Arrivée sous la pluis [Pv: Emmett]

Invité

&
Lindsay Jordan & Emmett Cullen
Le parking
Arrivée sous la pluie

Depuis qu'ils avaient adoptés Keylian, Emmett et Rosalie se relayaient pour assister aux cours, et ce jour là, c'était le tour du jeune homme.
C'était de mauvaise grâce qu'il avait quitté sa femme et son fils, pour se rendre au lycée, certain qu'il passerait une journée horriblement ennuyeuse. A peine avait-il mit le pied en dehors de la villa blanche qu'il avait déjà hâte d'y retourner, c'est dire !
Sa voiture avait un petit problème technique, et le reste de la famille était parti avant lui avec Edward, si bien qu'il avait emprunté la BMW rouge de sa moitié : Le véhicule était plus confortable que la Jeep, mais lui s'en moquait parfaitement : La fonctionnalité avant tout !

Or, elle avait de l'allure, et un gros moteur, mais le fait qu'elle ne puisse rouler que sur la route, et en terrain plat, contrariait quelque peu le gros nounours.
Menfin !
Une fois sur le parking, il s'était garé, avant de couper le contact : La sonnerie ne retentirait que dans plusieurs minutes, si bien qu'il avait du temps devant lui.
Il s'était emparé de ses affaires, avant d'ouvrir sa portière. Et c'est à ce moment là qu'il avait remarqué la jeune femme qui avait stoppé sa voiture à côté de la sienne...

Aussitôt, une odeur terriblement alléchante lui était parvenue aux narines, si bien qu'il s'était brusquement reculé au fond de son siège, alors que son regard s'assombrissait à vue d'oeil.
Ah non ! Non non non et non, pas ça !
Cela faisait plus de 60 ans qu'Emmett n'avait pas sentit pareille flagrance, 60 ans qu'il n'avait pas eu à ce point envie de sang humain...
Par deux fois dans le passé, il avait eu affaire à des obsessions, et par deux fois, il...

Le vampire avait cessé de respirer. Non, il ne pouvait pas faire ça, pas cette fois !
Autrefois, il avait eu des circonstances atténuantes, car il était jeune et inexpérimenté, mais aujourd'hui, il ne pouvait plus se permettre de faire des entorses à son régime de végétarien...
Autre chose....Il fallait qu'il pense à autre chose !
Carlisle, Rosalie, ceux qui étaient si chers à ses yeux, et qu'il mettrait en danger de mort s'il se ruait sur cette humaine...

Oh, mais n'avait-il pas le droit de faire une petite exception ? Elle paraîssait si frêle, si fragile...C'était une proie facile, il lui suffirait de l'ammener dans un endroit isolé, et de faire disparaître son corps par la suite !
Non, tu peux pas faire ça !
Elle est innoçente, elle a sûrement une famille, lui ôter la vie ne serait pas juste !
Pas juste ? Mais est-ce que les humains se demandent si c'est juste de tuer des animaux pour les manger eux, hein ?
Penses aux autres ! Qu'est ce qu'ils diraient en l'apprenant ? Et les Quileutes, et les Volturi ! Ils feront des histoires, c'est certain !
Ils ne seront pas obligés d'être mit au courant ! Et qu'ils s'ammènent ces maudits clébards pour voir !

Vous l'aurez comprit, Emmett était en proie à un véritable dilemne : Sa nature profonde le poussait à se laisser aller à ses instincts de tueur, mais sa conscience lui hurlait de s'éloigner avant de commettre l'irréparable...
Une part de lui aimait chasser, et tuer, mais l'autre non : Se laisser aller serait une marque de faiblesse...Non, il ne pouvait pas faire ça...
Mais bon sang, comment Edward faisait-il pour résister à Bella ?!
Alors qu'il se perdait dans ses pensées, troublé, le buveur de sang ne faisait plus aucunement attention au reste du monde...

Invité

L'inconnue s'était rapprochée de la BMW de Rosalie, avant de s'arrêter à côté, tandis que le vent ammenait son odeur divine jusqu'aux narines d'Emmett, qui était pourtant installé à l'intérieur de l'habitacle fermé.
Bien entendu, elle ne pouvait pas savoir qu'un prédateur parfait y était tapis, prêt à se ruer sur elle d'un instant à l'autre s'il perdait le contrôle de lui même...
Cela faisait plusieurs décennies que les yeux du vampire n'avaient pas été parcourus de reflets bordeaux, signe évident qu'il était à deux doigts de craquer : Il avait soif, soif de sang humain, soif du sang de cette humaine, et cette envie dévorante l'empêchait de réfléchir correctement...

Adossé à son siège, immobile comme une statue de marbre, il avait cessé de respirer, pour ne plus perçevoir la flagrance qui, par deux fois, avait déjà fait de lui un meurtrier...
Autrefois, il avait apaisé sa soif, enfonçant avec un plaisir et une satisfaction étrange ses crocs dans la veine du cou de deux personnes, qui avaient été des proies faciles. Très faciles... Trop faciles...Alors qu'il y repensait seulement, sa gorge avait semblé s'embraser...
Aussi, il avait fermé les yeux, pour ne plus voir cette humaine, qui se pavanait devant lui, inconsciente du danger auquel elle s'exposait...

Cela ne lui ressemblait aucunement, mais il aurait voulu se boucher les oreilles, pour ne plus entendre son sang délicieux couler à l'intérieur de son corps. De tels cas de figure étaient très rares, mais il avait peur...Peur de ce qu'il était capable de faire à une innoçente à cet instant même, peur de déçevoir ou de mettre les siens en danger...
Il aurait voulu qu'on le retienne, qu'on le frappe même, afin de faire revenir à la réalité. Mais il était seul. Seul face au tueur qui sommeillait en lui...

* Rosalie...*

Rosalie...Rosalie !
Sa femme, son ange...Elle saurait l'empêcher de commettre l'irréparable !
Crispé, le jeune homme s'était emparé de son portable, grâce auquel il avait pu lui transmettre un court message :

" Parking Lycée. Pb. Soif. Vite "

L'esssentiel y était, et il espèrait qu'elle le reçevrait à temps...
La situation devenait vraiment critique : Le téléphone s'était cassé en deux entre ses doigts puissants, alors qu'il manquait de quitter son refuge, pour se jeter sur l'inconnue...

" Parking Lycée. Pb. Soif. Vite "

L'essentiel y était en effet, j'étais assise sur le canapé en compagnie de Kelyian qui s'amusait sur mes genoux, j'étais entrain de lire le SMS que mon cher et tendre m'avais envoyer. Aujourd'hui, j'avais décider de sécher les cours. Je n'avais pas envie de voir la tête du professeur de sport et aucune tête d'humain.

-Momannnn ziboux

Inquiète, je relevai la tête vers mon petit ange, lui souriant en lui déposant un tendre baiser. J'appelai Esmée, lui disant que e lui laissez Keylian, je devais m'absenter, Emmett avais besoin de moi. Elle avait oché laa tête prenant Kelian dans ses bras.

-Fais attention à toi Rose. Ne prend pas de risque.

Je lui décrochai un petit sourire avant de lui dire.

-Mais comme d'habitude... Puis voyant mon air . Elle avait secouer la tête tendis que je reprenais . Ne t'inquiète pas, je ramène Emmett.

**

Je me trouvais sur le parking, j'étais passer par la forêt, un moyen de ne pas me faire repérer, puiqu'elle se trouvais à proximiter du parking. Je chercher ,inquiète du regard mon tendre mari. Il se trouvais dans ma voiture, il était crisper. Je soucouai vivement la tête. Tous le monde me regarda, étrange. Oui, c'est vrai que j'vaais le don d'arriver au moment ou on ne m'attendez le moins.

Je taper à la vitre de ma voiture, haussant un sourcil. Les yeux d'Emmett était parcourut de reflet bordeaux. Je soupirai, la dernière fois que je l'avais vu sans cet état là. Une fille, plutôt une obsession en était la cause...

-Faudrait peut être que tu m'ouvre la porte... si tu veut que je t'aide car arracher la portière serais pas très " déliquat " de ma part.

Je lui souria tendrement, l'ai amuser. Bien que je savais qu'Emmett était loin de rigoler. Je n'avais jamais eut jusqu'à maintenant des obsessions. Et, finalement j'en remercier celui qui était la haut, même s'il ne m'avais pas gater dans ma vie d'humaine.

-Emmett..s'il te plait, tous ira bien. Crois moi.

Invité

Fort heureusement pour Emmett, Rosalie avait été rapide, très rapide, si bien qu'environ trois minutes après la réception de son SMS d'appel au secours, elle tapait à la vitre de sa voiture, attirant son attention sur elle.

Rosalie : Faudrait peut être que tu m'ouvres la porte... si tu veux que je t'aide, car arracher la portière serait pas très " délicat " de ma part...

Ouvrir la porte...Et s'il profitait de ce court instant pour quitter son refuge, et attaquer l'humaine ? Pire, s'il blessait Rosalie ?
Cela n'était jamais arrivé, car la simple idée de pouvoir lui faire du mal le répugnait, mais saurait-il contenir ses pulsions meurtrières, et s'empêcher de se montrer agressif envers elle si elle l'empêchait de les assouvir ?

Rosalie : Emmett..s'il te plait, tout ira bien. Crois moi.

Cette voix, ce sourire d'ange...S'il y avait bien une personne sur cette terre capable d'obtenir n'importe quoi du vampire, c'était bien la Déesse blonde...Il n'y avait qu'elle qui était capable d'en faire ce qu'elle voulait, ou presque, mais même si, à cause de cela, certaines personnes pensaient que c'était elle qui portait la culotte au sein de leur couple, elles se trompaient lourdement : C'était Emmett qui était parvenu à apprivoiser celle qui était aujourd'hui son épouse, lentement, tendrement, comme un petit animal blessé par un passé cruel et injuste, lui qui avait apprit à la connaitre comme personne, et qui savait l'empêcher de laisser ressortir le mauvais côté de son caractère au quotidien...

Mais bref, je m'égare ! Finalement, non sans avoir hésité pendant quelques instants, le gros nounours avait retiré le verrou de la BMW écarlate, et lorsque Rosalie avait ouvert la portière, il avait prit sur lui pour articuler quelques mots :

- Cette fille...Eloignes là s'il te plaît, je peux pas...

Détournant les yeux et de l'humaine, qui était allé s'installer sur un banc non loin de là, et du regard doré de sa moitié, parce qu'au fond, il avait honte de se montrer aussi faible, Emmett avait de nouveau cessé de respirer, de peur que le vent ne lui apporte une nouvelle fois l'odeur dévastatrice de sa nouvelle obsession...

-Cette fille...Eloignes là s'il te plaît, je peux pas...

Cette voix, m'avais fendit le coeur. Je regardais mon cher et tendre retenir ses pulsions avec courage. Je lui sourit faiblement avant de porter mon attention sur l'humaine en fronçant les sourcils. Puis reportant mon attention sur mon mari, inquiète.

-Très bien. Je m'en charge. Je serais rapide, ne t'inquiète pas..

Je tournai les talons d'un air presque arroguant, ls yeux foudroyant comme j'avais l'habitude de faire lorsque que quelqu'un m'ennuyer. Tant pis pour l'humaine, je devais le faire pour mon mari. C'est donc dans un pas bien décider que je partie en sa direction, prenant mon air auritaire. Même un peut trop d'ailleur..Parce que les élèves aux alentours c'était quelques peut dispatcher en me voyant arriver. Faisais-je aussi peur ?

Je voulais bien avoir un caractère de chien. Mais de là à me fuir..il ya vait des limites ! C'est donc avec détermination que j'arrivai devant elle, je n'avais aucune idée de ce que j'allais lui dire, il fallait qu'elle déguerpisse et vite... Au risque de me rendre quelques epeut ridicule. Mais il s'agissait de mon mari. Moi, je passais au second plan..

-Et toi là ! oui toi la petite blonde...

** improvise Rose, improvise... eee..facile à dire..**

-Tu es nouvelle il me semble ? Bien dans ce cas je te conseillerais d'allez te rendre dans la salle 21, une réunion dinformation pour les nouveaux vient d'être mis en place et tu es éjà en retard !

** Réunion ? Nouveau ? Ho mon dieu espérons qu'elle soit nouvelle...**

'entendais la regardant de mon yeux d'or. Si elle insistait e devrais mettre mon charme vampirique en route. Quoi que...ce n'était pas une mauvaise idée du tout...A cet instant je plongea mes yeux do'r dans ceux de la petite humaine... L'hypnotiant presque, je sentais son rythme cardiaque ralentir, comme paralysée...

**-oui c'est çà...**
-Tu devrais y allez...Maintenant...

J'espérais que celà marcherait...sinon je serais dans l'obligation de l'entrainer de force...très loin ...

Invité

-Et toi là ! oui toi la petite blonde...

-Tu es nouvelle il me semble ? Bien dans ce cas je te conseillerais d'allez te rendre dans la salle 21, une réunion dinformation pour les nouveaux vient d'être mis en place et tu es déjà en retard !

-Tu devrais y allez...Maintenant...

• Tu sais sa fait une semaine que je suis ici et la personne du secrétariat ne ma pas fait part d'une évenuelle réunion, et donc c'est pas que je ne te croie pas, mais bon si il y a vraiment une réunioin d'information, j'en ai pas vraiment besoin.

-Hey Lili on se rejoint tout à l'heure en cour ?

• Tu sais sa fait une semaine que je suis ici et la personne du secrétariat ne ma pas fait part d'une évenuelle réunion, et donc c'est pas que je ne te croie pas, mais bon si il y a vraiment une réunioin d'information, j'en ai pas vraiment besoin.

J'avais émit un grognement. Pourquoi les humains me compliqué sans cesse la vie hein ? Seigneur, il commençais tous sérieusement à m'agaçer. C'est ansi que d'un geste vif, je m'étaits pencher vers elle stoppa mon visage à quelques centimètres du siens. L'air plus que menaçante. Après tout. Elle l'avais bien chercher.

-Si j'étais toi, je ferais ce que je te dit..avais-je commencer doucement puis, en terminant ma phrase j'avais hausser le ton. Histoire de lui faire peur.. ET TOUT DE SUITE !

Les élève me regadais, mais e n'en avais que faire, certains c'étiat arrêter et tenter d'écouter notre petite conversation. Mais personne ne semblais avoir compris que j'étais entrain de l'intimider. Certains nous lançer des petits regard inquiet, d'autre se tenait prêt à allez avertir un quelconque "pions". Je me redressais, sachant pertinamment que si elle n'obéisser pas dans la minutes qui suis, je serais surement dans l'obligation de l'emmener contre son grée, tout en partant avec elle, comme deux bonnes vieilles amies. Ce qui allait être dure. mais bon... N'étais-je pas Rosalie Hale ? La jeune femme de toutes les audaces ? Et puis..un petit coups de charme par-ci, puis par là..et le tour serais sand oute jouer...Je ne l'avais pas quitter des yeux, je voulais qu'elle se plie, qu'elle me regarde droit ans les yeux, puis les baisses..

-Part...vite ! Ma voix était presque chantonnante, mielleuse comme un doux carillon venant sonner dans nos petites oreille..

Invité

-Si j'étais toi, je ferais ce que je te dit..avait-elle dit commençant doucement puis, en terminant sa phrase elle avait hausser le ton. Histoire de lui faire peur.. ET TOUT DE SUITE !

-Part...vite !

• Ok d'accord je m'en vais !

Rosalie : Très bien. Je m'en charge. Je serais rapide, ne t'inquiètes pas...

Sitôt dit, sitôt fait, Rosalie s'était éloignée de la voiture, pour se diriger vers l'humaine, qu'elle comptait bien éloigner d'Emmett, pour le bien de tous.
Toujours bloqué à l'intérieur de la voiture, ce dernier se maudissait en silence : Il détestait être faible ! Il détestait être soumis, à quoi que ce soit, même à ses propres pulsions !
Pourquoi diable avait-il encore fallu qu'il croise la route d'une personne dont le sang l'attirait de façon aussi intense ?
C'était une épreuve ? Et bien soit, et cette fois-ci, il n'échouerait pas ! Il se contrôlerait, il le fallait !

Rosalie : Pars...vite !

Il ne perçevait que des bribes de conversation, car son esprit était détourné...Obssédé...Il était complètement obssédé par l'odeur de l'adolesçente...
Sa gorge était douleureuse, très douleureuse, et il n'avait qu'une envie, en calmer la sensation de brûlure...
Finalement, persuasive, sa femme était parvenue à convaincre l'inconsciente de s'en aller...
Lorsqu'elle avait eu démarré, et qu'elle s'était éloignée, roulant bien trop vite pour ses piètres réflexes humains, le vampire s'était remit à respirer, pensant que le danger était écarté : Grave erreur...

Tout s'était passé très vite : Le véhicule de la demoiselle en avait heurté un autre, qui venait en sens inverse, et son sang avait été versé...
En petite quantité, certes, mais cela avait été suffisant pour que les yeux d'Emmett virent à l'écarlate...A cet instant, il avait perdu toute notion de bien et de mal : La seule chose qui lui importait, c'était de se nourrir, et pour cela, il tuerait, sans états d'âme...
Après tout, il était un prédateur, il était normal qu'il agisse ainsi !

Vif, il avait quitté la BMW, avant de se diriger à grands pas en direction de l'accident : Il s'imaginait déjà enfonçer ses canines dans le cou de sa victime, et sentir la caresse de son sang à l'intérieur de sa bouche, un sang délicieux, bien meilleur que celui des animaux dont il se contentait d'habitude...
Toutefois, avant qu'il n'ait atteint son but, il avait sentit une poigne de fer se refermer sur son bras, poigne qui l'avait fait stopper.

Qui OSAIT ? Un grondement s'était échappé de sa gorge, trop bas pour être entendu par les humains, mais menaçant, très menaçant. Son visage était dur, rendu effrayant par la colère. C'était SA proie, et personne ne devait se mettre en travers de son chemin !
Mais...ses yeux s'étaient écarquillés...Il avait grondé sur Rosalie ? Sa femme, sa moitié, son ange, la personne qui comptait le plus pour lui ?
Son esprit ressemblait à présent plus à un champs de bataille qu'à autre chose, hésitant entre deux ordres contradictoires...Pétrifié...Emmett était pétrifié...

Il n'était plus lui même. Jamais encore il n'avait été violent avec la Déesse blonde...Il était impardonnable. Misérable. Nul. Zéro...
Luttant avec toute sa volonté contre la voix qui lui hurlait de se jeter sur son obsession, il avait courru en direction des bois, à vitesse humaine tout d'abord, puis plus vite, beaucoup plus vite, lorsqu'il avait été à l'abri des regards indiscrets...
Au fur et à mesure qu'il avançait, l'odeur de sang se brouillait, et finalement, il en avait été débarrassé...

Rageur, il avait envoyé son poing s'écraser contre un arbre, arbre qui s'était fendu sous le choc. Un autre coup l'avait achevé, et il était tombé parmi les broussailles.
Le buveur de sang avait fait quelques autres dégâts, avant de se laisser tomber assit contre le tronc d'un chêne centenaire.
Stupide. Il était stupide. A cause de son incapacité à résister à l'appel du sang, il avait faillit mettre toute sa famille en danger, et s'en prendre à Rosalie...
Jamais il n'avait regretté d'avoir été mordu par Carlisle, ni haït sa condition de vampire, et cela n'était pas prêt de changer.
Néanmoins, de tels incidents avaient de quoi faire réfléchir...

Tous celà c'était effectivement passer à une grande vitesse, j'avais enfin réussie à la faire partir, quoi que. A peine avais-je eut le temps de souffler un peut, que lapetite blonde c'était prit un arbre, puis une voiture. Un courant d'air était venue jusqu'à moi, le sang de l'humaine avait état verser. J'écarquiller les yeux d'horreur me tournant vers ma voiture Emmett sortait..

-Non..pas çà.. Murmurai-je paniquer. AVant même que je réfléchisse, j'étais près de l'accident et empoigner mon mari avec une poigne de fer.

-Emmett NON. Lui avais-je ordonnera avant même qu'il me grogne dessu. Je fronçai les sourcils ahurit. Ne sachant plus quoi dire, ni quoi faire, ouvrant, fermant la bouche, paralysée, surprise. Puis..il avait disparut courant, se dirigeant vers la forêt, perdu, seul...

-Emmett.. Avais-je murmurer peiné. AInsi donc, Je restais en plan, là. En compagnie de l'autre cruche qui c'était mit à cligner des yeux. Je soupirai me tournant vers elle. Là détaillé au passage.

-Idiote ...tous pareil... Empoté !

Sentant qu'elle ne tarderais pas ouvrir complètement les yeux. Je décidais à mon tour de me volatiliser. A la recherche de mon aimé. Je me mîmes à humai son odeur, le localisant. Il était installez près d'un chêne. Seul. Se maudissant. Vitesse vampirique, je me mîmes à courir à sa suite, je ne voulais pas le laissez seul, non, pour rien au monde. Des moments de faiblesse, était aussi vampire qu'humain après tout. Et même Emmett, avait le droit à cette petite partie de faiblesse. Après cinq minutes, je l'avais trouver, j'avais ralentie. Puis Stoppant net. Restant à une distance raisonnable juste au cas ou..et lui murmura :

- Je ne t'en veut pas...Emmett.. Ma voix dérailla, ce qui me surprit. Je n'avais pas peur, non. Mais c'était la première fois qu'Emmett m'avais " gronder méchamment"...

Invité

Emmett avait entendu Rosalie le rejoindre, bien que ses paupières fussent fermées, et s'arrêter à quelques mètres de l'endroit où il était assit.
Il lui faisait peur...Il avait bien faillit s'en prendre à elle, et maintenant, elle craignait qu'il perdre à nouveau le contrôle de lui même...

Rosalie : Je ne t'en veux pas...Emmett...

Il l'avait blessée...Pas physiquement, même s'ils n'avaient évité un accident que par miracle, mais tout de même...Il lui avait fait de la peine, il l'avait lu dans son regard lorsqu'il avait reprit conscience de ce qu'il faisait...
Et malgré cela, elle disait ne pas lui en vouloir...
Une autre se serait vexée, fâchée même, mais elle l'avait suivit jusqu'ici. Comme elle l'avait promit à plusieurs reprises, elle était là, avec lui, pour le meilleur et pour le pire. Lui en revanche, avait été un bien piètre mari...
Il avait juré de la protéger et de la chérir, jusqu'à ce que la mort les sépare, et au lieu de ça, qu'est ce qu'il faisait ?!

Honteux, il avait tourné le dos à sa tendre moitié, ne voulant pas croiser ses magnifiques yeux d'or, avant d'appuyer sa tête contre le tronc de l'arbre.
Il détestait montrer sa faiblesse en public...Il détestait ne pas trouver les mots pour s'excuser auprès de sa femme...De toutes façons, rien ne pouvait pardonner son attitude...
Il avait été nul, archi nul...
Il avait honte de lui, honte de ce qu'il avait fait. Rosalie n'était pas censée le voir comme un danger potenciel. Mais ça n'était qu'un simple grognement me direz vous ! Oui, et bien pour lui, c'était déjà trop...

- Je voulais pas...

La suite n'avait jamais franchit ses lèvres...Comment lui faire comprendre à quel point il était désolé ?
Emmett aurait bien déraçiné encore quelques arbres, histoire de faire passer sa colère, mais la simple présence de son épouse avait le don de l'apaiser. Et puis, il était inutile de l'inquièter d'avantage...
Alors, au lieu de cela, il s'était emparé d'une pierre aussi grosse que son poing, qu'il avait entreprit d'effriter...

- Je voulais pas...

Je le regardais. Il c'était à présent tourner honteux de ce qu'il avait fais, s'amusant à efriter une pierre. Secouant la tête, je m'étais donc approcher de lui tout doucement. Histoire ne pas le brusquer d'avantage.

-Emmett..s'il te plait..regarde moi... Avais-je tenter, mais rien. Pas un signe, rien. Je soupirai, m'approchant de lui usqu'à n'être qu'à quelques centimètre de son visage, levant ma main, le lui caressant. Je lui avait déposer un tendre baiser sur ses lèvres. J'espérai que celà, lui montrerais que je ne lui en voulais pas.

-Je t'en prit ne te fais pas du mal comme çà..Tous le monde à sa faiblesse, comme ses démons..Je baissai la tête, en un petit sourire avant de relever mes yeux vers mon mari. Y comprit moi...

J'osai espérait qu'il comprenne le sous entendue par rapport à Van Eyeck, et ma mauvaise aventure. C'téait encore bel et bien présent dans ma mémoir, et peut être devrais-je le garder à tous jamais. Apparemment je ne devais pas devoir l'oublier, tel était ma destiné. D'ailleur je commencé à m'y faire. Petit à petit. Même si, j'éviter de montrer mes faiblesses devant un public, ou même mes proches.

Je lui attrappa ses deux bras, les écartants légèrement, tout en douceur, me lovant contre lui, fermant les yeux.

- A nous deux on n'y arriveras. Je te le promet, mon Amour.

Je levai les yeux vers mon homme, l'embrassant de nouveau. Avant de poursuivre.

-Veut tu rentrer à la maison ? Ou..souhaite tu que l'on reste là...à discuter ?

Je passai une de mes mains dans ses boucles brunes. Un petit sourire c'était forgé sur mes lèvres alors que j'ajoutai.

-Elle va bien, juste un peut amoché, alors...tout va bien..

Rosalie : Emmett...s'il te plait..regardes moi...

La Déesse blonde s'était lentement rapprochée de lui, mais une fois encore, il avait évité de croiser son regard d'or. Il n'aimait pas y voir autre chose que de l'amour, et au fond, à cause de son geste, il craignait peut-être d'y trouver autre chose que ce merveilleux sentiment...
Toutrefois, s'il était têtu, sa femme l'était aussi, si bien que, voyant qu'elle n'obtiendrait pas ni réponse, ni réaction, elle s'était abaissée à sa hauteur, avant de poser l'une de ses douces mains sur son visage, et de lui donner un tendre baiser.
Le vampire avait tout d'abord voulu échapper à ces lèvres, car en ce jour, il ne méritait aucunement de ressentir leur caresse sur les siennes, mais il en avait été incapable : Il aimait Rosalie, plus que tout, plus que lui, et malgré sa honte, il lui était reconnaissant d'avoir comprit qu'il n'avait jamais voulu ni l'offenser, ni et encore moins la blesser.

Rosalie : Je t'en prie, ne te fais pas du mal comme ça...Tout le monde a ses faiblesses, comme ses démons...

" Même le plus fort d'entre nous a le droit à l'erreur ". C'était son frère, Edward, qui dans le passé, lui avait énonçé cette vérité. Il était naturel de perdre les pédales parfois, même en étant un vampire. Personne n'était parfait, pas même Carlisle...
Et pourtant, cela n'avait pas empêché Emmett de secouer la tête :

- Non Rosa...Je n'ai pas le droit à de pareilles erreurs, plus maintenant, plus jamais. Imagines ce qui serait arrivé si je l'avais tuée ? Imagines ce que j'aurais pu te faire si je t'avais attaquée !

Avoir le vertige, c'était une faiblesse. Etre hanté par un passé douleureux, comme Rosalie l'était, en était une autre, terrible pour celui ou celle qui l'endurait, mais sans conséquences sur les autres. Mais être incapable de refouler ses pulsions de prédateur face à des humains, c'était autrement plus grave...
Si l'ange blond ne l'avait pas rejoint, l'adolesçente dont le parfum l'attirait de façon si intense ne serait plus en vie. S'il avait eu enfonçé ses canines dans sa peau, toute sa famille aurait été impliquée, et bien qu'innoçente, condamnée à mort, soit par les Quileutes, soit par les Volturi, qui veillaient à ce que ceux de leur espèce respectent scrupuleusement la règle d'anonymat...

Quand son amante s'était doucement emparée de ses bras puissants, qu'elle avait écartés, pour venir se lover contre son torse massif, le buveur de sang s'était laissé faire. A son contact, sa colère semblait fondre comme neige au soleil...

Rosalie : A nous deux on y arrivera. Je te le promet, mon Amour.

La question ne se posait même pas...Il n'avait pas le choix. Il devrait résister, pas comme les deux dernières fois, ou sa soif avait eu raison de sa détermination...

Rosalie : Veux tu rentrer à la maison ? Ou..souhaites tu que l'on reste là...à discuter ? Elle va bien, juste un peu amochée, alors...tout va bien...

Non Rosalie, non, tout n'allait pas bien, au contraire...
Pour l'heure, la situation n'était pas encore dramatique, effectivement, mais il lui faudrait trouver une solution au plus vite, sans quoi elle risquait fort de le devenir. Et là, l'humaine ne serait pas qu'un peu amochée, mais bel et bien morte...
Pour une fois, il comprenait vraiment ce que ressentait Jasper à longueur de temps, et plus que jamais, il admirait sa maîtrise de lui même...
Emmett n'avait pas vraiment envie de parler, ou plutôt, il ne savait pas quoi dire, c'est pourquoi, après avoir brisé la petite pierre qu'il effritait préalablement entre ses doigts, il s'était précautionneusement laissé allé sous les caresses de sa femme, l'entourant de ses bras comme un bouclier.

Finalement, après être resté immobile pendant quelques minutes, il avait relevé la tête : Ses yeux, sombres, n'avaient pas complètement perdu leurs reflets bordeaux, si bien qu'il avait reprit :

- Je vais rester ici encore un peu...Vas récupérer ta voiture si tu veux, Alice doit s'inquièter. Je te rejoindrais à la maison.

Il ne voulait pas que les autres voient cette maudite lueur assassine dans son regard, d'ordinaire doux et mielleux, et il était pour lui hors de question d'approcher quiconque possèdait du sang humain dans les veines avant d'être parfaitement certain d'être redevenu lui même...

J'étais réellement inquiète. J'avais peur de le perdre. De perdre mon mari.Emmett avait secouer la tête. Tandis qu'il m'avais dit:

- Non Rosa...Je n'ai pas le droit à de pareilles erreurs, plus maintenant, plus jamais. Imagines ce qui serait arrivé si je l'avais tuée ? Imagines ce que j'aurais pu te faire si je t'avais attaquée !

Je le regardais droit dans les yeux, calmement. Avant de secouer à mon tour la tête.

-Mais tu ne l'as pas fais. Tu ne l'as pas tuer et tu...ne m'as pas attaquer. Lui avais-je dit dans un murmure avant de reprendre. Emmett je t'en pris, te voir comme çà me rend malade.

Il tentais d'esquiver mon regard, tandis que je le forçait à me regarder. Je voulais que celà cesse et qu'il arrête de se morphondre.

-Emmett... Mumurai-je impuissante, desemparé..

- Je vais rester ici encore un peu...Vas récupérer ta voiture si tu veux, Alice doit s'inquièter. Je te rejoindrais à la maison.

Je secouai la tête. Il était hors de question que je le laisse dans cet Etat, vulnérable.

- Il est hors de question que je te laisse. je refuse, qui sais ce qu'il pourrait t'arriver..

C'est alors que mon téléphone sonna. Je soupira, plongeant ma main dans ma poche. Le cadran afficher le nom de ma soeur. Je levais les yeux au ciel puis ouvrit le clapet.

-Quoi ? Non, je controle parfaitement la situation. Oui, il est avec moi... Sincérement tu aurait put m'avertir Alice ! Oui c'est çà allez je raccroche, pense à récupéré ma voiture. Allez à ce soir.

Enervé je lui avait raccrocher au nez.

-A quoi sa sert d'avoir une extralucide dans la famille si elle ne sert à rien hein ?

Je reportais mon attention sur mon mari puis l'attrappa par le bras.

-Allez. On rentre .

Autoritaire ? non. Simplement je refusais de laissez mon mari tout seul dans la forêt à se morphondre comme celà. Le voyant quelques eut hésiter je luia vais dit, reprenant ma voix douce.

-Quand je dit rentrer chez nous... C'est dans notre maison. Emmett.

Rosalie : Emmett je t'en prie, te voir comme ça me rend malade. Il est hors de question que je te laisse. Je refuse, qui sait ce qu'il pourrait t'arriver..

Ce qu'il pourrait lui arriver ? C'était lui le prédateur, et à moins de retomber sur deux chasseuses aussi coriaces que les soeurs Layne, il ne risquait pas grand chose !
Toutefois, la belle blonde doutait peut-être à présent de sa capacité à se retenir de sauter sur le premier humain qu'il croiserait...
Cette pensée était fort désagréable, si bien qu'il l'avait chassée de son esprit. Il devait se ressaisir...
Il allait dire quelque chose lorsque le téléphone de sa moitié avait sonné. Et avant même qu'elle ne décroche pour répondre, il avait deviné qui était à l'autre bout du fil...

Rosalie : Quoi ? Non, je contrôle parfaitement la situation. Oui, il est avec moi... Sincérement tu aurais pu m'avertir Alice ! Oui c'est ça aller je raccroche, pense à récupérer ma voiture. Aller à ce soir. A quoi ça sert d'avoir une extralucide dans la famille si elle ne sert à rien, hein ?

Comme souvent, le petit lutin s'inquiètait...Elle avait dû avoir une vision de ce qui s'était passé, et au ton de sa voix cristalline, Emmett avait comprit qu'elle était terriblement anxieuse. C'est pourquoi, quand la Déesse blonde l'avait blâmée, après lui avoir raccroché au nez, il était intervenu pour prendre sa défense :

- Elle n'y peut rien, ce n'est pas à elle qu'il faut en vouloir. Je ne veux pas qu'elle paie pour mes erreurs Rosa.

Quelques instants s'étaient écoulés, avant que Rosalie ne referme de nouveau sa main sur son bras, avant d'ordonner, sur un ton relativement autoritaire :

Rosalie : Aller. On rentre.

Le jeune homme avait hésité à se lever pour la suivre, ne voulant pas risquer de croiser le regard de Carlisle en pénétrant dans la villa blanche, ni et encore moins mettre son fils adoptif et se deux jeunes nièces en danger. Leurs odeurs ne l'attiraient pas habituellement, mais mieux valait ne pas tenter le diable...

Rosalie : Quand je dis rentrer chez nous... C'est dans notre maison. Emmett.

Le vampire s'était redressé sur ses jambes, avant de refermer sa main sur la sienne. Chez eux, ils seraient tranquilles, et il ne risquerait pas de faire une nouvelle bêtise.

- Et Keylian ? Tu comptes le laisser passer la nuit à la villa ?

Sa femme avait raison : Il était stupide d'agir de la sorte, de se recroqueviller au pied d'un grand arbre en attendant que ca passe...
Il fallait qu'il lutte debout, comme il avait l'habitude de le faire, même si la bataille contre ses instincts primaires risquait de s'avérer difficile...

(Personne n'aide donc Lindsay ? Méchants vampires ! xD )

Comme la plupart des matinées, j’étais plus qu’en avance. Cette hantise que j’avais de rester chez moi faisait effet tout le temps. C’était tranquillement que j’arrivais à pied au lycée, et toujours en avance. J’arrivai peu de temps avant que la collision eut lieu, en montant les escaliers pour rejoindre le bâtiment, j’entendis un crissement de pneu ainsi qu’un choc violent. En me retournant je compris à peu près ce qui s’était passé, comme beaucoup d’élèves. Tous avaient afflués pour jouer les curieux auprès des voitures. Les débiles ! C’était tout sauf ce qu’il fallait faire.

Je me précipitai néanmoins comme la troupe de mouton vers la voiture, et d’un coup d’œil je vis rapidement qui était le plus mal en point. C’était la personne qui était dans la voiture qui sortait du parking. Une jeune fille qui saignait apparemment. Bousculant les lycéens les uns après les autres, j’essayais de me frayer un chemin à travers la foule compactée autour des deux voitures en prononçant quelques mots comme ‘laissez moi passer’, ou d’autres choses de ce type. Mais bien entendu tout le monde était dans mon cas, voulant voir au mieux, sauf que j’avais des notions de secouristes…

Ce fut qu’après une petite minute que je pus avancer de 10 mètres, je regardais l’autre voiture, le passager était conscient et parlait tranquillement avec les curieux. Il n’avait rien, tant mieux. J’écartais les deux personnes qui étaient aux côtés de la blessée et qui ne faisaient que l’observer. N’importe quoi, les foudroyant du regard je regardais la jeune fille avant de dire aux curieux rapidement :

« Toi le blond, va chercher le directeur de l’école. Et toi tu téléphones au numéro de secours pour annoncer cet accident. La blessée ne joue pas sa vie, mais il faut faire vite. Les autres, ALLEZ VOUS EN ! Laissez la respirer ! »

Je me rapprochais tandis que les deux autres s’écartaient. La main de la blessée toucha l’arrière de sa tête, ses cheveux étaient recouverts de sang, mais ça ne devait pas être bien grave car il n’y avait pas de ‘trou’ dans son crâne. J’attrapais sa main pour l’empêcher de toucher sa plaie, par soucis d’hygiène et pour ne pas l’inquièter.

« Bonjour, je m’appelle Jaden. Je vais essayer de vous aider, le temps qu’une aide plus qualifiée le puisse »

Je savais que cette fille m’entendait, elle était consciente car elle avait automatiquement bougée sa main vers sa plaie pour voir si c’était grave. Maintenant il n’était pas sûr qu’elle puisse répondre, néanmoins il fallait que je parle avec elle, que je la réconforte pendant quelques minutes.

« Peux-tu parler ? Si non serre-moi la main. Dis-moi, quel est ton nom ? Tu as mal à quelque part ? En tout cas ne bouge surtout pas, pour ne pas aggraver une potentielle fracture… »

Il fallait qu’elle parle, ça serait un grand soulagement pour moi et pour tout le monde, cela voudrait dire qu’elle ne risquait plus rien, sauf à la limite un collet. Tout ce qui m’inquiétait pour le moment c’était l’état de ces cervicales. Si ça se trouve je me trompais et elle n’avait absolument rien.

- Elle n'y peut rien, ce n'est pas à elle qu'il faut en vouloir. Je ne veux pas qu'elle paie pour mes erreurs Rosa.

Je soupirai. Emmett avait le don de défendre Alice, même lorsqu'elle faisait des bêtises, à mon plus grand malheur.

-Mon ange...j'ai le droit d'en vouloir à Alice non ? Et puis.. fermant les yeux, secouant la tête j'avais poursuivis. Ne te mêle pas de celà. Tous est sous contrôle.

Je m'empara à nouveau de mon portable est composer un SMS, à la vitesse de la lumière il était temps pour moi de prendre les choses en main. C'ts donc à l'abrit du regard de mon mari que je composer à totue vitesse :

Jazz, besoin de toi. Urgent. Concerne Emmett.
RDV dans 1 heure près de de tu sais ou.
R.

Une fois terminer, j'vais fermer le claper de mon portable, affichant un sourire innocent à mon mari, l'air de rien. Mais il n'était pas dupe, il se douterais certainement de quelques chose, j'en était sure...Et sur ce coups j'avais besoin de mon frère jumeau, je ne laisserai personne se mettre entre ma famille, mon mari et moi. Et surtout pas une petite humaine..

Je sourit tendrement à mon cher et tendre lui déposant un tendre baiser.

-Allez il est vraiment temps que tu te change les idée ..chéri.

- Et Keylian ? Tu comptes le laisser passer la nuit à la villa ?

-Ne t'inquiète pas Esmée est prévenu. Keylian dormira avec eux ce soir. Demain j'irai le récupérer et nous passerons un peut de temps en famille.

Rosalie : Mon ange...j'ai le droit d'en vouloir à Alice non ? Et puis... Ne te mêles pas de cela. Tout est sous contrôle.

Tout était sous contrôle ?! Emmett détestait ce genre de situations, vraiment : Contrôler oui, être contrôlé non !
Lorsque sa femme avait écrit un SMS, en lui en cachant le contenu, le vampire avait légèrement fronçé les sourcils. Lui même n'avait plus aucun moyen de communiquer depuis que son portable s'était brisé entre ses doigts, et être maintenu dans l'ignorance lui déplaisait.
Aussi, quand la Déesse blonde avait eu refermé son clapet, en lui adressant un sourire qui se voulait innoçent, il avait croisé ses bras musclés contre son torse, immobile comme une statue de marbre.

Rosalie : Aller, il est vraiment temps que tu te changes les idées ..chéri.

Se changer les idées ? Quand, et comment ?
Sentant que les reflets bordeaux avaient quittés son regard, qui demeurait toutefois très sombre, Emmett l'avait interrogée, tout en la fixant de façon insistante :

- A qui est-ce que tu écrivais ?

Rosalie : Ne t'inquiètes pas, Esmée est prévenue. Keylian dormira avec eux ce soir. Demain j'irai le récupérer, et nous passerons un peu de temps en famille.

Constatant qu'il n'obtenait pas de réponse, et que sa tendre moitié déviait la conversation le gros nounours avait reprit, alors qu'un sourire têtu étirait ses lèvres charnues :

- Tant que tu refuseras de me dire ce que tu mijotes, je ne bougerais pas d'ici...

Ah ah, et na !
Puéril vous dites ? Oui, ben tant pis !
Après tout, présentée comme elle l'était, la situation avait de quoi intriguer ! Qu'avait donc en tête Rosalie ?
Qu'est ce qui assurait à Emmett qu'elle n'avait pas appelé quelqu'un en renfort pour l'abattre au fond de la forêt, de peur qu'il n'attire des ennuis à la famille, ou qu'il ne tue son obsession, hein ?! ( Je sais Licette, idiot XD )

- A qui est-ce que tu écrivais ?

Je haussai les épaules. Celà ne le regarder pas, enfin rien qu'un peut seulement. J'vais besoin de Jasper pour trouvr une façon de me débarasser tous en douceur de la jeune humaine. Je ne voulais pas la" tuer" mais..dison que l'envoyer à l'autre bout du monde, elle et sa famille était une façon comme une autre de laissez en paix mon mari. Et moi par la même occasion. 'en avais marre que tous le monde tente de se mettre entre moi et Emmett. D'abor Van Eyeck, qui prenait ses rêves pour des ralités, et puis cette petite sotte qui attirer mon mari Que puvais-je faire dans ces cas là ? . Puis esquivant habilement la conversation, je lui parlais de Keylian, tantant de le rassurer. Mais rien n'avais l'air de le convaincre...

- Tant que tu refuseras de me dire ce que tu mijotes, je ne bougerais pas d'ici...

Je levai un sourcil, m'éloignant de lui, le toisant.

-Et puis Soit, si tu ne bouge pas d'ici. Je demande le divorce. C'est aussi simple que çà. Puis, reprenant un peut de mon sérieux je m'étaits empresser d'ajouter. C'est pour ton bien. Et par pitier cesse donc de faire cette tête. Tu sais très bien que je plaisante. Je m'approchai de lui, me lovant de nouveaux contre lui en ajoutant. Comment ferais-je pour vivre sans toi ? Tu es mon unique amour..

D'habitude celà faisait fondre Emmett, et il ne tenait pas plus de quelques seconde avant de se résigner. 'espérai néammoins qu'il ne me pose plus de question. Je détestais lui cacher des choses. Après tout..nous étions marié. Et les époux se devait de ne pas se raconter de mensonge et de tout partager..Et là, j'étaits consicente de lui cacher quelque chose. Mais je tenais tant à lui qu'il m'était impensable de passez à côtée de cette opportunitée.
Je levai les yeux vers lui et lui dit :

-Demain tous sera terminer...fais moi confiance un peut d'accord ? Lui dis-je d'une voix douce et sereine.

Invité

Bonjour, je m’appelle Jaden. Je vais essayer de vous aider, le temps qu’une aide plus qualifiée le puisse

Peux-tu parler ? Si non serre-moi la main. Dis-moi, quel est ton nom ? Tu as mal à quelque part ? En tout cas ne bouge surtout pas, pour ne pas aggraver une potentielle fracture…

• Lindsay.

J'ai mal à la tête surtout.

Et une terrible envie de dormir.

Tout le monde avait fait ce que j’avais demandé, l’un était au téléphone avec les urgentistes expliquant la situation, l’autre avait disparut à l’entrée du lycée et l’infâme bande de curieux s’était reculée. Certes, pas énormément, mais suffisamment pour laisser un peu d’air à la jeune fille qui était affalée sur son volant. Heureusement que le klaxon ne se situait pas au niveau du volant, sinon l’on aurait été assourdit par l’avertissement sonore. Je n’aurais pas pu parler à la victime de l’accident. D’ailleurs c’était ma mission. Ne pas cesser de lui parler ou de la faire parler si elle le pouvait pour la maintenir consciente et derechef en vie.

Les quelques secondes d’incertitude envers la jeune fille me paraissaient longue, comme si le sablier du temps avait trouvé un équilibre qui ne permettait à aucun grain de sable de s’écouler. Je tenais la main de la blonde attendant une quelconque réaction physique ou orale. Le moment où une faible voix atteins mes oreilles que je voulu avoir le don de cesser les bruitages des curieux pour être sûre que sa voix n’était pas la source de mon imagination. Lindsay. Quel joli prénom ! C’était dommage que sa beauté ne soit altérée par une plaie au niveau de sa tête. Peut être fallait il un mouchoir humide pour enlever le sang coagulant, non ? Non sinon ce même mouchoir pourrait emmener des dizaines de bactéries avec lui. Ces réflexions ne prirent que le temps du silence de Lindsay qui se remit à parler. Elle avait mal à la tête, c’était tout à fait normal, et ces mots me rassurèrent, elle n’avait pas mal à la nuque, ses cervicales n’avaient pas du être touchés. Ensuite une troisième information me parvint, elle eut le don de m’inquiéter et de me rappeler à ma tâche : L’empêcher de sombrer dans l’inconscience, il fallait lui parler, attirer ses oreilles et l’obliger à parler, même si ça devait lui demander des efforts surhumains ! Tout de suite après qu’elle eut finit ses paroles, je lui parla

« Tu sais que tu as un très joli prénom, Lindsay ? J’en suis limite jalouse figure toi ! Tu as peut être envie de dormir, mais il ne faut pas. Essaye de te concentrer sur ma voix si l’envie t’est insoutenable. On va faire connaissance veux-tu ? Qu’est ce que tu aime faire ? »

Lui rappeler demander ce genre de chose devrait lui faire réfléchir à ce qu’elle aimait, peut être elle en oublierait quelque peu la douleur de son front. Je l’espérais, tout comme j’espérais que les secours arriveraient rapidement. Etant normalement solitaire, il ne m’était pas dans mes habitudes de parler gentiment comme je le faisais maintenant. Je n'avais pas non plus des tonnes de sujets à proposer dans ce genre de situations. Vive l'improvisation des situations d'urgence…

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