hésiter.

-Tu peut y allez..il ne vas pas te manger..

Sans attendre sa réponse je lui mit l'enfant dans les bras, délicatement. Puis me connaissant, Lorsque j'avais en tête quelques chose en tête je n'allait pas lacher le morcaux aussi facilement. Je commençai à le questionner.

-Alors comme çà...tu as eut envie de te défouler avec Jazz ? Je levai un sourcil, et penchait la tête de côtée, femant les yeux en secouant la tête l'air desespéré. Tu me ment Emmett MacCarty Cullen ! Lui dis-je avant de poursuivre. " Que me cache tu à la fin ? Si c'est pour me "ménager" ce n'est pas la peine je vais bien alors crache le morceau !

Plusieurs minutes s'étaient écoulées, avant que Rosalie ne propose à Emmett de tenir le bébé. Ce dernier hésitait, vraiment, partagé entre son envie de pouvoir le toucher et sa peur de lui faire du mal, sans le vouloir...Finalement, sa femme ne lui avait pas laissé le choix...

Rosalie : Tu peux y aller..il ne va pas te manger..

Le gros nounours s'était raidit lorsqu'elle avait doucement posé le garçonnet au creux de ses bras musclés, avant de placer maladroitement ses mains autour de son corps, si fragile, si minuscule...
On aurait dit un petit garçon avec une pile de verres en cristal entre les mains, et pourtant, l'enfant semblait apprécier sa présence...
Quand il avait refermé l'un de ses petits doigts tièdes sur son pouce froid, et rivé son regard émeraude dans le sien, le vampire avait esquissé un sourire à son attention :

Il appréciait ce contact jusqu'alors inconnu, vraiment, et il constatait avec plaisir que, même si son odeur était très agréable, il ne considérait pas le bébé comme un éventuel repas...

Rosalie : Alors comme ça...tu as eu envie de te défouler avec Jazz ?

Oh non, voilà qu'elle recommençait, avec ses questions...Emmett savait que son épouse, en plus de possèder une intelligence assez vive, était du genre tenace : Tant qu'elle n'aurait pas obtenu d'aveux, elle persisterait...

Rosalie : Tu me ment Emmett MacCarty Cullen ! Que me caches tu à la fin ? Si c'est pour me "ménager" ce n'est pas la peine je vais bien alors crache le morceau !

Aie, les choses s'annonçaient plus délicates que prévu...Bien sûr, il n'aimait pas avoir à mentir à sa moitié, mais cette fois-ci, c'était pour son bien...

- Tout ce que je veux, c'est ta sécurité mon amour...Je ne veux plus jamais permettre à ce monstre de poser ne serais-ce que ses yeux sur toi...

Non, cela ne répondais pas à la question, mais comment lui dire qu'elle devrait partir ?
Le gros nounours était bloqué puisqu'il tenait le nourrisson dans ses bras, et doublement mal à l'aise à présent...

Je les regardaient un instant un sourire aux lèvres qu'ils étaient beau tous les deux. Puis, une phrase, celle que je reoutais le plus. Signe qu'il "avouait" qu'il me menter.

- Tout ce que je veux, c'est ta sécurité mon amour...Je ne veux plus jamais permettre à ce monstre de poser ne serais-ce que ses yeux sur toi...

Je fronçai les sourcils de nouveau me redressant de plus belle. Il se sentait coupable c'était clair et net pour moi. Comme pour l'apaiser je posa ma main sur une de ses joues. Je ne voulais pas que l'on se dispute. Mais j'obtiendrais ses aveux tôt ou tard.

-Emmett, je t'en prit. C'est assez dure pour moi. Tu ne ferais qu'en pirer les choses en agissant comme celà. C'est tout de même de ma vie qu'il s'agit ! Je fermai les yeux un moment avant de continuer, lasser. "Dit le moi ! je te l'ordonne, tu entend ?"

L'Ange qui se trouvais dans les bras de mon mari tourna ses petits yeux émeuraude vers moi. Je les croisa, un instant ce qui eut don de me calmer aussitôt. Néamoins je ne voulais pas abandonner, après tout on me connaissait pour mon légendaire "mauvais" caractère .

-Emmett..tu t'en veut c'est çà ?

Question idiote je connaissais déjà la réponse. Je le voyais dans ses yeux, dans la façon dont il me regarder.

-Je n'est pas envie de me disputer avec toi. Lui murmurai-je "alors...vas y, au point ou j'en suis je peut tout entendre."

A cet instant j'imagina toute sorte de scénario. J'avais peur. Je ne voulais pas le perdre, ne plus être séparés de lui. Et puis...nous devions nous marier dans pas longtemps. J'avais encore des préparatifs à faire. Et si, par malheur je venais à perdre Emmett, cet homme qui avait refait battre mon coeur, qui m'avais re-donner goût à la vie. Je me sentirais totalement perdu sans lui. La preuve durant la semaine de captivitée j'étais amorphe, je ne voulais qu'une chose mourir. La vie sans mon mari aurait était égale à l'enfer.

-Emmett, je ne veut pas te perdre...

Rosalie avait posé l'une de ses douces mains sur sa joue, avant de reprendre, alors qu'il fuyait son regard :

Rosalie : Emmett, je t'en prie, c'est assez dur pour moi. Tu ne ferais qu'empirer les choses en agissant comme celà. C'est tout de même de ma vie dont il s'agit !

Le pire, c'est qu'elle avait raison : Elle avait le droit de savoir...

Rosalie : Dis le moi ! Je te l'ordonne, tu entends ?

Fort heureusement, le nourrisson était venu à son secours : D'un seul regard, il avait fait tomber la colère de la Déesse blonde...C'est qu'il était doué ce petit !
Et pourtant, Rosalie n'abandonnait pas...

Rosalie : Emmett..tu t'en veux c'est ça ? Je n'ai pas envie de me disputer avec toi, alors...vas y, au point ou j'en suis, je peux tout entendre.

S'il s'en voulait ? Oui, terriblement. Pour ce mensonge, mais aussi et surtout pour ce qui était arrivé...
Lui non plus n'avait aucune envie de se disputer avec la femme qu'il aimait tant, mais les mots refusaient de sortir de sa bouche...S'il avouait, il savait qu'elle ferait tout pour le convaincre de la garder auprès de lui, et elle mettrait de nouveau sa vie en danger...Non...Plus jamais il ne voulait la voir souffrir entre les mains de son ravisseur !

Rosalie : Emmett, je ne veux pas te perdre...

Rivant son regard topaze dans les beaux yeux de sa femme, le gros nounours avait reprit :

- Plus jamais tu ne me perdras mon ange. Etre loin de toi, c'est la dernière chose dont j'ai envie, mais...Nous devons éradiquer Romuald, une bonne fois pour toutes. Tant qu'il sera en vie, vous ne serez pas en sécurité à Forks...

Une fois encore, il avait malhabilemment évité de dévoiler la vérité de façon directe, mais il savait qu'il n'y échapperait plus très longtemps...

Soudain, le téléphone de la belle blonde retentit. La sonnerie tira le couple de ses réflections, et le petits anges, bien endormis sur les jambes de la vampiresses se mis à pleurer et à gigoter.

Le numéro de téléphone était d'origine inconnu.

Alors le téléphone arrêta de sonner, Le téléphone ouvert scnadait une voix sinistre qui ne lui était pas inconnu.

- Ma rose. Tu devrait écouté cet attardé d'Emmett et t'éloigné de lui ma chérie. Tu n'es vraiment pas en sécurité à Forks. Bisous, Ton Romu Adoré.

Soudain la ligne se coupa.

Ce coup de fil témoignais non seulement que Romuald Van Eyexck était toujours en vie, mais qu'il était près d'eux. Beaucoup trop près d'eux.

La sonnerie retentit de nouveau. Encore une fois, le téléphone s'ouvrit, comme actionner par l'absence de désir de Rosalie. La voix du sinistre jeune homme ressorti à nouveau du combiné.

- Fait attention, le bébé semble tout prêt à recommencer à pleurer.

En effet, le bébé endormi avait les trait déformer, Puis si soudainement, il se mit à pousser de petit cris de peine.

- Plus jamais tu ne me perdras mon ange. Etre loin de toi, c'est la dernière chose dont j'ai envie, mais...Nous devons éradiquer Romuald, une bonne fois pour toutes. Tant qu'il sera en vie, vous ne serez pas en sécurité à Forks...

Je relevai la tête vivement lorsque j'eut entendu les derniers mots de la phrase prononcer par mon mari. "vous ne serez pas en sécurité à Forks..." je fronçai les sourcils, soudain affolée. Quoi ? ce n'était pas possible, je devais rêver non ? Il voulais m'envoyer loin de lui...Je me lever, certe difficilement mais j'y parvînt et commençai à faire les cent pas dans la chambre. Foudroyant du regard mon mari. Je tentai de me résonner et de controler ma colère.

-Très bien. Juste une chose. Je stoppa net devant lui, gardant mon visage neutre, ne souriant plus. Qui as eut cette fabuleuse idée que je le remercie à ma manière ?

Avais-je le droit de pleurer ? SI mon coeur battait encore il se serait sans doute arrêter. Frustrer, énerver, il fallait bien qu'un jour je flanche. Me retenant à grande peine de ne pas hurler, avalant ma salive avec difficultée.

-Pourquoi ? Pourquoi MOI ? Tu..tu crois pas que j'ai ASSEZ SOUFFERT comme çà ? J'ai faillit te perdre une fois, je ne veut pas recomencer tu entend ? Sincèrement je ne sais pas si vous vous rendez compte toi et toute la famille ce que je suis entrain d'endurer ? Ce qu'il m'à fait "voir"..je fermai les yeux, sentant que ma colère remonter petit peut par petit peut.. Et comme pour couper cours à mes réfléxions le téléphone sonna..Instinctivement je répondit, j'étais loin de m'imaginer la personne qui était au bout du fil..

- Ma rose. Tu devrait écouté cet attardé d'Emmett et t'éloigné de lui ma chérie. Tu n'es vraiment pas en sécurité à Forks. Bisous, Ton Romu Adoré. [...] - Fait attention, le bébé semble tout prêt à recommencer à pleurer.

Cette voix, ma "respiration se fit saccader, je fut prise de vertige. Alors que je me mit à hurlai, lachant le téléphone des mains, me précipitant à la fenêtre fermant les riddaux.

-Non non NON ! Emmett..il..il est là ! il..il est entrain d'écouter notre conversation..et..et.. Aucun ne put sortir de ma bouche, j'étais à nouveau paralysée par la peur...Comme l'avais prédit mon agresseur, le nourisson se mit à pleurer..il sentait lui aussi le danger...Emmett . Le supliai-je

La dernière phrase d'Emmett avait définitivement mit Rosalie en colère...Tout en le foudroyant du regard, elle s'était levée du lit, avant de se mettre à faire les 100 pas dans la pièce. Si elle avait pu pleurer, il était fort probable qu'elle l'aurait fait...

Rosalie : Très bien. Juste une chose. Qui a eu cette fabuleuse idée que je le remercie à ma manière ?

Cette idée, ils l'avaient eu à deux en vérité, Jasper et lui...Mais avant même qu'il ait eu le temps d'ouvrir la bouche, sa femme reprenait, furieuse :

Rosalie : Pourquoi ? Pourquoi MOI ? Tu..tu crois pas que j'ai ASSEZ SOUFFERT comme çà ? J'ai failli te perdre une fois, je ne veux pas recommencer tu entends ? Sincèrement je ne sais pas si vous vous rendez compte toi et toute la famille de ce que je suis entrain d'endurer ? Ce qu'il m'à fait "voir"..je...

Ses paroles faisaient mal au vampire....Malheureusement pour lui, il était parfaitement conscient de la souffrance de son aimée, et même s'il s'efforçait jour après jour de rendre sa vie moins morne, elle conserverait à tout jamais de terribles stigmates de son passé, que ni lui, ni personne d'autre, ne pourrait jamais faire disparaître complètement...
Quitter son ange était un véritable défi pour le gros nounours, et il ignorait si son épouse mesurait à quel point c'était dur pour lui d'être séparé d'elle. C'était comme ingérer un poison, un poison qui le tuait à petit feu...

Alors qu'il allait tenter de plaçer quelques mots, le téléphone de Rosalie avait sonné, et quand cette dernière avait répondu, il s'était raidit, alors que ses yeux viraient instantanèment à l'encre....

Romuald : Ma rose. Tu devrait écouter cet attardé d'Emmett et t'éloigner de lui ma chérie. Tu n'es vraiment pas en sécurité à Forks. Bisous, Ton Romu Adoré. [...] Fais attention, le bébé semble tout prêt à recommencer à pleurer.

Non...Lui...
Après tout ce qsu'il avait déjà fait, il OSAIT harceler de nouveau sa principale victime ?!
Il était tout prêt....Caché, quelque part; à les espionner...
Un grondement sauvage avait quitté la gorge d'Emmett, qui s'était relevé à vitesse vampirique, avant de se ruer vers sa moitié : Hors de question qu'on la lui enlève encore !!

Rosalie : Non non NON ! Emmett..il..il est là ! il..il est entrain d'écouter notre conversation..et..et.. Emmett ..

Vif, mais néanmoins extrèmement précautionneux, son mari lui avait mit le petit entre les bras :

- Vite, prends le. Il faut sortir d'ici !

Dans les prunelles du vampire se lisait une immense haine envers son ennemi, mais aussi une inquiètude grandissante...Et pourtant, il avait reprit, afin de rassurer la déesse blonde :

- Je te jure qu'il ne te touchera plus jamais mon ange. Il devra me tuer avant, tu m'entends ? Qu'il se montre seulement, et je lui arrache la tête !

La portant presque, il avait dévalé les esccaliers à vitesse grand V, avant de rejoindre les autres au salon. Constatant que ces derniers affichaient un air effaré, il avait comprit qu'Alice avait sûrement eu une vision.

- Il est ici ! Il faut tout barricader, les portes, les fenêtres, la moindre issue par laquelle il pourrait se glisser !

A cet instant, le gros nounours était semblable à un animal sauvage blessé, acculé par une horde de chasseurs : Son regard flamboyait, ses gestes étaient frénétiques, et il était prêt à tout pour protéger les siens, en particulier sa femme, qui serrait le nourrisson contre son coeur....

Découvrez Within Temptation!

Nous étions dans le salon. Nous, Jazz, Carlisle, Esmé, Edward, Callia, Maybel et moi. Emmett et Rosalie étaient dans leur chambre avec le nourisson. J'avais été chargée par mon ainée de retrouver ses parents et j'avais mené ma mission à bien. Le seul problème était que ce monstre de Romuald les avaient tous tués jusqu'au dernier. Enfin il restait bien un des enfants mais il avait été receuilli par des amis de la famille.

Nous étions tous rentrés, oui, mais dans quelles conditions? Rosalie et Maybel étaient bien présentes oui tout comme le nourisson mais ma grande soeur se portait mal, elle était faible, restait de longues heures sans parler revivant les horreurs qu'elle avait vécue a cause de Lui. Quand a ma fille, a Maybel, mon bébé, ma toute petite elle était amnésique. Elle ne se rappelait plus la journée d'hier. Tant mieux peut être direz-vous mais non. Car tout lui revenait peu à peu lorsqu'elle dormait, que ses yeux se fermaient, que son esprit vagabondait et alors elle se réveillait en hurlant, en proiea de terribles cauchemards. Elle ne voulait même plus fermer les yeux maintenant et elle était tellement fatiguée, irritable, elle ne mangeait casiment rien, acceptait rarement la tendresse était encore plus reservée qu'avant et je detestais ça, ça me fendait le coeur.

Je me trouvais près de la fenêtre, Maybel dans mes bras, en train de la bercer. Elle venait de s'endormir un peu. Je l'avais enroulée dans une couverture polaire, fine mais chaude, son ours en peluche, Baluchon, serré contre elle. Je fredonnais une douce berceuse tout en me demandant ce qui se passait dehors. Une question me vint a l'esprit, je me tournais vers ma moitié qui était sur le canapé, le regard vers la télé, vide, comme s'il reflechissait, qu'illuttait contre quelque chose. Je m'approchais de lui, doucement toujours en berçant Maybel.

-Jazz que faisiez vous Emmett et toi là haut? Pourquoi avoir mis la musique à fond? demandais-je a voix si basse que personne ne pouvait entendre a moins d'être un vampire et dans la pièce.

Je ne voulais pas réveiller May qui avait tardé a s'endormir la pauvre cherie. J'attendais la réponse de Jasper lorsque soudain je me raidis brutalement,le regard dans le vide en proie a une vision. Et l'une des pires.

-Non...

Soudain un bruit dans les escaliers, Emmett apparut portant presque Rosalie, apeurée, qui tenait le nourisson serrait contre elle.

-Emmett!!

J'étais a nouveau paniquée. Il était là, Il était revenu, Il était tout près. Celui qui m'avait enlevé ma soeur, mon bébé non!!

Emmett: Il est ici ! Il faut tout barricader, les portes, les fenêtres, la moindre issue par laquelle il pourrait se glisser !
Encore plus pale que d'habitude j'acquiescais maisje fus incapable de bouger serrant Maybel contre moi. Je ne voulais plus la perdre, plus jamais!! Ma mère adoptive pianota sur quelques touches et des volets apparurent aux fenêtre. Mon père alla fermer tout ce qui avait serrure et autre, alors que je continuais a bercer Maybel, presque aussi terrifiée que ma soeur. Finalement me calmant je m'approchais d'elle et dégagea un de mes bras de ma fille pour la passer autour de son épaule.

-Vient Lila...

Je l'entrainais vers le canapé, m'assis près d'elle et toutes deux, avec nos enfants respectifs, oui je savais déja que le bébé resterais avec nous, nous nous serrâmes. J'avais peur oui,mais plus pour ma famille, Rosalie et Maybel en premier, que pour moi même.

-Ça va aller grande soeur, ça va aller... murmurais-je.

- Vite, prends le. Il faut sortir d'ici !

Encore plus que d'habitude, je voulais que celà cesse. Epuiser par tant de remu ménage, de peur et de frayeur, je m'étais laissez guidé par Emmett. Je prenais le nourisson dans mes bras le serrant conre moi. J'avais peur qu'il lui arrive quelques chose. Connaissant Van Eyeck, j'étais persuader qu'il préparer un mauvais coups.

- Je te jure qu'il ne te touchera plus jamais mon ange. Il devra me tuer avant, tu m'entends ? Qu'il se montre seulement, et je lui arrache la tête !

Je levai les yeux vers mon aimé avant de secouer la tête. J'en pouvais plus, marre de tous celà.

- Quand celà cessera t-il ?

Aussitôt je suivit Emmett qui m'entraina dans les escaliers, moi tenant le bébé contre moi, le moinre petit bruit , m'inquièter de plus en plus. Nous arrivâmes dans le salon. Et comme nous l'avions présentie, Alice sentait qu'il se tenait non loin de la maison.

Aice : -Emmett!! avait-elle crier, inquiète, c'est là que l'enfant se remit à pleurer. 'accéléré le mouvement, le berçant un peut plus que d'habitude.

-Calme toi..je t'en prit..

Le nourisson se calma et Emmett se mit à parlé plus inquiet que jamais...

Emmett: Il est ici ! Il faut tout barricader, les portes, les fenêtres, la moindre issue par laquelle il pourrait se glisser !

Je levai les yeux vers mon mari, puis regadait l'enfant. Je fermai les yeux tandis qu'Alice, m'entrainer vers le sofa.

Alice : -Viens là Lila..[...] -Ça va aller grande soeur, ça va aller...

Enervée, je lui avait dit.

-NON NON et NON sa ne vas pas allez ! IL est DEHORS, IL m'attend ! et..TOI . je levai un regard accusateur vers mon mari. -Tu veut m'envoyer à l'autre bout du monde ! il en est HORS DE QUESTION , si je doit mourir se sera AVEC TOI !

ORDRE DE PASSAGE.

EMMETT
ALICE
ROSALIE
CALLIA
JASPER
EDWARD
ROSALIE
CARLISLE
ESMEE
MAYBEL

et après on verra xd si l'ordre ne vous convient pas envoyer moi un MP. Merci.

Quand cela cesserait-il ? Emmett l'ignorait, mais il était grand temps ! Paniquée, Alice, qui serrait Maybel contre elle, avait entraîné Rosalie jusqu'au canapé, où elle s'était assise avec elle, paralysée par l'angoisse.

Alice : Ça va aller grande soeur, ça va aller...

Le gros nounours lui était reconnaissant de tenter de calmer sa femme. Avant d'aller prêter main forte aux autres, et tandis que leurs parents adoptifs verrouillaient toutes les issues, il leur avait fait une promesse, leur posant à chacune une main sur le visage :

- Personne ne vous reprendra ni le bébé, ni Maybel, et ce cinglé ne vous touchera plus jamais !

Après quoi, il s'était lui aussi mis à l'oeuvre : Sans prêter attention aux regards désaprobateurs d'Esmée, il avait déplacé plusieurs meubles et armoires devant les portes et fenêtres, histoire de s'assurer qu'il était définitivement impossible de pénétrer dans la villa.
Et alors qu'il revenait vers son épouse, cette dernière s'était mise à hurler...

Rosalie : NON NON et NON ca ne va pas aller ! IL est DEHORS, IL m'attend ! et..TOI ...Tu veux m'envoyer à l'autre bout du monde ! Il en est HORS DE QUESTION , si je dois mourir ce sera AVEC TOI !

Soutenant son regard accusateur, ce qui lui coûtait un effort de volonté, le jeune homme s'était efforçé de se justifier :

- Ne dis pas ça mon amour. Je ne veux pas te quitter, mais c'est devenu nécessaire : Tant que le monstre qui en a après toi ne sera pas mort, tu ne seras à l'abri nul part à Forks ! Et ni toi, ni aucun autre membre de la famille ne va mourir, c'est une promesse !

Il s'était interrompu durant quelques instants, regardant le nourrisson, avant de reprendre, plus calmement :

- Il a besoin de toi Rosalie...Ses parents...ils ont été tués...Tu dois l'emmener en sécurité. Là-bas, vous ne risquerez rien, ni toi, ni lui...

Constatant que le petit lutin ouvrait de grands yeux, Emmett avait réclamé du secours à Jasper en posant sur lui un regard insistant.
Pourvu que les autres ne s'y mettent pas, eux aussi....

La vie est-elle si cruelle et le destin si implacable que l'on doivent se séparer de ceux qu'on aiment pour survivre?

Je tentais vainement de calmer Rosalie sur le canapé. Mais étais-ce ma soeur que je voulais rassurer, ou moi même? Peut être un peu des deux. Je ne savais pas, plus. Soudain ma soeur s'enerva, contre moi, puis, contre toute attente, contre Emmett.

Rosalie : NON NON et NON ca ne va pas aller ! IL est DEHORS, IL m'attend ! et..TOI ...Tu veux m'envoyer à l'autre bout du monde ! Il en est HORS DE QUESTION , si je dois mourir ce sera AVEC TOI !

Ses paroles me firent tourner la tête vers les deux garçons. Qu'est ce que c'était que cette histoire de partir a l'autre bout du monde? Nos hommes nous cachaient quelques chose c'était obligé. Mon frère tenta de se défendre mais il ne fit que s'enfoncer d'avantage.

Emmett: Ne dis pas ça mon amour. Je ne veux pas te quitter, mais c'est devenu nécessaire : Tant que le monstre qui en a après toi ne sera pas mort, tu ne seras à l'abri nul part à Forks ! Et ni toi, ni aucun autre membre de la famille ne va mourir, c'est une promesse !

J'ouvris de grand yeux. Mais enfin qu'est ce que c'était que cette conversation? Pourquoi Rosalie et Emmett parlaient-ils de partir? Voulaient-ils nous quitter?

Emmett: Il a besoin de toi Rosalie...Ses parents...ils ont été tués...Tu dois l'emmener en sécurité. Là-bas, vous ne risquerez rien, ni toi, ni lui...

Soudain je compris. Non Ils ne voulaient pas nous quitter mais Emmett et Jasper voulaient nous envoyer loin de Forks, du danger, loin d'Eux. J'ouvris de grands yeux et posa Maybel dans les bras de Callia. Je me dirigeais alors vers mon mari et mon frère. Leur plan m'était alors visible.

-Vous n'avez pas interêt a faire ce que vous avez en tête!! fis-je menaçante.

Je regardais mon ainée.

-Ils veulent qu'on partent loin d'Eux pendant qu'ils restent ici et se battent!!

.Je n'avais pas dit où, je n'étais pas bête, Van Eyeck était trop près pour que je commette cette bêtise. Quoique au moins nous ne pourrions plus partir. Si, si Esmé et les petits Je regardais a nouveau Emmett puis Jasper.

-Je ne partirais PAS!!annonçais-je catégorique et glaciale.

La Rébellion des soeurs Cullen. Hale

EMMETT - Personne ne vous reprendra ni le bébé, ni Maybel, et ce cinglé ne vous touchera plus jamais !

Je soutenais à mon tour son regard, j'eus encore envie d'hurler. Se ne pouvait-être vrai.Je vivais un VERITABLE cauchemar. Tous partait en vrille, comme lorsque je mettais disputer avec Edward à propos d'Isabella.

EMMETT - Ne dis pas ça mon amour. Je ne veux pas te quitter, mais c'est devenu nécessaire : Tant que le monstre qui en a après toi ne sera pas mort, tu ne seras à l'abri nul part à Forks ! Et ni toi, ni aucun autre membre de la famille ne va mourir, c'est une promesse !

-Nécessaire ? C'EST nécessaire ? Emmett..je refuse de partir sans toi. Ce fut catégorique. Il faudra m'y mettre de force dans l'avion. Soudain, Emmett porta son regard sur le nourisson que je tenais dans mes bras.

EMMETT - Il a besoin de toi Rosalie...Ses parents...ils ont été tués...Tu dois l'emmener en sécurité. Là-bas, vous ne risquerez rien, ni toi, ni lui...

-Quoi ?

Je fronçai les sourcils. Je crut ne pas bien avoir entendu. Mais à ce que je put voir . Alice, était au courant et redouter plus que tout ma réaction. Perdu, regardant le vide puis repotant mon regad sur mon mari je murmurai,a valant difficilement ma salive.

-Il.. je fermis les yeux avant de reprendre. Tu est entrain de me dire qu'il à tuer ses parents ? Choquée, je tomba à bout de force sur le canapé, prenant ma tête dans mes mains, alors que je venais de mettre le nourrisson à côtée de moi sur le canaper, allonger dans une couverture. Il venait juste de fermer les yeux.

-Mais que vas t-il devenir ?

Puis, soudain Alice se mit en colère. Je venais visiblement de faire une gaffe. Alice n'était pas encore au courant. Ho et puis tant pis ! elle non plus ne souhaitait pas abandonner son mari. Elle criai, hurlai sur Jasper et Emmett, e retînt une seule phrase..celle qui m'intersser le plus.

ALICE -Je ne partirais PAS!!

Je levai la tête puis répondit à mon tour croisant le regard de ma soeur.

-Moi non plus. Je ne partirai pas.

Au début je dormais profondément, j'étais éreinté du rythme scolaire! J'enchaînais révision sur révision en vue de grands contrôles qui auraient lieux dans pas longtemps. En plus j'avais pris du retard à cause de cette histoire avec ce Romuald!

J'avais révisé pendant un long moment et la fatigue finit par m'envelopper. De plus j'avais du sommeil à rattraper avec les récents évènements qui c'étaient produits. Je fini par poser ma petite tête blonde sur mon oreiller et fermer mes yeux gris.
C'est lorsque j'entendis un vacarme énorme que je me réveillais...je n'avais dormis qu'une heure mais cela m'avait tout de même fait du bien!
Mais la question était maintenant de savoir pourquoi un tel vacarme? Une fête surprise? Je soupirais un peu tout en m'étirant et en rejetant d'un coup de pieds ma grosse couette.

Je ne savais pas depuis combien de temps est-ce que la musique hurlait mais elle fut tout de suite coupé alors que je n'avais pas encore mis ma main sur la poignée de ma porte. J'entendais qu'on s'agitait dans les pièces voisines? Mais que se passait-il à la fin?

J'entendis qu'on se précipitait alors dans le salon et moi je décidais alors de sortir de ma chambre, bien décidé à savoir ce qui se passe.
J'entendais tante Rosa crier...IL était encore là alors...mais jamais ne nous laissera t'il en paix? Je descendais les escaliers doucement, ma mère aussi semblait être énervée! J'avais entendu malgré moi toute la discussion...alors comme ça nous allions partir?
Mamam me mit May dans les bras et je la câlinais à mon tour cependant j'arrivais tout de même à la hauteur de mon père et de mon oncle, un air bien décidé sur le visage!

" Moi non plus! Je ne veux pas partir et laisser papa tout seul! Ni même toi oncle Emmett! "

J'étais très inquiète, je ne voulais pas qu'il arrive quelque chose à mon père! Ce malade mental était capable de tout et du pire! Non! Ce n'était pas envisageable un point c'est tout!
Je ne sais pas ou est-ce qu'ils avaient l'intention de nous emmener cependant moi je voulais que l'on reste unis!

" Ce type est un malade! Il serait capable d'inventer je ne sais quel stratagème pour vous berner! Qu'est-ce qui se passera s'il vous arrive quelque chose hein? Est-ce que vous avez pensé à la peine que vous allez faire à tante Rosa et à maman? Et puis à moi et à Maybel! "

J'avais si peur pour eux! Je paniquais même! J'avais réussis à garder un minimum la tête sur les épaules mais le fait de savoir que ceux que j'aimais tant allait être en danger et qu'ils seraient loin de moi...non je refusais d'entendre la raison! J'avais la gorge sèche et mes yeux me piquaient et je sentis pour la première fois de ma vie des gouttes d'eau salée perler au coin de mes yeux. C'est montré mon degré de terreur!
Je regardais toujours d'un air accusateur mon oncle et mon père...mon gentil père pour qui j'avais peur.
Mon regard baigné de larme se posa alors sur ma mère vers qui j'allais pour essayer de trouver un brin de réconfort.

"Maman dis moi que ce que je viens d'entendrre n'est pas vrai...dis moi qu'on restera tous ensembles pour toujours."

Ma petite entrevue avec Emmett, réunion secrète tenue dans ma chambre, avait été courte mais décisive ! En effet, les billets d’avions avait été réservé, les coups de fils, plus ou moins amicaux passé et même le cas de Bella avait été réglé, elle partirait donc chez sa mère à Phoenix et ne reviendrait à Forks qu’une fois toute cette affaire résolu. Rapidement j’avais coupé la musique et était sortit de ma chambre avec discrétion, prenant les escaliers menant vers le rée de chaussée tandis qu’Emmett se rendais au côté de sa femme qui était dans sa chambre, tenant surement le nourrisson dans ses bras.

Arrivé en bas, je regardais d’un coup d’œil attendri, ma femme chanter une berceuse à ma seconde fille Maybel, qui s’endormait enfin enroulé dans une chaude couverture polaire, malheureusement je savais que le repos ne serait que trop bref avant qu’un nouveau cauchemar ne l’arrache à Morphée. Distrait je me posais sur l’accoudoir du canapé, jetant un regard ininterressé à la télévision qui repassait encore une de ces séries stupides… Ma femme se rapprocha de moi

Je savais que nous n’étions absolument pas passé inaperçu, je m’apprêtais à répondre quand le regard de ma femme se perdit dans le vide et que je tournai la tête, alerté par quelque chose. Tous mes sens, et mon pouvoir, en éveil, je sentis la grande agitation et avec une rapidité inhumaine je me relevai, me postant devant une fenêtre, scrutant l’extérieur. J’avais compris. Il était là, quelque part, il nous observait, j’avais l’impression de le sentir… Alors que je me concentrais, je fus sortis de mon était second par les volets se baissant immédiatement, Emmett et Rosalie débarquant dans le salon, Alice calmant notre sœur, la faisant s’asseoir dans le canapé, Callia pénétrant dans le salon. Tout ce passa bien vite, même pour un cerveau de vampire. Malgré ça, je restais immobile, dans l’ombre ne me laissant pas gagner par la panique ce qui serait une véritable catastrophe. Je ne pus empêcher mes yeux de se porter sur Emmett lorsque je compris qu’il avait été incapable de garder le secret plus de 5 minutes… Je retins un soupire, la situation allait devenir plus compliqué. Je me rapprochais du cercle familial, me postant au côté de mon frère et soutenant malgré moi le regard destructeur de ma femme.

Allant pour prendre la parole, Callia parla à son tour et je crus que mon cœur se déchira en voyant des larmes perler à ses yeux de perles… J’aurai voulu la prendre dans mes bras, la consoler, mais non. Je ne pouvais pas ! Pas maintenant ! Prenant une grande inspiration je commençais alors.

« L’idée vient de moi, je ne laisserai pas Emmett se laisser punir par ma faute. Croyais moi, j’ai l’expérience des champs de bataille et des guerres, et ce que je sais, c’est qu’un esprit distrait ne fait pas de bon combattant. Si vous partez, nous saurons que vous serez en sécurité et alors, nous deviendrons parfaitement en mesure de détruire Romuald. Croyez moi, il nous en coute autant qu’à vous qu’à nous de vous laisser partir. Mais il le faut. Ce ne serait l’histoire que de quelque jour, le temps que tout s’arrange. Après tout redeviendra comme avant. »

Alors que je prenais la parole, le silence c’était fait dans le salon, comme à chaque fois que je parlais. Je disais toujours des choses justes, mais malheureusement je savais que mes paroles seraient contestées dans la seconde suivante ! Je plongeai mon regard dans celui de ma femme et je me détestai simplement à l’idée que je doive la faire souffrir. Mais cette haine était nécessaire pour la survie de mon unique amour, et de mes filles, mais aussi de ma famille.

La nuit commençait à tomber sur Forks et ses environs. J’étais couché près de ma fenêtre, observant le soleil se coucher à l’horizon. Le ciel était de couleur bleu foncé, et les arbres étaient bordés de cette magnifique couleur orange. La chaine Hifi passait du piano doux, rendant l’atmosphère de la pièce plutôt agréable. Ce genre de scène me détendait. Je pouvais réfléchir en toute liberté, sans me prendre la tête. J’aimais ces moments seuls, loin de toute civilisation. Mais, bien sûr, il me manquait quelque chose. Une partie de mon esprit se rappelait sans cesse du visage de Bella. J’étais heureux que ses cauchemars aient cessé. Elle dormait mieux d’après elle, le démon qui la torturé était à présent anéantit. En tout cas, dans ses rêves. La réalité était beaucoup moins douce. Romuald était toujours là, voulant à tout prix avoir Rosalie. Nous avions réussi à la libéré de ses griffes, mais il était à ses trousses.
J’essayais de ne plus penser à ça, me concentrant sur la musique qui passait dans ma chambre. Cependant, un air cacha le son du piano qui était diffusé dans ma chambre. Emmett et Jasper parlaient ensemble d’une attaque. Les pensées de mon frère Jasper étaient focalisées sur un voyage, des billets d’avion. Emmett préparait un plan d’attaque, mais son esprit divagua sur le visage de sa bien-aimée, tenant le nourrisson dans ses bras.
Me levant, je baissais le son de ma stéréo et ouvris la porte. Je descendais les marches de l’escalier deux à deux, sautillant comme un enfant à une allure mesurée. Dans le salon, Alice berçait Maybel sur le divan, et mes parents parlaient ensemble. Je m’assis sur le rebord d’une des nombreuses fenêtres et contemplais la scène. J’aimais beaucoup les admirer. Lorsque vous êtes immortel, vous vous occupez comme vous le pouvez. Et regarder ma famille était une de mes activités préférées, après passer du temps avec Bella bien sûr.
Jasper descendait les escaliers, s’approchant de sa femme et de sa fille. Alice le questionnait sur la soudaine musique qui s’était fait entendre il y avait peu. Mais il n’eu pas le temps de lui répondre. Non loin de là, un bruit suspect se fit entendre. Je perçais encore une fois ses pensées horribles, son esprit monstrueux. Jasper avait tout de suite comprit. Il s’était élancé vers la baie-vitrée, examinant l’horizon, éclairé par la lumière de la pleine lune. Tout ce passa à la vitesse de l’éclair. Rosalie et Emmett apparurent ensemble dans le salon ainsi que Callia. L’ambiance était tendue, et tout le monde avait peur de la suite. Les hommes de la famille avaient décidé d’envoyer les femmes sur l’Île d’Esmée pour qu’elles soient en sécurité lorsque nous attaquerions Romuald. Bella partirait chez sa mère, même si j’aurais préféré rester avec elle afin de la protéger. Mais mes frères avaient besoin de moi.
Tout c’était compliqué apparemment. Alice et Rosalie ne l’entendaient pas comme nous. Elles ne voulaient pas partir et laisser leur aimés loin d’elles, en danger. Je les comprenais, mais il devait en être ainsi !
Je laissais les autres parlers, écoutant leurs arguments. Mais les filles n’étaient pas convaincues… Moi, je restais sur ma fenêtre, écoutant en silence. Quoi qu’elles disent, tout ce passerait ainsi.

Etre séparé de mon homme était peut être la pire chose qu'il pouvait m'arriver. Je regardais à tour de rôle Emmett puis Jasper. Callia vînt à son tour. Edward se trouvait quand à lui devant une fenêtre à méditer sur je ne sais quoi. Me calmant petit à petit alors que Jazz débiter son flot de parole...

JASPER « L’idée vient de moi, je ne laisserai pas Emmett se laisser punir par ma faute. Croyais moi, j’ai l’expérience des champs de bataille et des guerres, et ce que je sais, c’est qu’un esprit distrait ne fait pas de bon combattant. Si vous partez, nous saurons que vous serez en sécurité et alors, nous deviendrons parfaitement en mesure de détruire Romuald. Croyez moi, il nous en coute autant qu’à vous qu’à nous de vous laisser partir. Mais il le faut. Ce ne serait l’histoire que de quelque jour, le temps que tout s’arrange. Après tout redeviendra comme avant. »

J'étais loin, très loin dans mes pensés...Me rappelant la réplique que Van Eyeck m'avait sussurer à l'oreille avant que je ne sombre dans l'inconscience.

" -Si un jour je t’offre Emmett en cadeaux, ce sera sous forme de cendres encore brûlante."

L'envie de pleurer. Encore et encore se fit sentir, sans m'en rendre compte je porta ma main sur mon coeur, suffoquant presque. Si j'avais était humaine mon coeur se serait arrêter.

-Emmett ...tu n'imagine pas ce qu'il à put me dire..il est près à tout...même à te tuer, pour me faire du mal... Me levant allant me blottir dans ses bras. Je fermer les yeux.

-Emmett je t'en prit..tu n'as même pas idée des choses horribles qu'il à promit de te faire.

Je n'osais regardé ma famille, ils ne m'avaient surement jamais vu comme celà, ayant toujours l'habitude de la jeune femme forte de caractère qui envoyait pètre tous le monde. Et bien figurez-vous que j'avais un petit côté sensible, comme toute femme, normalement constituer. Je levai les yeux vers mon tendre mari, plongeant dans ses iris d'or. Je me mîme sur la pointe des pieds et lui déposa un léger baiser sur ses lèvres.

- Je t'en prit...ne fais pas çà..ne m'éloigne pas de toi...encore.

Je resserai l'étrinete autour de mon mari, fermant les yeux. Je ne voulais pas le perdre...non..plus jamais.

Après mes paroles, mon regard ocre rencontra celui presque noir de ma soeur ainée. Callia venait d'arriver dans la pièce et berçait Maybel que je lui avais donné pour être plus libre de mes mouvements. Rosalie, tout comme elle me supportèrent.

Rosalie: Moi non plus. Je ne partirai pas.

Callia: Moi non plus! Je ne veux pas partir et laisser papa tout seul! Ni même toi oncle Emmett! [...] Ce type est un malade! Il serait capable d'inventer je ne sais quel stratagème pour vous berner! Qu'est-ce qui se passera s'il vous arrive quelque chose hein? Est-ce que vous avez pensé à la peine que vous allez faire à tante Rosa et à maman? Et puis à moi et à Maybel!

Je foudroyais litéralement mon mari et mon frère de mon regard. Surtout Jasper en fait vu qu'Emmett était occupé avec Rosalie. A la voix déséspérée de Callia je la regardais et m'adoucis avant de me rendre compte qu'elle pleurait!!.

Callia: Maman dis moi que ce que je viens d'entendrre n'est pas vrai...dis moi qu'on restera tous ensembles pour toujours

Je la pris dans mes bras et la berçais en lui caressant tendrement les cheveux. Je fixais Jasper, furieuse. Lorsqu'il parla a son tour je manquais de piquer une crise d'hystérie.

Jasper: L’idée vient de moi, je ne laisserai pas Emmett se laisser punir par ma faute. Croyais moi, j’ai l’expérience des champs de bataille et des guerres, et ce que je sais, c’est qu’un
esprit distrait ne fait pas de bon combattant. Si vous partez, nous saurons que vous serez en sécurité et alors, nous deviendrons parfaitement en mesure de détruire Romuald. Croyez moi, il nous en coute autant qu’à vous qu’à nous de vous laisser partir. Mais il le faut. Ce ne serait l’histoire que de quelque jour, le temps que tout s’arrange. Après tout redeviendra comme avant.

Je m'écartais de Callia et m'approchais dangereusement de lui, folle de rage, n'écoutant pas une parole de ma soeur qui pourtant n'était plus la même.

-Comment oses-tu?!!Comment oses-tu me demander ça a moi Jasper Whitlock Hale? Comment oses tu me demander de partir, de quitter ma famille, de TE quitter, comment oses tu me demander de me comporter devant une lâche!! Je ne partirais pas parcequ'il y a un danger qui menaçe ma famille jamais tu m'entend JAMAIS!!

J'étais a la limite de l'hystérie, ma voix cristalline et chantante virant dans les aigües. Mes cheveux bruns battaient mes épaules, mes yeux lançaient des éclairs.

-Je ne partirais PAS!!Tu m'entend!! JAMAIS TU NE ME FORCERA A TE QUITTER OU A QUITTER MA FAMILLE PARCEQU'UN MALADE SE BALADE EN LIBERTÉ DEHORS!!! finis-je par hurler.

Si j'avais été humaine alors mon visage angélique aurait été ravagé par les larmes. Là non mais ma poitrine était compréssée, ma respiration haletante mes yeux me piquer.

-Tu peux pas me faire ça Jasper... Ta pas le droit de m'éloigner de toi...finis-je par murmurer la respiration sacadée.

Alice : Vous n'avez pas interêt à faire ce que vous avez en tête !!

C'était à partir du moment où Alice avait eu la vision de leur départ proche que les choses s'étaient compliquées pour les hommes de la famille...

Alice : Ils veulent qu'on partent loin d'eux pendant qu'ils restent ici et se battent !! Je ne partirais PAS !!
Rosalie : Nécessaire ? C'EST nécessaire ? Emmett..je refuse de partir sans toi...Moi non plus. Je ne partirai pas.

Cette réaction était prévisible. Pour être plus exact, Emmett et Jasper l'avaient redoutée...Posant un regard désolé sur son ange et sur son petit lutin, le gros nounours avait soupiré, vieille habitude humaine, avant de s'aperçevoir que Callia les avaient rejoint...

Callia : Moi non plus ! Je ne veux pas partir et laisser papa tout seul ! Ni même toi oncle Emmett ! Ce type est un malade ! Il serait capable d'inventer je ne sais quel stratagème pour vous berner ! Qu'est-ce qui se passera s'il vous arrive quelque chose hein ? Est-ce que vous avez pensé à la peine que vous allez faire à tante Rosa et à maman ? Et puis à moi et à Maybel !

Le vampire n'avait pas imaginé que sa nièce prendrait parti...Courageuse comme une lionne, et têtue comme sa mère, elle leur faisait face à eux, les guerriers et protecteurs de la famille, les suppliant presque de rester avec elles...
Mais le pire avait été de voir de grosses larmes couler le long de ses joues, sur son beau visage pâle...

Callia : Maman dis moi que ce que je viens d'entendre n'est pas vrai...dis moi qu'on restera tous ensembles pour toujours...

Faire pleurer les gens qu'on aime est une chose difficile à supporter, c'est pourquoi Emmett évitait de croiser le regard de ses petits bouts de femmes adorées.
Il devait se montrer fort, et ne pas céder à leur supplications...Il ne voulait que leur bien et leur sécurité, rien d'autre !
Heureusement pour lui, son frère avait prit le relais :

Jasper : L’idée vient de moi, je ne laisserai pas Emmett se laisser punir par ma faute. Croyez moi, j’ai l’expérience des champs de bataille et des guerres, et ce que je sais, c’est qu’un esprit distrait ne fait pas un bon combattant. Si vous partez, nous saurons que vous serez en sécurité et alors, nous deviendrons parfaitement en mesure de détruire Romuald. Croyez moi, il nous en coûte autant qu’à vous qu’à nous de vous laisser partir. Mais il le faut. Ce ne serait l’histoire que de quelques jour, le temps que tout s’arrange. Après tout redeviendra comme avant.

Ah Jasper, et sa sale manie de ramener les fautes à lui !
Lentement, le regard décidé, le gros nounours était venu se placer à ses côtés, avant de soutenir ses paroles du mieux qu'il le pouvait :

- Jasper a raison. Nous serons beaucoup plus efficaces à vous sachant à l'abri de ce type, et en ayant qu'à nous préoccuper de sa destruction. Nous sommes supérieurs en nombre, et ton mari a beaucoup d'expérience Alice. L'affaire sera réglée en moins de deux, et après ca, notre vie reprendra son cours normal.

A peine avait-il terminé de parler que Rosalie venait se blottir contre lui, la main portée à son coeur comme si elle craignait qu'il se déchire à l'intérieur de sa poitrine...

Rosalie : Emmett ...tu n'imagines pas ce qu'il a pu me dire..il est prêt à tout...même à te tuer, pour me faire du mal... [ ... ] je t'en prie...tu n'as même pas idée des choses horribles qu'il a promit de te faire...Je t'en prie...ne fais pas ça..ne m'éloigne pas de toi...encore...

Ainsi donc ce monstre, en plus de la torturer physiquement, l'avait menaçée de lui ravir ce qu'elle avait de plus cher ?
Après lui avoir rendu son baiser, Emmett avait tendrement refermé ses bras musclés autour de son corps parfait, avant de tenter pour la énième fois de la rassurer :

- Rosalie...Nous aussi, nous sommes prêts à tout pour vous protéger, toi et les autres.

Et Romuald n'avait pas idée de ce qu'ILS allaient lui faire !!! Il s'était interrompu, alors que sa soeur, Licette, son petit lutin, d'ordinaire enjouée et pétillante, s'était mit à hurler contre son mari...

Alice : Comment oses-tu ?!! Comment oses-tu me demander ça à moi Jasper Whitlock Hale ? Comment oses tu me demander de partir, de quitter ma famille, de TE quitter, comment oses tu me demander de me comporter comme une lâche !! Je ne partirais pas parce qu'il y a un danger qui menaçe ma famille jamais tu m'entends JAMAIS !! Je ne partirai PAS !! Tu m'entends !! JAMAIS TU NE ME FORCERAS A TE QUITTER OU A QUITTER MA FAMILLE PARCE QU'UN MALADE SE BALADE EN LIBERTÉ DEHORS !!!

Shocked

Jamais il n'aurait imaginé que le plan qu'il avait élaboré avec Jasper provoquerait une telle crise...Oh bien sûr, il s'était attendu à des protestations, mais à ca...
Constatant que son frère s'occupait d'Alice, au bord de l'hystérie, Emmett avait entraîné sa moitié et sa nièce avec lui, qu'il avait invitées à s'installer sur le canapé. Après s'être lui même assis entre elles, il s'était doucement emparé du bébé, qu'il avait posé dans les bras de son aimée :

- Comme je te l'ai dis, il n'a plus personne à présent. C'est notre devoir de veiller sur lui, tant qu'il restera avec nous, et je sais que tu feras ca comme personne...

Encore une fois, il s'était interrompu, avant de s'adresser à Callia cette fois :

- Hey, ne pleures pas Cally, s'il te plaît...

Après avoir lentement essuyé l'une de ses joues à l'aide de l'un de ses doigts, et s'être installé de telle façon qu'il pouvait accueillir une ou deux têtes rendue ( s ) lourde ( s ) par le chagrin occasioné par l'annonçe qui venait d'être faite, il avait terminé, alors qu'une lueur déterminée scintillait dans son regard :

- Quoi qu'il arrive, je vous jure qu'aucun de nous ne sera tué, et qu'on se retrouvera très vite.

Le gros nounours avait affiché ses yeux de peluche toute douce et toute mignonne, auxquels il savait les filles incapables de résister : Même si ca lui faisait mal au coeur, la séparation était vraiment nécessaire, et il voulaient qu'elles l'acceptent~~...( Histoire de ne pas être forçé de les mettre de force dans l'avion.... XD, chut Memmett dis pas ca ! Ca n'arrivera qu'en cas d'extrème nécessité XD )~~

Depuis hier, j'avais un grand vide dans ma tête. Comme si quelqu'un y avait creusé un gros trou! Mais je savais que c'était plus compliquer que ça. Je me souvenais d'être partit avec maman, d'avoir franchit la porte d'entrée, puis plus rien. Je m'étais réveillée à la maison, avec des hématomes et des plaies partout, sans compte cette drole de morçure à ma gorge. Je ne voyais pas trop comment je m'étais fais ça, comme je m'étais fait autant mal. Comme je ne comprenais pas pourquoi toute la famille avait l'air soulager, pourquoi j'étais passer dans les bras de tout le monde, pourquoi tatie avait l'air si mal...Non, je ne comprenais pas. Voulais-je comprendre? J'en étais pas certaine.

Puis il avait ces rêves, toujours trop réel, toujours trop effrayant, douloureux comme un coup porter dans ma tête. Ça faisait bouger quelque chose dans ma poitrine, des petits bouts de verres cassée qui déchirrait mon ventre. Mais les images n'étaient pas très claires, elles n'avaient pas vraiment de suite, d'ordre ou encore de logiques. Elles étaient juste présentes, défilants parfois des brides de paroles, un geste quelconque, jusqu'à créer une histoire sanglante et macabre. Résultat: Je ne voulais plus dormir.

Mais Morphée était plus forte que moi. À force de chansons et de caresses, emmitouflée dans la couverture, je m'étais endormie. Mes yeux avaient été trop lourds, et j'avais sombrer dans les bras de ma mère. Combien de temps? Je ne serais dire, mais pas asser pour récuperer les heures de sommeils que j'avais perdues. Bien vite, trop vite, les images se formèrent dans ma tête, créant une macabre symphonie de mots de de couleurs jusqu'à devenir légèrement plus compréhensible, mais pas assez.

"Non!!"

Ma voix se perdit dans les disputent autours de moi, sans que je ne m'en rende entièrement compte. Pendant un long moment, je me débattis pour émerger, me débattant également das les bras de ma soeur. Ce fus les cris qui m'aidèrent à sortir des ténèbres et j'ouvris brutalement les yeux, alletante et pleurant. Les larmes coulaient le long temps mes joues avec un trop d'intensité et j'étouffai un sanglot dans le cou de ma soeur, passant mes bras autours de son cou. À travers ma terreur, les cris de ma mère me parvinrent et je sursautai, regardant les gens autours de moi. Je cherchai une réponse dans les yeux humides de ma soeur, dans ceux de mon oncle et ma tante, je n'étais pas capable d'identifier ce que j'y voyais, en réalité, C'était trop complexe pour ma petite personne.

" Tu pleures Cally? Pourquoi, dis? Tu as plus de sucette?"

C'était peut-être idiot comme question, certes, mais pour ma raison d'enfant de cinq ans, c'était une bonne raison de pleurer. Je comptemplai son visage un long moment, pas certaine de ce qui ce passait autours de moi. Je regardai ma famille dans la pièce, mamie et papi dans leur coin, silencieux. Tatie et Tonton, assis près de nous, discutant. Oncle Edward était également là. Je ne savais pas pourquoi j'étais désormais dans les bras de Callia, mais mon regard fut attirer par l'endroit d'où était venu les cris. J'observai maman et papa un long moment.

Puis, je me débarrassai de la couverture et sautai sur mes pieds. Je chancelai un moment, me rattrapant sur le genou de mon oncle pour ne pas tomber et lorsque le sol fut stable sous mes pieds, je contournai le sofa pour m'approcher de mes parents, Baluchon maintenu contre mon coeur. Je m'interposai près d'eux, les yeux toujours bordés de larmes à cause du cauchemar. Je n'étais pas très certaine de moi... Je me plantai entre maman et papa, tourner vers cette première, mon visage couvert de bleus lever vers elle. Lorsque repris la parole, criant dans mes pauvres timbants, je reculai contre les jambes de mon père, un peu effrayée.

" Maman...arrête de crier....s'il te plait...." Suppliais-je doucement.

Je détestais les cris, ça me rappelait les coups. Pendant quelques secondes, je tournai les yeux vers ma tatie, essayant de me rappeler ce qui m'avait fait peur dans mon cauchemar. À quoi avais-je rêvée? Au monsieur, à tatie...un cage...mais c'était quoi tout ça? Et c'était qui ce bébé hein? Je n'avais toujours pas conscience d'être debout contre les jambes de mon papa, comme si il n'avait été qu'un détails dans la scène qui se jouait. Ma maman avait l'air trop triste pour que je m'en soucis...

EMMETT / - Jasper a raison. Nous serons beaucoup plus efficaces à vous sachant à l'abri de ce type, et en ayant qu'à nous préoccuper de sa destruction. Nous sommes supérieurs en nombre, et ton mari a beaucoup d'expérience Alice. L'affaire sera réglée en moins de deux, et après ca, notre vie reprendra son cours normal.

Je levai la tête vers mon mari. Oui, j'en étaiit consicente, Jasper avait raison, oui. Mais, l pensée de perdre mon cher et tendre me faisait tourner la tête rien que d'y penser. Je l'aimer tendrement et vivre sans lui, serait insuportable. Je m'étais blottie contre Emmett, tandis que lui avait refermer son étreinte autour de mon corps. Il avait poser un tendre baiser sur mes lèvres, alors que je posai ma tête contre son torse, me sentant en sécuritée...

EMMETT : Rosalie...Nous aussi, nous sommes prêts à tout pour vous protéger, toi et les autres.

-Je n'en doute pas..mais qui vous protégera VOUS ? Si ce n'est pas Alice et moi ?

Puis, il m'avait entrainer vers le canaper et c'téiat installez entre moi et Callia avant de me dire :

EMMETT :- Comme je te l'ai dis, il n'a plus personne à présent. C'est notre devoir de veiller sur lui, tant qu'il restera avec nous, et je sais que tu feras ca comme personne...

Il s'empara du nourisson me le mettant dans les bras. Avec douceur je le prit, portant un de ses petite main à mes lèvres, je lui déposer un léger baiser sur celle-ci avant de plonger mes iris dorée dans celui de mon mari interrogatrice..

EMMETT : - Comme je te l'ai dis, il n'a plus personne à présent. C'est notre devoir de veiller sur lui, tant qu'il restera avec nous, et je sais que tu feras ca comme personne...

-Tu..tu veut dire, que tu souhaiterais qu'on l'adopte ? Demandait-je surprise, mais sentant une certaine euphorie. Decidemment, peut être n'étais-je pas si maudit que çà..

EMMETT - Quoi qu'il arrive, je vous jure qu'aucun de nous ne sera tué, et qu'on se retrouvera très vite.

Je baisser les yeux, m'emparant d'une des mains de mon mari. Le regard suppliant je lui avat dit..

-Ne me laisse pas...s'il te plait.. avait-je murmurai, l'air desemparer..

Comme je m’y étais attendu et surtout préparé, mes paroles, simple constatation des faits actuels, explications et vérités eurent l’effet d’un détonateur auquel on aurait branché une dynamite. Le son de l’explosion était remplacé par la voix de ma femme qui s’éleva dans les décibels alors que j’aurai pu entendre le moindre murmure de sa part, non il fallait qu’elle hurle, mais je comprenais parfaitement sa colère et sa peine, j’y étais moi-même sujet, la sienne, la mienne et puis celle des autres également. Je ne ressentais aucun bonheur émanant des membres de ma famille. J’étais complètement concentré sur ce que me déclarait Alice, j’avais l’impression que mes oreilles bourdonnait et bloquait les autres voix. Ce qu’elle me disait me faisait souffrir bien sûr.

Alice :

Comment, mais surtout pourquoi osais je ? Tout simplement parce qu’il le fallait !! Il était essentiel, même vital que tu t’en ailles Alice ! Jamais je ne pourrais me battre en sachant que je pourrais te perdre ! Mais pourtant je restai silencieux, je ne prononçai pas ses mots car la voix d’Alice repris rapidement

Alice :

Cette fois elle était vraiment dévastée, je la regardai d’un air désolé mais je n’avais pas le choix. Je restai ferme malgré tout, il fallait que je tienne, pour tout le monde, je devais être le phare dans la tempête, me tenant droit et donnant la bonne direction à suivre ! Ma fille, dans les bras de sa sœur se réveilla et sautant sur ses pieds vint se mettre entre Alice et moi implorant sa mère d’arrêter de crier. Peut être par peur, elle se recula et vint se coller à mes jambes, c’était l’un des premiers contacts réellement physique que j’avais avec elle, sans compter la fois où je l’avais serré dans mes bras quand je l’avais retrouvé dans la grotte… Comme la dernière fois, je sentis un réconfort de la sentir près de moi. Mais mon esprit était bien trop occupé à penser… A élaborer une réponse en direction d’Alice. J’essayais de trouver les mots justes, les bonnes formules. Et enfin je me lançai. Chacun étant dans son monde, en l’occurrence Emmett avec Rosalie.

« Mon amour. C’est à contre cœur que je te demande de partir. Mais ne le prend pas comme un ordre, c’est une nécessité ! Si vous ne partez pas, nous serons tous morts dans une heure, un jour, une semaine, peut être un mois. Mais tu as bien vu quand nous nous inquiétons les uns pour les autres, nous sommes vulnérables à ses illusions, à ses tours de passe passe. Si vous êtes loin, avec les enfants. Vous serez en sécurité ! Et il ne pourra plus nous avoir comme il l’a si souvent fait… Je t’en supplie mon ange. Ne laisse pas mon esprit être distrait par mon amour et mon inquiétude pour toi en plein combat, sinon mon souvenir, voilà ce qu’il restera de moi. Mais si tu ne risque rien, alors là oui ! Nous aurons toutes les chances de notre côté !! Je te téléphonerai toute les heures s’il le faut, tu me verras grâce à ton pouvoir, il ne m’arrivera rien, ni à Emmett, ni à Edward, ni même à Carlisle ! »

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