Arrivée sous la pluis [Pv: Emmett]

Rosalie : Et bien soit, si tu ne bouges pas d'ici, je demande le divorce. C'est aussi simple que ça.

Emmett avait ouvert de grands yeux étonnés, qu'il avait rivés sur sa femme. Divorçer ? Elle voulait le tuer, c'était ça, elle voulait sa mort !
Heureusement, il s'était avéré que cela n'était qu'une menaçe en l'air, puisque Rosalie s'était empressée de reprendre :

Rosalie : C'est pour ton bien. Et par pitié, cesse donc de faire cette tête. Tu sais très bien que je plaisante.

Pfiouuu, aléluia...Pendant quelques secondes, il fallait avouer que le gros nounours avait eu peur que son ange soit véritablement sérieuse, à cause de sa bavure...
Pour son bien ? Mais qu'est ce qui était pour son bien à la fin ?! Qu'avait-elle en tête ? Il voulait savoir, et pourtant, il avait laissé la Déesse blonde venir se lover de nouveau contre lui, et avant même qu'il ait eu le temps de la questionner de nouveau, elle avait reprit :

Rosalie : Comment ferais-je pour vivre sans toi ? Tu es mon unique amour...Demain tout sera terminé...fais moi un peu confiance, d'accord ?

Rohhh, ce sourire, cette voix tendre, et ces yeux doux !
Tout en Rosalie, de son apparence physique à sa façon de le charmer avec ses mots, avait le don de le faire fondre, et d'avoir raison de sa volonté...
Résigné, il avait inutilement soupiré, avant de marmonner :

- Je te fais confiance...Mais ne me refais plus jamais un coup pareil, si je n'étais pas déjà mort, je crois bien que mon coeur se serait arrêté !

Il avait gardé le silence pendant quelques instants, avant de reprendre :

- S'il te plaît mon amour, tu sais que tu peux tout me dire...J'ai besoin de savoir, je suis le premier concerné par cette affaire.

A son tour de sortir les armes de persuasion massives !
Il savait son épouse incapable de résister à la moue quelque peu enfantine avec laquelle il la fixait, si bien qu'elle finirait certainement par avouer...ou du moins, en partie !

Rosalie : Peut être mais...j'ai des moyens très...convaincants pour le ranimer...

Sensuelle, la Déesse blonde avait glissé ses douces mains sous sa chemise, caressant doucement sa peau, tout en lui donnait un langoureux baiser, qui aurait fait envie à n'importe quel homme.
Elle n'ignorait pas que son mari était extrèmement sensible à son charme, si bien qu'elle s'amusait régulièrement à le séduire, chose qu'elle réussissait à chaque fois...
En même temps, comment voulez-vous qu'il résiste à un tel ange vous ?

Rosalie : Et là ? Cela te rassure ?

Le vampire avait réprimé un frisson, avant d'adresser un adorable sourire à sa moitié, à qui il s'était adressé à mi-voix :

- Tu me chatouilles...C'est comme ça que tu comptes me faire plier ?

Un léger ronronnement s'était échappé de sa gorge ( le retour du matou ! ), son qui n'avait absolument rien à voir avec le grondement qu'il avait par mégarde adressé à son épouse quelques minutes plus tôt.
Bien entendu, Emmett n'avait nullement oublié sa mésaventure, et pourtant, Rosalie lui avait permit de retrouver son calme.
Et il y avait mieux : Grâce à elle, ses yeux retrouvaient lentement leur belle couleur dorée...

Rosalie : Arrête ça tout de suite. Ca ne marchera pas....Chéri ! Tu n'as pas honte de prendre ton air de chien batttu avec moi ?

Comment ? Sa tactique habituelle ne fonctionnait pas ?!
Zut alors, elle devait être vraiment déterminée à ne rien dire cette fois !
Néanmoins, Emmett McCarty Cullen n'était pas un homme qui abandonnait facilement ce qu'il entreprenait, si bien qu'à son tour, il avait laissé ses mains se promener sur la peau de son amante, avant de reprendre, sur un ton équivoque :

- Très bien...Si la manière douce ne prend pas, il va falloir que je me montre plus...persuasif...

Mouahaha, elle allait voir de quoi il était capable !
Si sa mémoire était bonne, c'était elle qui avait été contrainte de poser les armes sous la torture la dernière fois !
Ses belles lèvres charnues s'étaient attardées sur le cou de la jeune femme, avant de descendre lentement, telles des exploratrices à la recherche d'un trésor.

- Faudra-t-il que j'accentue mes efforts, ou tu es prête à avouer maintenant ?

L'expression de son visage en disait long sur ce que subirait son interlocutrice si elle refusait de lui dire ce qu'elle mijotait...

Rosalie : Mmm Avoues que tu aimes ça !

S'il aimait ca ? Et comment ?
Dans le cas échéant, pourquoi aurait-il prit tant de plaisir à détruire autant de maisons en compagnie de son aimée, hum ?
Les rapports charnels ne faisaient pas tout au sein d'un couple, mais ils constituaient des moments de grande complicité et de fusion totale, ce qui était fort agréable, et qui pimentait leur Eternité.

Rosalie : Il faudra d'abord que tu me résiste mon cher... et crois moi, cela ne va pas être facile.

Emmett s'était laissé faire lorsque la Déesse blonde l'avait plaqué contre le tronc du chêne centenaire auquel il s'était appuyé un peu plus tôt, soutenant son regard flamboyant, avant de la taquiner :

- Tiens tiens, il me semble avoir déjà entendu ça quelque part...

Rosalie : Je parie que tu ne tiendras pas plus de quelques secondes..Emmett MacCarty.

Le jeune homme avait frémit lorsque sa femme avait commencé à mordiller délicatement son oreille, et qu'elle s'était mise à onduler au dessus de lui, comme elle le faisait souvent pour triompher de sa volonté. Sa voix qui murmurait son prénom avec amour, ses caresses dans ses cheveux, et ses baisers passionnés auraient pu faire flancher le gros nounours, qui appréciait ces marques d'affection à leur juste valeur, et pourtant, il était tout simplement hors de question pour lui de céder le premier, question de principes. ( XD )
Aussi, Il avait échangé sa place avec celle de son ange, avant de reprendre, à son oreille, un sourire espiègle affiché sur le visage :

- Pari tenu mon amour. Dois-je te rappeler que tu as perdu la dernière fois que nous avons joué à ce petit jeu ?

Aussitôt après, ses lèvres avaient reprit leur lente exploration, tendres et sensuelles, en même temps qu'il usait habillement de ses charmes pour faire céder la belle Rosalie.
Au bout de plusieurs longues minutes de torture, il avait reprit, ses yeux d'or rivés dans ceux de son épouse :

- Alors ? On se résigne madame McCarty Cullen ?

Si ça n'était pas le cas, il approfondirait son interrogatoire, encore et encore, ( jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter !!! ), mais elle finirait par parler, c'était une certitude !

[ DSL, mon post est nul, j'suis en panne d'inspi en ce moment...On continue à la maison ? ]

Rosalie : Et moi, dois-je te rappeler que je te les laisse gagner ?

Ben voyonnsss ! Couvrant sa moitié d'un regard à la fois tendre et amusé, Emmett avait intensifié ses baisers, avant de retrouver sa position initiale, contre le tronc de l'arbre.

Rosalie : Je t'ai laissé gagner...mais aujourd'hui...je ne te laisserais aucun répit mon cher...Tu vas apprendre ce que veut dire le mot "succomber"..

Le sourire du vampire s'était élargit, avant que les mains de sa compagne ne se referment sur sa chemise, qu'elles avaient sauvagement déchirée.
Oh oh, mais c'est que sa tigresse préférée était de retour !
Ce petit côté animal durant leurs " câlins " plaisait beaucoup au jeune homme, si bien qu'un ronronnement plus tard, il avait murmuré à l'oreille de la Déesse blonde :

- Je vois que tu sembles déterminée à obtenir gain de cause aujourd'hui...

A son tour, il avait débarrassé sa femme d'une partie de son haut, dévoilant son affriolant soutien-gorge, avant de reprendre :

- Et si nous allions tester notre nouveau jaccuzzi, hum ?

Cette demande était une invitation à aller plus loin, sans aucun doute, mais le lieu n'était pas vraiment approprié pour ce genre de situation...
Aussi, Emmett avait prit son ange dans ses bras, avant de se mettre à courir en direction de leur maison. La chose ne lui était pas facilitée par les avances de la belle, et pourtant, il ne lui avait fallu que quelques minutes pour s'arrêter au bord de leur piscine.
Là, le regard flamboyant, il avait annonçé, joueur :

- Round 1 !

Et puis, à la fois doux et farouche, il avait reprit son exploration sur le corps de Rosalie, bien déterminé à ne pas lui céder, comme à son habitude...